[Poésie]A toutes les femmes... dévergondées ou timorées

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https://jolstatic.fr/forums/jol3/images/icons/icon4.gifhttps://jolstatic.fr/forums/jol3/images/icons/icon4.gif Attention... certains propos qui suivent pourraient etre choquant (on sait jamais... vaut mieux prévenir...) https://jolstatic.fr/forums/jol3/images/icons/icon4.gifhttps://jolstatic.fr/forums/jol3/images/icons/icon4.gif

Citation :
La haut par dessus l'océan
Rime avec la pluie noble vent
De la montagne rayonnant
Et étincelant tout d'argent

Mots perdus sur un parchemin
Venant et passe son chemin
L'imaginaire est leur larçin
Voleurs au sourire d'airain

Dominants troncs hantent la nuit
Sous couvert de glauques harpies
Garces et douces ébahis
Tant que je vous salue Marie

Vous rampez vierges éffrontées
Et vous pucelles déflorées
Qui se camoufflent pour baiser
Aux pieds du diable prosternées

On vous veut en demeure assise
Un ave, deux pater, Eglise
Pour faner jeunes indécises
Suivez des yeux la dame grise

Brisez les barreaux de l'horreur
Qui en votre vous intérieur
Enferme alors tous vos malheurs
Adieu les haines et les pleurs.


Azreth
Poète pas encore disparu
Je sais pas si c'est le bon forum... y'a marqué littérature donc je pense que c'est bon... sinon, mea culpa.
Au fait, si vous trouvez une idée de titre... je suis ouvert a toute propositions !

Petit faute d'orthographe... ^^ Merci Loupidoux
Ah bien j'vais contribuer avec un vieux ecrit que j'avais posté sur le forum Feyd-Ehlan y'a plus d'un an...

Nous étions l'un et l'autre
très intimidés
nous nous sommes glissés
en nous tenant par la main
ma peau s'est collée à la tienne
je t'explore
et ton corps ondule
comme une vague sur le sable
tu tangues sous mes mains
qui pétrissent ta chair
nous restâmes ainsi un moment sans bouger
à nous contempler l'un à l'autre unis
bonheur de nous faire languir
de déguster avant d'engloutir
nos lèvres se touchent finalement
se murmurent des secrets
s'entrouvrent et se parlent
un peu confuses
elles se tutoient tout bas
dans l'intimité des coeurs
elles ont leur propre langage
bouche à bouche
les langues s'entrecroisent
s'embrassent
savourent le fruit de la passion
à la sève juteuse et fraîche
d'une même faim
d'une même soif
et nos mains se nouent
puis se détachent
parcourent le corps de l'autre
s'entrelacent
sous les doigts la peau frémit
se hérisse
frisson qui nous traverse
dans le dos
on se cajole
on se câline à n'en plus finir
on brûle
on s'enflamme
dans l'accomplissement du désir
d'abord si calmement
je butine
autour de ta fleur odorante
avant d'y poser ma bouche
pour y laper le nectar des dieux
qui s'écoule de ta source
je sens ton corps qui se livre
il s'offre à moi
tout entier
il se confie avec ferveur
à ma tendresse
à ma passion
puis en signe de consentement
tu lèves ta tête avec gracieuseté
pour ensuite avec tes dents
mordiller un lobe d'oreille
et me demander en chuchotant
de continuer à éveiller tes sens
nos êtres furent secoués de spasmes
alors que nous étions l'un sur l'autre
à jouir du même orgasme
et voilà qu'ensemble
tous les deux
nous sommes secoués
de la tête aux pieds
d'un indicible frisson
qui nous ébranle et nous réjouit
la vague fougueuse
se retire lentement de la plage
nous laissant épuisés
nous restons ainsi en silence
sans bouger
unis l'un à l'autre
pour nous redire sans un mot
je t'aime à la folie…
Bravo à tous deux pour le rythme et la rime...

[Edition pour participation]


T'ai-je, mon aimée, déjà chanté tout celà ?

"T'ai-je déjà dit, mon aimée,
Combien je te sais gré d'avoir ouvert
Les portes de mon coeur ?

Sais-tu bien que sans toi, mon aimée,
J'aurais passé ma vie entière
Dans la cage étriquée de ma raison ?

T'ai-je rappelé, mon aimée,
Comment tu terrassas le monstre cruel
Qui vivait à l'intérieur de moi ?

