Viré dans des conditions chelou : en tirer quelque chose ? (ou garder mes plumes)

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Lundi 9h.
Depuis j'ai eu la nana, ça a l'air chaud d'avoir quelqu'un pour lundi pour m'accompagner mais c'est en cours de résolution.
Pour la paie le gars attendait simplement d'être sûr que je ne renouvelle pas mon arrêt maladie, ça devrait arriver demain ou samedi. Sauf qu'il m'a parlé d'un versement de 350€, or quand ma femme reprend le truc elle me parle de minimum 500€.
Cool
Allez c'est parti.

giphy.gif

Finalement j'ai non pas 1 mais 2 déléguées du perso qui viennent avec moi, et qui ont fait des pieds et des mains au dernier moment pour le faire (taff en 12h en structure pour elles). Une IDE et une AS, "on a l'habitude de bosser en binome, 2 cervelles valent mieux qu'une" En plus d'après son Facebook l'IDE avec qui j'ai majoritairement échangé a l'air super sympa et jolie, ce qui ne peut que me détendre pendant l'entretien

J'ai rédigé de beaux documents PDF imprimés récapitulatifs de toute ma durée d'embauche, et un résumé de la tournée avec les suspects, avec graduation de culpabilité ; Hercule Poirot est dans la place.

Je pars en tête pour un licenciement à l'amiable et récupération du traitement gelé de par la mise à pied.
Go go go.
Message supprimé par son auteur.
Je parie aussi sur le pipot qui se dégonfle.

Mon petit frère s'est pris la même chose, on l'a accusé de volé dans la caisse (Chez Domino's Pizza), et lors de l'entretient, 0 preuve, du coup ça s'est terminé en 1j de paie en moins (parce qu'il avais effectivement fait une connerie, perdre un ticket CB, imprimé un duplicata depuis le TPE, ne pas le signaler).

1 recommandé, 2 semaine de stresse, pour ça.
Citation :
Publié par Mr Croque
Pense à prendre un dossier fictif bien épais que tu glisses sous le bras, j'ai vu ça dans une série pour donner l'impression que tu as potassé le sujet
The Good Wife (entre autres).

Et bien sûr notre maître à tous,

dsk-sur-tf1-clair-chazal_0.jpg

Citation :
Publié par Haesik
Je met une pièce pour du pipo qui se dégonfle. Bonne chance à toi.
On voit que vous connaissez pas le milieu para/médical, toi et les autres suivants Le personnel est un outil qu'on utilise, qu'on use, et qu'on jette sans regrets. Les jetés ont pas les moyens (à tous niveaux) d'aller aux prud'hommes en général.


Bon résumé. Déjà, l'Alprazolam, un anxiolytique, je recommande https://jolstatic.fr/forums/jol/images/icons/icon14.gif Je suis assez émotif face à la confrontation (reliquat lié à l'enfance, on passera la psychanalyse freudienne) et là j'y étais limite en mode yolo les frères j'en ai rien à secouer. J'ai été argumentatif, j'ai pas hésité, et surtout j'ai pas rougi (signe chez moi que je mens, que je suis mal à l'aise, ou que je vais exploser). Donc j'ai pu ne pas me faire bouffer.
Parce que les 2 déléguées étaient en retard à cause d'un accident, du coup le directeur est venu me chercher à l'extérieur et là première passe d'armes :

- elles vont arriver, elles sont bloquées dans la circulation
- le RDV est à 9h, j'ai pas que ça à faire, on y va
- mais elles vont arriver, là
- 9h. On y va ou je m'en vais
- de toute façon on ne peut être qu'en nombre égal de part et d'autre de la table
- on le sera. De toute façon c'est normalement 1 déléguée, pas 2. Du reste, vous
pouvez vous faire assister, ça n'est pas une obligation. Allons-y.
- Okkkkk....

ce qui fait qu'on a tout fait en tête à tête, ça a duré 10 min.

