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Art of life - X-Japan

Désert de rose
Pourquoi vis tu seul
Si tu es triste
Je te ferais quitter cette vie
Es tu blanc, bleu ou rouge sang
Tout ce que je regarde se noie dans le sable froid, gris

Les souffles du temps
Vous me jetez à terre
Je meurs de soif
Je voudrais courir loin
Je ne sais pas comment être libre pour vivre
Mon esprit crie un sentiment de peine

J'ai errer pour me trouver
Combien de temps ai je ressenti cette douleur
Tombant à flots la pluie coule dans mon coeur
Dans la peine je t'attends
Je ne peux pas reculer
Pas de place pour reculer
La vie est perdue, les fleurs tombent
Si tout ça c'est des rêves
Maintenant réveilles moi
Si tout ça c'est la réalité
Tues moi juste

Je construis un mur dans mon coeur
Je ne voudrais pas laisser mes émotions partir
ça me fait peur de regarder le monde
Je ne veux pas me trouver perdu dans tes yeux
J'essaie de noyer mon passé dans le blême
Je ne voudrais jamais ressentir plus de peine
Je courais loin de toi toi sans dire un mot
Je ne voudrais pas perdre cet amour

à travers mes yeux
Le temps se déchire
Mon émotion a perdu la couleur de la vie
Tues mon coeur
Libères toute ma peine
Je le crie tout haut
La folie s'empare de moi

Me détournant du mur
Je ne peux rien voir
La clameur est profondément en moi
Reflétant une autre personne dans mon coeur
Elle m'appelle de l'intérieur
Toute l'existence que tu vois avant toi
Doit être effacée :
Rêve, réalité, souvenirs et toi-même

Je commence à perdre le contrôle de moi-même
Ma convoitise tant aveugle, elle détruit mon esprit
Personne ne peut arrêter mon détournement vers la folie
Pas question, comment peux tu essayer de me retenir dans ton coeur
Pourquoi ne lèverais tu pas ces murs
Je ne connais pas la signification de la haine
Mon cerveau emporte loin l'écoute des mensonges
Je veux seulement garder ton amour

Poignardes les poupées remplies de haine
toi avec leur sang
Conduis dans le violent cours du temps
Brandis ton arme meurtrière dans le ventre
La Terre
et commences à créer la confusion
Répands ton sang pour le plaisir
Et quoi ? pour l'amour ?
Que suis-je supposé faire ?
Je crois en la folie appelée maintenant
Passé et futur, prison de mon coeur
Le temps est aveugle
Je voudrais tracer mon amour
Sur le mur du temps, au dessus de la peine de mon coeur
L'art de la vie
L'épée folle transperce les rêves
Essaies de faire éclater la vérité maintenant
Mais je ne peux pas cicatriser ce coeur brisé dans la peine
Je ne peux pas commencer à vivre, je ne peux pas finir ma vie
Continues de crier

Fermes mes yeux
Je ne peux pas entendre le souffle du temps
Tout l'amour et la tristesse se mélangent dans mon coeur

Sèches mes larmes
Efface ma face de sang
Je voudrais ressentir ma vie en dehors de mes murs

Tu ne peux pas dessiner une image d'hier
Tu peints ton coeur avec ton sang
Tu ne peux pas dire non
Seulement tourne la roue du temps
Avec une corde autour de ton cou
Tu construis un mur de moralité et tu prends un souffle
Venant d'entre les briques
Tu fabriques des ennemis imaginaires et tu te fais chasser par eux
Tu essaies de te suicider
Tu es satisfait avec ton prologue
Maintenant tu peints ton premier chapitre noir
Tu assembles les morceaux de la vie
Et essaies de te faire un asile
Tu frappes une cloche au bord de la scène

Et tu essaies de me tuer

Je crois en la folie appelée maintenant
Le temps s'écoule brisant mon coeur
Je voudrais vivre
Ne laisses pas mon coeur me tuer
Je n'ai toujours pas trouvé ce que je cherchais
L'art de la vie
J'essaies de m'arrêter
Mais mon coeur va détruire la vérité
Dis moi pourquoi
Je veut comprendre le sens de ma vie
Fais que j'essaie de vivre, fais que j'essaie d'aimer dans mon rêve

Je détruis le mur dans mon coeur
Je voudrais juste laisser mes émotions partir
Personne peut arrêter
Je cours vers la liberté
Pas question que tu essaies de me retenir dans ton coeur
Comme une poupée emportée par le flux du temps
Je sacrifie le moment présent pour le futur
Je suis enchaîné dans mon souvenir à moitié aveuglé
Perdant mon coeur, marchant dans la mer de rêves
Je ferme les yeux
Je ne peux pas entendre les souffles de la rose
Tant l'amour et la tristesse se mélangent dans mon coeur
Sèches mes larmes
Je voudrais ressentir ma vie en dehors de mon esprit

Les rêves ne peuvent pas me rendre fou
Je ne peux pas quitter mon rêve
Je ne peux pas m'arrêter
Je ne sais pas ce que je suis
Quels mensonges sont vérités ?
Quelles vérités sont mensonges ?

Je crois en la folie appelée maintenant
Le temps s'écoule, brisant mon coeur
Je voudrais vivre
Ne laisse pas mon coeur me tuer
Je n'ai toujours pas trouvé ce que je cherchais
L'art de la vie
J'essaie de m'arrêter
Mais mon coeur va détruire la vérité
Dis moi pourquoi
Je veux comprendre le sens de ma vie
Fais que j'essaie de vivre, fais que j'essaie d'aimer

L'art de la vie
Un coeur éternellement saignant
Tu ne rendra jamais ton dernier souffle
Tu voudrais vivre
Ne laisses pas mon coeur me tuer
Je cherche encore
Une rose soufflant l'amour dans ma vie
Au village, sans prétention,
J'ai mauvaise réputation.
Qu'je m'démène ou qu'je reste coi
Je pass' pour un je-ne-sais-quoi!
Je ne fait pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde médit de moi,
Sauf les muets, ça va de soi.

Le jour du Quatorze Juillet
Je reste dans mon lit douillet.
La musique qui marche au pas,
Cela ne me regarde pas.
Je ne fais pourtant de tort à personne,
En n'écoutant pas le clairon qui sonne.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde me montre du doigt
Sauf les manchots, ça va de soi.

Quand j'croise un voleur malchanceux,
Poursuivi par un cul-terreux;
J'lance la patte et pourquoi le taire,
Le cul-terreux s'retrouv' par terre
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En laissant courir les voleurs de pommes.
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout le monde se rue sur moi,
Sauf les culs-de-jatte, ça va de soi.

