Provient du message de Sercille Nukem
AazHAERHERHREH YU VOMPARES JEKN LE SURVIVANT 0 BERZERTK MAIS T4ES MALADE lm!j
Précisément, parlons-en au contraire. Il est des gens pour lesquels la salive ne vaut pas la peine d'être gaspillée, mais on peut prendre le temps d'éclairer Soroya.
Il y a d'abord un intérêt historique. Quand j'ai découvert Berserk il y a plusieurs années déjà, personne ou presque ne connaissait cette série en France (et moi non plus, d'ailleurs). Si je suis venu à la connaître, c'est par le biais de la communauté française des fans de Hokuto no Ken de l'époque dont l'un des fondateurs prêchait pour le connaissance de cette série (Berserk). Tout ça pour dire que si on aime l'un, il y a de grandes chances qu'on aime l'autre, malgré les univers forts différents. C'était le cas des fans de Ken de l'époque.
Ceci dit, les héros n'ont pas grand-chose en commun, même physiquement. Bien sûr, ce sont deux grands bruns musclés, mais ça s'arrête à peu près là. Pour ce qui est du charisme, si j'avoue sans peine que Guts n'en est pas débordant, il en va de même de Ken. Dans Ken, ce sont les méchants qui son charismatiques, ainsi que l'un ou l'autre second rôle (Rei, Jûza). Et ça n'enlève rien à la prestance de Ken ou de Guts. Je n'appellerais simplement pas ça du charisme.
Quoi qu'il en soit, je ne peux que conseiller de se plonger dans la série et au moins de la regarder en entier avant de juger. Elle met un peu de temps à décoller, mais dès l'épisode 6 (Zodd l'Immortel) on est scotché, si bien que malgré les temps morts, on s'accroche histoire d'avoir la suite.
Ce qu'il y a de bien en tout cas, c'est qu'on peut être sûr que le type qui regarde ou lit Berserk ne le fait pas parce qu'il s'identifie à un héros qui réveille ses bas instincts et qui le fait rêver d'être une véritable ordure aimé de tous malgré cela, capable de se taper toutes les bonnes femmes en étant des plus odieux et d'éclater la tête de tous ses adversaires parce qu'on est le meilleur. D'ailleurs, je propose à Lorim d'ouvrir un sujet sur Bastard s'il ne peut réfréner ses envies d'en déblatérer.