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quoique ce soit

Par loupvoyant le 18/9/2001 à 20:30:00 (#279064)

quelles que soient
mes raisons
mes oraisons
mes horizons
je te serai
fidèle
à ma façon...

que je ne soit pas présent demain
ou absent aujourd'hui
et même au départ
hier
je te serai
fidèle
à ma façon...

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 18/9/2001 à 20:44:00 (#279065)

ne pardonne rien
que tu n'aies déjà oublié
n'oublie rien
que tu ne puisse pardonner

ne change rien

cette obscure...
légèreté de toi,
je l'aime

si mes cicatrices tremblent
à ta peau érigée

ne change rien

Par loupvoyant le 18/9/2001 à 21:10:00 (#279066)

rien
quoi que ce soit
rien

Par Moire le 19/9/2001 à 6:32:00 (#279067)

(j'en frissonne)

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:21:00 (#279068)

( frissonner c pas un truc de 'vivant', ça ? ;=) )


:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:22:00 (#279069)

Tas marché jusquà la maisonnée,
La maison niée
Tas retrouvé ta descendance, rythmique, dissoute
Dissolue

Tu ne sais plus trop où tu as placé ton nom
Et lâme
De New Orleans, qui ne te rappelle qua des ordres
Monacaux

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:24:00 (#279070)

Cest dans les ruines
Que tu crées tes décombres
Tes heures soupesées
Tes horaires enlisés

Dans les ruines
Où il ny a plus rien,
Où tu pourrais tout voir
Tout avoir aveuglé consentant

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 21:27:00 (#279071)

Ruine, rune sans humeur
Bruine sans humour
Bruit sans atours
Tour à tour
En ruines et
Embrumée


Satisfais-toi comme
Tu aurais pu

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 22:02:00 (#279072)

Tu es née ;
et moi, je grandis quelque part
je me fonds dans de ternes transports
sans émotions
- jai jamais très bien su ce quils transportaient

on me pardonne des fautes
que je nai pas commises,
on me blâme pour des choses
que je ne comprend pas.
-jusque-là, tout roule-

Mais tes née,
Et moi je grandis
Avec cette sensation

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 22:08:00 (#279073)

Je me rappelle ; je me souviens ; je ressens
pas trop, sinon ça ne fait que des souvenirs qui tergiversent
je laisse juste le flux,
jaccepte de ne pas remonter jusquà la source,
et pourtant ça mamusait tellement, enfant

enfant, toi qui es las,
déjà laminé transformiste sans songes...
à quoi tu pourrais jouer ?

je ne tai pas ôté tes jouets,
enfant

je les ai salis
je les ai emmurés
jen ai fait une matière obtuse

je ne tai même pas laissé la chance de
croire

et croître ce nétait rien,
à côté

justement... je nétais pas à tes côtés

mais toi tu es resté pour moi
;
ou disons que je tai fait rester par moi


le pire cest que tu ne men veux de rien.

Par loupvoyant le 19/9/2001 à 22:53:00 (#279074)

oui j'y pense;
m'y sens moyennageux...


la geste de tes gestes ...

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:05:00 (#279075)

Ça hurle dans ma tête,
et ça ne fait pas plus quun ressac
ça chuinte dans mon silence,
ça hérisse mes passés


ver à la main comme une carte dans sa poche
et un petit Derringer, louest est si lointain

je naime pas être obligé de me faire des confidences
je nai jamais été bon juge

je massomme dans le calme
qui suit les grands bouleversements

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:06:00 (#279076)

Oui, bien sûr, le temps nest pas encore venu
de tricher tout à fait
Ca ressemble à une indolence,
une morbidesse de dés pipés divoire terne.

Cascades et cataractes
plus rien ne reste de lil

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:07:00 (#279077)

Regarde-le, funambule
entre deux rencontres
de ce quil élève et détruit en un rien de temps

personne na peur quil tombe
on lattend à la surface des choses

alors,
au moment de choir,
il se rappelle des bribes de rappel

la vérité éclabousse

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:08:00 (#279078)

Je nai toujours rien rencontré de semblable

jai cherché,
par le petit bout de la lorgnette
bouddha dornières sans pentes

je me suis caché les yeux, au vent de mes oreilles
auvent de mes yeux, jai bouché mes oreilles
coupé mon souffle, renié mes saveurs
obliqué le sensitif

je nai rien rencontré de semblable

cest pour ça quil ne sagit même pas de penser à toi
la nuit semplit déchos,
et je connais la nuit en tes murmures

cest aussi indicible et inéluctable que ça.

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 8:09:00 (#279079)

Tu peux prendre ce quil me reste de rêves
de bruit, de sang, dintimité

prends sans que je te voie

prends cents âmes en dépit de la mienne
que tu auras, éprise

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 20:54:00 (#279080)

Ton corps alangui, pour que je me fasse druide
Lappel aux éléments juste de par sa souplesse

Je suis aux aguets.
En chaque parcelle de mon corps.
Je veux me réfugier en toi,
Je veux te provoquer pour que tu mexiles.

