[Myth] Essai de réflexion sur l'humanisme

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Guaboo, fréquentait le plus possible la bibliothèque d'Athléa, il s'était mis à rédiger, à la lueur d'une bougie, ce qu'il savait de sa famille sur un parchemin à peine entretenu. Mais sa curiosité avait piquer sa raison, il tenta en vain de chercher un traité sur l'humanisme...

Les livres de la bibliothèque était par moments dans un tel état qu'ils n'étaient alors que peu consultables, Guaboo redoutait de ne pas avoir de Guide spirituel pour l'amener à trouver sa voie dans la philosophie humaniste.

Auncune personne n'était encore chargée d'entretenir la Bibliothèque, cela se ressentait quant à la moisissure de quelques Manuscrits, des étagères poussiéreuses. Un relent d'odeur avait envahi, il y a bien longtemps de cela, la pièces mal entretenue. Mais Guaboo, selon les dire de son Père Rousseau continua de chercher...

C'est alors à la tombée de la nuit, quand la lumière de la bougie atteignit une luminosité adéquate, se pencha vers un livre, qui n'était pas rangé mais gisait sur le sol poussiéreux. Il l'ouvrit et découvrit que seulement quelques pages étaient encore lisible, mais d'une importance vitale :


La mouvance humaniste
Il y a de cela très longtemps, les troupes du Roi Muldur essayèrent de conquérir le territoire Orc, non sans mal croyez moi ... Les armées de Muldur étaient commandées par le Général Kheyr, un homme dont le mérite était sans égal. Lorsque l’armée arriva sur le territoire orc, ce dernier était complètement brûlé, une vraie désolation, des cadavres humains gisaient sur des pieux, l’horreur de la scène était totale.
Kheyr en bon meneur d’hommes ne se laissa pas démonter, talonna son cheval et s’enfonça suivi de ces hommes sur ces terres défrichées.
Ils chevauchèrent une journée entière avant de tomber sur les premiers signes de vie orc, la bataille fut courte et relativement aisée ce qui releva le moral des troupes. Puis la pluie se mit à tomber, fine, légère, puis de plus en plus épaisse et froide.
Soudain un cor sonna, un son immonde.. Il fut suivi de cris de guerres venant de tous cotés, les chevaux s’affolèrent, puis des flèches se joignirent aux énormes gouttes de pluie, des orcs sortirent de tous cotés, les hommes de Kheyr étaient encerclés, mouillés, fatigués, blessés.
Mais sous les ordres de Kheyr, ils se battirent tout de même. Les premières vagues furent repoussées, mais les pertes dans l’armée du Roi Muldur se comptaient par centaines. C’est alors que, perçant le silence de la nuit, le cor sonna de nouveau; suivi de cris de guerres, encore plus nombreux que précédemment.

Se sentant vaincus les hommes de Kheyr se jetèrent à terre et se mirent à prier une quelconque puissance divine, pensant que là était leur seule chance. Mais les hommes qui prièrent se firent massacrer, seul Kheyr et une poignée de ses hommes restèrent debout, sur leur garde. Kheyr cria à ses hommes "Battez vous pour l’honneur mes amis, personne ne nous viendra en aide…." "Nous n’avons pas besoin d’aide ! " répliqua un de ses hommes. Et c’est ainsi que Kheyr se jeta dans la bataille tranchant membres sur membres.
Lui et ses compagnons se frayèrent un chemin parmi les orcs et finirent par atteindre la rivière qu’ils traversèrent en toute hâte. Les seuls survivants de cette bataille furent Kheyr et cinq de ses hommes.
Dès son retour, celui-ci démissionna des armées du Roi et, aidé par ses cinq compagnons, créa le conseil des Six. Ce conseil devint un ordre de chevalerie réputé, et forma de nombreux chevaliers à travers le Royaume, puis sur Goldmoon..

