Vos Plus Beaux Poèmes D'Amour ....

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Solitude

J'aurai tant voulu que tu sois la ce soir,
Pouvoir me serrer contre toi, tendrement,
Sans dire un mot, sans faire un geste, patiemment,
Mais je m'endors seule, seule dans cette nuit noir.

Mon cœur réclame ta tendresse…si souvent,
Je le sais, au fond de moi, il n’y a que toi,
Mes larmes coulent, mais je pense toujours à toi,
Que fais tu si loin ? Je souffre tellement…

Je m’étais pourtant promis de ne plus aimer,
De ne plus m’attacher, de ne plus souffrir,
Mais maintenant sans toi je ne peux plus vivre,
Qu’as-tu donc fais à mon âme damnée...

Comment te combler par ma solitude,
Je n’ai rien à offrir, tout n’est qu’illusion,
J’aimerai te montrer, la flamme de mes passions,
Mais mon cœur brûle d’une amère certitude.

Je ferai tout pour te donner tellement plus,
J’irai jusqu’aux vertiges, jusqu’aux frissons,
Jusqu’aux baisers laissés à l’abandon,
Jusqu’en ce couchant ou je t’ai aperçu.
Ce poème n'est pas de moi mais d'une amie. Je le trouve tout bonnement magnifique, donc je le mets ici.

Citation :
Lorsque tout sera terminé,
Que tu n'auras personne vers qui te tourner,
Pense à moi qui t'attend,
Sur la falaise dans les périls du temps

Lorsque tu te sentiras vide d'expression,
Que, pour toi, plus rien n'aura de raison,
Pense à moi qui pleure,
Doucement, à l'aube d'une faible lueur

Lorsque tout, tu craindras,
Et que tu n'auras plus de voix,
Pense à moi qui espère,
Un jour, trouver ton point de repère

Lorsque le monde te paraitra étrange,
Et que tu commenceras à croire aux anges,
Pense à moi qui ne cesse de t'appeler,
Espèrant te garder pour l'éternité...
Bisous à la Damoiselle.
Citation :
Provient du message de Laya de Malkesh
Une balle pour délivrance
Mon choix, ma préférence
Pour quitter ce monde que j’ai aimé
Et le bonheur perdu à jamais
Juste une balle pour oublier
Que tu n'es plus à mes côtés
J'ai choisi de ne plus vivre
Pour ne plus me forcer à sourire
Ne plus faire semblant d'être heureux
Alors que mon coeur est blessé et cendreux
Fatigué de subir cette vie
Fatigué de mentir à autrui
Fatigué de penser à ton visage
De n'avoir comme but qu'un mirage
Fatigué de vivre comme une ombre
Dans ce présent beaucoup trop sombre
Fatigué de vivre, fatigué d'aimer
Fatigué de souffrir et surtout d'espérer
Une balle pour délivrance
Ma vie, ma préférence
Fatigué de ne pas pouvoir te le dire
Fatigué de devoir te fuir
Si je n'ai pas le droit de t'aimer
Pourquoi ai-je le droit de pleurer
Une balle contre cette souffrance
La mort, la délivrance
De cette vie qui s’acharne
Et sur son chemin rien n’épargne
Il y a bien longtemps...
La fleur et le papillon

Un matin de printemps, une fleur poussa nue,
S'élevant pour un temps, comme portée aux nues,
Par une souple tige et quelques feuilles agiles,
Sa belle tête en l'air et le pied dans l'argile.

A l'été de sa vie un papillon s'en vint,
Voletant ça et là et recherchant en vain,
Ce qui n'existe pas, même aux confins des cieux.
Passant près de la fleur il s'y posa un peu.

Il butina longtemps et jusque dans son cou,
Arrachant à son cœur ce qui lui était doux,
Puis ivre de pollen et de pistil chargé,
Il se confia aux vents, hasardeux, inchangé.

La fleur se souviendra de l'être de lumière,
Aux ailes colorées, mais pourtant éphémère,
Qui emporta au loin le meilleur d'elle même,
Faisant que dans ses rêves, à jamais, elle l'aime.
Bon ben voilà ma tite participation..

De tes baisers je suis sans armes,
De tes caresses je suis sous le charme,
De ta douceur mon coeur s'enflamme,
De tes adieux je suis en larmes.


Comment expliquer mes sentiments,
Tant de mots mais aucuns pour les décrire,
Seulement un seul mais je ne puis le dire,
Alors je te serre contre moi tendrement.