Comme prévu ils avaient bien une lettre manuscrite du patient avec ce qu'il me reprochait, et ce qu'il me reproche, honnêtement, je peux comprendre que ça ait fait bondir. Pris à froid comme ça, je l'ai clairement dit moi-même au gars, sans contextualisation clairement on ne peut pas laisser passer ça dans un cadre soignant/soigné. On peut même dire que c'est de la maltraitance (le terme fourre-tout à la mode du métier, les 2 déléguées qui sont restées avec moi ensuite m'ont même raconté des anecdotes là-dessus c'est limite terrifiant, on y met vraiment n'importe quoi).

Sauf que c'est bien le problème : sans contextualisation. Y en a forcément une, sauf qu'elle n'est pas décrite dans la lettre (2 lignes), le gars l'ignore complètement et de toute façon n'en avait clairement rien à foutre. Mon destin était scellé d'entrée et l'entretien n'était qu'une formalité légale, ça sautait aux yeux. Notamment par le fait qu'il n'a pas arrêté de pouffer à chacun de mes arguments, de hocher la tête style "mon pauvre gars" et quand j'ai avancé le fait que c'était, sans contextualisation, tout de même bien léger et que ça me paraissait bien opportun après les 3 mois qui venaient de s'écouler, il s'est carrément levé en disant que bon, on allait en rester là, et que ni lui ni moi n'avions davantage de temps à perdre.
Qu'on soit clairs : si j'ai effectivement dit ces mots (j'en ai absolument aucun souvenir) c'est effectivement chaud-patate, c'est effectivement de quoi me redresser sévèrement les bretelles, ou me faire virer justement pour maltraitance -> faute grave. Même si je défends le "mais le contexte c'était qu'on plaisantais" la réaction du patient après-coup, le fait qu'il ait donc fallu 48h pour qu'il arrive à l'extérioriser, c'est grave. Et un patient c'est pas un copain, on peut déconner, mais dans certaines limites. Mais si j'avais su ça, je me serais immédiatement expliqué et excusé sans aucun problème. J'aurais jamais dit ce qu'il m'est reproché sans raison, sans contexte.
Bref le RDV a duré 10 min, en tête à tête avec le directeur, qui avait une attitude méprisante tout du long et n'était là que parce qu'il le fallait bien, et même les 2 déléguées qui du coup sont arrivées quand il m'a raccompagné l'ont vu et l'ont senti vu qu'elles le connaissent bien.

Elles m'ont proposé de contacter des associations pour faire un topo gratuit sur ma situation, et voir avec eux si c'est défendable aux prud'hommes. J'ai la "chance" de pouvoir faire jouer de tout le contexte accident/maladie en amont et que cette déclaration tombe pile au bon moment, inopinément, un don du ciel. (je ne doute pas de sa véracité, sauf que le contexte fait tout, notamment l'échelle de gravité).

Si les prud'hommes c'est payant (je connais pas) j'irai pas, j'ai pas les moyens. Faut que je consulte nos assurances mais je crois pas avoir une aide juridique pour prud'hommes.Voilà.Si l'un de vous est avocat, des conseils de spécialiste seraient les bienvenus.
T'aurais jamais du accepter l'entretien en tête à tête T'avais pas grand chose à perdre et t'as quand même tout perdu.
Je vois même pas pourquoi t'as accepté vu que de toute façon tu vas partir, le patron aurait pas été content c'est sûr, mais comme tu te casses dans les semaines à venir quoi qu'il arrive...
Avec les délégués du personnel t'aurais p'tetre pu négocier une rupture conventionnelle mais là... Là je sais même pas pourquoi t'irais aux prud'hommes, t'as avoué ta faute quoi.

Le contexte c'est bien mais tu bosses avec des patients, pas des morceaux de viande ou des machines. T'as dit un truc que t'aurais pas du dire (quoi donc d'ailleurs?) et le contexte on s'en fout totalement en fait : tu bosses avec des gens, prends sur toi pour pas passer tes nerfs sur les patients.
Si j'avais dit "on attends" le gars se serait barré et basta. J'ai légalement le droit de refuser d'assister à l'entretien. Sauf que c'est à mes risques et périls. C'est pas un RDV qu'on reporte, tu y vas ou tu n'y vas pas.
Ok là il me forçait la main mais il était là, j'étais là, j'avais un minimum de choses à dire, j'ai préféré les dire que jouer le boloss qui dit au grand manitou qu'il est pas à 10 min près.