Pas besoin d'être Jérémie,
Pour d'viner l'sort qui m'est promis,
S'ils trouv'nt une corde à leur goût,
Ils me la passeront au cou,
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En suivant les ch'mins qui n'mènent pas à Rome,
Mais les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Non les brav's gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux,
Tout l'mond' viendra me voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu.




ma chanson de marche favorite ^^
Slipknot - Vermilion, Pt.2

She seemed dressed in all of me, stretched across my shame.
All the torment and the pain
Leaked through and covered me
I'd do anything to have her to myself
Just to have her for myself
Now I don't know what to do, I don't know what to do when she makes me sad.

She is everything to me
The unrequited dream
A song that no one sings
The unattainable, Shes a myth that I have to believe in
All I need to make it real is one more reason
I don't know what to do, I don't know what to do when she makes me sad.

But I won't let this build up inside of me
I won't let this build up inside of me
I won't let this build up inside of me
I won't let this build up inside of me

A catch in my throat choke
Torn into pieces
I won't, nO!
I don't wanna be this...

But I won't let this build up inside of me
I won't let this build up inside of me
I won't let this build up inside of me
I won't let this build up inside of me

She isn't real
I can't make her real
She isn't real
I can't make her real


Slipknot qui se met à faire des jolies chansons
PUTAIN j'avais mis les paroles d'une vingtaine de chansons que j'adorais et tout a été effacé quand j'ai cliqué sur "prévisualisation du message" -_-


VB3 de merde...
-Love can mend your life but love can break your heart
The Police, Message in a Bottle

-And you don't care, so I won't cry. But you'll be sorry when I'm dead, and all this guilt will be on your head
The Police, Can't stand losing you

-Tomorrow I was nothing, Yesterday I'll be.
KS Choice, Believe

-I doesn't matter what I tell her 'cause she changes her mind before she speaks and tense to talk before she thinks
KS Choice, In your room
__________________
And you don't care, so I won't cry.
But you'll be sorry when I'm dead,
And all this guilt will be on your head.
Juste quelqu'une sinon yen na pour 3H de tout mettre lol
GHETTO TRIP

Interprete : sheryo
Auteur : sheryo
Compositeur : sheryo
Année : 2003

Texte :

Les gars dans l'ghetto pétent un cable
mais que faire quand la misère t'accable et que ldiable bouffe à ta table ?
Réfléchis mais réfléchis de speed avant dte faire péter par les stups pour un stupide keusdi
Ecoute c'que je dis parce que c'est vrai qu'ça arrive tous les jours,
la défonce joue des tours et ma route n'est faite que d'détours
Les cadavres de 8.6 jonchent mon parcour mais maintenant j'sais j'me porte mieux sans ce poison dans le sang .
A présent c'est weed shit et pagne-cham , d'temps en temps tequila Rhum histoire de gé-chan
J'pisse dans la Seine , et chie sur la ce-fran ,
J'suis pas comme la plupart d'mes frères qui s'vendent pour quelques francs
Moi je suis un extrémiste , des discours de terroristes , le multirécidiviste puissance 10
Fuck le reste , même si les gros porcs qui leur servent de flics viennent me test constamment pour n'importe quels prétextes .

Je suis jamais armé puisque c'est moi l'arme, cette haine que j'incarne et cette hargne que j'dégage les alarmes.
Ici c'est l'pays du chétane , fais gaffe à pas y laisser ton âme et n'oublie pas que l'argent du rlam retourne dans l'ralam .
Pour l'public je suis un danger , un étranger rongé par l'envie d'se venger , un dérangé
J'rêve de faire sauter une assedic , cramé une A.N.P.E et foutre le feu à la république ,
Avec de sanglantes répliques , une sanglante défaite un échec pour leur idéologie de blanc bec
Dangereux parce que je suis anti-mytho et radical , bad boy lyrical plus recherché que Khaled Kelkal
Quelqu'un à appeler les poulets pendant que j'me saouler " Où il est ? fils de iench ! ramène le faut qu'on le lynche "
Fuck les colbok , On l'dira jamais assez , d'la BRB jusqu'au STUP en passant par la BAC
Tu veux m'faire un procès parce que je te hais ? Mais si je te traite de fils de pute c'est parce que c'est exactement c'que tu es

Comment rester zen en banlieue parisienne ?
kaira ou pas , quand les balles de la police t'atteigne tu saigne .
Normal que mes frères se plaignent , viens dans les cités voir l'atmosphère qui règne .
Vivre libre , trouver l'équilibre ranger les calibres est-ce crédible ? tant qu'les racistes existent c'est impossible .
Pas tan qu'on devra se battre pour s'défendre , crier pour s'faire entendre , et voler pour prendre c'qui y a prendre .

On est tous des kairas potentiels , mais la racaille la plus dangereuse et la racaille qui s'sert de sa cervelle .
Les flingues font " clik " , les flingues font " bla " ,les bad boys doivent faire vite si ils ne veulent pas s'faire ché-cla
Ya pa qu'les flics qui veulent te voir terre-par
Pour du frics , tes frères te tuent et tu sais qu'j'exagère pas

A ton avis , pourquoi y laisse t-on du que-cra et dla coke , alors qui m'cassent les couilles pour les stick que j'smoke ?
Les questions stress mais les réponses font peur ! Laisse moi t'montrer comment un rappeur peut s'transformer en sniper .
Les jeunes vendent du shit et s'prennent pour des gros bonnets , Moi j'veux crouiller l'état comme la fait l'crédit lyonnais ,
parce que c'est l'nerf de la guerre dans la guerre des nerfs , j'veux l'argent et tout le pouvoir qu'il génère .
Et maintenant pour quelques dollars de plus place au chlass , pas le temps d'parler ni d'parlementer juste passe les liasses .
C'est comme ça qu'ça s'passe quand les rapaces ont la dalle , s'il n'y avait pas d'vols et d'deal les squales s'rai tous à poil .
En attendant , les casquettes Lacoste sont vissées sur les têtes , les baskets sont ciré ,les bad boys sont chirés.
Les fachos à la fnêtre rêvent de tirer , constamment les choses ne font qu'empirer .
C'qui est dément c'est qu'ça peut partir en couille à n'importe quel moment et l' gouvernement continue à agir n'importe comment .
J'évite la zon-pri du mieux qu'je peux , mais dans le quartier où j'vis c'est comme éviter d'être mouiller quand il pleut .
J'veux vivre sous d'autres cieux , rentrer , finir ma vie au de-blé et mourir vieux , voilà c'que je veux .
Dédicasse à ceux qui l'savent , à ce qui l'vivent et à ceux qui en bavent tous les jours pour survivre.

JE RESTE UNDERGROUND(LA VRAIE VERSION)


Interprete : Sheryo et Ekoué(La rumeur)
Année : 2004

Texte :



Okay! ha!Tu veux faire l'américano?C'est çà pauv' mec!Hein!Essaie pas d't'interposer.Quand l'underground est sur le point d'exploser.S.H.E.R.Y.O.,E.K.O.U.E.ha!Attends laisse-moi t' dire deux trois p'tits trucs.