Je veux que tu renies tous tes indicibles ;
puis que tu me les susurre, un ton plus bas
je veux tes cris en échos de ta voix déliée,
je veux te voir chavirer, versatile, indéniable

souveraine possédée, souveraine
et esclave de mes gestes lestes

offrande, offerte
sacrifiée au désir inconnue et tremblante.


http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/lp24.jpg

Par loupvoyant le 21/9/2001 à 20:57:00 (#279081)

( frissonner c pas un truc de 'vivant', ça ? ;=) )


autant pour ma khonnerie... ... menfin je me comprend ( oui ça en fait au moins un :rolleyes: )

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 22/9/2001 à 0:08:00 (#279082)

Lêtre fermé, lettre ouverte à toi

Je vais devenir fou...
Fou de silence
De tous ces moments où je te parle, alors que tu nes pas là, plus là.

Entre lavenir que jaurais pu incarner et le mal que je peux faire ...

tu me manques...

Par Forestia le 22/9/2001 à 15:42:00 (#279083)

*ecoute, intriguée*

Continuez m'sieur Bleiz, continuez !

*souriante*

Par loupvoyant le 23/9/2001 à 15:20:00 (#279084)

*sourit à Forestia*
;)

Dame Moire...

et faire rougir les mailles de mes mots, l'émail discret d'un sourire confié ?
:confus:


:aide: :rasta: :aide:

Par Moire le 24/9/2001 à 15:05:00 (#279085)

Débat lancé par Bleiz Tad Koal:
l'émail discret d'un sourire confié



Sous le rire, il y a toujours le commencement d'un sourire.. aussi discret soit-il... dix petits sourires discrets,cachés, dix petits secrets... lequel mourra en premier ?

[ 24 septembre 2001: Message édité par : La petite Moire ]

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 17:38:00 (#279086)

mmm ... mort sur une île ? ;=)
de quoi les sourires sont-ils les dessous...
d'un enchevêtrement concis d'aléatoire ?
:confus:

mmm rien que les dessous c'est évocateur
*va chercher son bromure :D *

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 17:40:00 (#279087)

Je surnage ; malgré où
Je ne cède rien à mes envies
Et les âmes en vies mépargnent
Je suis la défunte obsession

Tout ce qui vient de là-bas
Je sais le faire renaître outre-terre

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 17:42:00 (#279088)

Réalité dont je narrive pas à me défaire
A laquelle je narrive pas à me faire
Lire, réalité sans colère,
Considérée comme ça elle assoiffe

Je ne sais pas si je mange
Je ne sais pas si je manque,
Par contre

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:10:00 (#279089)

Dans les rênes du vaisseau-cygne
Se rêvent des rives de regard
Là où le regard dérive

Deux feux follets ouvrent la voie
Dans les eaux du samedi soir
Gris Neptune

Un vague bleu à lâme
Une vague à lame bleue

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:18:00 (#279090)

En joue... Feu !
Les joues en feu

en un orage discrètement cachés
par peur d'intimider l'ondée
on se blotti l'air apeuré
Juste pour encore encore se serrer

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:37:00 (#279091)

Et la jeune brindille se lovait aux flancs du vieux roseau chenu
Et sage comme un vieil ours

Tous les soirs, ou plutôt chaque nuit, à une heure furtive de la nuit, iuheiune se mouvait hors de son trou
Et avec la nuit complice physique acteur instantané de ses besoins metteur anse aine de ses désirs, elle se faufilait jusquau plus corps décor, le chemin jusqu'à lindispensable
Chaque soir, toute nuit venant à nuiaître, cela lui était indispensable
Impossible de vivre sans impossible de palper la moindre trace dexistence
Elle allait à un rendez-vous avec on pourrait dire comme une phosphorescence delle-même
Elle allait comme à un examen à répétition sans gain ni but ni désir ni désarroi
Sans habitude même

Rencontre avec le Bréviair Tristh
Un long gnome longitudinal

Et chaque soir au cur de la rencontre
Il y avait les pages feuilletées dun bouquin mystérieux
Et elle était happée par le courant des pages
Parfois quelques lignes justes
Et ne sen éveillait que la nuit suivante, après avoir été bouffée par la torpeur des journées sereines du travail où elle naurait pu se reconnaître elle-même si on lavait montrée du doigt en lui tenant la tête dans sa direction ; fort.
il lui lisait les choses de sa vie

chaque nuit elle venait pour sécouter vivre aux lèvres de cet homme
et ce pouvait être deux décennies de silence passées à vivre néanmoins et ailleurs, et les heures dans lailleurs égarées là ou le temps même se noie dans le silence ou sauréole dans le bon temps

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:45:00 (#279092)

