[Hopure]

Sorcena se tenait sur la rempart gauche d'hurbury. Son casque posé sur le sol, elle levait le visage au ciel

Vous sentez cette odeur? Je ne l'avais encore jamais ressenti ainsi. Si forte, cette odeur remplie tout les royaumes. Tout le monde commence à la sentir sans même savoir de quoi il s'agit.

Sorcena s'interrompt pour se passer une main sur le visage

Ils doivent penser qu'il s'agit de l'odeur du sang. ils n'ont pas tord si l'on y pense bien. Camlann connais une période sombre. Ils se battent pour leur convictions. certains perdent, d'autres gagnent. Enfin pense gagner. la guerre fait rage et ils n'ont pas la moindre idée qu'ils sont à l'origine de Son pouvoir.

Petit à petit Elle va y arriver. Tout ses morts sur le champs de batailles. De telles offrandes ne La laisseront pas indifférente. Que ces chiens continue leur guerre, ils se rendront bientôt compte de leur erreur et Elle saura les remercier comme il se doit non?

Saucisson qui se tenais sur la droite de la Clerc ramassa le casque pour le tendre à Sorcena

Il est temps de se préparer, Nous faisons partis de Son plan, ne La retardons pas.

[Chisa]

Brrrrrrrr

[Lilith ° Maelwenn]

De loin elle observait sa soeur défunte...
De loin elle se disait qu'elle avait bien changé.

Ecrasant une Larme qui coulait sur son visage
Lilith adressa une prière secrète à la clerc.

Va mon amie ! A l'heure de ma mort c'est cette image que je garde de toi.
Puisses tu t'épanouir comme j'ai put le faire parmi tes anciennes Soeurs.

[Roelstra]

<sur le rempart d'Hurbury, non loin de Sorcena>

un mouvent soudain, une impression, rien de plus.
un sentiment d'observation, des murmures.
quelques bruits de métal glissant sur du cuir.

<juste derrière Sorcena et Saucisson>

nous sommes arrivés, les Ombres de la Dame sont a votre service, Clerc et Champion.

pourquoi cette impression de foule irradie de ce rempart ?

[yes]

A la pensée de certains anciens compagnons qu'elle avait côtoyé et même un peu plus, on pouvait lire sur son visage :

Passer du cote obscur, cela est bien triste,
Bien pire doit être d'y suivre la mort sur son affreuse piste.

Puis, reprenant courage, se rappelant ce en quoi elle avait foi :

S'opposer a la dame tant que l'on existe,
Et repousser ces assauts tant qu'elle insiste.



Yes < barde dévouée >

[Tann]

A l'écart de ses compagnons, Miruel se tenait assis sur les remparts de Caer Hurbury, fixant l'horizon. Une étrange mélopée s'échappait de sa flûte...


Ajourd'hui ou demain rien ne l'empêchera d'accomplir son funeste destin. Elle est l'Ombre de toute Lumière, Elle nous guidera vers de meilleurs lendemains...


Miruel Sad, barde du tourment.

[Maxlin]

Par trois fois, les coups de butoir des lourds béliers eurent raison des portes de Caer Hurbury ce soir-là.
Trois fois les troupes de Requiem assiegèrent le fort perdu au pays des neiges éternelles de Snowdonia...



Ce fort fièrement défendu par les forces des Carpe Mortem,
qui protégeaient le Saint Baton de Merlin
et le Marteau du Dieu des Thanes..



Leur première charge fut un échec.
Hachés menus par les puissants hachoirs de Calend et Argorian,
les Requiem tombèrent du haut des escaliers, et dévalèrent toutes les marches
jusqu'à leur pierre de bind.





Leur deuxième charge fut un échec.
A l'image du bouclier de Dakkon, les Carpe Mortem firent front,
malgré leurs forces qui s'amenuisaient, et leurs morts qui s'accumulaient dans
la salle des reliques, ils vinrent à nouveau à bout des détenteurs des quatres autres..



Il fallut une troisième tentative des capes noires
pour venir à bout de de nos mains ensanglantées et de nos coeurs gonflés à bloc.





Guidée par Son bras, l'armée des morts se lève,
le rugissement grandit, les bras se musclent,
dans la pénombre de l'outre-tombe, la rumeur se fait de plus en proche,
l'ère de l'empire touche à sa fin..

L'heure approche,
celle où les habitants de Camlann,
se demanderont enfin, quand les batailles feront rage au loin,
pour qui sonne le glas...