(Sheryo)
Ici on fait pas d'ciné crois-moi tu testes,tu gagnes trois mois d'rééducation chez le kiné.Faut qu't'accepte le fait qu'on t'pète en deux quatre sept que notre rap frappe sec et qu'votre rap est absurde.Faut qu't'absorbe chaque texte comme les galériens absorbent la drogue lorsqu'ils ont pas d'job.Hein.Faut qu'tu kill avant qu'on t'kill.Tu peux t'joindre à Deburtel Delabel et v deux t'iras quand même en D2.Ouais j'suis un un haineux.Ramène les wracks que t'exploite on verra c'que je fais d'eux tu sais qui est-ce qui mitraille en freestyle pendant qu'ta garde se soûle avec toutes nos ripailles.J'suis l'type fly qui pisse et chie sur sky,celui qui reste underground pendant qu'ta merde continue à s'vendre.J'fais pas partie d' ceux qui comptent se rendre mais d'ceux qui comptent te ken rentre çà dans ton crâne et dans celui d'Shuriken.Pour présenter l'rap que des radios et des majoradors pendant qu'on restaure le hardcore d'la banlieue nord.Sur n'importe quel support regarde nous pisser sur tes productions cent pour cent pur porc.J'crois pas qu'tu saches qui j'suis donc ferme ta gueule et écoute bien c'qui suit.Foxa,les lopsa da (cosqua)flippent quand nos bites durcissent A.K.H. s'arrache plus vite que Flash quand les troupes surgissent.
Les plus riches nous donnent tous dix sur dix donc pourquoi contredire puisque contredire c'est s'taire contre le pire.Tu sais pas à quoi tu t'exposes quand les projectiles tout droits sortis du sous-sol explosent.Avec des ogives chargés de rimes nocives qui détruisent la moitié d'la ville ou c'est Pecnoville.Ma clique fait pas d'détail et défouraille les write qu'ils soient déguisés en cowboys ou en samouraïs.

(refrain)
Donc remballe tes cliques de merde tes disques de merde tes lyrics de merde mec face à nous tu risques de perdre
emballe tes films de merde tes rimes de merde tes lyrics de merde face à nous tu risques de perdre
emballe tes clips de merde ton équipe de merde face à Anfalsh en clash tu risques de perdre
emballe tes disques de merde tes lyrics de merde tes films de merde face à nous tu risques de perdre.

Sheryo kick c'qui semble être l'unique technique apte à pouvoir réhabiliter l'rap rien à voir avec c'que tu captes toutes les secondes sur les ondes Anfalsh pose les rimes comme on pose des bombes;explose ceux qui osent répondre liquide ces MCs stupides et leurs producteurs cupides.Reste lucide t'es pas un criminel t'es qu'une p'tite frappe face au flow qui kidnappe.On t'encercle et on sert comme vigipirate regarde nous réussir tout c'que tes wracks MCs ratent j'l'ai déjà dit,j'ai pas bsoin d'aide j'reste underground du moment qu' j'reste intègre qu'Akénaton me tienne bien l'sgueg,qu'il continue à écrire les textes de Bambi Cruz et à produire plein d'merde.T'es rempli d'flouz donc remballe tes histoires de cash et d'guns sache que des mecs d'Anfalsh rappent pas pour passer sur Fun.

Remballe tes cliques de merde tes disques de merde tes lyrics de merde mec face à nous tu risques de perdre.
Emballe tes clips de merde tes rimes de merde ton équipe de merde face à nous tu risques de perdre.
Emballe tes clips de merde, ton équipe de merde face à Anfalsh en clash tu risques de perdre.
Emballe tes films de merde, tes rimes de merde face à Ekoué et Sheryo tu risques de perdre.

(Ekoué)

C'est çà mon frère j'croyais pourtant t'avoir entendu dire qu'on enterrait la hache de guerre fallait s'y attendre comme le disait Farid car l'humilité demeure le panache des grands quand les vieilles perfides de ton genre s'égarent complètement.Un conseil frérot fais une pose,ton flow approche doucement d' la ménopose.Laisse-moi t' rappeler quelquechose:depuis que Skyrock a mis ton dernier morceau sur l'trottoir je ne vois plus rien d' contradictoire.Alors de quoi tu m'parles voici le premier mollard d'une longue série car j'suis la frénésie d' ton départ point barre,celle qui conduira ton oeuvre dans les poubelles de l' histoire .La barre est haute middle kick dans les côtes.Et ton single giclant par terre,à qui la faute réponds avant qu'çà dégénère.Je reste underground et toi reste tranquille,surveille ton langage ta vieille tête est mise à prix,des quartiers pauvres de Marseille jusqu'en banlieue de Paris.

Remballe tes clips de merde,tes disques de merde tes lyrics de merde mec face à nous tu risques de perdre.
Remballe tes rimes de merde,tes films de merde,ton équipe de merde,face à nous tu risques de perdre.
Remballe tes films de merde,ton équipe de merde face à Anfalsh en clash tu risques de perdre.
Emballe tes clips de merde tes disques de merde face à Ekoué et Sheryo tu risques de perdre.

...Hein!T'as capté espèce de tasspé?Emballe toute ta quincaillerie...tous tes trucs pharaoniques et ta merde...Dégage de al,voici les best qui s'installent. Anfalsh, la Rumeur,Ekoué et Sheryo...Spécial Homicide...dishtro...N.A.V.E.A. la Fonky Zya...Yah! On est on est là!!!


CEUX QUI LE SAVENT M'ÉCOUTENT

Interprete : tandem
Auteur : tandem
Année : 2000

Texte :

Refrain (x2)
Une fois de plus, je ressors en pleurs de mes couplets
J'en perds mon algèbre, d'où mon surplus de pleurs superflus
Si nos jours sont ravagés, sauvageon soit plus agile
Jeune incivil réagit



Mac Grégor
Regarde donc la peine quintessence de mon désarroi
J'ai dû trop de fois craquer du briquet
Pourquoi ai-je pris tant de claques pour changer de décor ?
Désormais, il est temps pour moi de me libérer de mes chaines
J'ai trop de fois été choyé par le sangot du sang
Sans toutes ses haleines fétides !
Sache qu'il est vrai qu'un chien ne peut te mordre lorsqu'il est muselé
Tenterais-tu d'usurper mon charisme
Le Christ ne tesuffit-il donc plus ?
J'ai cette fâcheuse tendance à prendre la mouche...
Aveuglé par tant de foruberie, je n'entends que les cris
odieux du fond de mes poches
J'emmerde les conflits sociaux stratégiques
Et tous les diplômés de nos grandes écoles
que l'on forme dans l'idée de finir le sale boulot
Ils souhaitent tous qu'on me baillone
Mais tant que l'Afrique ne sera pas liberée
Je serai chez moi partout dans le monde !

