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Mc Jean Gab1 J't'emmerde
Certains m'appellent le nettoyeur, mais j'opterais pour le fossoyeur, car j'aime remuer la merde.
J'ai collé mes frolos avant de rentrer dans ce biz - go, alors pas besoin de potos :
"J't'emmerde, j't'emmerde, et j't'emmerde".
Et pour commencer, égratigner ceux qui soit- disant font danser ; c'est tas d'cloches, ou bien "X" sans nous pourraient pas becter.
Te glisseraient leur langue dans ta fente pour faire des mix top made in France.
Et quand tu vas guincher, remuer tes guiboles rasées ; eh, y'a plus rien de Français.
Alors monsieur l'dj à la "one again" change de skeud.
Et pialles pas q'tu connais l'underground, car t'es plutot fashion, alors action.
"J't'emmerde et j't'emmerde".
J'ai marqué avec frelo, et pas en mono, mais en bikini avec Solo.
Ton "pater", un tas de fric, c'qui t'évite de repiquer avec les "schmits".
Les "Squats", t'en as que l'odeur, t' es rien d'un assassin.
Enfance dorée, c'est l'hôpital qui se moque de la charité, "shoot" toi, "shoot" toi dans une glace, car c'que tu vois c'est dégeulasse.
Eh "re-noi" ?, oups !, t'as rasé tes tifs ; Ba-by-lon.
"J't'emmerde, j't'emmerde et j't'emmerde".
Quant aux "narvalos" de la nation, leader qu'sur haut-parleur ; sachez que le Hip-Hop, c'est pas seulement faire des gribouillis sur un muret.
Et s'faire tâlter par les "kakous" d'la ferro comme un furet.
F.M.P. : "Fanfaron Mal habillé par une Pute".
Encore un coup foireux comme le B.O.S.S. : "Boulot Organisé qui Suçe et Sniffe".
Authentique sur papelar, alors qu'ces deux là voulaient se rentrer dans le lard.
Hé, tout n'est pas si facile, et qu'est ce t'attends pour le foutre au feu et t'foutre au feu.
Critique la Soul, et fout les croûtons qui vont avec ; eh, et même si y'en à qu'un qui sort des briques.
Et l'autre "Tos" y glandait 30 piges pour vendre du "shit" ; c'est arrivé près de chez toi, ouais ma gueule, carrément sous ton nez.
L'argent pourri les gens, c'est plus un sentiment.
Hep, bien sûr j'vous emmerde.
"J't'emmerde, j't'emmerde, et j't'emmerde".
Refrain x2 :
Joue les cakes, joue les "one again", joue les cons, j'reste concret, direct c'est la guerre.
Joue les braves, joue celui qui sait, hein, mais t'ommets la vérité sur toi, moi, j'la connais.
"Ko-ssi-ty, good bye, faut qu'il prenne une balle pour qu'il comprenne. Pop pop this is it, this is it."
Grande saucisse, parle si bien de ses sosies dans ses chansons, "zgueg", "sseuf".
Et pourtant il prend du côté pile, y'en a qui ont l'emballage mais pas le contenu.
Et ce qui gigote dans ton calcife, aussi chétif que chez "Garbitt".
"J't'emmerde, j't'emmerde, et j't'emmerde".
Honneur aux dindes, la migale ? Non la tronchonneuse ; avant de donner des leçons,
regarde avec qui t'as fais un rej'ton.
"Mais si ?" Et si seulement t'avais pas baissé ton froc pour en arriver là.
Eh ouais, c'est vrai, ce jour là t'en avais pas. "Et si ?" Avec des scies, malheureusement j'coupe du bois.
"J't'emmerde", douze, et pas un cerveau.
Fallait qu'on revienne, quitte à collabo avec l'autre facho, j'en place une spéciale pour toi, Pierpoljako !
"J'sais pas chanter mais j'sais bien ratonner."
Car tatoué tu l'es encore, et v'là l'envers du décor. Et l'comble du racisme, c'est le "train-guiz" qui reboute.
"J't'emmerde, j't'encule et j't'emmerde".
"Rappelles-toi le mélancolique", qui fais dans la purée "Mousline".
Car pour un muslum, t'aurais dû déjà changer de blaze.
Ça sent le gaz, "Allah Ouakbar", et la première qualité d'un muslum c'est d'être humble, et tu l'es pas.
Et saches que la religion n'est pas un sprint, mais une course de fond.
Alors pense à ceux qui pratiquent depuis 20 ou 40 ans, et qui n'en font pas tout un boucan.
Remarque, ils l'ont r'marqué, tu s'ras pas une icône, et si seul, l'être suprême juge ; alors la Sky - roulette, sacrilège, "Bismillah".
"J't'emmerde, j't'emmerde et j't'emmerde".
Refrain x2 :
Joue les cakes, joue les "one again", joue les cons, j'reste concret, direct c'est la guerre.
Joue les braves, joue celui qui sait, hein mais t'ommets la vérité sur toi, moi, j'la connais.
"Booba, Booba, mon petit ourson".
"Et nique sa mère la réinsertion ; même pas "re-noi" même pas "rabza".
Juste une jaune d'oeuf mal ssé-ca.
Terrain miné, [???] à coup de pop-gun, Paris c'est pas top gun.
[???], moi aussi j'écoute Polnareff.
Dans mes chiottes, j'ai "pé-cho" ton pote.
Et j'baise sur du Gilbert Bécaud.
P'tain quel rime de bâtard", mais, c'est qui qui jappe comme ça ?
Eh, plutôt timide pour un pitt, un epagneul sorti tout droit de la S.P.A. .
Eh, t'aurais blazé Mick Macardi, ça t'aurais pas "titi" ; il tape une coup à gauche, il tape un coup à droite.
"Ça y est, v'la le super crew, bam bam mouglia tchikitchik, on y comprend q'dalle".
Quant aux crocos, qui m'ont pompé "j't'emmerde", sachez que j'me souviens du 1er et pas du 2eme,
"J't'emmerde".
La syphilis dans le rap ça fait bizarre.
Et pour bronzer je crois que t'as besoin d'une passoire.
Vu que je m'arrête pas là, repètes apres moi :
"Ambiance scandale, danse de pédales, sentez bien la chaleur, DANS TON CUL".
Marseille, ça pue ; c'est sale, pas vrai ? et ton art de rue est bien propre.
Ils brûlent au soleil, les 306 cab à paname sont obsolètes.
"Street life", eh, c'est ça ma couille ; balance ta cendrillon du ghetto sur l'trottoir.
"La Fonky Family c'est fini".
Et pour les pseudo indépendants, tous signés en maison de skeud, "S.H.E.R.Y.O", rap d'immigrés à bon dos.
Tu defies p't'être X-Or , c'qui fera pas de trop un cador.
King de la récupe et sans répute ; ta révolution c'est "Virgin", le pognon, on sait même pas si c'est un râteau ou un cageot.
Eh, tu te prends pour le nombril du monde, alors que t'en est que le trou du cul.
Continue l'impro !
Tellement de trous de balle qui parlent de rue.
À croire qu'c'est tous des S.D.F. .
Mais y'en a pas Bezef.
En bref : Mc Jean Gab'1, n'est pas une putain.
Retiens le bien.
"J'te l'avais dis ma gueule ; tin-tin-tin".
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