Ce qui fait la force de ce conseil, qui fut surnommé au fil du temps le conseil humaniste, ce sont les valeurs qui y sont prônées. Les humanistes ne vénèrent aucun Dieu, même s'ils en admettent l’existence et les respectent.
Les humanistes se battent donc au nom de valeurs nobles telles que le courage, la fierté et l’honneur. La légende prétend même que certains humanistes qui ont foi en leurs valeurs sont amenés à passer une épreuve qui leur permet de décupler leurs forces.. Il existe des règles de conduites qui ont été écrites par Kheyr et le premier conseil des Six :

Règle première : Un humaniste respectera toujours les valeurs du culte, à savoir la noblesse, la fierté, le courage, la loyauté, la bravoure et l’honneur.
Règle seconde : Un humaniste est un chevalier et il devra toujours respecter les règles de la chevalerie.
Règle troisième : Jamais un humaniste ne devra prier une quelconque entité et encore moins renaître, il devra rester humain.
Règle quatrième : Un humaniste devra se montrer loyal et fidèle envers le conseil des Six.

Ce sont des règles simples, mais le conseil veille toujours à ce que tous les humanistes les respectent. Les humanistes ont foi en leurs valeurs tout comme les autres membres de cultes ont foi en leur dieu. Il faut garder à l’esprit que le culte humaniste est avant tout un ordre de chevalerie, et pour cela les humanistes seront amenés plusieurs fois dans leur vie à passer des épreuves, gage de leur foi.



Après lecture de ce passage, Guaboo comprit l'importance de l'histoire des faits. L'humanistes n'était pas seulement une idéologie terne, mais une philosophie bien vivante...
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Suite
En ayant le manuscrit en main, Guaboo savait que d'autres hommes l'avait lu, peut être étai-ce pour cela que le manuscrit était posé sur le sol, jonchant d'autres livres plus ou moins respectables. Avait-il été laissé à l'abondon, Guaboo se posait la question, mais cela n'était pas la chose importante, le fait est que le manuscrit était là, certaines pages étaient en très mauvaises états, l'histoire s'arrêtait sans que l'on puisse lire aucune suite lisible puis elle revenait ça et là. Guaboo jugeait cette oeuvre, il comprit toute l'importance qu'amener ces lectures. Ils se rappelait que son vieux père Rousseau lui racontait des histoires chevaleresque, des mythes ou des légendes, ce manuscrit était là pour prouver que bel et bien ces combats avaient eu lieu...

Des questions venaient à ce poser en lui, Si des hommes vont au combat avec la force et leur confiance en eux, ce sont des hommes dotés d'une force sans égal ? Guaboo avait du mal à le croire mais si cela était dit, c'est que justement cela devait se produire. N'ayant jamais été au combat, le jeune guaboo ne pouvait en savoir plus. Justement Il savait que l'entraînement était chose aisée, que celui-ci permettait de connaître mieux l'art du combat.

Ils comprit davantage que le combat n'était pas la chose la plus importante, Un code de l'honneur avait été mis en place pour dicter la conduite des chevaliers de L'humanisme.
Il entreprit d'en savoir un peu plus sur ce code de l'honneur mais il ne trouva point de manuscrit sur le sujet, peut être était-il dans ce livre, parmi les nombreuses pages effacées.
Sa réflexion se fît plus grande encore lorsqu'il vint à se remémmorer le fait du conseil des Humanistes. Pourquoi donc n'y-a-t'il pas de conseil à l'heure actuelle? se cachait-il? Ou bien le mouvement humaniste avait été oublié ? tant de question donné un curieux mal de tête au jeune Guaboo...

Guaboo vint à l'idée que seul le Chambellan pourrait être avoir les réponses auxquelles il n'avait pas trouvé de réponses.


Il est conté dans le manuscrit que les hommes vinrent au combat, certains perdirent leur foi en eux et firent appel à des divinités.


Guaboo, se remémorait se passage au combien important, Ces chevaliers avaient-ils donc perdus tout espoir ? Ils comprit avec ce passage que l'homme était un être faible mais capable de raisonnement. Les chevaliers ayant douté d'eux, avaient l'esprit dans le doute, ils ne croyaient plus en leurs capacités, L'homme dans un moment de faiblesse se met à prier son salut, pourquoi une telle chose? Guaboo avait une trop faible expérience pour en connaître ces doutes. Mais il comprit assez vite que lorsqu'un combat arrivera, il devait surtout ne pas douter de lui...
L'homme qui se met à croire en une divinité est donc une personne qui à un moment donné a voulu chercher protection, mais il oublie que l'homme est capable de se protéger lui même.


