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Félinea était en train de se changer et l'on pouvait apercevoir l'Ombre des son charnu fessier, Non dsl je ne peu, Waajpoothin ne discuter avec personne, Dsl je ne tien pas le registre des noms, Le temple de StoneHeim était bien calme, Hélas je n'ai pas le pouvoir de me battre contre, Le sol des terres de l'oracle était enfin propre, ton extinction de voie va aller mieux, un peu miel et il n'y paraîtra plus, Makrsh p'tangh attendait, seule.
L'image disparue dans la boule de cristal, coupant avec elle quatre communications télépathiques et laissant le mage dans le noir. Un long moment, il resta la, seul dans la pénombre à méditer sur son avenir. Une étincelle fit naître une lueur mère d'une nouvelle clarté illuminant maintenant la caverne rocheuse où le vieux demi elfe passait ses journées. L'on pouvait maintenant distingué dans un coin de la salle le Spectateur, immobile, attendant les ordres de son maître. Derrière lui un immense anneau de pierre recouvert de signes cabalistiques et ésotériques dominait la salle. Il contemplait, comme si lui aussi attendait les ordres en regardant de son oeil cyclopéen son maître. Le mage se leva doucement s'appuyant sur son bâton. Il n'était pas habitué a marcher et prenait cet exercice avec attention. Il s'approcha de son ami et serviteur le spectateur qui prononça quelques mots : "Nous y allons maître ? " Le mage ne regardait plus en direction du monstre mais derrière son épaule comme pour jauger une dernière fois ce qu'il quittait "Oui ! Nous partons" A ces mots l'immense cercle de pierre se mit à s'animer pivotant à l'intérieur de lui-même plaçant les symbole dont il été composé de manière aussi étrange qu'harmonieuses. Le vide à l'intérieur de celui-ci disparue laissant apparaître une onde éblouissante. Le Spectateur pénétra le premier à l'intérieur du vortex prenant soin de fermer son oeil central afin de ne pas perturber le flot magique face à lui. Meleanorianor resta quelque seconde à regarder l'anneau. Puis d'un pas lent mais décidé il le pénétra. Son esprit fut traverser par un millier d'aiguille décomposant littéralement son âme et déchiquetant son corps. Dans cet amas de sang, d'âme et de chair perdura une pensée. |
02/11/2003, 15h16 |
Melean / Iuchiban |
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