[Nof Samedisþjófr]

Citation :

L'été touchait à sa fin mais les journées étaient toujours longues. Le soleil n'en finissait pas de se coucher, étirant sur le plateau une ombre gigantesque à partir du moindre brin d'herbe. Installés sur les rochers, les veilleurs scrutaient les alentours alors que la meute se préparait à regagner le refuge.

Marrramu se sentait lourde et lasse. Sentant l'heure approcher, elle avait toute la journée tenté d'échapper à la vigilance d'Agdarrr et Sakirrr, mais à aucun moment le couple dominant ne l'avait quitté des yeux. Maintenant qu'elle perdait les eaux il était trop tard pour fuir, déjà le puissant feulement d'Agdarrr rassemblait la meute. Désespérée elle cherchait autour d'elle un soutien, un secours, mais tous les regards qui croisaient le sien étaient durs et chargés de reproches. Malgré sa faiblesse, elle s'efforça de prendre un air menaçant, montrant les crocs et griffant l'air, mais elle ne fit que gagner quelques secondes de répit. D'un geste la prêtresse de la meute anima les anciens ossements, et bientôt Marrramu était plaquée au sol par d'inexorables poignes osseuses.

Alors le rite eu lieu, l'un après l'autre, les trois petits de la portée vinrent au monde. L'un après l'autre, ils furent mis à mort par Sakirrr, la nuque brisée par ses crocs. Lorsque le dernier petit corps tomba sans vie à ses pieds, Agdarrr donna le signal du départ et tous s'en furent, abandonnant la fautive à l'infamie de l'errance et aux rigueurs de la solitude. Mais les larmes de Marramu n'étaient pas que de douleur ou de chagrin, non, c'était la rage qui lui donnait la force de retarder les dernières contractions.

Autant qu'elle le put elle attendit, afin d'être certaine que tous soient partis, et que nul n'entende son cri de haine, alors qu'enfin elle libérait de son sein le dernier sa portée. Brisant les ossements que nulle magie n'animait plus désormais, Marrramu se libéra de leur étreinte et délicatement ramassa la petite boule de poil qui gémissait faiblement dans le sang et les éclats d'os mêlés. Serrant contre elle le petit être, la Valkyn se releva péniblement, entreprenant de rejoindre l'abri qu'elle avait repéré quelques mois auparavant, susurrant au nouveau-né : "Agdarrr est la prrroie, dévorrre la chairrr de Sakirrr, Agdarrr est la prrroie, dévorrre la chairrr de Sakirrr..."

Source.

[LeChuck]

Comment un peuple aux moeurs si répugnants peut-il trouver sa place dans notre prestigieux royaume de Midgard

Heureusement que l'Odin-Othila a refusé leur intégration.

[Loum]

Effectivement tout ceci est bien louche, il faudra mener une enquête^^

[Helgall]

bon , il nous reste plus qu a trouver sakirrr et agdarr


On leur fera bouffer leurs crocs par le nez a ses sales bêtes!!!

[Ekios]

Citation :

Provient du message de Helgall
bon , il nous reste plus qu a trouver sakirrr et agdarr


On leur fera bouffer leurs crocs par le nez a ses sales bêtes!!!

Voir trouver la mere pour ensuite trouver les deux autres et leur faire rendre gorge !! (aux deux autres)