Ils revint ainsi au Quatre grandes régles :

Règle première :Un humaniste respectera toujours les valeurs du culte, à savoir la noblesse, la fierté, le courage, la loyauté, la bravoure et l’honneur.

cette Règle semblait à ces yeux la plus importante, elle montrait un peu le code d'honneur d'un humaniste, Honneur, noblesse, ces mots résonnaient en lui comme une cloche en pleine ville, Il savaient quelle Loyauté la Règle parlait, celle envers le Roy, ces mots résumaient à eux seules les attentes d'un humaniste quant à sa position face à une personne. Honneur et respect, voilà les mots d'Ordre pour agir et parler en société.

Règle seconde :Un humaniste est un chevalier et il devra toujours respecter les règles de la chevalerie.

Un humaniste doit avoir une conduite chevaleresque, il n'est point un chevalier dansle sens où le peuple l'entend, c'est un cehvalier d'honneur, non pas d'arme... cette réflexion venait en lui comme annociateur d'un futur ou les humanistes serait de toutes armes et magies. Le Respect des régles de chevalerie semblaient mettre une redondance frappante, il fallait que les humanistes appliquent cette philosophie de manière stricte.

Règle troisième : Jamais un humaniste ne devra prier une quelconque entité et encore moins renaître, il devra rester humain.

Cette réflexion paraissaît être plus que normale, mais Guaboo n'oubliait pas que certain moment de doute pouvait faire enfreindre cette Règle. Peut être était-elle la plus difficile à respecter tellement les tentations pouvaient être grande dans ce monde. Mais il avait foi en lui et en ces capacités, Rien alors ne pouvait lui faire changer son avis. Il espérait secretement qu'aucun humaniste ne tombe dans le doute. Il avait rencontré d'autres humanistes qui semblaient eux aussi animés de cette foi en eux. Il prenait conscience que cette philosphie avait fait de nous des êtres différents, en partie par nos valeurs et notre code de l'honneur.

Règle quatrième :Un humaniste devra se montrer loyal et fidèle envers le conseil des Six.

cette Règle semblait, elle aussi, tellement simple, que Guaboo se mit à réfléchir le reste de la nuit pour émettre une opinion sur le sujet. Oui elle semblait aller de soi, un humaniste devait être à l'écoute du conseil pour pouvoir agir comme un chevalier. Mais là venait la perversité de l'esprit troubler ses réflexions, un conseil des Humanistes qu'attend-ils de nous? il savait qu'en étant humaniste, il avait choisi la sollitude, qu'adviendra t-il des Chevaliers égarés?, ils se mit tout de suite en confiance tellement il avait pris conscience que cette Règle était le soutien du Chevalier, le soutien de notre philosophie.



Ainsi après avoir passé une nuitée dans la bibliothèque, le jeune Guaboo Posa le manuscrit dépoussiéré sur une étage qui le mettait à la vue de tout le monde, il fallait que chaque personne dotée d'un savoir puisse se receuillir sur ce manuscrit, même si cette personne était un croyant, peut être allait-il reprendre confiance en lui ! Seul les élus et les personnes ayant renais n'étaient plus capable de reprendre confiance en eux. Le matin venait avec la douceur de la rosée, annonçant une belle journée, d'autant plus belle que Guaboo savait maintenant ce qu'il adviendra de lui....
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Hoo
Mon frère, il me semble que parfois vous vous posez des questions bien utiles, mais est la peine de vous infligez autant de souffrance et de difficultés pour répondre aux trop nombreuses questions..
L'humanisme est encrée dans la famille ne t'inquiète pas *sourit*
quant à autres personnes personnes de cette philosophie, ayons foi en eux.
Louve redescendait en ville comme chaque matin après sa promenade en forêt, et le spectacle merveilleux qu'offrait la naissance d'un nouveau jour sur la mer.

Un peu surprise, elle vit un jeune homme sortir de la bibliothèque. Il avait l'air fatigué mais heureux, et souriait à la belle journée qui s'annonçait.

Elle avait toujours aimé les livres, apprendre, chercher à comprendre, bien que toutes les réponses ne soient pas dans les livres elle ne le savait que trop.

Peronne n'entretenait, ni ne prenait soin des ouvrages de la bibliothèque pour le moment elle le savait, elle décida cependant d'entrer. Peut être pour voir dans quel état étaient les manuscrits et parchemins, peut être poussée par une autre raison, qui sait ?

Toujours pieds nus elle marchait sans bruit entre les rayonnages, passant ses doigts sur la tranche de certains livres pour en ôter la poussière et y lire le titre.
Elle soupira en prenant conscience de l'état de décrépitude et de moisissure de certains ouvrages qui bientôt deviendraient irrécupérables.

