Eh bien, curieusement votre comportement naturel semble refaire surface la nuit venue.
Ne vous souvenez donc vous pas de votre approche quelque peu cavalière, qui m'aurait fait hurler au viol, si je n'avais pas été en état d'ivresse, suite aux verres que vous m'aviez forcé à boire dans cette glauque taverne ?
Si je puis vous rafraichir la mémoire : vous m'avez ensuite trainé chez vous, allongé sur votre lit ! Et pour les plus chastes oreilles, j'épargnerai les gestes déplacés que vous avez ensuite entrepris sur mon corps sans défense ...
*baisse le regard*
J'ai pu fuir au petit matin, quand j'ai retrouvé mes esprits.
Désormais je me repose au loin, tentant d'oublier..
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