J'ai pas passé mes nerfs dessus. C'est un patient avec qui j'ai toujours "rigolé", parce qu'il est comme ça.
Sauf que visiblement j'ai dépassé une limite. Il ne m'en a rien dit, le reste de la prise en charge s'est faite sans aucun souci, il m'a remercié, il m'a proposé un bonbon comme d'habitude, il m'a souhaité bonne journée comme d'habitude.
Facile à comprendre qu'on tombe de haut à apprendre qu'on a maltraité son patient, suite à ça.
La prudence m'incite à ne pas tout raconter tout de même sur Internet.
C'est quelque chose qui a été mal pris, c'est suffisant (ça vous permet d'en déduire que ça n'était pas volontaire et que ça peut être équivoque).

Citation :
Publié par Attel Malagate
Je pense que tu devrais travailler sur ton relationnel et ton professionnalisme. Y'a pas mal de choses qui m'ont interpellé dans ton récit.
Je travaille sur mon relationnel depuis que je suis à la maternelle.
Je ne plaisante pas
Y a clairement un problème oui, mais je ne le maîtrise pas (la preuve).
Si ça existait encore, à part faire planton à un télépéage je vois pas ce que je pourrais faire. Je suis visiblement incapable socialement.

Après si t'as des trucs sérieux à m'apporter sur ce qui t'a interpellé je veux bien ta liste en MP.
Citation :
Publié par THX
quand j'ai avancé le fait que c'était, sans contextualisation, tout de même bien léger et que ça me paraissait bien opportun après les 3 mois qui venaient de s'écouler, il s'est carrément levé en disant que bon, on allait en rester là, et que ni lui ni moi n'avions davantage de temps à perdre.
Bah honnetement la maniere dont tu rapportes les faits, tu donnes l'impression d'avoir fait une grosse connerie, de pas assumer, de te faire des films dans ta tete comme quoi on te vire parce que t'es malade alors qu'en fait tu te fais juste virer parce que tu as fait une grosse connerie.

Tu donnes pas le sentiment de regretter quoi que ce soit, tu donnes constamment des excuses, tu insinues que ton chef est un connard qui veut se debarasser de toi, tu minimises tes actes... Si la maniere dont tu ecris tes messages reflete ta facon d'etre, je comprends que tu choques ton chef par ton attitude et qu'il veuille couper court au delire.

Je dis ca sans animosite aucune, je me base sur ce que je lis.
Bah voilà la démonstration de ce que je viens de dire au-dessus
J'ai pas du tout ça en tête moi.

Je ne me cherche pas d'excuses vu que j'ai dit que si je l'avais su, je me serais excusé et expliqué immédiatement, sans aucun problème.
Le problème est que dans une situation de proximité, détente, avec un patient pendant la prise en charge, j'ai visiblement outrepassé sa ligne de proximité, détente. C'est ma faute.
A aucun moment je n'ai dit le contraire. Je le reconnais sans problème.

Par contre il est tout autant impossible de refuser d'admettre que ça tombe foutrement bien au vu des 3 derniers mois et de la déclaration ultime de ma cadre quand je me suis fait porter pâle ("on va arrêter là, ça ne peut plus continuer comme ça").
Une simple lettre constitue une preuve au tribunal ?

Par contre, je ne comprends pas pourquoi tu fais un métier dans le paramédical si ton relationnel est plus que moyen. L'histoire risque de se reproduire ad vitam aeternam.