Pourquoi tant de larmes dans mes yeux,
Pourquoi tant de peine dans mon coeur,
Quand prés de moi je n'ai plus ta chaleur,
Quand malgré toi tu me dis adieux.


J'aimerais ne jamais te quitter,
J'aimerais ne faire qu'un avec toi,
J'aimerais ne jamais te laisser,
J'aimerais ne vivre que pour toi.


J'aimerais.... J'aime.....

Baisers éternels
Amour perpétuel
Caresses sensuelles
Sentiments inhabituels.



Le temps se mesure aux battements de mon coeur...
Il aimait la mort,
Elle aimait la vie,
Il vivait pour elle,
Elle est morte pour lui.


-----------------------------------

Tu dors profondement
Dans le berceau de mon amour
Et se leve le matin où toi seul
Est appelé à incarner le messager des rêves.

Et la clarté de la lune
Se reflete sur ta nuque élancée.
Tu voudrais arreter le temps du monde entier
Et t'enfermer

Mais si notre rencontre devait avoir un sens
Alors j'obeirais à la Bible
Qui me montre
La voie de la liberté

C'est la doctrine de l'ange
C'est maintenant qu'apparait la tristesse
Une fois reveillé de ce rêve
Où tu apercois ta vie serré contre mon coeur
N'importequi peut emettre de la lumière

Et les gens en tissant le fil de leur amour
Inventent l'Histoire
Et moi, je vis
Sans pouvoir devenir déesse ...


---------------------------------

Fly me to the moon,
and let me play among the stars.
Let me see what spring is like on Jupiter and Mars.
In other words, hold my hand
In other words, darling, kiss me!

Fill my heart with song,
and let me sing forever more.
You are all I long for,
all I worship and adore.

In other words, please be true!
In other words, I love you!
Ces textes que je viens de lire ici sont tous d'une grande beauté, mais si tristes parfois...

Mon préféré n'est pas de moi, je n'écrit que très mal ce genre de chose... Le mot "Amour" a plusieurs sens et désigne bien des choses...

Citation :
Non, ce n´était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu´on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en pèr´ peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s´app´lait les Copains d´abord
Les Copains d´abord

Ses fluctuat nec mergitur
C´était pas d´la littérature
N´en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses mat´lots
N´étaient pas des enfants d´salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d´abord

C´étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C´étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boetie
Sur le ventre ils se tapaient fort
Les copains d´abord

C´étaient pas des anges non plus
L´Évangile, ils l´avaient pas lu
Mais ils s´aimaient tout´s voil´s dehors
Tout´s voil´s dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C´était leur seule litanie
Leur Credo, leur Confiteor
Aux copains d´abord

Au moindre coup de Trafalgar
C´est l´amitié qui prenait l´quart
C´est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu´leurs bras lançaient des S.O.S.
On aurait dit les sémaphores
Les copains d´abord

Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l´un d´entre eux manquait a bord
C´est qu´il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l´eau n´se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore

Des bateaux j´en ai pris beaucoup
Mais le seul qu´ait tenu le coup
Qui n´ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s´app´lait les Copains d´abord
Les Copains d´abord
J'aime aussi celui là, autant que je le hait, car il est à la fois vrai et faux.

Citation :
Rien n´est jamais acquis à l´homme. Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son cœur. Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d´une croix
Et quand il veut serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce

Il n´y a pas d´amour heureux

Sa vie elle ressemble à ces soldats sans armes
Qu´on avait habillés pour un autre destin
À quoi peut leur servir de se lever matin
Eux qu´on retrouve au soir désarmés incertains
Dites ces mots ma vie et retenez vos larmes

Il n´y a pas d´amour heureux

Mon bel amour mon cher amour ma déchirure
Je te porte dans moi comme un oiseau blessé
Et ceux-là sans savoir nous regardent passer
Répétant après moi ces mots que j´ai tressés
Et qui pour tes grands yeux tout aussitôt moururent

Il n´y a pas d´amour heureux

Le temps d´apprendre à vivre il est déjà trop tard
Que pleurent dans la nuit nos cœurs à l´unisson
Ce qu´il faut de regrets pour payer un frisson
Ce qu´il faut de malheur pour la moindre chanson
Ce qu´il faut de sanglots pour un air de guitare

Il n´y a pas d´amour heureux

{extra}

Il n´y a pas d´amour qui ne soit à douleur
Il n´y a pas d´amour dont on ne soit meurtri
Il n´y a pas d´amour dont on ne soit flétri
Et pas plus que de toi l´amour de la patrie
Il n´y a pas d´amour qui ne vive de pleurs

Il n´y a pas d´amour heureux
Mais c´est notre amour à tous deux
Un autre de moi ..