Le tonnerre gronde sur ma vile, négro
On me sucpecte de trop croiser le fer
contre les spectres d'une fâcheuse histoire
Serais-je le Don Quichotte des temps modernes
L'homme que l'on shoote sur les piloris
Celui qui en stud' ne fais pas de One Shot
K.R.E.G.O.R. frangin, voilà 6 lettres nominatives
Qui te résument les ébats de ma souffrance
Enfants et fils d'une terre écartelée
Je m'en remets à un quelconque pouvoir céleste
Qui me libérera de mes barbelés
Mon coeur se brise et j'entends ses battements
J'en pose une contre tous ces pourvoyeurs de ragots
qui m'épatent rarement
Contrairement à ceux qu'on entrave en aucun cas, je me prive
Une brève brise de colère sur cet amont de rage ne peut me détruire



Refrain (x2)


Mac Tyer
Mes nuits sont pontuées de rêves obscurs
L'oeil humecté de pleurs, je me re réveille de mes cauchemars
Dévorés par de noires songeries
Rongés par un désir sans trêve de trouver la brêche
Mec, je me sens comme sous la menace d'une arme
La mort d'un être cher nous sere le coeur
Il est donc sûr que la morsure d'un serpent reste mortelle
Du bas de mes hautes tours, Babylone crève sous les caprices de Lucifer
Étrange beauté sous un voile cruel
Crois-tu vraiment que les bandits meurent de viellesse ?
C'est par coupures de presse que j'ai appris la mort de Mesrine
Pour ceux qui s'empressent de brasser des liasses
Sachez que le chien en laisse a plus de rage que la caniche de luxe
J'ai vécu comme un kamikaze à vive allure comme un voyou
Vois-tu comme il coûte cher de vivre libre
Et que de dire des calibres du libre essor des narcotiques
C'est le bordel dans les gardes à v'
Quand nos gueules se cognent sur les portiques
D'ici crâche lachement la haine des H.L.M.
Pyromanie passionnelle, héros dans l'abîme pour les garoches
Je m'evertue à faire des vers de tuerie
Mais ça m'ennuie que ma tirade soit la déprime d'un jeune premier
J'ai compris ma crainte quand le choc brutal avec la brique
Me gratifia d'une balafre encore une affre de ma vie d'ex-dur
Est-ce plausible que la zone explose
Tout est Plausible si bien
Que nos gamins s'enlisent dans la boue


Refrain (x4)


que du rap de chez moi je repasserais mettre des lyric's
Nirvana - Dumb

I'm not like them
But I can pretend
The sun is gone
But I have a light
The day is done
But I'm having fun
I think I'm dumb

Or maybe just happy
Think I'm just happy


My heart is broke
But I have some glue
Help me inhale
And mend it with you
We'll float around
And hang out on clouds
Then we'll come down
And have a hangover ... Have a hangover


Skin the sun
Fall asleep
Wish away
The soul is cheap
Lesson learned
Wish me luck
Soothe the burn
Wake me up
Noir Desir - un jour en france.

Citation :
Au bistrot comme toujours
Il y a de beaux discours
Au poteau les pourris, les corrompus aussi
Dents blanches et carnassiers
Mais à la première occasion
Chacun deviendrait le larron
De la foire au pognon oui qui se trame ici
Allez danse avec Johnny

Se rappellent de la France
Ont des réminescences
De l'ordre, des jeux, de l'essence
Quand on vivait mieux
Il y avait Paul et Mickey
On pouvait discuter mais c'est Mickey
Qui a gagné
D'accord, n'en parlons plus

Un autre jour en France
Des prières pour l'audience
Et quelques fascisants autour de 15%
Charlie défends-moi !!!
C'est le temps des menaces
On a pas le choix pile en face
Et aujourd'hui, je jure que rien n'se passe
Toujours un peu plus

F.N. souffrance
Qu'on est bien en France
C'est l'heure de changer la monnaie
On devrait encore imprimer le rêve de l'égalité
On n'devra jamais supprimer celui de la fraternité
Restent des pointillés... Yeah, Yeah, Yeah !!!
le maitre, stout.
IAM "Demain c'est loin"

L'encre coule, le sang se répand
Absorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoire
Je parle de ce que mes proches vivent et de ce que je vois
Des mecs coulés par le désespoir qui partent à la dérive

Des mecs qui pour 20.000 de shit se déchirent
Je parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rire
Rire, sourire, certains l'ont perdu je pense à Momo
Qui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revu

Tenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frère
Mais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrière
Pousse pousser au milieu d'un champs de béton
Grandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les ronds

La pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvements
On coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vend
A tour de bras, on fait rentrer l'argent du crack
Ouais, c'est ça la vie, et parle pas de rmi ici ici ici

Ici, le rêve des jeunes c'est la Golf gti, survet' Tachini
Tomber les femmes à l'aise comme many
Sur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bien
Dieu merci, j'ai grandis, je suis plus malin, lui il crève à la fin

La fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsains
Et on tient jusqu'à demain, après on verra bien
On marche dans l'ombre du malin du soir au matin
Tapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand chemin

Chemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieu
Frapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veut
Une route pour y entrer deux pour s'en sortir, 3/4 cuir
Réussir, s'évanouir, devenir un souvenir

Souvenir être si jeune, avoir plein le répertoire
Des gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou!
c'est le noir
Croire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirs
Vont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirs

Tirroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enfer
Sur terre, on construit son paradis
Fiction, désillusion trop forte, sors le chichon
La réalité tape trop dure, besoin d'évasion

Evasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est gris
Les murs, les esprits, les rats la nuit
On veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'action
Fausse diversion, un jour tu pètes les plombs

Les plombs, certains chanceux en ont dans la cervelle
D'autres se les envoient pour une poignée de biftons, guerre fraternelle
Les armes poussent comme la mauvaise herbe
L'image du gangster se propage comme la gangrène sème ses graines

Graines, graines, graine de délinquant qu'espérez-vous? Tous jeunes
On leur apprend que rien ne fait un homme à part les francs
Au franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champs
Trop grand, impossible a arrêté

Arrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortie
On prend trois mois, le bruit court, la réputation grandit
Les barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épine
Fine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'anime

S'anime, anime animé d'une furieuse envie de monnaie
Le noir tombe, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamber
Perdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plus
Ca aidera, personne demandera d'où ils sont tombés

Tomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousin
De toute façon dans les deux cas, on s'en sort bien
Vivre comme un chien ou un prince, y'a pas photo
On fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyaux

Joyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est loin, la flèche
Ricoche, le diable rajoute une encoche trop moche les mecs cochent
Leur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches,
les coups de pioche
Creuser un trou, c'est trop fastoche

Fastoche, facile le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantise
Et porcelaine dans le pare-brise
Tchac! le rasoir sur le sac à main, par ici les talbins
Ca c'est toute la journée, lendemain, après lendemain

Lendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jour
On n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennent
Demain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesure
On avance en surveillant nos fesses pour parler au futur