Et si les lunes se morcelaient
De façon à ne plus faire
Quun seul frais
Effet-mère

Une fresque polyesther
Reliée via des nuages
De décombres inondées

Et si les demi-lunes se perchaient
En haut dune pique
Sautaient le cap
Dévoyaient les comptines

Des relents de maracas
Grelottant en silence
Sursautant et cest tout

Et si les ovales opales
De sa face joufflue
Réduisaient à néant
Le sort dune jouvencelle

Le labyrinthe déchu
Irrigué de ses sueurs
Lappé comme par mégarde

Et si si non non non
Et sinon à quoi bon


http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/lp27.jpg

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:48:00 (#279093)

Enfance endolorie
Qui rit comme on frémit
Un pâle visage de tombe
De pierre lunaire abasourdie
Qui esquisse un mouvement
Croit se mouvoir
Et retombe
Sur ses rêves
Endoloris

Se cherche dans les présages
Quelle invente, consentante
Quelle attire, mirage,
Sirène hésitante
Les fait tituber
Dans ce quelle croit être un partage
Une nouvelle forme de nuée
Quelle inspire et rejette
Supplications bouffées doutrages

Se meut dans les silences
Quon nose discerner
Un bloc sur la balance
Aux ailes faisandées
Et balance le métronome
Quelle aimerait tant faire haleter
Petit bonhomme factice
Au sourire si propice,
Quil ne peut exister

Se vautre dans la frange
Dune demoiselle féconde
Qui lui créerait pauvre ange
Une piètre colombe
A lenvol insistant
Mais à la paix fragile
Pour que rien quun instant
Elle simagine gracile
Et se blesse illusoire

Enfance - lumière née aveugle
Aux constellations déphasées de tout
Aux douceurs solaires décureuil
Que des cris auraient rendu fou
Une voie lactée trop tôt sevrée
Quon entendrait enchanter dans les nuits
Qui donnerait tous les secrets de lennui
Pour le sortilège dun baiser
Qui donnerait tout jusquà lenfance


http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/lp26.jpg

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 18:59:00 (#279094)

Je mamusais à suivre
En ribambelle
Des rubans delle

Je la faisais glisser
Comme une ombre lumineuse
Discrète et insistante

Et elle, me narguait
Insouciante, presque sournoise
Et elle, me désirait

Jusquà ce que je décide de nous sauver

Loin de tout

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:12:00 (#279095)

Maîtresse indolente,
dune faiblesse incomparable
Et pour toute la célébration nocturne !
Tu mas fait entendre les crayonnés de la ville,
de cet artiste qui a toujours vécu disparu,
qui sifflaient !
Tu es la coupable, mais jamais méprisée
jai remarqué avec toi les récentes plaies des souris,
Jai bu ta robe, toute fraîche et languissante,
Jai crié dans lécrou pour le reste du monde
Et, vivement,
Jai inventé de nouvelles larmes deffusion.
Tout ceci !
Pour une nuit de mort violente.

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:16:00 (#279096)

Tu marches comme une écume corrodée de silence
Perdue dans les reflets dune subtile nonchalance
Et je tadmire mire mirliton poltron
Caché dans une cage callipyge prison

Tout comme un rêve devient beau en se réveillant
Tu as les fossettes vermeilles dun enfant renaissant


D'un geste tu peux faire de moi une dernière étincelle
Dispersée pour être moins qu'un souffle et s'éteindre en tes lèvres
D'un geste tu peux mes étoiles en nuées ribambelles
Enlacer et lancer à l'horizon des fièvres

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:22:00 (#279097)

une étoile toute silencieuse faisait un bruit de bébé endormi
elle rachetait des clauses écloses
sur un contrat actuel,
passéiste représentant de lorme
( larbre qui veille )


jai caressé son front et puis me suis souvenu

Par loupvoyant le 24/9/2001 à 19:31:00 (#279098)

02/08/98 09:18:21


Une jeune fille
Ne croit pas
Quelle me fait de leffet

Un effet à retardement, un effet à tremblement de terre
Un effet comme une plante dans une serre qui
Sest faufilée à travers la vitre pour louvoyer
Se brûler encore plus encore plus fort encore plus doux
Au rayon du soleil dont elle sest amourachée


Une jeune fille qui croit ne pas savoir
Et qui sait deviner
Une jeune fille dont lattente brûle le
Ciel comme une chandelle allumée
Là par mégarde tristement dans un coin de nuage

Jen ai regardé
Des levers de soleil avec elle pourtant
Peut-être même les lui ai-je volés

Mon sommeil attentif à ses cils ma trahi, il est passé dans le camp adverse


Et celui là qui parle qui est-il pour parler
Qui est-il pour ne serait-ce que faire
Esquisser un semblant daveu
Pas très capable,
Pas très digne des ailes quon lui a donné
Mal à laise dans cette grâce cest trop léger trop subtil trop voletant pour lui