Sinon, une seule lettre me semble faible pour constituer un dossier solide. Dans des cas de maltraitance, il est courant de recueillir plusieurs témoignages pour renforcer le dossier. Là, ça me semble surtout opportuniste de la part de tes employeurs. Si la personne se rétracte, tous leur dossier tombe à l'eau. Donc si tu es réellement toxique pour les patients, c'est vraiment tendu de jouer ça sur un seul témoignage.
Citation :
Publié par THX
Par contre il est tout autant impossible de refuser d'admettre que ça tombe foutrement bien au vu des 3 derniers mois et de la déclaration ultime de ma cadre quand je me suis fait porter pâle ("on va arrêter là, ça ne peut plus continuer comme ça").
Ben c'est un tout. Ton chef recoit peut-etre des plaintes des patients (orales peut-etre, ecrite sur ce coup), tu es souvent absent, et ca doit deteindre sur tes relations avec tes collegues (plus difficile d'etre un pote quand tes absences les met dans la merde).

Ils seraient sans doute prets a jouer le jeu des arrets de maladie a repetition si tout allait bien en ta presence. Peut etre meme qu'ils seraient plus patients et constructifs avec tes erreurs professionnelles si tu etais la tout le temps et que tu avais de bonnes relations cordiales avec le reste du staff.

Mais si tout va de travers, c'est evident qu'ils vont pas laisser passer une faute grave et qu'a un moment il va y avoir une limite ou ca pete. Et la ca pete.
Je trouve ça quand même super bizarre. Grosso modo, t'as avoué une faute dont tu ne te souviens pas, et dont tu t'excuses sans même savoir si tu l'as réellement commise. T'as essayé de contextualiser et justifier un truc dont ne tu te souviens...pas. Je ne te dis pas d'être parano, mais vu la chronologie de ton histoire, c'est quand même sacrément huilé que cette lettre manuscrite n'apparaît qu'une fois qu'ils ont eu des soucis par rapport à ton état de santé et dans une situation où tu n'as quasiment pas bossé les derniers mois...
Citation :
Publié par Anacko
Je trouve ça quand même super bizarre. Grosso modo, t'as avoué une faute dont tu ne te souviens pas, et dont tu t'excuses sans même savoir si tu l'as réellement commise.
En même temps, il y est allé en mode "je culpabilise", donc ils pouvaient dire n'importe quoi, il aurait baissé la tête.

Je suis d'accord, t'aurais jamais dû y aller seul. C'est facile à dire de l'extérieur, mais quand le dirlo te fout la pression, tu peux te réfugier derrière les textes de lois. De toutes façons, t'as quoi à perdre ? Et (encore une fois, c'est facile de donner des leçons) tu aurais dû y aller en mode "on me reproche quoi ? Hein ! Je n'ai aucun souvenir d'avoir dit ça. Y a des témoins autre que ce patient?...". En mode fight quoi. Là, effectivement, d'avoir à moitié avoué un truc dont tu ne te souviens pas...

Courage en tous cas. Essaie de trouver du soutien (réel et non virtuel) autour de toi, c'est encore ce qui marche le mieux.
Merci

De toute façon les déléguées ne sont là que pour vérifier que ça se passe dans les règles, ça n'aurait rien changé. Elles ne doivent même pas intervenir.

Citation :
Publié par Anacko
Je trouve ça quand même super bizarre. Grosso modo, t'as avoué une faute dont tu ne te souviens pas, et dont tu t'excuses sans même savoir si tu l'as réellement commise. T'as essayé de contextualiser et justifier un truc dont ne tu te souviens...pas. Je ne te dis pas d'être parano, mais vu la chronologie de ton histoire, c'est quand même sacrément huilé que cette lettre manuscrite n'apparaît qu'une fois qu'ils ont eu des soucis par rapport à ton état de santé et dans une situation où tu n'as quasiment pas bossé les derniers mois...
J'ai une mémoire sélective je ne retiens pas ce dont je me fous, ce qui pour moi n'a pas d'importance, ou la plupart des conversations que je tiens. Pour ça que à aucun moment je dis que le patient ment, j'ai tendance à croire que c'est vrai au contraire. Je dis juste qu'il y a forcément un contexte, et que c'est utilisé effectivement comme arme de licenciement massif.

