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Grandeur d'âme, épisode 14 : DERNIER EPISODE !
Par MacLeodAlbion le 4/8/2002 à 0:51:15 (#1909507)
Pour ceux qui n'ont pas lu les 13 premiers épisodes :
http://macalbion.ifrance.com/macalbion/
Pour les autres :
*****
Épisode 14 : LA FIN
Maintenant que les esprits des morts et des vivants ont parlé, moi le Conteur puis vous dévoiler la véridique histoire à laquelle mon Maître prit part. Voici comment se termine cette histoire
Un bruit sourd de carreau darbalète. Lexpression étonnée de Defers, alors quil sécroulait. Panda, larbalète à la main, tombant à genoux, ruisselant de sang et murmurant « Je lai eu, ce salaud », Mac ne vit pas tout cela, les yeux emplis de sable.
-« Panda ! » sécria Diandra. Elle venait juste de soigner Soir, et Mac se relevait. « Ne bouge pas, je vais te soigner ! » Elle se précipita vers le mercenaire.
Un cri de rage résonna, dans le village les géants étaient à nouveau libres ! Un bruit de course, des pas imposants, ils venaient !
« Pas le temps de le soigner ! » cria Mac. Il courut aider Diandra à mettre Panda à cheval. Ils neurent que le temps denfourcher les selles et de lancer le galop, les géants étaient là !
En quelques minutes ils mirent de la distance entre eux et les Géants, mais alors quils avançaient vers le défilé ils virent, devant eux et coupant leur retraite, une autre troupe de Géants.
-« Demi-tour ! » cria Diandra ! Les chevaux hennirent, ils repartirent au galop dans lautre sens. « Je connais un petit chemin qui passe par les hautes collines et qui mène à un bac. Nous fuirons par-là ! »
Mac répondit :
-« Tu es sûre de toi ? »
-« Oui. Lawyld et moi nous nous baladions beaucoup dans le coin, avant que les Géants ne sy installent. La rivière est profonde et rapide ! Une fois de lautre coté, nous couperons les cordes du bac et nous serons tranquilles, même les Géants ne peuvent passer cette rivière ! »
Le voyage fut rapide et épuisant pour les humains, surtout ceux blessés. Mais plus encore pour les chevaux, la dernière montée nen finissait pas de sinuer le long de la haute colline, les animaux sessoufflaient, fatiguaient et baissaient leur allure. Arrivés en haut, ils jetèrent un coup dil vers le bas, le paysage froid et sauvage était calme, pas de traces de géants. Ils continuèrent, passèrent sur lautre versant et virent enfin la rivière. Le bac était de lautre coté, et la cabine du passeur semblait tranquille.
Diandra prit le temps de soigner Panda, dinvoquer la protection divine, et armes à la main ils descendirent et investirent les lieux. La cabine était déserte. Le système de treuil était en bon état. Plusieurs cordes constituaient des sortes de rails guidant le bac à travers la rivière, sombre et menaçante. Une manivelle permettait à un seul homme de ramener le bac vers cette rive. Mac, le plus en forme du groupe, sy mit aussitôt, faisant rouler sa puissante musculature pour faire traverser le bac le plus vite possible, environ dix à quinze minutes
Les chevaux enfin pouvaient souffler, ils tremblaient de tous leurs membres, Diandra se chargea de les calmer. Soir décida dexplorer les environs, en attendant, et se fondit dans le paysage. Panda, lui, remonta vers le col de la haute colline. De là haut il verrait les Géants arriver de loin.
Il passa le col et scruta lautre versant. Il nosait pas séloigner plus, il ne voyait déjà plus ses compagnons. A tout hasard, il prit son arbalète à la main. Le long et sinueux chemin était toujours aussi calme, toujours pas de Géants.
Un petit arbre fut brutalement arraché, un Géant apparu et frappa Panda de sa lourde masse ! Il neut que le temps de parer avec son arbalète ! Larbalète vola en éclats, la masse toucha le mercenaire à lépaule et il fut projeté au sol, sonné. Le Géant sapprocha et leva la masse pour porter le coup de grâce.
