[Orcanie] a la recherche du Faucon de Mai

 
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J’ai parcourue les plaines, traversé les monts et les vaux
Jamais je n’ais sentie trace de toi
J’espère à chaque feu, à chaque point d’eau
Mais toujours de simples hommes traversent les bois

Louve je suis, je poursuis mon voyage
Je cours, je cavale depuis toujours
Pluies, neige et vent me font subir leurs outrages
Une Louve à la recherche de son Amour

Froid et désolation règnent maintenant sur cette terre
Une terre sans Roi
Peur et dévastation en sont les pères
Une terre sans Toi

Je m’endort engourdie et pense à Toi
Je rêve de pouvoir m’allonger dans tes bras
Non c’est vrai, rien ni personne ne te remplacera
Je t’ais dans la peau, je suis folle de Toi

Alors je me tue pour te trouver
J’épuise mon souffle, je brise ma volonté
Je cours, j’escalade les plus hauts sommets
Rien ni personne, à part Toi, ne pourra me stopper

Bien des fois j’ai vue la fin arriver
Dans un sommeil d’où je ne pensais pas me réveiller
Car lorsque Solitude est ton compagnon
Mort n’est pas bien loin si tu manques d’attention

Je me réveille, je pensais Mort arrivée
Engourdie, trempée et malade je respire encore
La faim me torture, mes os sont brisés,
Je reprend mon voyage, pleure l’eau de mon corps

Pour Toi
Je traverserais le Monde, mais je te trouverais
J’irais au bout du voyage, jamais je ne m’arrêterais
Car sans Toi
Je ne vis pas.
C'est triste, mais bo Niaa...


Ne t'arrête pas Niaa, l'amour tu retrouveras, ne perds ni espoir ni courage, d'amour tu mérites de t'abreuver, comme chaque être en notre belle Hibernia. Cours Niaa, cours au devant de l'amour dont nos coeurs ont tant besoin pour respirer... Mais vis Niaa, vis pour laisser le temps à cet amour de te retrouver, de te choyer, vis...
__________________
Aion
http://www3.sympatico.ca/a.t.renaud/elolal.gif
Citation :
Provient du message de Cleopatra/Conan
Nan faut aimer le sex et les cigarettes au gout mielleux avec des champis oranges et vert partout pp

Les cigarettes et les champignons je te les laisse, berk mais le "reste" ..... .......... ..........
Citation :
Provient du message de Cleopatra/Conan
Nan faut aimer le sex et les cigarettes au gout mielleux avec des champis oranges et vert partout pp
ta oublier l'alcool frelater
Citation :
Provient du message de punisher
ta oublier l'alcool frelater
/slap espèce dalcolik attend ke je te mette kekes coups de Luth pour t'apprendre a aller te pochtronner au lieu de..


@ Niaa c très bo mais trés triste kiss frangine

Muzz
Message roleplay
Mille gouttes de pluie arrosent mon passage
Et tu arrives, enfin, par le même chemin.
J'existe dans le vent, j'existe dans la rage
Que tu mets à trouver mes pas dans le lointain.

Ne t'endors pas encore, attend de me revoir,
Car si je ne suis pas à tes côtés ce soir,
Ce n'est pas que je fuis ta présence sacrée,
Mais bien que l'Elément m'empêche d'arrêter
Cette folle cascade de guerre, de sang
De pleurs et de sanglots, échos de cris d'enfants.

Comment aimer, chérir, la conscience souillée ?
Je pleure chaque mort, mais me sens obligé
D'être présent aux cotés de mes frères d'arme,
Dussè-je en mourir, las, desséché par ces larmes.



http://www.efrance.fr/Lagriffe/daoc/divers/signature_gwal.jpg
clic droit + enregistrer sous, et remplacer l'extension par un joli .mp3 ^^
Il y a une chanson qui dit ainsi :

"Mais si je meurs à la guerre,
saura-t-elle me pardonner
d'avoir préféré ma terre
à l'amour qu'elle me donnait..."

Triste, mais... l'amour peut trouver sa plus grande force lorsque l'on combat aux côtés de celui-celle que l'on aime, il n'en grandi que davantage puisque partageant la même vision du monde, poursuivant le même but et les amants regardant dans la même direction...

Puisse le Faucon aimer la Louve tel qu'il aime son royaume puisque c'est la terre de sa tendre aimante...
__________________
Aion
http://www3.sympatico.ca/a.t.renaud/elolal.gif
Il est sans aucun doute un mal très ancien, si vieux que l'on ne saurait dire depuis quand se trouve t'il parmit nous.
Un mal qui corrompt et ronge notre âme, un mal qui fait bien souvent souffrir et pourtant ...................

Pourtant, pauvres fous que nous sommes, nous nous attachons sans cesse à ce mal, ce mal qui nous touche insidieusement. Ce mal qui sournoisement provoque une blessure profonde en nous. Une blessure bien souvent inguérissable pouvant mener les gens touchés à être prêt à subir maintes et maintes souffrances.

Oui, souvent par amour, il est possible de faire l'inconcevable pour rejoindre l'élu de son coeur. Braver des dangers souvent de manières irréfléchies pour aller là où il se trouve. Surmonter bons nombres d'obstacles infranchissables pour venir auprès de lui.

C'est un mal ancien qui touche chaque être vivant, qui pousse les gens à voir d'autres choses, ressentir d'autres sensations.

Qui peut dire qu'il n'a jamais été effleuré par cette malédiction, malédiction frappant en douceur et dont on ne peut se protéger par de quelconques artifices. Oui, une malédiction et pourtant ...................

Elle fait battre le coeur plus vite. Comme une harmonie céleste, deux coeurs chantent à l'unisson.
Elle fait voir les gens d'une autre vision. Grandissant par la même chacun, embellissant chaque chose portée à notre regard.
Elle fait ressentir de nouvelles sensations. Sentiments de légèreté auprès de l'être aimé, impression de bien-être au coté l'être chéri.

Un picotement parcourt notre échine, un fourmillement effleure notre peau, nous nous sentons si bien. Ne faire plus qu'un, aller toujours ensemble, quoi qu'il se passe, quoi qu'il arrive et ne plus jamais craindre le lendemain. Toucher du bout des doigts l'immortalité, côtoyer les cieux, caresser la Vie pour l'Eternité.

Devons-nous renoncer à cette blessure, nous qui ouvrons un jour notre coeur, nous qui perdons un jour une partie de notre âme. Oh ! Par tous les Dieux non ! Faite que ce mal qui nous transperce continu d'oeuvrer pour l'Eternité. Nous n'en serions que diminués s'il venait à disparaître un jour. Un coeur solitaire n'est rien, il ne bat pas vraiment, il attend, retiens son souffle, espère et pleure dans le silence. Celui qui n'a jamais connu l'amour, celui qui n'a jamais craint pour une autre vie que la sienne, celui là n'a jamais véritablement vécu.
 

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