Ignores-tu que c'est, mon aimée,
Grâce à toi que mes yeux purent
Distinguer la vérité de l'illusion ?

T'ai-je déjà fredonné, mon aimée,
Les louanges et merveilles de toi
Qui fus mon guide en innocence ?

Connais-tu la force, mon aimée,
De mon torrent d'amour pour toi,
Qui dans l'océan de l'infini se jette ?


T'ai-je, mon aimée, déjà chanté tout celà ?"

Petite faute de conjugaison pour moi, merci John Carmody
Main dans la main, yeux dans les yeux
Cœurs emmêlés parfums heureux
La pluie le beau temps peuvent passer par dessus
Le tonnerre les éclairs, nous on est deux.

A travers le temps, la vie, et le bonheur même
Enclins à la passion et l’envie, je t’aime.

Dans les vers ou dans la prose,
L’amour est le même que dans le réel
Aussi doux et piquant que la rose
Souffle de la nature, action sans pause

A travers le temps, la vie, et le bonheur même
Enclins à la passion et l’envie, je t’aime.

A longueur des jours, heures après heures
Dans ce film ou nous sommes seuls acteurs
Seconde par seconde, peur après peur
Je reste avec toi ici bas
Main dans la main, yeux dans les yeux.

Car

A travers le temps, la vie, et le bonheur même
Enclins à la passion et l’envie, je t’aime.


Bon ouala, mais il parait qu'il faut pas que je dise d ou vient l 'inspiration.

C'est pas elaboré, ca sort du coeur, point.
lettre imaginaire
Citation :
a toi que j'ai aimé et que j'aime
ma douce et tendre amie qui a due me quitté
orion nous eu notre chance dans ce monde sans romance?
utile est l'amour dans ce monde alors que la vie n'a pas de sens
résisterons nous a ce monde qui rétrograde?

durent tout ce temp je n'ai césser de penser a toi
encore aujourd'hui je pense a toi

mon etre est divisé en deux quand tu est partie
amoureu encore aujourd'hui je suis

vein son mes éfforts pour t'oublié
illusion qui me donne du courage et a la foit de l'espoir
enfouie au fond de moi tu vie dans le plus noir de mon etre

dommage que tu ne soit plus la tu me manque
celle ci est de moi
ps double poeme si on conte les rime et les premiere lettre
Thumbs up
Citation :
Provient du message de Orodreth/Felagund
lettre imaginaire
celle ci est de moi
ps double poeme si on conte les rime et les premiere lettre
Quand il y a un texte formé par les première lettres d'un poème (d'un texte aussi? *sait pas*) on appelle ça un acrostiche.
C'est un effort de plus dans le poème


Korgull, bravo car c'est si... direct, si "vrai", si simple...


Azreth, (b'alors Robin? et ton sens du second degré, de l'ironie? Tu ne sais plus la voir quand il y en a? )


Loupi, merci aussi
have fun
O toi amour vie ,
je reve de toi chaque nuit
dans tous ce que tu fait je t'admire
chaque fois que tu est loin de moi me fait soufrir
je n'ai qu'une seule envie
que notre ancien amour soit ton paradis
en silence je souffre de ne plus pouvoir t'aimé
et cette situation me fait cauchemarder
bien je ne pense qu'a te demandé
si un jours on aurra a nouveau la chance de se parlé
je t'embrasse avec tant de fierté que seule dieu peut apaisé
mon coeur te sera ouvert pour toujours
a toi mon amour
ton fidèle chevalier
Citation :
Provient du message de John Carmody
(b'alors Robin? et ton sens du second degré, de l'ironie? Tu ne sais plus la voir quand il y en a? )


Euh je suis désolé mais un poème intitulé "A toutes les femmes" et qui exclut volontairement les hommes, moi je hurle au sexisme! ceci dit j'ai pas lu le poème c'est ptêt bien
Citation :
Provient du message de Robin le Juste
Euh je suis désolé mais un poème intitulé "A toutes les femmes" et qui exclut volontairement les hommes, moi je hurle au sexisme! ceci dit j'ai pas lu le poème c'est ptêt bien
Tu crois qu'il l'as fait expres, le John, ou alors il ne te connais toujours pas?
Cool
Citation :
Provient du message de Robin le Juste
Euh je suis désolé mais un poème intitulé "A toutes les femmes" et qui exclut volontairement les hommes, moi je hurle au sexisme!
Il est pas intitulé mais sans doute plutot dédié "à toutes les femmes"; ne pas avoir de titre est un des droits inaliénables du Poème, vil pâtre grec, et si à chaque dédicace les non-concernés se plaignent on n'est pas sortis de l'auberge

*s'excuse auprès des autres du mini-flood et sort va dormir*
Citation :
Provient du message de Korgull Exterminator
Ah bien j'vais contribuer avec un vieux ecrit que j'avais posté sur le forum Feyd-Ehlan y'a plus d'un an...

