Concours d'écriture !

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Votez pour votre texte préféré

Je vous propose un concours d'écriture, il n'y aura pas de prix, je previens tout de suite, mais juste pour le plaisir.

-Comment ca se passe?
Je donne une phrase de début et une phrase de fin, le but etant d'ecrire une histoire (la longueur depend de vous et de votre inspiration) dont la première et la dernière phrase sont celles données.

-Ca se termine quand?
Vous avez jusqu'a mercredi soir minuit. (je sais ca fait court... mais bon, ca stimule, au pire si beaucoup le demande on prolongera)

-Qui juge?
Ce que je propose est un vote, les participant n'ont bien sur pas le droit de voter pour leur propre texte

[Edit : Inscrivez vous ici si vous comptez participer... ]

Donc, le sujet :

Début :
Assise à même le sol, au centre d'une pièce qu'elle n'avait jamais vue auparavant....

Fin :
... elle referma le livre et tout était fini.
Je participe. Mais ça va être court pour mercredi (parce que j'ai cours, et même si je sèche je suis occupé, et puis y'a un concert mercredi soir...). J'vais essayer.
Mouarf non pas lui

Si Vrittis s'y met, ca va faire 5 pages completement geniales

M'enfin, c'est qu'un jeu apres tout ^^

Soroya, ex Harnien amateur de la prose de Vrittis
J'inscris celui qui m'appelle sa house elfe son nom c'est Alamankarazieff. J'essaierais peut-être.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Provient du message de Aina
Allez je m'inscris mais je ne suis pas sure de pouvoir poster d'ici mercredi soir =)
Toi je veux absoluement te lire
apparemment tous le monde va entrer dans un livre ou qqch va en sortir d'après les 2 phrases
P.S sinon tu veux pas mettre le délais a vendredi par ex vu que la plus part des gens font le pont => plus de temps libre
Re: Concours d'écriture !
Euh je m'inscris et j'ai ma contribution

Assise à même le sol, au centre d'une pièce qu'elle n'avait jamais vue auparavant, elle regardait autour d'elle, un livre ouvert sur les genoux. Ce livre l'avait amene bien loin, bine plus loin qu'elle ne l'avait imagine. Troublant comme le pouvoir des livres peut etre puissant. Celui ci decrivait l'histoire d'un moine boudhiste, adepte des arts martiaux.

Troublant de penser que ce moine avait appris essentiellement par la contemplation. Elle n'avait jamais appris que par les livres. Une associale, ils l'appelait. Elle en souffrait, comme elle souffrait de la douleur de rencontrer les autres. Les livres etaient bien moins blessants. La distance qu'ils imposaient et le respect qu'elle avait pour eux creaient une cloison etanche entre ces miliers de vie et la sienne.

Mais ce moine, lui n'avait pas eu besoin de livre. Il n'avait pas eu peur. A travers ce livre elle voulait rencontrer celui qui avait appris sans lire.

Elle le sentait decouvrir son corps a travers l'exercice physique. L'epuisement, la lutte contre la torpeur et la fatigue apportent des reponses dont elle n'avait pas idee.
Elle le voyait s'emmerveiller de la nature, elle qui preferait la chouette empaillee et docile qui lui servait de repere dans sa chambre vide.
Elle compris ce qu'elle ratait, mais elle ne pu se resoudre a changer sa vie. De depit, elle referma le livre et tout était fini.


voila, premier et dernier jet
Début :
Assise à même le sol, au centre d'une pièce qu'elle n'avait jamais vue auparavant....

Milieu...
Ho my God!!! Un livre!!! <étonnement fugace> " hum "se dit elle, qu'est-ce qu'il peut bien faire la?!? ..... tadada...!!! suspense....

Le livre s'ouvrât tout seul et en sortât un Génie tout vert qui lui dit:"Ne Meuuuuu fereeeheerme paaahaaas!! jeune inconnue!!!

prise de panique,

Fin :
... elle referma le livre et tout était fini.
Assise à même le sol, au centre d'une pièce qu'elle n'avait jamais vue auparavant, la petite Maritza était de ces enfants comme nous les connaissons tous, naïfs et curieux.

Comment elle s'était rendue dans cette pièce ? Jouant au ballon avec son amie, voilà que le jouet déambula la rue pour tomber dans cette vieille maison tout au bout du chemin de bitume.

