[Iya-tchoum]

*Dans les profondes terres d'Aegir, sous le regard d'Alfaddyr et de la cours de dieux Ases un Troll s'éveille de la Terre de Carnac. Naquit d'une mère Troll, Etincelle, et d'un Troll obscur dont la race est éteinte à nos jours du nom de Noirceur.

Chaques membres de leurs tribu vivant à l'entrée de cavernes, donnent un nom au nouveaux né, Sang reçut ce digne nom car des larmes de sang ruissellent de ses yeux.

Le Troll grandit et voua sa vie pour le Dieux puissant, Thor. Alfaddyr ne voulant pas insuffler sa sagesse à leurs race sauvage.*

Möi Säng Öbscur, fils d'Etincelle et de Noirceur, portera force de Thor jusque dans contrées d'Elfs fous ! jusqu'aux portes Albion prétentieux !

*Les années passèrent, et Säng gagna en force et en respect par rapport aux autres trolls regnant leurs descendances obscur. Il combattit au coter de Lionne et Ouba les Sauvages, Placebo et Pearl les guérisseur, Xion le grand maître de sournoiserie, Grosse-Claque son ami Troll forgeron et Ragnaröck le prêtre d'Odin. Ensemble il fondèrent le clan du jugement : le Holmganga, épreuve de deux vikings au milieu de la rage de l'océan, liés à deux rochers sans nourriture et devant survivre sous le regard d'Alfaddyr et de la cours des dieux Ases jusqu'à la tombée de la nuit.*

Säng trouver pëtite femme, Bigmama näine gentille et magnifique, moi prötegera ämour !

*Säng du surmonter les conflits de son clan, il perdura malgré les difficultés. Il y a peu de temps il allé combattre les Forces Albionnaise et Hibernienne pour conquérir les Abysses. Mais les forces ennemies bien trop nombreuses et puissante, s'unirent pour déstabiliser le Royaume de Midgard. Gagner en force et sagesse mes fils ! Je veilles sur vous !*

- Alfaddyr, le Tout Puissant, appelé aussi Wodan. -

[Kamikazy]

...
...


C'est dommage, j'étais pas la hier soir

[Torkaal]

Joli.

[Iya-tchoum]

*Une nouvelle ère commence pour le clan de l'envoyé de Thor. En effet après la première réunion au fort Vendo, le Holmganga a exécuté son pouvoir. Bon nombre de guerrier ont fuit le clan pour assouvir leurs quêtes de pouvoir, bien trop avide pour supporter le Holmganga ! Säng y a gagné en amitié avec les survivant, et une nouvelle époque commence pour lui. Le moment du trouble et de la vengeance à sonné lorsque son bel amour à suivi les avides combattants.*

Jamais Säng vouloir aimer. Säng seul contre tous, mais ferveur Thör plus forte que Holmganga, möi réussir épreuve, moi Säng fils d'Etincelle et Noirceur survivra épreuves. Äses ont chöisi élus, Hölmgangä !!

- Alfaddyr -

[Kalastor Elessar]

pas mal .

[Iya-tchoum]

*Alors que la tempête saisonnière s'abattait sur les terres des hommes robustes, bon nombre de guerriers allèrent se réfugier dans le tréfonds des abysses, sous-royaumes de la reine Hel. Jamais encore il n'avait connu la mort si fréquente en royaume hostile. Säng donné la mort, mais ne la recevait pas.
Le Holmganga l'avait vaincu, son ancien ami Placebo l'ayant laissé seul dans sa tribu, ils n'étaient plus que quatre survivants du Holmganga. Quatres alors qu'ils étaient soixante, ceci excéda le Tröll qui décida de devenir renegad, de ne plus vouloir faire parti de tribu pour le moment.
Enfant il avait vu la tribu de son père, La Main Sanglante, être décimée.
Alors qu'il combattait les fée de morte vents au tréfond des abysses, un de ses éclairs par sa rage alla percuter un familier, celui ci réuni sa horde et s'attaque à Säng. Säng en tua cinq, six mais ils venaient de plus en plus en grand nombre, le tröll succomba. Pour la première fois il sentit ma puissance près de lui, prêt à le conduire au royaume de Hel. Mais soudain le monde réel s'agita autour de lui.*

- CaNön!OhParFreyja! -

*Cette petite voix lui état familière, elle l'avait marqué quelque jours auparavant. Il sentit sont corp se contracter, une répulsion de la mort, lentement il ouvrit les yeux et aperçu se doux visage, cette petite Kobold qu'il avait rencontré à Galpen.
Ensemble, ils passèrent la journée, ensemble ils tuèrent molosses et écorcheuses. Ensemble ils allèrent tuer un archer Lurikeen du 40eme cercle sur les terres Hibernienne. Ensemble ils allaient rester pour toujours.*

- Säng a vu la mort dans oeil de Wodan,
Scarlet a défié Walkyries pour Säng,
Je protégerais petite Kobold jusqu'au royaume Hel,
Pour ne pas abîmer yeux, corps et mains si belles,
Pouvant apporter vie à ma chair et âme,
Säng garder à jamais petite femme. -