Une ombre se matérialisa près du Géant. Soir, apparu comme par magie, poignarda le géant et lui assena un puissant coup dépée. Le Géant, capable de supporter plusieurs coups comme ceux-là, se retourna contre lassassin. Puis il sécroula
Soir était content davoir gardé un peu de ce poison très puissant
-« Merci » souffla Panda, qui essayait de se relever. « Décidément cest une habitude de se sauver la vie, entre les membres de cette compagnie ! Appelons les autres.
-Non. Jai vu plusieurs traces entre les arbres. Il vaut mieux les rejoindre sans faire de bruit, il y a peut-être dautres Géants pas loin. »
Soir aida Panda à marcher, et ils reprirent le chemin vers le bac. Panda reprit :
-« Le clan McKeen te sera reconnaissant, en particulier mon père, Thobald.
-Thobald ? Je cherche un certain Thobald Mahakin
»
Panda fronça les sourcils. « Deux sarrasins comme toi viennent darriver au clan, ils portent ce nom
» Soir fit un grand sourire et répondit « Il faudra que je parle à Thobald ! » Ils arrivèrent au col, Diandra les vit et alla les aider.
Mac avait enfin ramené le bac. Il firent monter les chevaux et sinstallèrent. Le dispositif qui, sur le bac, permettait de le faire avancer, pouvait être manipulé à deux, Soir et Mac sy mirent. Diandra, à nouveau, soigna McKeen. Amusé, Mac leur jeta un coup dil et dit « Je me demande si certains ne se font pas blesser uniquement pour que tu leur mettes tes jolies mains dessus
»
Ils plaisantaient mais étaient nerveux. Les Géants pouvaient apparaître à nimporte quel moment, et sils coupaient les cordes avant que le bac ne soit de lautre coté
ce serait les rapides, les chutes et la mort probable
Ils jetaient des fréquents coups dil vers le col de la colline.
Un claquement, et dun coup le bac fit un bond dans le sens du courant. Panda glissa, faillit tomber, fut rattrapé par Diandra. Du coté de leur destination, un géant venait de couper une des cordes maintenant le bac. Mac hurla : « Diandra ! Nous narriverons jamais avant quil ne coupe les cordes, et nous navons plus darme de jet ! Foudroie-le ! »
Diandra laissa Panda finir de se rétablir, se tourna vers le Géant.. et dis : « Désolée, je ne peux pas. Je nai plus assez de force pour me concentrer
»
Ils regardèrent tous le Géant. Celui-ci leur fit un signe ironique, et se prépara à les envoyer en enfer.
Un cri de guerre retentit ! Un paladin, sur destrier, chargeait, lance en avant.
-« Lawyld ! » sécria Diandra.
Le Géant sétait tourné vers le nouveau venu, levant sa hache. Mais le paladin fut plus rapide, percuta le Géant de plein fouet, le déséquilibrant et le projetant à leau. Les passagers du bac poussèrent un cri de joie, auquel répondit une clameur de fureur. Là-haut, derrière eux, les Géants dévalaient la colline. Mac et Soir redoublèrent dardeur, tournant la manivelle aussi vite quils le pouvaient. Sur la rive, Lawyld mit pied à terre et se mit à tourner la manivelle de son coté.
Les Géants coupèrent les cordes alors quhumains et chevaux sautaient à terre
Furieux de voir leurs prisonniers leur échapper, ils lancèrent des insultes, puis décidèrent, impuissants, de faire demi-tour.
Les retrouvailles entre Lawyld et Diandra furent brèves mais chaleureuses. Puis il fallut prendre des décisions
« Le Roy est en danger. Nous devons le prévenir. » Le ton de Panda McKeen était sans réplique.
« Je sais où lattentat doit avoir lieu. » répondit Diandra. « Jai entendu les hommes en noir en parler. Si on fonce, on peut prévenir le Roy et éviter lembuscade. »
Diandra avait aussitôt approuvé Panda, et le regard admiratif quelle lançait parfois au mercenaire néchappait pas à Lawyld. Il dit, dun ton cynique, « Vous y allez tous les deux ou on vous accompagne ? »
Mac intervint : « Allez secourir le Roy. Personnellement, il faut que je détruise la Pierre. »
Lawyld leva un sourcil surpris vers Mac, ne sachant pas de quoi il parlait. Panda répondit « Quoi ? Quest-ce que tu racontes ? Tu es fou ? »
Visiblement le chef des mercenaires avait été mis au courant et savait, lui, de quoi il retournait. Mac reprit :
-« Oui. Toute cette histoire pue. Lâme du Roy Arthur est enfermée dans la Pierre, quil soit daccord ou pas. On veut me sacrifier, on tue des Albionnais, tout cela sens le mal.
