Un peu de poésie nanojardénienne

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Le nain, ayant tiré
Sa brouette tout l'été,
Se trouva fort dépité
Quand son fardeau fut bloqué :
Pas un seul petit morceau
D’axe ou de coulisseau.
Il alla chercher secours
Chez une brebis du faubourg,
La priant de lui prêter
Quelque boulon pour réparer
Son axe qui rutile.
"Je vous paierai, lui jura-t-il,
Avant l'Août, sur mon bonnet,
C’est noté dans mon carnet. "
La brebis n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle sur un ton d’emmerdeuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je tirais, ne vous déplaise.
- Vous tiriez ? j'en suis fort aise.
Eh bien! poussez maintenant !




PS : Ce n'est pas de moi. Je n'ai aucune idée de qui c'est en fait
*renvoie le nain d'un crochet du droit dans sa brouette, l'aplatit à l'aide d'une magnifique batte de base-ball +3, lui enfonçant par là même son bonnet rouge jusqu'au slip, avant de shooter dedans d'un splendide geste footballonesque directement inspiré d'Olive et Tom*

Il sort des sentiers battus, ton poème ^^

Aaria,
Tortionnaire officiel du nain-posteur
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