Pourtant sentant sachant bien
Les rares faiblesses illuminées de son corps
Arrivant à se révéler
Il les reconnaît cest comme sil avait déjà parcouru ces sentiers menant à leur source
Se sait complètement dans son univers
Et sait son univers complètement tournoyant tour né
Né tour de magie tourné vers elle
A limpression de la caresser lorsque seulement un brin dair il déplace


Je men suis posé des questions effarées
La jeune file était auréolée
Dune cour de cent et mille créatures de magie
Quelle avait déposé là laissé dans le décor linstant comme dun caprice
Tout à ses désirs dévoués prêt à simmoler
Mais en ignorant tout
Et elle dansait pour elles

Jétais intimidé

La jeune fille ne sest pas moquée de moi pourtant

Jaurais peut-être préféré

Les créatures ne me cachaient rien
Leurs déguisement leurs paravents la façon dont ils devenaient grimés
Cétait moi qui les créait

Peut-être aurais-je eu laudace
Dans un rêve lointain..

Et celui qui là séparpille
Le pillage lui fait pourtant horreur
Jouer à pille ou face

Ne plus savoir même se localiser au milieu de son ignorance ou de sa connaissance

Il se cherche une faille
Une nouvelle encore une

Et
Encore un peu honte
Car qui vient lapaiser
Comme une main passée devant un visage
Les yeux clos une douceur qui se dévoile

Une jeune fille

Par Sevoth Tart le 24/9/2001 à 21:37:00 (#279099)

Hey Chaloup Bleizounet :)

Tu viens me chercher a la gare saint lazare ce week end et on vas au monde du jeu hein hein?

Je sait pas y aller moi :'(
Pis le serveur entier reve de te rencontrer :)

WOAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGGGG

Par loupvoyant le 25/9/2001 à 7:16:00 (#279100)

*wooooarg*
Bon chtite notification.
Ce n'est pas que je n'ai pas envie, mais je n'irai pas au Monde du Jeu pour plusieurs ( bonnes ) raisons:

Déjà il risque d'y avoir une, voire plusieurs personnes que j'ai envie de voir, mais dont je n'ai pas envie qu'elles me voient. ( je me comprends :D )

Ensuite je n'ai pas envie de faire ce qui pourrait être interprété comme un prosélytisme à deux balles niveau déchirage de gueule, et pourtant timidité + tempérament extraverti conjugué ça risque fort. :(

bon voilà, c pas très construit vu que je suis pas très frais ( vivement la douche :p ) mais c fait.

( et puis je n'ai pas tenu le pari, Rochel ;=) )


:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 25/9/2001 à 8:15:00 (#279101)

rongé par l'absolu du devenir
l'insouciance ineluctable,
des cauchemards patients

un prisme de la réalité qui
s'étiole avec celui de l'irréalité

un oiseau cherche quelqu'un qui le regarde;
avec qui converser.

Par loupvoyant le 25/9/2001 à 21:47:00 (#279102)

Le miroir parle ;
sabstient bien entendu de réfléchir
là ou sétend le malheur,
il reflète linconscient
- celui qui ségare à toutes fins inavouables

Le miroir caresse ;
exégète de lâme
et de lâme au violon
il ne fait que bruisser

Par Bérénice le 25/9/2001 à 23:15:00 (#279103)

Désir de non musique
Transgression et rupture
Variations dharmoniques
Je nen ai cure

uvre pour piano seul
Polyphonie hypertrophiée
Nuds, interférences, deuils
Et je reste étonnée

Nattends pas
silence
Un temps pour elle
Intemporelle
Autant pour elle

Par loupvoyant le 25/9/2001 à 23:24:00 (#279104)

d'une note gracile,
on naît des mélodies échevelées
une Lactance inanimée
qui se nourrit d'elle, même
si d'une note gracile
on fredonne l'anathème

Par Bérénice le 26/9/2001 à 0:41:00 (#279105)

séparation radicale
mais pure
sans usure
anamorphose partielle du temps
longtemps différé
le temps à l'oeuvre...
si la bataille nest pas gagnée
dans la vitesse elle est perdue
dans la lenteur elle se dissout
je ne la dispute quà moi-même
quotidiennement déchirée
dissemblable
je pense savoir où je vais
comme ce rat
:aide:

Par loupvoyant le 26/9/2001 à 1:14:00 (#279106)

le temps d'élimer
une usure partielle
partiale peut être
car le temps n'a de cesse
que de se contredire

les rats ne rongent pas jusqu'à l'os
le navire où ils naviguent
et s'ils se terrent, souvent,
ils font aussi la vie et les remous
de la surface

:aide: :rasta: :aide:

Par Bérénice le 26/9/2001 à 1:23:00 (#279107)

A bon chat bougri, bon rat bougri

Boris Vian

Par loupvoyant le 26/9/2001 à 2:07:00 (#279108)

*à bon escient,
mauvais essence - elle*

( Dior de chez Mal-Avisé :D )

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 28/9/2001 à 17:52:00 (#279109)

Elle aimait la femme ; et son tourment
elle aimait la femme quelle était devenue,
elle aimait la femme qui lui restait inconnue.