-Et les paladins savent sentir le mal ? » demanda Panda sur un ironique. Mac répondit :
-« Je sais ce que jai à faire, en tout cas. Faites ce que vous devez, et moi je ferai ce que jai à faire. »
Panda sortit son arme. « Tu ne feras rien par toi-même. Sil y a quelque chose de louche là dessous, cest le Duc qui décidera. QuArthur souffre si cest nécessaire pour gagner la guerre ! »
Mac sortit également son arme. Diandra explosa.
« Stop ! Vous nêtes pas des gamins et on est tous dans le même camp. Panda, on va prévenir le Roy. Mac fait ce quil veut, et si tu nes pas daccord, je te paralyse sur place ! »
Panda se détendit, rangea son arme et reprit « Tu as raison, on a plus important à faire. Et de toutes façons, la Pierre est protégée par les magiciens et les autres. » Il ajouta, avec un coup dil à la prêtresse, « Tu es jolie quand tu es en colère, Diandra. » Lawyld leva les yeux au ciel, Mac rangea son arme.
Le groupe se sépara ; Diandra, Lawyld et Panda partant sauver le Roy, Soir et Mac se dirigeant vers les terres du Duc. En chemin ces derniers rencontrèrent Louvéa. Le Duc était de retour, lattaque des Midgardiens ayant tourné court. Louvéa leur confia également que le Duc semblait craindre une attaque contre la Pierre, et que la nuit prochaine la Pierre serait discrètement transférée dans un lieu secret, les gardes restant autour de la chapelle pour tromper déventuels attaquants. Lawyld avait disparu du château sans explications, et Louvea était chargée de suivre ses traces. Mise au courant de la situation, elle partit sur les traces du groupe de Diandra, Lawyld et Panda.
En regardant Louvéa séloigner, Soir dit
-« Le duc est de retour. Je sais où ils amènent la Pierre, puisque jai surpris leur conversation. Mais à quoi cela nous mènera-t-il ? Panda a raison, la Pierre est bien protégée, même sans les gardes. Tu nas aucune chance. »
Mac était songeur. Il avait un plan et lexposa à Soir
-« Je ne suis pas convaincu, Mac. Peut-être, si tu es vraiment, mais alors vraiment chanceux, tu pourras détruire la Pierre. Mais tu ny survivras pas
Ils te tueront. Je taiderais, mais je ne suis pas un paladin. Je ne pense pas que je me jetterai dans la gueule du loup.
-Je ne peux ten demander plus, Soir. Si tu joue ton rôle dans la première partie du plan, cela me suffit. Tu nes pas paladin, et je naime pas les méthodes des sicaires. Toutefois, jai appris à te connaître et à tapprécier. Je suis content que nous soyons devenus amis. »
Soir sourit et hocha la tête : « Moi aussi, Mac. Et puis, nous ne sommes pas encore morts ! Dépêchons-nous si nous voulons faire tout ce que nous avons à faire ! » Ils sélancèrent au galop.
Plus tard
Dans la vieille chapelle abandonnée qui servait de nouveau refuge à la Pierre, le Duc Nakron marchait de long en large, nerveux. Il sadressa à Elmonchan : « Je naime pas être éloigné de mes hommes alors que je pense que ceux-ci vont être attaqués ! »
-« Je vous rappelle, Seigneur Duc, que la Pierre est ce quil y a de plus important. Si comme vous le craignez, les forces au service dHibernia attaquent, elles attaqueront au mauvais endroit ! De plus, vous avez laissé la-bas des forces conséquentes
»
Narfarielle intervint : « Je ne crois pas à lattaque dun groupe important dans vos propres terres. Mais nous navons pas de nouvelles de Mac Leod. Cest lui le danger, sil décide de trahir, il peut détruire la Pierre. Jespère quil ne trouvera pas. »
Fenerik larcher intervint. « Et même sil nous trouvait ? Il y a le Duc, deux magiciens, moi, et la ménestrelle nous rejoindra plus tard. Nous larrêterons sans problème. Surtout un paladin farci de principes, qui probablement voudra provoquer le Duc Nakron en duel.. » Larcher éclata de rire.