[Nicholas Wolfwood]

Un ou deux bruits de pas, un grondement au loin
Une époque qui s'en va et un nouveau destin
Pour nous autres démons serviteurs de la Dame.
Prises avec passion et perdues dans un drame,
Gagnées avec le coeur, parties avec l'espoir
De conserver ces leurres qui animent nos soirs,
Les reliques auraient fait en tout cas à leurs yeux
Trop de joyeusetés pour un si petit lieu
Aussi sont-ils venus, nombreux et redoutables
Nous reprendre leur dû qu'on croyait défendable.
Trois fois nous combatîmes, en gagnant deux combats
Ainsi que toute l'estime de ces adversaires là.
Ce n'était pas une ombre qui nous livrait bataille
Submergés par le nombre, nous n'étions pas de taille?
Pourtant une fois ils vinrent et butèrent sur nos rangs
Qui encore une fois tinrent face à l'assaut suivant
Et ma Foi à la fin, quand notre fort tomba
Je frappai dans mes mains pour exprimer ma joie.
Parce que ce que j'aime, ce qui m'exalte l'âme
C'est que Carpe Mortem soit digne de Sa dame.

[yes]

Eh bien, Carpe Mortem, que dire à part Bravo ?
Le combat fut, semble t-il, acharné et probablement même épique,
Beaucoup regretteront d'avoir manqué cette résistance héroïque,
Mais les légendes relateront sans nul doute le récit de cet assaut ...

... Et de la victoire finale Requiems, qui vous priment entre l'enclume et le marteau ...

Yes < barde dévouée >

[dervic]

Il faisait froid ce jour la. Le soleil venait a peine de tomber sur les montagnes enneigés de Snowdonia.
La brume commençait à recouvrir les vallées sinueuses, des petits filets de fumée traversaient les derniers rayons solaires.

Mais plus au Nord , ce n'étaient pas de la fumée que l'on voyait.
Des flammes jaillissait de Caer Hurbury . Le paysage n'était que désolation et mort, il ne restait rien de la forteresse autrefois imposante et sombre, abritant Ses chevaliers .

Une odeur de mort se dégageait de ce champs de ruine souillé par le sang et le fer , des Corp jonchaient les décombres de pierres et de bois fumant , le donjon était encore en flamme.

Elle avait assisté a la bataille , regardant Ses guerriers accomplirent leur mission. Ils avaient répandu le chaos et le mort sur ces terres . Elle sentait sa force augmentée au fur et a mesure que le combat s'intensifiait . Chaque cadavre Lui offrait un serviteur de plus.

Le nain observait depuis les hauteurs de la Forteresse se rémémorant cette bataille. Il l'avait servi avec allégeance et dévouement ainsi que tous Ses serviteurs qui s'était battus avec une rage intense repoussant les hordes de vivant.

Il vu en cette bataille le début du royaume de de la Mort .

[Jark]

Des Remparts de Dun Crauchon s'élevaient des cris de victoire, la fête battait son plein devant la victoire si chèrement acquise.

Pour ce soir, le chant des couteaux avait laissé la place aux chants des oiseaux, et Elle était rentrée forte d'une bonne récolte.

A bonne distance de la Noire Forteresse, les chants de victoire et les chants guerriers étaient toujours audibles, mais le vieux guerrier pensait en lui:

"Profitez barbares ! Votre heure approche, Elle viendra bientôt vous prendre"

[Kraal Minneyar]

Larbin somnolait, alangui sous la caresse des rayons rouges. Devant lui, à trois pas, l'eau couleur de topaze brûlée scintillait, chatoyait, chaude et invitante.
Sa bouche était cousue partiellement, ses yeux très pâles et ses traits comme martelés. Ses cheveux avaient une teinte indéfinie : une sorte de gris brillant avec des reflets livides. Une impression d'assurance et de puissance émanait de son regard, de son visage carré et de son corps lourd. Il avait dû être très beau et aussi très naïf et très tendre. Et la vie, les règles impitoyables auxquelles ses Eternels Dévoués devaient obéir, les épreuves d'un choix peu commun avaient fait de lui, avec le temps, cet homme sans âge, ce jeune vieillard au sourire las et froid, redouté et hais.

Il se releva lentement et parut s'éveiller d'un rêve profond, plus vaste que les terres de Camelot. Un instant, il eut l'air affaibli puis son regard se voila. Il se relevait comme toujours après une rude bataille, inlassablement et machinalement Elle devait se servir de lui pour mener à bien ses plans. Eternel Serviteur il n'avait d'autres choix que de lui obéir, il était son exécuteur aux cotés de tant d'autres.

Lors de ses déplacements l'être repoussant perdit quelques lambeaux de chair sans y accorder une quelconque importance puis disparut au détour d'une ruelle sombre. Le Serviteur avait repris sa quête de chair et de sang.

[Thanadrielle]

Contemplant l'armure sacrée je réfléchissais. Tous les jours l'armée des morts se renforce, le désespoir m'atteint. Comment lutter en étant si peu ?

