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3000ème -insérez ici le vrai smiley tirer la langue-

N'empeche, c'est rare un sujet qui fait autant de réponse SANS hors-sujet (ou presque) :P

*écoute Smack my bitch up de Prodigy*
Berthe Sylva : Les yeux de maman

Ce soir bébé a entendu
Son papa dire tout ému
A maman dans la nuit sans voile
Chérie tes yeux sont des étoiles.
Et le gamin dans son dodo
Comme une berceuse légère
Fredonne en pensant à sa mère
Un refrain fait de jolis mots.

Refrain

Les yeux de maman sont des étoiles
Qu' il ne faut pas faire pleurer
Le moindre des pleurs mettrait un voile
Sur le clair regard adoré
Et pour conserver l' éclat de ses yeux
Je serai toujours sage, je le veux.
Les yeux de maman sont des étoiles
Qui pour moi sont venus des cieux

Mais les beaux yeux se sont fermés
A la lumière désormais
Victime de la mort farouche
Maman repose sur sa couche
Alors le papa en tremblant
L'amène là où elle repose
Et pour cacher l'horrible chose
Il dit doucement à l'enfant :

Refrain

Les yeux de maman sont des étoiles
qui nous ont quittés pour toujours
Elles sont là -haut au ciel sans voiles
Brillantes de tout leur amour.
Allons mon petit gars, mon joli petiot
N'aie pas de chagrin, calme ton coeur gros
Les yeux de maman sont des étoiles
Que tu verras au ciel, là haut.

Hélas ! le trop tendre gamin
Pâli, miné par le chagrin
Torturé par un mal étrange
Est prêt à rejoindre les anges.
A son papa, fou de douleur,
Il dit : pleure pas petit père
Va, que ta peine soit légère,
Ajoutant, pendant qu' il se meurt.

Refrain

Les yeux de maman sont des étoiles
Que je vais pouvoir embrasser
Elles sont là haut au ciel sans voiles
Et d' elle bébé languissait
Va, ne verse plus de larmes pour moi
Apaise ton coeur, calme ton émoi
Les yeux de maman sont des étoiles
Je vais les embrasser pour toi.


-edit-

suivi de Berthe Sylva : Les roses blanches


C’était un gamin un gosse de Paris
Pour famille il n’avait que sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux flétris
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout
Et le bambin, tous les dimanches
Lui apportait de belles roses blanches
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement
Il disait en les lui donnant

C’est aujourd’hui dimanche
Tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches
Que ton cœur aime tant
Va, quand je serai grand
J’achèterai au marchant
Toutes ses roses blanches
Pour toi jolie maman

Au dernier printemps le destin brutal
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sou dans sa poche
Sur un marché, tout tremblant, le pauvre mioche
Furtivement vola des fleurs
La fleuriste l’ayant surpris
En baissant la tête il lui dit

C’est aujourd’hui dimanche
Et j’allais voir maman
J’ai pris ces roses blanches
Elle les aime tant
Sur son petit lit blanc
Là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches
Pour ma jolie maman

La marchande émue doucement lui dit
« emporte-les, je te les donne »
Elle l’embrasse et l’enfant partie
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital, il vient en courant
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, tout bas une infirmière
Lui dit : tu n’as plus de maman
Et le gamin s’agenouillant
Dit devant le petit lit blanc

C’est aujourd’hui dimanche
Tiens, ma jolie maman
Voici des roses blanches
Toi qui les aimais tant
Et quand tu t’en iras
Au grand jardin là bas
Ces belles roses blanches
Tu les emporteras
Citation :
Provient du message de Pujol
suivi de Berthe Sylva : Les roses blanches


C’était un gamin un gosse de Paris
Pour famille il n’avait que sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux flétris
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout
Et le bambin, tous les dimanches
Lui apportait de belles roses blanches
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement
Il disait en les lui donnant

C’est aujourd’hui dimanche
Tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches
Que ton cœur aime tant
Va, quand je serai grand
J’achèterai au marchant
Toutes ses roses blanches
Pour toi jolie maman

Au dernier printemps le destin brutal
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sou dans sa poche
Sur un marché, tout tremblant, le pauvre mioche
Furtivement vola des fleurs
La fleuriste l’ayant surpris
En baissant la tête il lui dit

C’est aujourd’hui dimanche
Et j’allais voir maman
J’ai pris ces roses blanches
Elle les aime tant
Sur son petit lit blanc
Là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches
Pour ma jolie maman

La marchande émue doucement lui dit
« emporte-les, je te les donne »
Elle l’embrasse et l’enfant partie
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital, il vient en courant
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, tout bas une infirmière
Lui dit : tu n’as plus de maman
Et le gamin s’agenouillant
Dit devant le petit lit blanc

C’est aujourd’hui dimanche
Tiens, ma jolie maman
Voici des roses blanches
Toi qui les aimais tant
Et quand tu t’en iras
Au grand jardin là bas
Ces belles roses blanches
Tu les emporteras [/i]
Rah... le genre de trucs à pas poster
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