Futur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochaines
Seront pires que nous, leur vie sera plus morose
Notre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiper
Prévenir avant de se faire clouer

Clouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bière
On siffle les gazières qui n'ont pas de frère
Les murs nous tiennent comme du papier tue-mouches
On est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourche

Fourche, enfourcher les risques seconde après seconde
Chaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondes
Contre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terre
Les obstinés refusent le combat suicidaire

Cidaire, sidérés, les dieux regardent, l'humain se diriger vers le mauvais
Côté de l'éternité d'un pas décidé
Préfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerder
Y'a qu'ici que les anges vendent la fumée

Fumée, encore une bouffée, le voile est tombé
La tête sur l'oreiller, la merde un instant estompée
Par la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquer
Un enfant se fait serrer, pour une Cartier menotté

Menotté, pieds et poings liés par la fatalité
Prisonnier du donjon, le destin est le geôlier
Le teurf l'arène on a grandi avec les jeux
Gladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peut

Dans les constructions élevées
Incompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevés
Frictions, excitation, patrouilles de civils
Trouille inutile, légendes et mythes débiles

Haschich au kilo, poètes armés de stylo
Réserves de créativité, hangars, silos
Ca file au bloc 20, pack de Heineken dans les mains
Oublier en tirant sur un gros joint

Princesses d'Afrique, fille mère, plastique
Plein de colle, raclo à la masse lunatique
Economie parallèle, équipe dure comme un roc
Petits Don qui contrôlent grave leurs spots

On pète la Veuve Cliquot, parqués comme à Mexico
Horizons cimentés, pickpockets, toxicos
Personnes honnêtes ignorées, superflics, Zorros
Politiciens et journalistes en visite au zoo

Musulmans respectueux, pères de famille humbles
Baffles qui blastent la musique de la jungle
Entrées dévastées, carcasses de tires éclatées
Nuée de gosses qui viennent gratter

Lumières oranges qui s'allument, cheminées qui fument
Parties de foot improvisées sur le bitume
Golf, VR6, pneus qui crissent
Silence brisé par les sirènes de police

Polos Façonnable, survêtements minables
Mères aux traits de caractère admirables
Chichon bidon, histoires de prison
Stupides divisions, amas de tisons

Clichés d'Orient, cuisine au piment
Jolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de ciment
Désert du midi, soleil écrasant
Vie la nuit, pendant le mois de Rhamadhan

Pas de distractions, se créer un peu d'action
Jeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attraction
Rires ininterrompus, arrestations impromptues
Maires d'arrondissement corrompus

Marcher sur les seringues usagées, rêver de voyager
Autoradios en affaire, lot de chaînes arrachées
Bougre sans retour, psychopathe sans pitié
Meilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouver

Génies du sport faisant leurs classes sur les terrains vagues
Nouvelles blagues, terribles techniques de drague
Individualités qui craquent parce que stressées
Personne ne bouge, personne ne sera blessé

Vapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcool
Fourgon de la Brink's maté comme le pactole
C'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cage
Bave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étage

Dealer du hashich, c'est sage si tu veux sortir la femme
Si tu plonges, la ferme, pas drame
Mais l'école est pas loin, les ennuis non plus
Ca commence par des tapes au cul, ça finit par des gardes à vues

Regarde la rue, ce qui change? Y'a que les saisons
Tu baves du béton, crache du béton, chie du béton
Te bas pour du laiton, est-ce que ça rapporte
Regrette pas les biftons quand la bac frappe à la porte

Trois couleurs sur les affiches nous traitent comme des bordilles
C'est pas Manille ok, mais les cigarettes se torpillent
Coupable innocent, ça parle cash, de pour cent
Oeil pour oeil, bouche pour dent, c'est stressant

Très tôt, c'est déjà la famille dehors, la bande à Kader
Va niquer ta mère, la merde au cul, ils parlent déjà de travers
Pas facile de parler d'amour, travail à l'usine
Les belles gazelles se brisent l'échine dans les cuisines

Les élus ressassent rénovation ça rassure
Mais c'est toujours la même merde, derrière la dernière couche
De peinture, feu les rêves gisent enterrés dans la cour
A douze ans conduire, mourir, finir comme Tupac Shakur

Mater les photos, majeur aujourd'hui, poto
Pas mal d'amis se sont déjà tués en moto
Une fois tu gagnes, mille fois tu perds, le futur c'est un loto
Pour ce, je dédie mes textes en qualité d'ex-voto, mec

Ici t'es jugé à la réputation forte
Manque-toi et tous les jours les bougres pissent sur ta porte
C'est le tarif minimum et gaffe
Ceux qui pèsent transforment le secteur en oppidum

Gelé, l'ambiance s'électrise, y'a plein de places assises
Béton figé fait office de froide banquise
Les gosses veulent sortir, les "non" tombent comme des massues
Les artistes de mon cul, pompent les subventions dsu

Tant d'énergie perdue pour des préjugés indus
Les décideurs financiers plein de merde dans la vue
En attendant, les espoirs foirent, capotent, certains rappent
Les pierres partent, les caisses volées dérapent

C'est le bordel au lycée, dans les couloirs on ouvre les extincteurs
Le quartier devient le terrain de chasse des inspecteurs
Le dos a un oeil car les eaux sont truffées d'éceuils
Receuille le blé, on joue aux dés dans un sombre cerceuil

C'est trop, les potos chient sur le profil Roméo
Un tchoc de popo, faire les fils et un bon rodéo
La vie est dure, si on veut du rêve
Ils mettent du pneu dans le shit et te vendent ça Ramsellef

Tu me diras "ça va, c'est pas trop"
Mais pour du tcherno, un hamidou quand on a rien, c'est chaud
Je sais de quoi je parle, moi, le bâtard
J'ai dû fêter mes vingt ans avec trois bouteilles de Valstar

Le spot bout ce soir qui est le King
D'entrée, les murs sont réservés comme des places de parking
Mais qui peut comprendre la mène pleine
Qu'un type à bout frappe sec poussé par la haine

Et qu'on ne naît pas programmé pour faire un foin
Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin

NTM "j'appuie sur la gachette"

Seul dans la pénombre, avec mon passé,
cherchant à me remémorer les joies et les raisons
pour lesquelles j'encaisse la monotonie de cette vie.
Plus désarmé qu'au premier jour,
les années blanches de ma jeunesse
se sont laissées posséder.
Quant au futur! Le futur j'ose même pas y penser.
Vide est ma vie et pourtant je n'ai pas choisi
tant le présent n'est que néant...