Lambiance ne prêtait pas à rire. La vieille chapelle désaffectée était à moitié plongée dans la pénombre, la lumière de quelques torches ne parvenant pas à chasser les ombres qui dansaient entre les colonnes et les gravats. Les bruits de la nuit semblaient murmurer une chanson de mystère, et le froid des Highlands pénétrait vêtements et armures. Sans sen rendre compte, chacun dans le groupe évitait un endroit de la chapelle, un mur à moitié effondré avec une statue dun saint guerrier, un endroit qui suintait le malaise, le froid glacial, linconfort
Ainsi, moi le Conteur, mettait ma propre touche dans la partie, influençant tout le monde, même mon maître
Fenerik leva le visage, renifla lair
« Cela sent la fumée ! Attendez, je vais voir
» Il sortit, le Duc sur ses talons. Ils revinrent presque aussitôt. Le duc dit :
-« Il y a deux foyers dincendie ! Et on vient de voir Mac en allumer un troisième, pas très loin dici ! »
Elmonchan, dun ton surpris, répondit : « Et cela nous menace ? »
Fenerik dit : « Pour linstant pas vraiment. Mais vu comme est disposée cette chapelle, si on laisse Mac allumer plusieurs feux, il se peut que lincendie prenne bien et que la fumée nous tue tous sans même que nous combattions ! »
Dun ton dégoûté, Nakron dit : « Je suis déçu de cette tactique de la part dun paladin. Quoiquil en soit, nous ne pouvons pas le laisser faire. Fenerik et Elmonchan, suivez-moi, on va larrêter ! Narfarielle, restez ici et protégez la Pierre. » Narfarielle hocha la tête. Les autres étaient pris dune frénésie guerrière, et se précipitèrent dehors.
Une petite minute après leur départ, Mac Leod surgit de derrière le mur effondré, à coté de la statue du saint guerrier, son lourd marteau au poing. Sans hésiter, il courut vers la Pierre, il navait quun coup à frapper avant que Narfarielle nintervienne.
Ce fut une course entre Mac désirant briser la Pierre et Narfarielle lançant une incantation. Mac fut très rapide mais la magicienne ne prononça quun seul mot, un nom. Et Mac perdit.
Alors que son lourd marteau sabaissait vers la Pierre, une épée sinterposa et avec une puissance incroyable, stoppa la course du marteau. Surpris, Mac se retourna vers lapparition
il poussa un cri de surprise, le Maître-Démon se tenait devant lui. Un rapide coup dil à Narfarielle confirma son horrible soupçon, elle souriait, cétait elle qui avait appelé la créature infernale
Mac se prépara à attaquer. Il savait navoir aucune chance face au Maître-Démon, mais si Narfarielle mourait, le démon repartirait
Aussi, il bondit vers le démon et, au dernier moment, dun puissant et rapide mouvement, dirigea son marteau vers la magicienne. Le Maître-Démon intercepta facilement le coup. Puis dun revers de son épée, frappa Mac, le projetant au sol.
Celui-ci se releva avec difficultés, le corps endolori. Dun ton incrédule il demanda à la magicienne « Comment peux-tu trahir ton pays et en plus pactiser avec un démon ? »
Elle répondit : « Oh
Hibernia me donne vraiment beaucoup dor pour que cette Pierre fonctionne. Avec lâme dArthur prisonnière à lintérieur, torturée par le Maître-Démon, cest une sorte de relique inversée que lon a fabriquée.. Quelque chose qui mine le moral et les forces des Albionnais, qui entraînera leur défaite
Mais cela na pas dimportance pour moi, qui gagne cette guerre ou la perd... Pour moi, lalliance avec le Maître-Démon représente un gain de puissance que tu ne peux même pas timaginer
»
Mac sétait relevé. Le Maître-Démon le regarda en souriant. « Pauvre mortel. Il existe une guerre plus importante que la vôtre, la guerre entre le Bien et le Mal. Et aujourdhui le Mal marque un point. »
Il ponctua ses paroles dun geste et détranges flammes semblèrent entourer Mac. Elle ne brûlaient pas vraiment, nulle trace sur ses vêtements ou son armure. Mais il se tétanisa sous la douleur, comme si son âme même brûlait. Le marteau à la main, immobile, il ressemblait à une illustration dun damné en enfer. Une boule dobscurité se forma dans la main du démon, qui reprit :
« Je tavais dit que je te tuerais lentement. Tu sais comment ces boules tuent.. Tu te rappelles de ton amie Alfania ? A tes yeux elle est morte presque instantanément, de vieillesse
Et bien pour elle cela a pris exactement cinquante-huit ans, trois mois et huit jours
dont elle a vécu chaque seconde parfaitement consciente, consciente de son horrible douleur, et de votre présence immobile à ses cotés
Je peut tassurer, Mac, quelle a eu largement le temps de regretter davoir intercepté la boule qui tétais destinée
Et elle a fait cela pour rien, car tu vas mourir de la même façon quelle. »
Le Maître-Démon sinterrompit, une expression de surprise sur le visage, se tourna vers Narfarielle et cria NOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNN !
