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Utopies
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Kelem Khâl La'Ri |
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Prophète
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Désolé je post inconsidérément, je relirais tout plus lentement demain
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30/05/2003, 00h08 |
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Le dernier thread sur la "société parfaite" date d'à peine deux semaines :
Citation :
Citation :
L'emploi pour tout et n'importe quoi du mot utopiste est très récent, une trentaine d'années à tout casser. Et la plupart des progrès sociaux ont été permis par l'économie et la technologie et/ou par l'exaspération d'un groupe humain qui l'a arraché en force. Rien à voir, en tout cas, avec un désir utopiste, mais bien plutôt avec une lutte pour ses intérêts contre un autre groupe qui s'accroche aux siens. C'est l'antithèse du concept d'utopie, où le conflit est justement inexistant. Le texte intégral de l'Utopie de More, dans la traduction de 1842 |
30/05/2003, 00h46 |
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Alpha & Oméga
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Lorsque qu'Henry Seldon mettra au point la psychohistoire, on sera sauvés.
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02/06/2003, 17h00 |
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Bahh ... tout sa c'est trop compliqué pour moi ....
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02/06/2003, 18h26 |
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Il y aura toujours quelque chose ou quelqu'un qui n'y trouvera pas son compte ... dommage
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02/06/2003, 19h10 |
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Citation :
Euh...merci Google, parce que c'est quand même super spécifique comme domaine et niveau documentation on trouve keud sur le web; si l'on fait abstraction du domaine résolument médical dont cette chère centenaire a fait son cheval de bataille, on a rien d'autre qu'une théorie des besoins un peu insipide. On note d'ailleurs des besoins typiquement américains (comme le 11. de mon lien précédent...foutue proéminence de la religion aux USA), tandis qu'un Maslow réussissait en 3 fois moins de besoins une classification bcp plus claire et ordonnée de surcroît. De tout ça on peut déduire que...Moulinette est infirmière (sinon comment avoir l'idée de lire ça ) *** Pour revenir au sujet j'avoue ne pas trop comprendre la direction exacte du débat, certains parlent de bonheur individuel, d'autres de bonheur collectif, le dernier étant selon moi le point dont Aloisius voulait parler dans son utopie (d'ailleurs j'attendais FautVoir plus rapide à Thomasmorer...alors pépé dauphin on perd ses réflexes de Prince ? ) Comme il est entendu que le bonheur individuel n'est désirable quand tant qu'il n'est pas atteint et qu'il n'existe que par contraste avec les galères (Adam & Eve nous ont montré la fadeur d'une vie de bonheur), c'est plutot la définition de bonheur collectif qui est interessante. Ou plutot, la félicité humaine (Mr INSEE utiliserait la locution pudique "moral des ménages") étant intangible faute de personne à qui l'appliquer, comment la mesurer ? C'est une tâche que les sociologues (au pif Durkheim, Todd), par cargos entiers, se sont efforcés de mener à bout. En vrac: 1 - faible taux de suicide 2 - forte natalité 3 - espérance de vie Bien sur, tout ceci partant du principe que les besoins fondamentaux (manger/dormir/être abonné à un mmorpg sans lag) sont remplis. On objectera que le niveau de vie, sacro-saint PIB, est important; mais pourquoi exclure de son champ des utopies les sociétés sans argents ni troc (tant qu'à planer autant frôler les étoiles ). Bien sur, dans la société actuelle, l'argent ne fait le bonheur ni même n'y participe mais il permet au moins à la majorité de la population française de remplir ses besoins fondamentaux. Un bon point donc. Voilà pour une tentative de "définition" des indicateurs caractérisant le bien être d'une société (Indicateurs applicables aux animaux ?...). On pourrait donc juger chaque action par rapport à sa capacité d'action sur ces indicateurs, et même si en pratique ils sont fortement corrélés, je crois pouvoir affirmer que la construction d'un nouveau porte-avion en France (j'aurais bien tenté de parler des conséquences d'un état policier mais ça va salir le thread) n'est pas le chemin le plus court vers une utopie, ou alors on s'achemine vers l'utopie négative d'Orwell & Wells. Il y a tout de même des facteurs inquiétants en France (pardonnez moi de ne pas "mondialiser"...), je pense notamment à toutes les maladies résultant en partie d'une somatisation d'un mal-être, qui vont de la depression au cancer qui à n'en pas douter trônera fièrement au sommet des maladies humaines (pour l'instant il est juste derrière cette maladie de pays riche qu'est l'accident cardio-vasculaire, sauf qu'il a l'amusante particularité de frapper à tout âge). L'espérance de vie en France n'est pas intrinsèquement à dérivée positive, je suppose que le jour où la courbe plonge ou essayera d'un peu moins se focaliser sur la productivité d'un pays. Il y a donc là suffisamment de bonnes raisons pour que je glande au boulot demain Avram |
02/06/2003, 21h10 |
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