Citation :
Publié par Huychi
Une simple lettre constitue une preuve au tribunal ?

Par contre, je ne comprends pas pourquoi tu fais un métier dans le paramédical si ton relationnel est plus que moyen. L'histoire risque de se reproduire ad vitam aeternam.
En fait en général j'ai un excellent relationnel avec les patients, qui m'adorent. C'est ce que tous mes profs, collègues, maîtres de stage... et collègues une fois diplômé avaient constaté.

Je me force à faire un boulot relationnel justement parce que je suis un mec réservé, asocial (mais pacsé et père de famille hein... et j'ai ni le cheveu gras ni le gabarit boule de billard) timide qui parle extrêmement peu verbalement. Je suis aussi très fortement abimé par la vie et non, j'ai pas de psy.
J'ai aussi la malchance de mesurer près de 2m et de plisser les yeux derrière mes lunettes pour mieux voir. Ma taille intimide les gens, ma manière de regarder donne l'impression que je les prends de haut (oho), ma réserve achève de les convaincre que je leur chie dessus.

J'pensais que ça m'aiderait justement à me dépasser mais visiblement ma nature profonde me torpille moi-même (humour noir/caustique, etc).

Oui je suis le mec idéal, je sais

Citation :
Sinon, une seule lettre me semble faible pour constituer un dossier solide. Dans des cas de maltraitance, il est courant de recueillir plusieurs témoignages pour renforcer le dossier. Là, ça me semble surtout opportuniste de la part de tes employeurs. Si la personne se rétracte, tous leur dossier tombe à l'eau. Donc si tu es réellement toxique pour les patients, c'est vraiment tendu de jouer ça sur un seul témoignage.
Plusieurs patients m'adorent, elles me l'ont dit. Il n'y a effectivement qu'une seule plainte. Mais bon si on creuse on trouve, je suppose...
En l'état ouais, y a qu'1 plainte écrite officielle.
Bon accouche t'aurais dit quoi exactement ?

Pour l'entretien ça donne quand même l'impression que le directeur a eu une énorme emprise sur toi, malgré le xanax

T'aurais peut être pas du te présenter à lui sans les délégués.
Citation :
Publié par Uvea l'exilé

Mais si tout va de travers, c'est evident qu'ils vont pas laisser passer une faute grave et qu'a un moment il va y avoir une limite ou ca pete. Et la ca pete.
Ouais enfin, hormis une lettre qui a potentiellement été écrite sous la contrainte des cadres soignants, ils n'ont rien. Je ne dis pas qu'il n'a pas commis d'erreurs mais si son comportement est toxique, tu ne te bases pas uniquement sur le témoignage d'une personne âgée, avec tous ce que cela peut impliquer, pour soutenir ton dossier. Là, le dossier ne tient qu'à un fil et si la personne se rétracte, ils n'ont plus rien.

Sa réaction d'excuse était nulle. Il aurait mieux fait de nier en bloc, et là ils auraient pu sauver des plumes. D'ailleurs, c'est l'attitude à avoir en cas de licenciement même avec des preuves irréfutables.
Evidemment c'est parce tu fais 2m et que tu plisses les yeux que les gens ont l'impression que tu te fous de leur gueule...
Moi je te connais pas mais chaque sujet sur lequel tu donnes ton avis tu prends les gens de haut, donc je trouve pas ça étonnant...

Ensuite tu connais ce patient depuis à peine quelque mois, et tu fais de l'humour noir avec ? Le gars te sors un truc que tu veux même pas dire ce forum, donc à priori un truc grave, et ta première réaction c'est pas "j'ai jamais dit ça" ? Donc à priori ça ressemble à un truc que tu aurais pu dire à un patient ? Je trouve ça assez choquant perso.

Moi je suis suis dans un service client, je suis aussi très sarcastique et humour noir, mais je ne le fais jamais avec les clients, même ceux qui je pense pourrait être réceptif au truc, parce que ces des clients, et si un jour ils sont pas content, pour n'importe quel raison, ils pourraient me ressortir mes propos...
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