Tout a commencé sûrement le jour où je suis né,
le jour où je n'ai pas croisé la bonne fée
qui aurait fait de moi ce que je ne suis pas.
Ceux qu'il m'arrive d'envier parfois,
ceux que la vie à doté d'une chance,
mais moi malheureusement voilà, je n'en suis pas là,
et privé de ça, pourquoi devrais-me mener un combat?
De toutes façons pas la peine,
je connais la rengaine mais je n'ai pas de force.
Mon amour pour la vie s'est soldé par un divorce,
moi aussi j'ai rêvé de connaître l'idéale idylle,
le désir, la passion de ne pas perdre le fil.
Quitter sur le champ la ville, s'isoler sur une ile.
Au lieu de ça, ma vie file, se faufile et défile
sans domicile fixe.
J'ai toujours relevé la tête, même à genoux.
Mais ce soir, je suis fatigué de lutter
et pense sérieusement à tout déconnecter.
L'hiver a posé son manteau,
comme si la mort était déjà là, tout près de moi.
Le froid me lacère la peau,
comme cette vie, dont je n'ai plus envie.
Egaré dans ces pensées, où tous ne cessent de m'apitoyer.
Voilà, ce soir je vais craquer, ne pouvant échapper à mon destin.

L'âme stressée, le cerveau compressé,
comme usé par la guerre des nerfs
à laquelle je dois me livrer.
Subir sans pitié, sans répit, voilà ma vie.
Gris semble l'avenir et noir est a couleur de mon esprit.
Je n'essaye plus de comprendre, ni de me faire entendre,
je suis le troupeau avec un numéro collé dans le dos.
Métro, boulot, aseptisé du cerveau.
Mon ultime évasion se trouve dans le flot de ces mots.
Quarante ans de déboires passés à la lumière du désespoir.
Tu peux me croire ça laisse des traces dans le miroir.
J'ai les neurones affectés et le c½ur infecté,
fatigué de lutter, de devoir supporter la fatalité
et le poids d'une vie de raté.
Voilà pourquoi je m'isole, pourquoi je reste seul.
Seul dans ma tête libre, libre d'être
un esclave en fait battant en retraite,
fuyant ce monde d'esthètes en me pétant la tête.
OK, j'arrête net, j'appuie sur la gâchette.
Citation :
Publié par Sévooth le mécréant
Du Lofofora, les paroles sont géniales et criantes de vérité comme d'habitude :

Les gens
Les gens sont comme des animaux
qui ne naissent ni libres ni égaux.
Prétentieux et compliqués,
ils ont toujours quelque chose à cacher.
Ils s'évitent des yeux dans les ascenseurs,
restent silencieux, ne se parlent pas,
se méfient de toi, chacun dans sa peur,
nerveusement font semblant de regarder l'heure.
Les gens,
monsieur tout le monde les connaît bien,
il est l'un d'eux, voilà pourquoi,
monsieur tout le monde ne les aime pas.

Les gens sont hypocrites et menteurs,
se complaisent dans leurs airs supérieurs,
s'envoient des poignards dans le dos ou des fleurs
et se traînent comme des larves face à la douleur.
Ils ne supportent ni la mort ni de rester seul,
ils ne savent jamais vraiment ce qu'ils veulent,
ils rêvent de pognon, de bagnoles et de maisons
et le dernier qui parle a toujours raison.

Reprise.

Pas mieux. Ma preferée de Lofo.
UN JOUR DANS NOTRE VIE

ouh ! eh !
tu verras
que nous resterons intacts
devant chacun de nos actes
affectifs de nos états
quand on se voit courir sous les pluies
agressés par l'ennui, ou l'envie
un revolver chargé dans la poche
parce que le monde est drôlement moche !
et tu verras !

et tu verras
qu'un jour dans notre vie
on nous illuminera
qu'un jour dans nos esprits
le rêve continuera

tu vois tu vois
ouh ! eh !
tu verras
que nous saurons les surprendre
que nous saurons profiter
et rester maîtres de nos offrandes
que l'on dira merde à nos pères
que l'on s'en fout d'aller en enfer
que l'on ira traîner avec toi
traîner dans les airs

et tu verras
qu'un jour dans notre vie
on nous illuminera
qu'un jour dans nos esprits
le rêve continuera

tu vois tu vois
ouh ! eh !
ouh ! eh !
tu verras
qu'un jour dans notre vie
on nous illuminera
qu'un jour dans nos esprits
le rêve continuera
que nous nous emporterons
vers nos célébrations
qu'une nuit dans notre vie
nous nous illuminerons
tu vois tu vois
tu vois tu vois

Indochine (source : indo.fr)
Ideal J : Un nuage de fumée

[Refrain]


Un nuage de fumée me contient


Dans un simple joint, ma rage je contiens


Un liquide nocif m'atteint


Puis soudain le malin qu'il contient


Déteint sur mes traits


Là, tout devient abstrait,


Je tire un trait sur le respect


Là, tout devient abstrait,


Je tire un trait sur le respect


Mon âme clame que l'on plane


Dans une atmosphère de drame


On rame


[/refrain]


J'sais qu'un nuage de fumée néfaste me contient

Parce que dans un simple joint ma rage je contiens

Très bien, à qui cela profite, dis-moi qui y tient ?

Mesquins sont restés ceux qu'ont décidé d'élire les tiens



A petit feu mais à coup sûr,

Je consume mon future

Ce nuage devient un mur

Et je crois me protéger des coups durs

En fait, chacun de nous sait fuir une réalité

Ou s'être enfermé dans un vice

Qui devient vite ton complice



De tous les jours

Laisse-moi m'exprimer à ce sujet

Et te démontrer le jeu auquel on est sujet

On nous a vu spliff à la bouche dans la té-ci

Déambuler dans les rues sans même faire gaffe aux plus petits

Faut pas que tu te trompes, on nous a également montré l'exemple



On aurait pu penser que ça nous aurait servi d'exemple

Mais incapables à ce jour d'assumer nos responsabilités

On préfère leur dire " j'vais niquer si j'te vois fumer "

Comme si ça nous avait empêchés de le faire

Regarde comme tu t'affaires sur les traces de Lucifer

Car comme tout le monde, t'as pensé pouvoir gérer



Maintenant, t'allumes un spliff avant même d'avoir déjeuné

Un nuage de fumée, infâme

Enfume ton âme

Accepte qu'à l'évidence une dépendance s'établit

Tu noies ton cerveau dans l'absence et peu à peu, tu t'oublies

Simulacre au goût âcre d'une vie qui t'as fais battre en retraite

Parce que t'es de venu ce que t'as pas voulu être



Si la vérité, j'viens faire éclater

C'est sûrement que je me trouvais dans un moment de lucidité

Car un nuage de fumée m'a trop souvent ralenti

Perverti mes pensées ou ramolli l'esprit

Et je prie pour que mon petit

Frère n'en soit jamais épris

Je prie pour que ma vie s'éloigne à jamais de ce vice.