Elle égrenait des rêveries ,
filles de sylphides
parcelles infimes

on ne la jamais retrouvée,
mais la femme témoigne delle ;
aime chaque jour.

Par loupvoyant le 28/9/2001 à 17:58:00 (#279110)

Tisse les fils rebelles et les toiles effilées
Comment ne pas voir les Parques en peinture ?
Les ongles âpres à tailler net lexistence
Mettent un point dhonneur au point dorgue

Quelquune
Danse sur le fil
Et sautille dun fille à lautre

Ce nest plus une enfant.

Par loupvoyant le 28/9/2001 à 21:01:00 (#279111)

Elle a prise, en grappes
Dans les cieux
Des instincts de personnalité
Des rais de luminescence
Incandescentes,
Un jour décentes ; un jour décences
Un jour indécentes

Délivrées ?
Arrivées sans encombres à une destination
Incongrue, pas inconnue

La nudité de limprobable
La constance du revenant
Qui sans chaînes senchaîne
A ce qui devient, râle et succession
Souvenir détoffe,
Soie de lego,

Délivré

Livré à elle ; maime.

Par Moire le 28/9/2001 à 21:11:00 (#279112)

*ne peut répondre que par un silence émerveillé, éveillé à la beauté des mots chantés, au duel qui s'égrenne, petites graines qui donnent de bien jolies choses, ma foi... foison de fleurs ... rouges ?*

Par loupvoyant le 29/9/2001 à 14:39:00 (#279113)

Dualité fenaison
Venaison et silences

Rire purpurin et chantre des larmes


Ah les petites graines...
Encore une belle histoire qui définit mal !

Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:18:00 (#279114)

Encore, tu me renais
Et puis tu disparais

Moi mes mois mes émois disparates
Me laissent, sans agrément, face aux choses,
Sans fondement


Je ne peux même pas demander
Pourquoi tu nes pas
revenue

Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:20:00 (#279115)

Faire pousser des lauriers
Sur linsomnie des gravats
Et sendormir dessus
Sans dessus-dessous


Je ne me retrouve plus sans toi
Je me retrouve sans rien

Il ny a plus que des chemins
Que je nose
Parcourir
Seul

Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:26:00 (#279116)

Je nose plus rien
Cest à dire que peut-être
Je nose plus le remords
Et je nespère plus le joli

Je ne confronte plus rien à la réalité
Je ne sais plus mentir, deviner, croire
Ou men faire accroire

Ton front, mon front
Mon affront
Disparates, emmêlés

Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:31:00 (#279117)

Sil me reste une façon de crier
De me démasquer pétrifié
Répandu sur un lit étranger

Je labandonne juste là
Tellement las que je men souviendrais, dailleurs
Si je pouvais me croire ailleurs

Je vais sûrement, sans certitudes
Tricher, pour ne pas changer

Mes craintes les plus formelles
Renouvelées, chaussées de carcans indéniables

Mes craintes je les sauverai
De par-delà moi ; lautre

Par loupvoyant le 29/9/2001 à 23:33:00 (#279118)

Jai failli rêver
Mais cétait trop professionnel
Jai failli crever
Mais cétait trop irrationnel
Jai failli changer
Mais cétait trop invraisemblable

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 20:36:00 (#279119)

*va prendre son luth à six cordes*

*mouarf*

Par flo3000 le 30/9/2001 à 20:48:00 (#279120)

Bon allez koi refais toi un perso
la derniere fois que je t'ai vue on est alle pk :)))
alllezzzzz revienssssss et raconte comment t'ecris t truc !!

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 21:19:00 (#279121)

arf Estar si je m'attendais ...
:D

d'où que tu m'as dégotté ? ;) :p

bah j'ai refait un perso sisi lol !
un encore plus galérien que ceux d'avant

but...
"the future's incertain and the end is always near ..."

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 21:24:00 (#279122)

*j'abuse .. et qui abuse aboyera ...*
je crois que c ze future's uncertain plutôt

*wooooarg*

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 22:11:00 (#279123)

Chasse-moi sans réconfort
Chasse-moi sans refuge potentiel
Sans amour, sans aurore
Je serai trop stupide pour me méprendre
Et encore plus pour te désirer

Chasse-moi
Chasse mes regards mes infinis
Fais un grand vide sur labsolu
Déblaye ce qui pourrait être
Et ne crois rien de moi

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 22:26:00 (#279124)

et je suis de jour en jour de pire en pire...

et si je me sauvegarde les nuits
qui pourraient vouloir chanter
rugir feuler et vamper

je ne serai pour rien
de jour en jour

savoir jouir comme le jour
et nuire comme la nuit ?