Son regard fut attiré par un manuscrit, dont on avait ôté la poussière et qui gisait là, en évidence sur une étagère.
Louve ouvrit l'ouvrage avec délicatesse, il était en piteuse état et seules quelques pages étaient encore lisibles, sans doute plus pour très longtemps si personne ne cherchait à protéger ce livre très vite.
Elle nettoya une table avec sa cape, y posa l'ouvrage et commença sa lecture.
Quand elle eut fini, elle ne prit pas la peine de fermer l'ouvrage, elle le laissa bien en vue sur la table afin que d'autres se retrouve peut être en ces lignes.

Elle murmura avec un sourire aux lèvres :


- La seule chose qui me chagrine, c'est que je ne me vois pas me faire appeler Chevalier...

Elle sortie de la bibliothèque aussi silencieusement qu'elle y était entrée, heureuse d'avoir découvert par cette magnifique journée que d'autres avaient la même philosophie de vie qu'elle, et que peut être si il l'acceptaient parmi eux, elle ne serait plus seule, enfin....
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Vous pouvez tromper tout le monde un certain temps ; vous pouvez même tromper quelques personnes tout le temps ; mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps.

Abraham Lincoln (1809-1865) -
C'était un de ces matins ou le soleil de Goldmoon resplendissait sur notre petite ville de Lightaven. On entendait déjà les pas des chevaliers d'Olin Haad arpenter les rues. Dehors, la ville mouvante était remplie de passants. Traversant les ruelles de Lightaven, on pouvait voir toute la désolation se lire sur les visages. Le seul bâtiment encore à peu près debout, acceuillait des centaines de réfugiés, le temple était tout ce qui restait aux gens. Je passais mon chemin. Non loin de la, je retrouvai mon frère, Guaboo Solari.
C'est bien la première fois depuis longtemps que son visage inspire la gaieté, une espèce de satisfaction se lisait dans ces mots. Nous discutâmes et marchâmes de part et d'autre de la ville. Il finit enfin par m'avouer son petit secret.


Je l'ai trouvé, j'ai enfin trouver

s'écria-t-il. Je l'écoutais, je sentais en moi monter une grande joie. C'est vrai avait-il enfin trouvé les récits du grand Kheyr et du conseil des six ? Je ne pouvais le croire, mon père ne c'était pas battu en vain. Comme indiqué, je me rendais dans la bibliothèque d'Athléa, traversant les longues allées, je m'enfonçais de plus en plus. Au bout de la salle, sur une petite table, un livre attendait ces lecteurs. Je caressais du doigt les pages abîmées du livre, quand enfin je tomba sur les récits humanistes, lisant les pages, je reprenais foi en moi, foi en ma famille, et foi dans l'humanisme.
Avec une plume et de l'encre, je recopiais mots à mots les paroles de kheyr et du conseil des six. Ces mots restent à jamais graver en moi...
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La chance
Il se faisait tard ,les éléments se dechainaient.
Waleria cherchait désespérément un toit pour dormir , chaque porte se fermait , elle ne savait ou aller...
Une idée lui vains alors a l'esprit le hole de la Bibillotheque était vide et seul une simple grille y empêchait l'acess...
Elle se mit donc en route sous une pluie torrentielle... elle y arrivas enfin frigorifié , grelottant. Elle sautât la grille et ouvrât la porte massif vermoulue qui sous son étonnement n'était pas fermé...Il y faisait sombre,elle sentait des présence... cela lui glaça le sang et décida d'allumer une bougie et de s'assurer que le lieu était bien vide, après 2 tours a scruter entre les rayon tout les recoins .
Elle decouvra Soudain un Ouvrage qui attirât son regard "La Mouvance Humaniste" .
Elle le feuilletât mais seul quelque pages avait survécu a la moisissure de ce lieu presque abandonné... Elle lue les page restant et ne pue s'empêcher d'essayer de décrypter les autres page mais en vains...Soudain un bruit la dérangeât dans son décryptage,elle tournât la tète mais ne sentie pas la peur l'envahir. Elle vit la lumière du soleil se levant dans une merveille de couleurs.
Elle Dit
: "Il est temps pour moi de partir avant que l'on me prenne en cet endroit..."
Elle prit son sac et posât le livre délicatement en évidence...
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