[Refrain]




J'sais qu'un liquide nocif m'atteint

Puis soudain, le malin qu'il contient déteint sur mes traits

Là, tout devient abstrait

Je tire un trait sur le respect



L'inconvénient, tu sais, c'est qu'avant de penser, je fais

C'est vrai, combien de tes refrés ont dû maîtriser l'alcool

Mais sont tombés sous son effet

Quand un liquide fluide nocif coule dans ton sang

Je sais qu'en quelque temps,

Tu te sent un combattant

Un guerrier, un chevalier



Pour tout niquer, t'as pas besoin d'alliés

Tu fais des trucs de fous à lier, damné

Pire encore sont ceux qui ont détruit leur famille

Battu leur femme, maltraité leurs gosses

Dans un simple verre, leurs rêves se condamnent

Lorsqu'on est devenu ce qu'on a pas voulu être



Par cette vie déçu, s'autodétruire

Voilà ce qu'on se met en tête

Et ça, c'est vrai pour toi lui et moi

On se maintient sur le fil de la vie jusqu'aux faux pas

As-tu observé la tristesse de ceux qu'on loupé leur jeunesse



Donc se noient dans l'ivresse, ont des blessures profondes

Sur leur sort se morfondent en fait

Quand on s'enferme dans une bouteille

C'est qu'il y a quelque chose qu'on regrette

C'est net et clair que la vie dans le flash est un éclair

Les conséquences morales sont aussi amères que sévères

Première chose, tu fais du mal à ceux qu'on aime

Est-ce l'extrême profondeur de nos peines

Qui nous assènent d'une haine

Qui elle entraîne une violence quotidienne

Qu'elle soit physique ou morale

Perpétrée ou subie, à chaque fois, elle fait mal

[Refrain]
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand
Qui a volé a volé a volé a volé a volé a volé l'orangeuh
Qui a volé a volé a volé l'orangeuh du marchand

Message roleplay
Svinkels - Réveille le Punk ( Sur l'album Tapis Rouge )

Je veux réveiller le punk qui est en moi
Réveiller le stupid, stupid, punk, punk
Je veux réveiller le punk qui est en moi
Faire péter le kepon paye ton punk
Fait péter le punk
Je veux réveiller le punk qui est en moi Réveiller le stupid, stupid, punk, punk
Je veux réveiller le punk qui est en moi Réveiller le kepon paye ton punk
Fait péter le punk
Gérard Baste, la Nina Hagen française

Je veux réveiller le punk qui est en moi
Faire péter le junkie
Ce soir j’en ai marre d’être funky
J’veux disjoncter à l’acide
Gerber juste avant le concert
Monter sur scène tout livide
Avec un banjo
Même si j’troc mes Rangos
Pour des Mephistos
J’kifferai toujours une guitare disto
Slam, jette toi dans les flammes
J’resterai Rock n’ Roll dans l’âme jusqu’à ce que j’clamse
J’ai brûlé mes verrues
Mais jamais j’brûlerai mes vieux albums des Bérus
Fils j’en suis trop féru plus que Jean Ferra
Je préfère le rock ferreux de Panthera
Adhère à la philosophie
De l’ivrogne notoire
Qui souvent utilisa le trottoir comme dortoir
Mon ossature sature
Toutes ces bitures
Laissent des points de suture
Si j’continue ce sera « No Futur »
Gérard Baste arrête de t’fonçder
Disent les mecs alors que j’suis en train d’vider
Mon bide dans l’bidet
Ils comprennent rien à l’anarchie
Mec tu veux un groupe rebelle moi j’le suis archi !
En direct et pas en duplex
Nique tes complexes
Le son claque dans tes dents
Serré comme les rangs d’une triplex
J’m’en fous J’saute comme Donkey Kong
Je ne vivrai jamais comme quiconque
Car j’ai réveillé le punk

Je fais la grasse matinée
Reste dans mes odeurs
J’empeste mauvaises OD
De la veille quelle horreur
Le punk se réveille
Eclate son réveille
Sur le téléphone qui sonne
J’m’assomme,
Réveille le punk qui sommeille
J’bondis de mon sommier
Me rince le gosier
Môme la bière que j’achetais
Ne servait qu’à me coiffer
Crise d’adolescence, punk naissant
Semblant d’famille délaissant
Je suis bête et méchant
En rade à Marmotant
Barbotant dans mon sang
Après un pogo Je suis le vilain sauvage pas beau
Pire qu’un lobo
V’là mon logo Fallait pas m’laisser dans l’labo d’chimie
J’ai tout bégo
Quoi d’neuf doc gros coup d’Doc coquée
Dans mon hip hop troqué contre du rock
Sort ton perfecto défroqué
Tu seras Ok Pour ne pas terminer
Comme la femme des Sex Pistols
Dans l’frigo tout découpé
Couplé à ma bière
Comme si c’était mon frère
J’suis fier y a qu’elle qui me nourrisse
J’t’épingle à nourrisse
J’ai bu comme Ludwig
Quatre Vingt 8,6
Double zéro de Conduite
Six Suicidal Tendances
Mon single de cinglé
Le tube de l’éther
Plus anti-social que Trust
Je pue comme le Munster
L’épave lance le pavé
Dans la manifestation
Prônant l’auto destruction
J’ai perdu ma génération
Des Who jusqu’au Wu Tang
Je vais te faire fuir
Je représente ceux qui utilisent leur cervelle à la détruire ²
par souci de visibiliter je met sa en lien

la premiere est de babylon circus un grp que j'ai decouvert lors d'un concert gratuit ds ma ville

a l'humeur de meche

et la seconde ( copier coller ) de Soad

Atwa



Hey you, see me, pictures crazy
All the world I've seen before me passing by
I've got nothing, to gain, to lose
All the world I've seen before me passing by

Refrain
You don't care about how I feel
I don't feel it any more
You don't care about how I feel
I don't feel it any more
You don't care about how I feel
I don't feel it any more
You don't care about how I feel

I don't feel it any more

Hey you, are me, not so pretty
All the world I've seen before me passing by
Silent my voice, I've got no choice
All the world I've seen before me passing by

Refrain

I don't feel it any more
I don't see, anymore
I don't hear, anymore
I don't speak, anymore
I don't feel

Hey you, see me, pictures crazy
All the world I've seen before me passing by
I've got nothing, to gain, to lose
All the world I've seen before me passing by

Refrain

I don't feel it any more
I don't sleep, anymore
I don't eat, anymore
I don't live, anymore
I don't feel
I Got Id, de Pearl Jam

my lips are shakin' my nails are bit off
been a month since i've heard myself talk
all the advantage this life's got on me
picture a cup in the middle of the sea
and i fight back in my mind
never lets me be right
i got memories i got shit
so much it don't show

oh i walked the line when you held me in that night
i walked the line when you held my hand that night

an empty shells seem so easy to crack
got all these questions don't know who i could even ask
so i'll just lie alone and wait for the dream
where i'm not ugly and your lookin' at me
and i stare you back
oh blue eyes, i've seen it
if just once i could feel love
oh stare back at me, yeah..

but i walked the line when you held me in that night
oh i walked the line when you held my hand that night
oh i walked the line when you held me close that night
i paid the price never held you in real life



J'adore cette chanson, particulierement la derniere ligne, terriblement triste, mais elle me donne envie de ne pas (plus) faire la même erreur.
J'ai la quequette qui colle,
J'ai les bonbons qui font des bons,
J'ai la quequette qui colle,
Dansons sur le pont d'Avignon...
Viens avec moi dans la clairière,
Tu verras de quoi elle à l'air,
Et si tu montes jusqu'au grenier,
Tu pourras la toucher !