Nous étions l'un et l'autre
très intimidés
nous nous sommes glissés
en nous tenant par la main
ma peau s'est collée à la tienne
je t'explore
et ton corps ondule
comme une vague sur le sable
tu tangues sous mes mains
qui pétrissent ta chair
nous restâmes ainsi un moment sans bouger
à nous contempler l'un à l'autre unis
bonheur de nous faire languir
de déguster avant d'engloutir
nos lèvres se touchent finalement
se murmurent des secrets
s'entrouvrent et se parlent
un peu confuses
elles se tutoient tout bas
dans l'intimité des coeurs
elles ont leur propre langage
bouche à bouche
les langues s'entrecroisent
s'embrassent
savourent le fruit de la passion
à la sève juteuse et fraîche
d'une même faim
d'une même soif
et nos mains se nouent
puis se détachent
parcourent le corps de l'autre
s'entrelacent
sous les doigts la peau frémit
se hérisse
frisson qui nous traverse
dans le dos
on se cajole
on se câline à n'en plus finir
on brûle
on s'enflamme
dans l'accomplissement du désir
d'abord si calmement
je butine
autour de ta fleur odorante
avant d'y poser ma bouche
pour y laper le nectar des dieux
qui s'écoule de ta source
je sens ton corps qui se livre
il s'offre à moi
tout entier
il se confie avec ferveur
à ma tendresse
à ma passion
puis en signe de consentement
tu lèves ta tête avec gracieuseté
pour ensuite avec tes dents
mordiller un lobe d'oreille
et me demander en chuchotant
de continuer à éveiller tes sens
nos êtres furent secoués de spasmes
alors que nous étions l'un sur l'autre
à jouir du même orgasme
et voilà qu'ensemble
tous les deux
nous sommes secoués
de la tête aux pieds
d'un indicible frisson
qui nous ébranle et nous réjouit
la vague fougueuse
se retire lentement de la plage
nous laissant épuisés
nous restons ainsi en silence
sans bouger
unis l'un à l'autre
pour nous redire sans un mot
je t'aime à la folie…

J'aime ton poème!
Une chanson magnifique pour toutes les femmes...

« La vierge au dodge 51 »



Ce matin le marchand de coco n'est pas passé
& au lieu de se rendre à l'école tous les vieillards se sont amusés à casser des huîtres sur le rebord du trottoir avec des démonte-pneus Sur ma porte j'ai marqué : absent pour la journée dehors il fait mauvais, il pleut des chats et des chiens, les cinémas sont fermés c'est la grève des clowns alors je reste à la fenêtre à regarder passer les camions militaires_ puis je décroche le téléphone & je regarde les postières par le trou de l'écouteur_

Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe
Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe

& moi je suis timide comme un enfant mort-né
& moi je suis timide comme un enfant mort-né
Oh timide, mort-né !

Dans X temps il se peut que les lamelles de mes semelles se déconnectent & que tu les prennes sur la gueule Je t'aime, je t'aime, je t'aime & je t'offre ma vie et je t'offre mon corps mon casier judiciaire et mon béribéri, je t'aime !

Ce matin les enfants ont cassé leur vélo avant de se jeter sous les tramways n° 1, n° 4, n°10, n° 12, n° 30, 51, 62, 80, 82, 90, 95, 101, 106 et mille quatre vingt quinze qui gagne un lavabo en porcelaine en sautant de mon lit j'ai compté les morceaux c'est alors que j'ai vu le regard inhumain de ton amant maudit qui me lorgnait comme une bête à travers les pâles du ventilateur tout en te faisant l'amour dans une baignoire remplie de choucroute garnie

Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe
Tu as la splendeur d'un enterrement de première classe

& moi je suis timide comme un enfant mort-né
& moi je suis timide comme un enfant mort-né
Oh timide, mort-né !

Dans X temps il se peut que les lamelles de mes semelles se déconnectent & que tu les prennes sur la gueule Je t'aime, je t'aime, je t'aime & je t'offre ma vie et je t'offre mon corps mon casier judiciaire et mon béribéri, je t'aime !