Narfarielle sécroulait, mortellement blessée par les armes et le poison de Soir, apparut à ses cotés. Mac, libéré des flammes, se jeta sur le Maître-Démon, qui chancelait, perdant sa substance au fur et à mesure que la magicienne agonisait. Dun puissant coup de marteau, le paladin écrasa le crane du démon, qui tomba mort devant lautel.
« Tu ne repartiras nulle part, démon
» souffla Mac. Il sapprocha de la Pierre, et dun unique et puissant coup de marteau, la brisa. Puis il se tourna vers Soir. « Tu étais presque en retard, tu sais. »
Soir sourit. « Et bien, le temps denclencher le retardement de tous mes appareils à incendie, de me débarrasser de larmure à tes couleurs et de venir ici sans me faire repérer par ceux qui me cherchent, pardon qui te cherchent
» Soir haussa les épaules. « Enfin, ton plan a marché, ils mont vu et ont crus que cétait toi, ils ne se sont pas doutés que tu étais dans la chapelle avant quils ny arrivent
»
Mac sourit et lui tendit la main : « Je suis heureux que finalement tu aies décidé de jouer ton rôle dans le plan jusquau bout. Merci mon ami. »
Le Duc, larme à la main, se précipita dans la chapelle, suivi de Fenerik, et plus lentement du gros Elmonchan et son familier jaune. Mac et Soir jetèrent leurs armes et se rendirent.
***
Voilà, mes amis, nous sommes à la fin de lhistoire. Comme vous le savez peut-être, Diandra, Panda et Lawyld arrivèrent à temps pour prévenir le Roy, et participèrent à la traque des hommes en noir. Linquisition se mêla de laffaire, pour juger Mac et Soir. Ils furent blanchis, et le complot dHibernia était déjoué.
Quant à moi, dans la guerre qui oppose le Bien et le Mal, je venais de marquer un point, pour le Bien
Il est maintenant temps que je vous quitte. Je vais dailleurs aussi quitter mon maître, pour en choisir un nouveau, un jeune que je vais former et modeler pour mon prochain acte de cette guerre éternelle
Je me demande quelle apparence je vais adopter, cette fois-ci
EPILOGUE
Dans lobscurité de la forêt, une étrange créature jaune séloignait. Elle regarda le ciel, se transforma en un magnifique oiseau bleu et senvola.
-FIN
***
Voilà, cest fini :cool: . Je suis content :D davoir mené cette histoire à son terme, même si cela ma, lavouerais-je, ému décrire le mot FIN.
Je remercie les joueurs qui mon fait suffisamment confiance pour me prêter leurs personnages, Diandra, Panda, Louvéa et Sélicia. Et Yzabeau, qui est apparue dans un dialogue de Mac sans être nommée :) .
Je voudrais surtout remercier toutes les personnes qui ont lu mes textes et qui mon encouragé à écrire la suite, sans vous je naurais pas trouvé la motivation de continuer. Ce fut une expérience intéressante pour moi et dans laquelle jai appris. Pour cela merci encore :merci: :merci: :merci:
Par Diandra le 4/8/2002 à 1:59:48 (#1909791)
Ah ben c'est vrai c'est la fin, j'ai plus besoin de mettre ":lit: " :D
Très bien cette fin... j'ai découvert qui était le conteur à la moitié, j'aurai dû le voir plus tôt, pfff.
Lawyld, Mo Chridhe, si jamais tu lis, c'est toi que j'aime pas Panda ! hein hein, tu le sais n'est-ce pas ? Ne fais pas attention à ce que raconte mon cher frère.. :hardos:
*************************************
Et la version éditée tant attendue par Panda :
...