Joyeuse comptine et farandole,
J'ai la quequette qui colle !

J'ai les arpions qui fouettent,
Et des morpions, plein les roupettes,
Des pellicules sur l'crâne,
Comme tous les gars de la campagne...

Si tu me suis au presbytère,
J'te déballerais toutes mes affaires,
Et si tu veux qu'j'te montre mon cul,
Allons nager au ru !

Faisons la ronde jolie Juliette,
Danse avec moi la gigolette,
J'ai les arpions qui fouettent !

J'ai le claque-merde qui r'foule,
Et du pelage dans les esgourdes,
Des bubbons sur les boules,
L'arrière-cour qui fleure la palourde...

Allons butiner la fleurette,
Tu m'épouilleras de mes bêbêtes,
Et si c'est propre, et si c'est net,
Je te f'rais la brouette !

Chante avec moi la pêche aux moules,
J'ai le claque-merde qui r'foule !

J'ai la quequette qui colle,
J'ai les bonbons qui font des bons,
J'ai la quequette qui colle,
Dansons sur le pont d'Avignon...

Rage Against The Machine, Wake Up ( bo matrix )

Reveille toi

Bien que tu tentes de discréditer
T'as toujours le contrôle
Je vais réussir
Radicalement poétique
Debout plein de la fureur qu'ils avaient en 66
Et tout comme E-Double, je suis fou
Encore dans la merde du système jusqu'aux genoux
Hoover, il faisait disparaitre des mecs
J'te donnerai mon avis
Mais ça ne ressemblera jamais
A la rage amassée au fond de moi
Le poing en l'air, au pays de l'hypocrisie
Les mouvements naissent les mouvements disparaissent
Les leaders parlent, les mouvements cessent
Lorsque les têtes tombent
Car tous ces pauvres mecs
Ont des balles dans la tête
Services de police, les juges, les fédéraux
Médias au travail qui maintiennent les gens calmes

Tu sais qu'ils ont poursuivi King
Lorsqu'il a parlé du Vietnam
Il a donné le pouvoir aux démunis
Et c'est alors que le coup est parti

Poésie futée, je fais jouer mon esprit
Flip comme Wilson, des chansons qui jamais ne manquent de cette finesse
Qu'est-ce je dois faire pour te réveiller
Pour te secouer, pour faire éclater le système
Car ce sang coule toujours dans le caniveau

Bon je suis en train de prendre des photos
Un con donne un coup de pied dans l'obturateur et l'ouvre
Ca donne l'ambiance
Et je cogne et bouge comme si j'étais Cassius
Je répète les mouvements
Viens, viens jouer
Puis l’che un gauche sur les fascistes
Ouais, les nombreux fédéraux
Qui ont tiré des plans sur le rêve
Et l'ont achevé
Tu f'rais mieux de faire gaffe
Au ch’timent de la guerre idéologique
Visions 20/20 et fresques taguées pleines de métaphores

Les médias au travail qui maintiennent les gens calmes
Tu sais qu'ils ont assassinés X
Et ont tenté de faire porter le chapeau à l'Islam
Il a donné le pouvoir aux démunis
Et c'est alors que le coup est parti
Quelle était la récompense pour sa tête ?
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Ashraam Darken
Marylin Manson - The nobodies

Today I am dirty
I want to be pretty
Tomorrow, I know I'm just dirt

Today I am dirty
I want to be pretty
Tomorrow, I know I'm just dirt

We are the nobodies
we wanna be somebodies
when we're dead,
they'll know just who we are

We are the nobodies
we wanna be somebodies
when we're dead,
they'll know just who we are

Yesterday I was dirty
wanted to be pretty
I know now that I'm forever dirt

Yesterday I was dirty
wanted to be pretty
I know now that I'm forever dirt

We are the nobodies
we wanna be somebodies
when we're dead,
they'll know just who we are

We are the nobodies
we wanna be somebodies
when we're dead,
they'll know just who we are

Some children died the other day
we fed machines and then we prayed
puked up and down in morbid faith
you should have seen the ratings that day
La même chose pour moi!!! (version accoustic....)

PS: pour made in Brest euh pardon Marseyes .... ya des filles biens aussi a Brest!!!! Par contre les gars.....
Citation :
Publié par Merlain
par souci de visibiliter je met sa en lien

la premiere est de babylon circus un grp que j'ai decouvert lors d'un concert gratuit ds ma ville

a l'humeur de meche

et la seconde ( copier coller ) de Soad

Atwa



Hey you, see me, pictures crazy
All the world I've seen before me passing by
I've got nothing, to gain, to lose
All the world I've seen before me passing by

Refrain
You don't care about how I feel
I don't feel it any more
You don't care about how I feel
I don't feel it any more
You don't care about how I feel
I don't feel it any more
You don't care about how I feel

I don't feel it any more

Hey you, are me, not so pretty
All the world I've seen before me passing by
Silent my voice, I've got no choice
All the world I've seen before me passing by

Refrain

I don't feel it any more
I don't see, anymore
I don't hear, anymore
I don't speak, anymore
I don't feel

Hey you, see me, pictures crazy
All the world I've seen before me passing by
I've got nothing, to gain, to lose
All the world I've seen before me passing by

Refrain

I don't feel it any more
I don't sleep, anymore
I don't eat, anymore
I don't live, anymore
I don't feel
bien joué, excellent choix l'ami
London calling to the faraway towns
Now that war is declared-and battle come down
London calling to the underworld
Come out of the cupboard, all you boys and girls
London calling, now don't look at us
All that phoney Beatlemania has bitten the dust
London calling, see we ain't got no swing
'Cept for the ring of that truncheon thing

[CHORUS]
The ice age is coming, the sun is zooming in
Engines stop running and the wheat is growing thin
A nuclear error, but I have no fear
London is drowning-and I live by the river

London calling to the imitation zone
Forget it, brother, an' go it alone
London calling upon the zombies of death
Quit holding out-and draw another breath
London calling-and I don't wanna shout
But when we were talking-I saw you nodding out
London calling, see we ain't got no highs
Except for that one with the yellowy eyes

[CHORUS]

Now get this
London calling, yeah, I was there, too
An' you know what they said? Well, some of it was true!
London calling at the top of the dial
After all this, won't you give me a smile?

I never felt so much a' like
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