- Alfaddyr, l'oeil perdu regardant le monde sous les racines de l'arbre des mondes. -

[Iya-tchoum]

Ce soir ma douce et tendre, nous seront les amant de l'aurore, ce soir ensemble par ce nom, Aurora, par le regard des dieux Ases nous seront lié à jamais. Cette nuit sans toi passée après la plus magnifique des soirée dans tes bras fût la plus merveilleuse chose au monde qu'il soit. Ensemble nous avons combattu les forces Albionnaise, malgré le Wyrd qui a voulu nous séparer, bien trop longtemps. Mais à présent, ce soir à jamais nos âmes, nos chairs et nos amours seront unis à jamais jusqu'aux dans le royaume de Hel. Scarlet ma douce et tendre je t'aime, si tu faisait partie de la cours des dieux Ases, ma dévotion pour Thor serait éphémère face à ta splendeur. Reste dans mes bras jusque dans les ténèbres, endors toi, le monde n'est que superficiel face à notre amour.

Je suis à Scarlet.

Etincelle, ma mère, me lisait ce conte sur la nuit des temps, voici le passage que je te donne :

Je suis entré et je t'ai vu.
Et j'ai été saisi aussitôt par l'envie furieuse, mortelle, de chasser, de détruire tous ceux qui, là, derrière moi, derrière la porte, dans la Sphère, sur la glace, devant leurs écrans du monde entier, attendaient de savoir et de voir. Et qui allaient TE voir, comme je te voyais.
Et pourtant, je voulais aussi qu'ils te voient. Je voulais que le monde entier sût combien tu étais, merveilleusement, incroyablement, inimaginablement belle.
Te montrer à l'univers, le temps d'un éclair, puis m'enfermer avec toi, seul et te regarder pendant l'éternité.

Soit mon "Elea, je serais ton Païkan"

- Säng Aurora -

[Scarlet-Aurora]

je vien de editer je vien de voir ou c'etais les mp, j'ai bien ressus.

[Iya-tchoum]

Un soir alors que les étoiles tombées en mon âme tel une douce lueur guidant mon esprit, je pensais à toi. Depuis se jour où la lune avait éclairé ton visage, je n'avait cessé de penser à toi, imaginant que plus rien ne nous séparerait. Un soir alors que les nuages voilés la lune, mon âme c'est dissipée, peu à peu un voile flou entre nous s'installait, le drap d'un deuil que jamais je ne souhaite faire. Sentant encore la brise de la nuit caresser mon sombre visage, comme le souffle sucré de ta bouche.
Une nuit, alors que mes armes c'étaient arrêtés de luire, des gouttes de sel son tombées à mes pieds, laissant un peu de moi sur ces terres désolées. Une nuit où les loups étaient silencieux, mon coeur c'est arrêté de battre pensant ne plus jamais te revoir. Seul fasse au néant saurais-je me battre ?
Une aurore sur le flanc des montagnes enneigées, je suis assis, attendant la lumière de l'espoir tel ta main saisissant la mienne. Une aurore au lueur pâle, l'horizon me regarde tel que je le regarde, infini, lointain et incertain. Mais cette aurore n'est point la notre, je garderais en moi la force de saisir ta main, le courage de ressaisir mon marteau, la joie de sécher mes larmes et l'espoir de te revoir.


Celui-ci est gratuit, pour toi.


(Je send un modo pour effacer tout nos posts non Role Play sauf ce dernier ma chérie /kiss)

[Iya-tchoum]

Mon amour,
il fallait que les mots se couche sur le papier pour laisser de la place a ton corps dans mon coeur, voilà chose faite. L'amour que je te porte est certainement le pire qu'un homme peut porter à un être comme toi, mes sentiments ne cessant de croître dépasse l'entendement des choses terrestres, dépassant l'amour charnel, il en devient destructeur par son étau. Eblouissant et brûlant autour de moi chaque brin d'herbe pour ne laisser, à mon regard, place que pour ton doux visage. La fraîcheur de ton souffle sur ma peau rend la chaleur de la vie bien pâle. Je ne sais si seul la mort emportera nos coeurs, le miens est déjà entré en toi et ne souhaite ne jamais en ressortir. Nos erreurs ne sont plus que brouillons jetés dans une corbeille, notre vie en est le romans aux pages d'or. Il y a peu de temps la pluie n'a cessé de tomber dans la paume de mes mains, un flot salé d'être loin de toi, mais nous avons brûlé ses regrets pour ériger l'édifice de notre couple, inébranlable, aussi majestueux que l'arbre des neuf mondes. Quelques temps en arrière la douleur accompagné ma plume, triste muse à l'efficacité mortelle. A présent sur ma main se pose l'agilité de notre amour, celle-ci montrant la vie sans le voile terne de la solitude. Je poserais aussi sur ce papier ton corps, pour que tes formes restent éternelle, franchissent la nuance de temps comme l'on franchit un ruisseau. Chaque courbe de ton âme reposant sur celle de ta chaire, ma plume semble de nouveau voler en esquissant cela. Je te donnerai tout mon être, mon désespoir est miens, le tien l'est aussi. Garde moi une place près de toi, à coté de celle que j'ai gardé pour toi.

- Säng Aurora -