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 23:06:00 (#279125)

Je suis seul
Alors quil ny a personne
Est-ce vraiment de la solitude ?

Je suis indistinct
Faussement serein
Alien méprisé

Je suis faussement médusé

Par loupvoyant le 30/9/2001 à 23:14:00 (#279126)

Enfant que je ne verrai jamais
Ne mélude pas trop vite
Pas sans réconfort
Pas sans rien de toi

Enfant qui saurait
Qui saura
Etre moi
Ne me laisse pas divisé
Et pire quéparpillé
Ne me

Ne me chante pas non plus...

Par Moire le 1/10/2001 à 5:33:00 (#279127)

Débat lancé par Bleiz Tad Koal:
savoir jouir comme le jour
et nuire comme la nuit ?


et pourquoi ne pas jouir du jour et de la nuit, pourquoi ne pas jouir le jour comme la nuit ?... Tout est question de regard et d'envie... envie d'être en vie....

Par loupvoyant le 1/10/2001 à 8:15:00 (#279128)

justement, cette envie ...

[ mouarf je vais être en retard au bout low ]


:aide: :rasta: :aide:

Par Moire le 1/10/2001 à 20:41:00 (#279129)

(moi pas... me suis levée assez tôt.. hihi... Et demain.. sensibilisation à l'art au programme... pffff.... héhéhé)

Par loupvoyant le 1/10/2001 à 21:52:00 (#279130)

il y a pire comme programme ! :D
bah finalement j'ai séché !
*je suis malaaaaaaadeuuuuuuuuuh complètement maladeuuuuuuuuuh*

:aide: :rasta: :aide:

Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 0:23:00 (#279131)

Affabulations

Un fait divers, une fée d'hiver,
Une méprise sur une banquise,
Toutes mes erreurs, mes bêtises
Attisant cette froide bise.
Depuis mon coeur prend place
Dans un palace de glace,
Fuyant les grands espaces.
Effet d'hiver, fée de fait divers...

Tristesse infinie dune fin dère...

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 9:53:00 (#279132)

Ce ( vraiment joli ) texte aurait il échoué ici par hasard ?
Il me souvient ...
...
En ce cas le hasard fait ... étrangement les choses.

[n'entrons pas dans la parano des souvenirs ..]


:aide: :rasta: :aide:

Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 19:30:00 (#279133)

Pas vraiment par hasard, non... Tes textes me font toujours autant plaisir à lire, même si je n'ai plus trop le loisir de me connecter ces derniers temps... Mouaip... Pas de hasard, paraît-il... Juste un destin... farceur, comme il se doit

Je n'ai jamais vraiment eu une plume égale à la tienne, mais de temps en temps, rarement en fait, j'essaye (péniblement) d'aligner quelques mots...

Aller... un fond de tiroir qui date d'un peu plus d'un an... mais qui revient d'actualité... Destin farceur... en espérant qu'il ne soit pas trop ridicule au milieu de ce post...

Bouteille à la mer

Bouteille à l'amer, à l'amertume pareille à ces blondes d'abbayes en provenance du plat pays, ces belges à la robe enjôleuse et aux bulles charmeuses qui laissent un souvenir cinglant au réveil, la bouche pâteuse et l'haleine ravageuse. Perdu dans cet océan né d'une mise en bières solitaire, je me noie, entraîné au fond par le plomb de mes pensées, anesthésié par cette mousse qui me susurre des choses insensées et douces. Bartholomew Roberts en perdition, pirate raté par vocation, je coule, sous les assauts d'une houle de plus en plus prononcée à mesure que je me rassure au sein d'une sirène à la têtée alcoolisée, digne cousine d'une divine bibine.

Demain, Bacchus m'enverra la facture, et me fera souffrir milles tortures jusqu'à ce qu'il s'estime remboursé de son ultime denier. Mais avant cela, j'espère avoir le temps de rejoindre cette lande éthérée où les fous dansent leur sarabande, cette contrée que l'on dit peuplée de fées, qui distribuent l'oubli à qui en a l'envie et rendent ainsi l'espoir, ne serait-ce que le temps d'un soir.

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:53:00 (#279134)

je-suis-touché et c'est-réciproque-j'apprécie -tes-textes - mais j'arrête là - sinon - ca va- fare - échange de bons procédés ;=)
menfin j'accepte tout private message, g comme l'étrange impression de te connaître...
sinon destin farceur sera crescendo ce soir...

j'ai l'impression de ne plus avoir que l'amertume au bout des doigts, je ne risque pas de te renvoyer le joli...

anamorphose des fées
sans précision d'esquisse
sans indices ou si peu
sans peine ou tant bien que mal ...


:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:54:00 (#279135)

p.s. c marrant j'ai failli écrire
chambre avec vue sur l'amer
ya quelques jours et puis j'ai eu la flemme ...
décidemment ...