Un cri du coeur, un cri d'amour
Une âme se meurt, plus de toujours,
Une détresse, une douleur,
Des mots qui blessent à mort un coeur.

Rejet total, déni de tout,
Plus que le mal qui brule tout,
Un coeur soupire, un coeur attend,
Une âme désire, une âme se rend.

Un adieu froid, un simple Non,
Mais de quel droit, pour quelle raison,
En quelques heures, changer d'avis,
Briser un coeur, briser une vie.


Il n'est pire blessure que celle d'un coeur qui aime, et qui saigne.
Citation :
Provient du message de Taranis S
Il aimait la mort,
Elle aimait la vie,
Il vivait pour elle,
Elle est morte pour lui.
Ca chu pas d'accord, c'est:

Il aimait la vie,
Elle aimait la mort,
Il mourut pour elle,
Elle vécut pour lui.

Bha quoi pourquoi ce serait à elle de mourir?
Citation :
Provient du message de Dame-Flo -FCB-
Bha quoi pourquoi ce serait à elle de mourir?
Personne n'a à mourir. Mais le cas échéant, si un choix doit être fait, "les femmes et les enfants d'abord", la tradition maritime en cas de naufrage a une explication tout à fait rationnelle, préserver l'avenir. Et chacun sait que la femme est l'avenir de l'homme .
Citation :
Provient du message de Aloïsius
Personne n'a à mourir. Mais le cas échéant, si un choix doit être fait, "les femmes et les enfants d'abord", la tradition maritime en cas de naufrage a une explication tout à fait rationnelle, préserver l'avenir. Et chacun sait que la femme est l'avenir de l'homme .
Merci

Si tout le monde pouvait résonner comme toi




- hum, juste un poème RP d'Antébal Vorrach', mon premier perso T4Céen à Lunaria, pour qui il se consumait d'amour... (lire aussi les majuscules à la verticale)


Lune riante apparaît, au travers des nuages
Une aura de blancheur en cette nuit d'orage
Nulle ondée ne parvient à dissiper l'éclat
Animant son regard, faisant taire le glas.
Réveillant le dormeur, apaisant la fureur...
Il n'y a plus d'endroit que la lumière n'effleure,
Aucun lieu où ne règne son infinie douceur.

J'ignorai que les larmes pouvaient être nacrées,
Et je tremble en pensant à un serment sacré...

Vivre enfin je me sens et non plus seul survivre
Ouragan en mes veines, le Feu se fait Lumière
Ultime renaissance et l'enfant se sent ivre,
Se prenant pour géant, lui qui n'était que hère...

Au matin la nature me semble encore plus belle
Illuminée d'étoiles, de milliers d'hirondelles
Mielikki je t'implore, accorde à ton rôdeur,
Ecoute ma prière et bénit nos deux coeurs..

--'-,--(@




ça me fait drôle de relire ce texte, quand je pense que je n'arrive même plus à trouver l'inspiration pour écrire...
enfin bon.



Patum.
Très joli Patum

***************************


Espoir de renaissance
Sacre d'un nouveau jour
Phoenix brûlant d'amour
Eclatante espérance
Retour de nos toujours
Alliance retrouvée
Ne plus faire qu'aimer
Ces trésors de l'amour
Et sans cesse, espérer ...
Un de moi meme si je l'avais deja mis sur le forum de feyd :

Tous ces doux moments de bonheur
Reviennent et envahissent ma mémoire
Comme s’il ne s’était écoulé que quelques heures
Depuis la fin de notre histoire


Chaque mot prononcé était comme une caresse
A ton nom mon cœur s'emplissait de tendresse
Mes yeux ne pourront pas pleurer
Comme je ne pourrai regretter ce qui c’est passé


Je peux juste esquisser un sourire
En pensant à ces précieux souvenirs
Qui resteront à tout jamais graves en moi
Comme l'amour qui nous unissait autrefois


Mais chaque nuit j'irais te retrouver
La gorge serrée et les yeux fermés
Me laissant guider vers cette lueur
Qui émane de la petite partie de mon cœur
Que personne ne vois mais qui continuera
Malgré tout a garder un petit bout de toi

Et sinon c'est evidement pas de moi le reste c'est trop beau enfin moi je les trouve magnifique

