Thema sur Jean Gabin actuellement sur ARTE

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Juste pour signaler aux amateurs. Gabin, moi, c'est mon idole!

Mais attention, il faut bien savoir que ses meilleurs rôles sont ceux d'avant-guerre, alors que les films de lui qui repassent souvent à la télé sont les autres. Tout bons qu'ils soient, ces derniers ne sont pas du tout du même acabit.

Vive Gabin!!!
Ah, je savais bien que j'avais créé un thread sur Gabin, un jour! Ce dont je ne souvenais pas, c'est le délirant enthousiasme qu'il avait suscité...chez Baai...

Bon, je tenais néanmoins à informer mes amis Joli...euh...Baai, donc, qu'une émission est consacrée à Gabin, ce soir à 20H45 sur la chaîne Planète.

Citation :
En un peu plus de quarante ans de carrière, Jean Gabin a tourné pas moins de 95 films. Son abondante filmographie, la profonde affection du public, qui se sentait proche de son personnage de héros viril à la fois populaire et aristocratique, en ont fait un véritable mythe.

Ce film rend hommage, notamment à travers les témoignages de célébrités qui lui furent proches à Jean-Alexis Moncorgé dit Jean Gabin, devenu un monstre sacré du cinéma français alors qu'il n'avait pas la vocation de devenir comédien chevillée au corps. En 1921, il a 17 ans lorsque son père, tenancier de café, le fait entrer aux Folies bergères sans lui demander son avis. Il se découvre alors une vocation de chanteur d'opérette. Puis, en 1930, avec l'avènement du parlant, Jean Gabin devient jeune premier de comédies légères. Sa carrière d'acteur prend un tour sérieux en 1935 avec La bandera de Duvivier, puis avec Pépé le Moko, du même réalisateur, en 1936. Jusqu'au déclenchement de la guerre, il est au sommet de sa gloire et tourne avec les plus grands cinéastes, de Jean Grémillon (Gueule d'amour en 1937 et Remorques en 1938) ou à Jean Renoir(La Grande Illusion en 1937 ou La Bête humaine en 1938). Dans Quai des brumes (1938), film né de la rencontre entre Marcel Carné et Jacques Prévert qui impose le réalisme poétique au cinéma, l'acteur forme un couple d'anthologie avec Michèle Morgan. Réfugié aux Etats-Unis pendant la guerre, Jean Gabin vit une grande passion avec Marlène Dietrich et tourne peu. Après-guerre, il refuse de tourner Les portes de la nuit de Carné et Prévert, avec lesquels il se fâche pour longtemps. Il entre dans ce qu'il appellera sa " période grise " et ne revient au premier plan qu'avec Touchez pas au grisbi, en 1954. De nouveau, il tourne beaucoup et accumule les succès.
Voilà voilà...
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