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:59:00 (#279136)

prfffft Error ! Error !



[ 02 octobre 2001: Message édité par : Bleiz Tad Koal ]

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 19:59:00 (#279137)

ah pis tant qu'à faire des post scriptum hein...

'ridicule au milieu de ce post' non mais ça va pas non ?

j'aime ce que tu écris voualà !

d'ailleurs pour moi je me pose pas ( enfin j'essaye ) trop la question sinon je poste plus rien

*profitons-en pour saluer la patience sereine des modérateurs*

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:07:00 (#279138)

bah le plus dur n'étant pas les questions que l'on s'offre à soi-même, mais les réponses que l'on peut y trouver ...
:(


:aide: :rasta: :aide:

Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 20:10:00 (#279139)

De réponses, je n'en ai hélas point encore trouvées...

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:18:00 (#279140)

euh je ne sais plus trop si c'est un mal !

vite une diversion métaphysique ... trouver quelque chose ...

http://www.ifrance.com/dogsdamour/imgs/see.gif

et hop diversion anodine ( ? )


:aide: :rasta: :aide:

Par Moire le 2/10/2001 à 20:21:00 (#279141)

*écoute avec délice, sans entrer en lice, la joute magnifique qui se joue sous ses yeux*

(y a rien de tel que les belges... hihi... ça, je le savais déjà.. hihi *clin d'oeil*=)

[ 02 octobre 2001: Message édité par : La petite Moire ]

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:24:00 (#279142)

Mais ... Dame Moire .. on joute pas ... on joue avec des lices et sans prémisces ...
cruauté de l'immédiat anonyme et personnel, sans personne d'autre que le monsieur souvenir ;=)
Mais on est très sages ( sisisi) surtout lui :D
( enfin sages comme Dyogène parceque dans la vie je dis rien moi :p )
( quoi g choisi Dyogène à cause du tonneau ?!? :eek: )


:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:31:00 (#279143)

bon soyons sérieux ( mouarf )
j'écorche "scuttle buttlin'" comme promis à Neo tant qu'il est pas trop heure légale tout en gardant un oeil concupiscent sur les posts mais bon forcément la constance s'en ressent alors puisque l'on parle d'aménité... soyez sans pitié LAPIDEZ MOI !!
:D

*gnwoouarg*

:aide: :rasta: :aide:

Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 20:51:00 (#279144)

Comme pourrait me le souffler mon côté Einstein (Franck hein, pas l'autre) : "Mets ta physique !" ("Et vas au bal", ne peut s'empêcher d'ajouter l'intéressé, un con, sciemment).

Les dits-versions ont sur moi cet effet raie-pulsif des cours de latin lorsque j'avais encore cette raie (im)monde-haine sur la tête justement...

Cette diversion n'était point anode-in, mais haute-tention, change pas ton fusible d'épaule

Pour répondre à Dame Moire, c'est avec des lys tirés fort à propos du tonneau (des Danaïdes, celui de Dyogène ayant été vidé par un chat-loup (pas si) voyant) que nous lirions ici vos propos, dans cette lie si lisse que nous déversons ici, lie (lit ?) dans laquelle (lequel ?) nous noyons nos souvenirs...

[ 02 octobre 2001: Message édité par : Empoisonneur ]

Par NeoBaSiK MDT le 2/10/2001 à 20:55:00 (#279145)

ouais plus ke 14 comment et t a 100
lol

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 20:59:00 (#279146)

14 ? 100 ?
ayeh je lâche - ment prise ( de toute façon vu qu'elle est plus éprise ... )

bon j'arrête de me déteindre sur moi, c sale et ça fait pas avancer le schmilblick

*reprend pour quelques instants, son luth miraculeusement, à six cordes ( la fin est pauvre mais elle est véridique .. et ça marche fort en ce moment alors j'essaye sans l'atteler euh sans la télé )*

:aide: :rasta: :aide:

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 22:07:00 (#279147)

Tu souris toujours
Entre deux grêles
Entre deux fantômes qui sen veulent

Et moi

Je ne peux dormir sans toi

Tu es tellement blanche quil me faut
Diantre tellement pour être noir et te rejoindre

Tattendre, encore
En sachant que je ne tattends plus
Que je ne devrais pas, que je ne devrais plus

Que je te dois bien plus quà moi-même

Tu souris
Même quand tu as tellement mal
Quil ny a plus que le sourire pour te parjurer

Jespère que tu dors doux

Vraiment

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 22:11:00 (#279148)

Jai entendu quelquun qui criait :
« ne reviens pas !!!!!!! »
et tu te retournais
te détournais diaphane
mais pas pour ça

la petite fille marchait
au creux de lécluse
et le vieux éclusait
sa petite fille
recluse

dans ce qui restait de ses souvenirs ...