Panda le plus beau, larbalète à la main, tombant à genoux, ruisselant de sang et murmurant « Je lai eu, ce salaud », Mac ne vit pas tout cela, les yeux emplis de sable.
- « Panda ! » sécria Diandra. Elle venait juste de soigner Soir, et Mac se relevait. « Ne bouge pas, je vais te soigner ! » Elle se précipita vers le mercenaire le plus fantastique de tout le royaume d'Albion.
...
Il courut aider Diandra à mettre Panda toujours aussi bel homme même blessé à cheval.
...
Diandra prit le temps de soigner Panda (Ouiiiiiiiiiiiiii je l'ai touché pour de vrai, quel bonheur !), dinvoquer la protection divine, et armes à la main ils descendirent et investirent les lieux.
...
etc etc
ndr : étant donné que Panda ne m'a pas encore payé, je préfère ne pas terminer le travail de réédition :ange:
Par Sdol McKeen le 4/8/2002 à 10:18:20 (#1910451)
Mais bravo c'et bien écrit
Par Panda Mc Keen le 4/8/2002 à 15:32:19 (#1911682)
Sinon, Diandra, continue, tu es sur la bonne voie :D
Beau boulot MAc:merci:
Par Diandra le 4/8/2002 à 18:30:40 (#1912757)
Par MacLeodAlbion le 5/8/2002 à 7:51:06 (#1916451)
Provient du message de Diandra
Nous n'avons pas dû bien nous comprendre cher Panda.. il est où mon mithril pour que je puisse continuer ? hein hein ? :ange:
Par Tanagra et Damork le 5/8/2002 à 14:46:45 (#1918338)
Bien mené, bien construit, ...prête à lire de nouvelles aventures dès maintenant :ange:
Tanagra
Par Panda Mc Keen le 5/8/2002 à 15:28:01 (#1918584)
Par Irvain le 5/8/2002 à 15:52:26 (#1918742)
Bravo, et encore bravo. J'espere pouvoir me regaler encore avec ta prochaine aventure que, je n'en doute pas une seconde, tu as deja commencée.
clap clap clap.
Par Selicia le 5/8/2002 à 20:15:58 (#1920677)
Mais je suppose que l'on ne peut pas tout avoir.
Par MacLeodAlbion le 6/8/2002 à 7:33:51 (#1923401)
Moi aussi je me suis attaché aux personnages :D . Mais dès le départ (sur la première page du site) j'ai dit que c'était une nouvelle, et le texte fait une taille raisonnable pour une nouvelle.
Bien que cela soit tentant, je ne vais pas écrire d'autre récit, car écrire une histoire structurée comme cela prend pas mal de temps, hors... dans mon temps de libre, à part jouer, il y a l'écriture d'un scénario de film, pas mal avancé, et il faut que j'ai du temps à y consacrer :cool:
Maintenant, vu la taille des pieds de Panda; il est vrai qu'une quête épique Grandeur de Pieds serait appropriée :p
Par Irvain le 6/8/2002 à 10:34:32 (#1923829)
Par MacLeodAlbion le 7/8/2002 à 8:03:27 (#1928715)
Provient du message de Irvain
quel domage, mais sache que j'attends ton film avec impatience :D
Provient du message de Selicia
même si Hibernia fut repousée.
Mais je suppose que l'on ne peut pas tout avoir.
Excellent épisode...sniff c'est fini
Par Yzabeau le 7/8/2002 à 13:36:58 (#1929975)
Je te félicite encore et suis très fière d'avoir un petit rôle, même anonyme, dans cette histoire.
J'espère que tu avances bien dans ton autre projet et que peut-être nous pourrons dans quelques temps revoir Mac, Diandra, Panda, Soir et les autres...
Ils vont tous me manquer...
Ton Yzabeau...:amour:
Re: Excellent épisode...sniff c'est fini
Par MacLeodAlbion le 8/8/2002 à 21:39:14 (#1936604)
Provient du message de Yzabeau
Mon très cher Mac,
Je te félicite encore et suis très fière d'avoir un petit rôle, même anonyme, dans cette histoire.
Ton Yzabeau...:amour:
JOL Archives 1.0.1
@ JOL / JeuxOnLine