Prières bréhanites

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Voila quelque prières bréhanites

La nuit est noire
Un jeune garçon aperçoit un vieil homme
Il semble morne, fatigué par le poids des Ages
En réalité il est transcendé par quelque chose de Divin, de supérieur.
Il rayonne d'une joie intérieure, entéléchiquement puissante.
Le jeune entend alors le vieil homme réciter ces prières


Le vent souffla et la forêt s’enflamma
Le vent souffla et la forêt s’enflamma
Brûlés… Chênes verts brûlés ; brisés, si jeunes
Aube inachevée, les ruines apparurent
Sourire effacé, détresse victorieuse
Abîme infinie, cœurs broyés aujourd’hui.
Cieux qui s’assombrissent, lumière désolée
Grain mise à nue, sol qui résonne, ô dieu,
Seigneur, des appels des morts, pour Te servir
Tu m’as laissé ma vie, image bénie
De ta gloire. Combats après combats… brisés
Hache sanglante, vois le poignard qui triomphe.
Dans l’ultime combat, Seigneur, c’est vers Toi
Que je crie. Du plus profond de ma douleur,
Relève-moi… Accueille-moi… pour demain.
Cœur qui saigne, lueur éclatante… Tu es là…
Ame blessée… les ténèbres qui s’éclairent
Du sang répandu en ton nom, ô Seigneur
Ce matin, Tu prends ma vie. L’heure est-elle là ?
Je T’ai servi, fidèlement, sans compter.
Le vent souffla et les ruines disparurent.
Poussières, dispersées, chênes verts et nouveaux.
Je vois la lumière se lever près de Toi.

Dieu qui me mène au combat,
Tu vois le fond de mon cœur.
Tu sais le trouble qui y règne,
Mais toi aussi, tu connais,
Le chagrin qui trouble l’âme.

Fils unique d’Aglarana,
Celle qui conduisit les hommes,
Devant Artherk le Premier,
Pour être là relevés,
Par Lui, ton tout-puissant père.

Seigneur qui toujours me guide,
Encore jeune, dans la forêt,
Tu chassais, sonnant ton cor,
Le sanglier, plein de force
Comme toi dans la bataille.

Au cœur de la forêt verte,
Se tient silence, dans l’Aire
Consacrée, où se recueille
Ta mère, pour prier Artherk,
Cachée au monde par les chênes.

Et toi, poursuivant encore,
La bête toujours traquée,
Tu ne vois pas vers quels arbres
Elle se réfugie alors.
Tu lances ta javeline.

Arme maudite, elle traverse
La haie d’arbres, telle est ta force,
Mais se fiche dans le cœur
Priant, de cette mère-là,
Que pourtant tu aimes tant.

Regardant ses yeux mourants,
La douleur qui t’envahit,
Te fit crier vers Artherk,
Pour qu’il sauve l’Ame des Hommes,
Sans qui mourraient les Humains.

A ton appel, le Premier
Répondit. Il ne put pas
Voir l’humanité périr.
Transformant Aglarana,
Il la rendit comme un chêne.

Sans elle, l’homme devait mourir,
Mais ce don fait à Son fils,
Fut aussi le don aux hommes
Du libre-arbitre, pour combattre
Le Chaos, avec ta force.

Seigneur, toi qui me conduis,
Tu sais quel amour en moi,
M’entraîne jusqu’à ton courage,
Simple mortelle, vers ta force,
Bénis-moi, jour de bataille.


Le jeune homme comprends alors la ferveur des adeptes de Brehan et, impressionné, décide de se convertir .
Un hurlement d'un loup se fait entendre....
Citation :
Provient du message de Dj_Normous
Et oui sous leur apparence brutale de guerriers ils pensent.
Même mon Duc tapait et pensait après.

Alors qu'il était adepte de la nature, Bréhanite je n'ose imaginer.
Bande de sales trolleurs, les brehanites ca roxX


Sinon j'en ai une pile de poèmes brehanites, de moi et d'autres. Je les sortirai si vous êtes sages.
Message roleplay
De très belles prières mon frère...

Force et Honneur! Gloire à Brehan!

Muska Gaïa, Chasseur Sacré et Elu de Brehan

Citation :
Provient du message de Chich
Bande de sales trolleurs, les brehanites ca roxX
graaaaaaaaave sa r0xXxXxXXXxXxXx3 trop sa mère brehan, fo tjs kien aient qui gâche ts nos effort, sa suxXxXx3! na marre now!
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