Broc - Albion - Une Larme de Sang

 
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Froid, si froid…

Glacial temps, où est-ce mon corps qui ne répond.
Je les vois, face à moi tourner le dos et regardant mes confrères.
Les tuant comme s’ils ne les considéraient pas, n’hésitant pas à brandir leurs armes.
Je sens mon sang se glacé encore plus. Au font notre Elu nous observe, patiemment et méditant.
Il ne comprend pas lui non plus, ce qu’Ils font ici.
Voilà bientôt un an que l’invasion a commencé, est que nous luttons. Nos castes séparer nous ont obligés à compter que sur nous même mais nous avons put soutenir le siège durant tout ce temps.
Mais ils sont la… A nos portes, nous observant, discutant, comme si cette ville leurs était du.
Ils sont là, le regard mauvais, un sourire mesquin.
Oui nous sommes plus forts, mais que faire face à cette masse ?
Nous plions. Comme des roseaux, nous nous plions à leurs assauts.
Et nos conseillers ensembles cherchent des solutions pour contrer cette infamie.
Haaaaa… Qu’époque révolue celui du temps de paix. Aujourd’hui nous luttons sans cesse.
Je me rappelle, cette belle fée, nous jurant protection. Nous avons était berné !
Mais à quoi sert aujourd’hui mon histoire ?
Je suis las…

Au sol je m’effondre, Ils mon vu. J’ai beau me défendre mais rien n’y a fais. Mon corps c’est senti lourd et le froid m’a achevé.
Je les vois passer à coter de moi, indiffèrent.
Continuant leurs soifs de destruction sans pitié n’y même compassion.
Je les vois passé à coté de moi indifférent.
Moi qui aurais voulu me marier est avoir descendance. Je n’aurais jamais ce plaisir. Car ils m’ont eu.
Ils m’ont attaqué juste parce que j’étais diffèrent.
Nos races ont tel voulu parler un jour ? Négocier ?
Ils ne se rendent même pas compte de la larme de sang qui s’écoule sur mon visage. Leurs soifs de destruction les guides vers mes autres frères. Des fois, ont arrive à les repousser.
Mais ils reviennent.
Comme une Lèpre lancinante qui se décline dans nos plus tendres chaires.
Qu’avons-nous fais ?

Je voulais simplement être moi, me marier, devenir grand-père, construire une vie.

Mais tout s’écroule par un coup d’épée.

Je voulais simplement vivre dans ma belle cité.

Avalons… Citadelle de ma pauvre vie.
Cette larme de sang qui s’écoule sur mon visage d’écaille.
Cette larme que personne ne vois.
Je te la dédis.
 

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