Par loupvoyant le 2/10/2001 à 22:18:00 (#279149)

Guérir la lumière
Dans les recoins dombres
Ca, tu savais faire
Sans lombre dune ombre
Sans léchéance du recoin

Quai-je assassiné en toi
Et doù aurais-je déjà expié
Sans prendre mon pied
A la douleur de mon incompétence
Innée

Mes souterrains prennent forme
Non sous tes combles
Mais sous les catacombles
Cataplasmes funéraires
Que jassouvis ... pour moi ?.


On mavait vu
Quelque part
Au milieu dun parking sans nuit
Jamais diurne ;
Funéraire

Moi je croisais les fleurs célestes
Je brisais leurs tiges
Dun regard inanimé
... et sans les déranger

Par Empoisonneur le 2/10/2001 à 22:49:00 (#279150)

Animal chaotique, aux états d'âme chroniques,
Je suis plus pathétique que sympathique,
Je suis plus catatonique que médiatique...
Seule la musique à ce jour a provoqué un déclic,
Maigre consolation que ces étranges rythmiques,
Triste viatique dans une vie pathétique,
Je l'aurais souhaitée somptueuse, magnifique,
Que dis-je ! Merveilleuse, extatique...
Les années passant m'ont rendu anecdotique,
De temps à autres bucolique, romantique,
Plus souvent caustique, sarcastique, cynique...

:aide:

Par Moire le 3/10/2001 à 0:36:00 (#279151)

*préfère ne rien dire.. juste écouter....*

*sourit*

Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 0:53:00 (#279152)

En espérant ne point vous lasser...

Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:00:00 (#279153)

laisse tomber la tombe lassée qui se sèche des larmes d'autrui ...
moi j'apprécie

Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:02:00 (#279154)

tu sais, là ...
je ne sais plus où est l'horreur, où est l'erreur, ou est la rémission...
Où est la soumission
et puis l'absolu

pourquoi te dire « tu sais »
tu devines sans doute tout ce que je ne sais pas
et tu sais sûrement ce que je ne sais plus

tu sais ce que je ne suis pas,
tu sais quon ne me suit pas vraiment
et que jai mal aux pattes si je cours me noyer dans la forêt

tu sais et tu ne cèdes pas,
tu sèmes et tu cernes trop
les stries de lâme


il faut absolument que tu saches
que je sèche et fais crisser la vie
... que tu ne saches rien

Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:45:00 (#279155)

La voix grave et somptueuse
Sombre, un peu graveleuse
Mais dénuée de tout ce qui rendrait linnocence caduque

La voix qui savère, aberrante
Qui se rêve altérée
La voix qui ne dit plus rien, vraiment

Vraiment rien.

Par loupvoyant le 3/10/2001 à 17:46:00 (#279156)

passant inconnu, passant à travers,
la grêle des notes qui sont souvenir de toi

je mange comme la mangue le manque
qui se libère dune secousse étroite
dun coup de rein farouche

et mon temps sévanouit,
de par-delà les siècles

Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 19:21:00 (#279157)

Temps hagards

Ce n'est qu'un au revoir, comme le dit la chanson,
Fin de non-recevoir, telle est ma perception,
C'est ne plus te revoir, mon amour, ma passion,
Si lointaine te savoir, qui détruit ma raison.

Perdu dans ma prison, mon esprit broie du noir,
Attendant ton pardon, sans savoir, sans espoir,
J'espère une solution, du fond de mon placard,
Je cherche sans illusions, à trouver ton regard...

:(

Par NeoBaSiK MDT le 3/10/2001 à 20:31:00 (#279158)

je comprend rien a ton texte bleiz

Par touanou le 3/10/2001 à 21:24:00 (#279159)

*compte sur ses doigts*
Plus que deux posts...

Amicalement,
Touanou

PS : à moins d'éditer les précédents *souriant*

Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 21:27:00 (#279160)

Sire Touanou, vos nouvelles fonctions devraient vous pousser à vous fendre de quelques mots par ici... Enchantez-nous...

Par NeoBaSiK MDT le 3/10/2001 à 21:27:00 (#279161)

horn o felo vont clore le post lol comme dab
PAS DE POST DE PLUS DE 99 REPLY!
©Horn(hichon)

Par Empoisonneur le 3/10/2001 à 22:24:00 (#279162)

Condamné à l'exil, loin des yeux, loin du coeur,
Dans mes pensées pour toi, je m'emmure et je meurs.

Par loupvoyant le 3/10/2001 à 23:30:00 (#279163)

Elle sapproche, feutrée
Et ses pas feulent
Mais elle nest pas si folle
Ni trop frêle
Pour une inconstance de rêves sans limites

Elle est si proche
Sans sa proche venelle déchappatoire
Quelle emprunte à la ville sans quelles sourcillent
Aucun cri, aucune distance
Pour une rêverie soutenue de limites bluffées

JOL Archives 1.0.1
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