Citation :
Elle m'a embrassé là.
J'ai dit quelque chose mais si bas
qu'elle ne pouvait l'entendre,
j'ai dit s'il te plaît ne me quitte plus
jamais parce que quand tu n'es
pas là il me manque un morceau
de moi-même et je n'ai nulle part
où aller où je ne sois en morceau.
Citation :
Si tu ne peux entrer dans la pièce, sans que le feu ne s'allume dans mes veines, si, où que tu me touches, mon coeur se met à battre sous ta caresse, et si je reste muette quand tu me prends dans tes bras, c'est parce que tous mots en moi semblent être devenus des battements de coeur, et toutes mes pensées se mêlent dans un grand flou doré
Citation :
L'été sera l'hiver et le printemps l'automne,
L'air deviendra pesant, le plomb sera léger :
Et de muets qu'ils sont avoir la voix fort bonne.
L'eau deviendra le feu, le feu deviendra l'eau
Plutôt que je sois pris d'un autre amour nouveau
Citation :
Depuis hier soir, je songe à vous, éperdument.Un désir insensé de vous revoir, de vous revoir tout de suite, là, devant moi, est entré soudain dans mon coeur.

Et je voudrais passer la mer, franchir les montagnes, traverser les villes, rien que pour poser ma main sur votre épaule, respirer le parfum de vos cheveux.

Ne le sentez-vous pas, autour de vous, rôder, ce désir venu de moi qui vous cherche, ce désir qui vous implore dans le silence de la nuit? .

Pourquoi notre première pensée est-elle toujours pour les yeux de la femme que nous aimons ? Comme elles nous hantent, comme elles nous rendent heureux ou malheureux, ces petites énigmes claires, impénétrables et profondes, ces petites taches bleues, noires ou vertes, qui, sans changer de forme ni de couleur, expriment tour à tour l'amour, l'indifférence et la haine, la douceur qui apaise et la terreur qui glace mieux que les paroles les plus abondantes et que les gestes les plus expressifs.
J'étais dans mon lit avant heureux
Et oui j'étais très amoureux
Amoureux d'une fille, c'était toi
A vrai dire c'est une des rares fois

Mes sentiments étaient si forts
Malgré cela j'ai peut être eu tort
La chute, m'a paru si inconcevable
J'aurais préféré un départ plus humble

Surement pas tu es lâchement partie
Me laissant chercher d'autres filles
J'ai eu du mal à réaliser
Que plus jamais je pourrais t'embrasser

Tu représentais beaucoup pour moi
J'ai eu du mal à m'en remettre crois moi
Je pensais comme toi que ce serait pour la vie
Mais autrement en avait décidé une fille

Trouver des femmes c'est pas un problème
Pour moi mais j'ai cumulé tant de haine
Etant mêlé dans la confusion et l'illusion
Trouver parmi toutes ces filles le rayon

Qui illuminerait de nouveau mon coeur
Parmi toutes ces aventures dont je me meurs
Et ma foi une chose plus complexe
En est la preuve le nombre de mes ex




Mon unique et seul poème crée pour la seule meuf que j'ai aimé, Noemi.
Citation :
Provient du message de Lemuel
Cela m'était destiné je pense.

Enfin, cela remonte à longtemps, en effet.

Bonjour Aelis

Bonjour toi

Oui, effectivement
Citation :
Provient du message de Dame-Flo -FCB-
Ca chu pas d'accord, c'est:

Il aimait la vie,
Elle aimait la mort,
Il mourut pour elle,
Elle vécut pour lui.

Bha quoi pourquoi ce serait à elle de mourir?
merci d'avoir rectifier je l'ai ecrit de mémoire alors...
Ma plume se perd vite dans les longs poèmes, je vais emprunter les mots du grand Jacques d'une de ses chansons, qui pour moi va au delà de l'amour, un poème qui me bouleverse et me fait frissonner toujours autant ... après l'avoir entendu plus de 100 fois :

Citation :
La quête

Rêver un impossible rêve
Porter le chagrin des départs
Brûler d'une possible fièvre
Partir où personne ne part
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon cœur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile.
Citation :
Provient du message de Lemuel
lol, ça fait bien un mois que je n'ai plus mis les pieds sur ce forum-ci.

Et hier, tout a fait par hasard, je tombe sur ce post-ci.
Amusant
Va pas croire que je parle de toi sur tous les posts (Je pensais effectivement que tu venais plus sur les forums)

Juste que c'est le seul poème potable que j'ai écrit et que voila
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