Hubert Félix Thiéfaine



sinon, la tentation d'en poster un co-écrit avec un camarade est tentante, mais vu les circonstances de l'écriture, je suis pas sur..
__________________
Saucer
"Dans le Jura, il se passe tellement peu de choses qu'on peut entendre le bruit des glaçons qui s'entrechoquent dans le Martini..." d'à peu près HF Thiéfaine
Rien à voir avec l'amour cependant...
Que se passait-il donc pour qu’ainsi, sans raison,
En des lieux quelconques, naquisse une obsession?
Secondaires besoins qu’il leur faudra créer
Dans le but de, demain, mieux les manipuler.
Peur en vous installée : place à consolation.
Ils avaient deviné, voici la solution :
Les chaînes de l’écrit, une vraie dictature
Ayant un but précis : corrompre la nature.
Réflexion ennemie, conformisme obligé
Tout se voit interdit à moins de protéger
Cette odeur de fumier que transpirent les pages
Du livre tricoté par l’homme à son image.
Et manipulateur et absolu contrôle
Sur le degré de peur et le supposé rôle
Qu’a sur l’Humanité un être imaginaire
Totalement créé pour déclarer la guerre
À notre intelligence et notre liberté :
N’avoir pour croyance que la réalité.
Incommensurables sont les répercussions
Sur base durable de cette réclusion
Des idées dérogeant à la ligne maîtresse.
Et bien tranquillement, pensées enchanteresses
S’installent sans gêne, s’approprient toute place
Déstabilisant même habitudes coriaces.
Recherche bonne proie pour brutale expansion
Imposer une loi, celle de négation :
La science n’est point, vérité est ce livre
N’attendez à demain pour en devenir ivres.
Résultat immédiat et séquelles éternelles
Vous ne vous trompez pas croyez donc l’irréel!
Vos valeurs vêtissez du corrompu tailleur
De l’histoire inventée par un maître conteur
Qui un jour décida d’une œuvre commencer
Dont il ne doutait pas de voir ainsi durer :
« Pour sûr ils n’y croiront, » c’est ce qu’il devait croire.
Il n’a pas eu raison; crût blanc nous fîmes noir
C’est ainsi que naquit le pire procédé
Que le monde, aujourd’hui, commence à réfuter
Et pour lequel, longtemps, « prison de la pensée »
Fut un titre éloquent pour ces écrits sacrés.
Mais puisque crédible fut plutôt préféré
La Très Sainte Bible pour ce livre titrer.
Citation :
Publié par Elhystan/Loup
Bravo à tous deux pour le rythme et la rime...

[Edition pour participation]


T'ai-je, mon aimée, déjà chanté tout celà ?

"T'ai-je déjà dit, mon aimée,
Combien je te sais gré d'avoir ouvert
Les portes de mon coeur ?

Sais-tu bien que sans toi, mon aimée,
J'aurais passé ma vie entière
Dans la cage étriquée de ma raison ?

T'ai-je rappelé, mon aimée,
Comment tu terrassas le monstre cruel
Qui vivait à l'intérieur de moi ?

Ignores-tu que c'est, mon aimée,
Grâce à toi que mes yeux purent
Distinguer la vérité de l'illusion ?

T'ai-je déjà fredonné, mon aimée,
Les louanges et merveilles de toi
Qui fus mon guide en innocence ?

Connais-tu la force, mon aimée,
De mon torrent d'amour pour toi,
Qui dans l'océan de l'infini se jette ?


T'ai-je, mon aimée, déjà chanté tout celà ?"

Petite faute de conjugaison pour moi, merci John Carmody
Salâm

je me suis inscrit pour venir mettre une petite chose au point
animateur sur un site , dans la rubrique ''le coin des écrivains" je met un point d'honneur à faire en sorte que des textes ne sont pas plagiés, en faisant une recherche je suis tombé sur ce texte

L'auteur de ce texte est Naïa Phykit contemporaine et amie du Prophéte Mohammad (qlsssl) bien entendu je ne pense pas que là il s'agisse d'un plagiat, ce texte étant très ancien , il est tombé on va dire dans le domaine public

je souligne aussi en passant que ce texte et vous l'aurez remarqué , peut s'écrire au féminin comme au masculin

voilà , juste rendre à césar ce qui appartient à césar

ernst1
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