Je pensais déjà à fuir avec Murmures loin de cette guerre, loin de ses tueries sans raisons. Vivre toutes les deux seules, isolées, profiter de notre amour et de notre vie.

Ma détermination fléchissait.

Je me suis mit à penser à ce que me disait mon tuteur a l’Académie.
- Parfois, gamine, tu engageras un combat contre plus fort et plus nombreux. Il te viendra même l'idée de te rallier à ceux que tu combats. C'est humain tout le monde à envie d'être dans le camp des vainqueurs. C'est la que ta foi intervient. Fais en ton armure qui te protège du doute. Ne renie pas tes convictions pour la gloire ou l'argent. Ne rejoint pas les forces du Mal, ne devient pas le Mal. L'honneur d'un guerrier est de mériter le respect de son adversaire. Sache que la seule chose que tu peux perdre ou gagner dans un combat c'est le respect de la personne que tu affrontes. Car si tu trahis, si tu te trahis alors tu ne seras plus rien.

Je souris, comme il avait raison, je préfère combattre mille ennemis que de trahir ma parole. Je me relève pares avoir effectuée une prière pour l'âme de ma grande soeur, quand je sens une présence chaleureuse qui m'enveloppe. Lilith est peut être morte mais son amour est si puissant qu'il me protège encore.

Je ne serais jamais seule face aux hordes des morts. Murmures sera à mes cotés et Lilith sera dans mon cœur. Rien ne peut m’atteindre maintenant car je suis une Faucheuse d’Ames.

Entendez mon défi, vous qui bravez la loi d’Arawn, jamais vous ne m’aurez, toujours je lutterai et au final je suis sure que la victoire seras mienne

[DunkhelzaN -CM-]

<pense avec un sourire etrange a la grandeur belle, naive et stupide, et pourtant si noble et troublante, de certains vivants, et notamment une d'entre eux...>

<regarde ensuite le jeune jardinier dans la crypte, en train de soigner une plaie a la tete>

hop, quelques moisissures pour coteriser et on ne verra plus rien !
mais comme ils ont detruit mes belles plantations!
tant de jolis petits spores perdus en si peu de temps
un jour, bientot, le temps ne compte pas, je couvrirai le monde d'une douce et grouillante couche de champignons, ahhh la mort sera douce avec mes bons amis....

hrp: yeahhhh on a bien boute du req la ^^
< se met deux doigts sur le torse> on r'met ca?!>

[Eldy]

le sang avait coulé une fois de plus , il venait prendre son dus. De toutes les batailles il aimait par dessus tout la désolation et les rales des blessé qui marquaient leur dénouement ; un jour pensait il tous ces chiens en serait la et alors lui , chevauchant les tempetes ses soeurs rendue vivantes , viendrait mettre un therme a ce cycle de sentiment pervertis de bassesse et de mensonge , Nul etre ne méritait plus la vie dans se monde et Il était celui par qui viendrait la nouvelle ere .

Fouinant parmis les ruines fumante a la recherche de rescapé il vit des ombres se relever , il connaissait leur existence et souvent il était passé derriere leur meurtre récupérant les corps disloqués pour son propre compte . Il pensa qu'elle etait peut etre la clef , la solution a son probleme . Commment ces non vivants pouvait t'il se mouvoir et penser , qui avait permis a cet matiere devenue inerte de se lever et de combattre ? Fort de cette decouverte soudaine a laquelle obnibulé par ses propres pistes il n'avait jamais songé il fut pris d'un long rire tonitruant .

"Ainsi , ce que je cherche éxisterait , mais pourquoi chosir l'homme pour le détruire ... quel grandeur dans ces pantins désarticulé , c'est de Tempete , de Tsunamie , de la puissance colossale du vent dont nous avons besoin pour détruire espoire et vie"

Son esprit bouillonnait , les hypothese s'enchainait sans lui donner satisfaction "qui !" , quelqu'un ou quelque chose connaissait des secrets , des formules que malgres toute sa science et les efforts d'une vie il n'avait pu découvrir . Le contentement de la découverte fit alors vite place a une rage sans nom , on lui avait volé son oeuvre ! d'autre puissance travaillait a la destruction de ses contemporains qu'il meprisait tant .

il leva un point rageur vers les ombes qui autour de lui semblait reprendre consistance , des larme de sang s'allumere et il sut qu'il était observé .

"Faites votre Oeuvre , mais votre maitre ne me fera plus d'ombrage une fois que j'aurais percé ses secrets ! Alors des entrailles de la terre , et des espaces infinis viendront les vrais puissances ! réveillé et consciente , comme vous semblez l'etre ! elle viendront et verront , Et alors elle seront pourquoi je les ai appelé ... Elles sauront et pour notre dignité , elles nous feront disparaitre ! "

<incante a mi voie et s'eclipse emporté par une violente bourasque>