Maritza courut à la recherche de son jouet favori. Lorsqu'elle le prit dans ses mains, un mince filet de lumière dans l'embrasure de la porte de cette salle attira son attention. Intriguée, elle poussa la porte qui grinça sur ses gonds et un nuage de poussière la fît tousser.

Un pas, un autre sur ce plancher de bois usé par le temps et les intempéries. Un objet au milieu d'un cercle captivait son regard.

Un livre.

Combien de fois maman pouvait lui lire une histoire qu'elle aimait tellement ? Lâchant son ballon elle se dirigea vers le centre de la pièce, s'assied et prit le livre sur ses genoux.
Ses doigts glissèrent lentement sur la couverture de cuir rigide, et lorsqu'elle l'ouvrit, une odeur âpre lui monta aux narines. Elle tourna une feuille parcheminée et commença sa lecture.

-Il était une fois...
Un rayon de lumière sembla émaner des lettres calligraphiées à la main sur ces pages vieillies, puis entoura la petite Maritza. L'instant d'après elle n'était plus là.

Une pièce aux murs de chair et de sang l'entourait, des bouches ouvertes et figées en un douloureux rictus semblaient lui dire: La curiosité est un vilain défaut, et des yeux jaunis et glauques la fixaient.

Un lapin à l'oeil percé sautillait ça et là, faisant gicler son sang sur le sol déjà bien sale. Un clown au sourire édenté lui agrippa le poignet.

-Alors petite ? On est perdue ?

Un cri de terreur s'échappa de la gorge de la fillette, et elle se mit à courir vers une porte. Elle tourna la poignée, la tira, et elle s'ouvrit sur un mur. Le clown s'approchait d'elle à grand pas, agitant ses doigts. Les larmes se mirent à rouler sur ses joues.

-Maritza! Maritza!?

Son amie était entrée elle aussi dans la demeure. La petite vit sa copine assise, immobile au milieu d'un cercle ensanglanté. Terrifiée, elle s'approcha tout de même de sa copine figée.

Alors qu'elle toucha le livre, celle-ci se vit aussi transportée dans cet univers macabre où elles dansèrent jours et nuits avec ces spectres qui hantent les cauchemars de l'enfance...


-Grand-mère ? Il est arrivé quoi à Maritza et son amie ?

-Elles furent internées dans un asile, n'arrivant plus à parler, et elles pleurent chaque nuit leur douleur et leur peur.

-Mais comment sais-tu cela ?

-Parceque c'est ici, dans ma maison que tout cela est arrivé.

Après avoir souhaité de passer une bonne nuit à sa petite-fille, la grand-mère sortit de la petite chambre drapée dans le velours rouge.
Elle redescendit au salon, puis se versa une tasse de thé. Elle prit une gorgée du liquide amer puis un rire sadique et cruel s'échappa de sa gorge, alors elle referma le livre et tout était fini.
Hop un texte pondu à la va vite pcq g peu de tps et que le café me réussi pas

Citation :
« Assise à même le sol, au centre d'une pièce qu'elle n'avait jamais vue auparavant la petite chose jetait des regards ahuris. Un mouvement de recul pour finir par se cogner contre quelque chose de dur... elle lève les yeux et oooooohhh... Une chose iiiimmense se dresse face à elle...

Moment de panique intense !!!

Mais... ce n'est qu'une table. Enfin un pied de table, ou de ce qui est sensé ressembler à une table... Enfin bref. Non décidément elle ne sait pas ce qu'elle fait ici. La vague impression d'être dans Alice au Pays des Merveilles. Enfin dans ce cas précis des Cauchemars.
La petite chose (enfin si pour vous 1m70 c'est petit...) se gratte le sommet du crâne pensivement, se demandant comment elle allait pouvoir réussir à escalader ce pied de table. Elle aurait mieux fait d'être plus attentive lors de la lecture de Jacques et le Haricot Magique...

Enfin l'instant n'est plus aux regrets.

Carole (oui faut bien leur donner un nom à ces bêtes là) décida que finalement, trouver la chaise la plus proche de la table serait l'acte le plus intelligent qu'elle puisse faire. Elle se mit à tourner en rond comme une toupie, zigzagant entre les diverses parties du mobilier avec une dextérité dont elle se croyait fort dépourvue (quand la bise fût venue... hum pardon).
Aucune écharde, aucun endroit où s'agripper pour aller au sommet de cette fichue table. Ce n'était définitivement pas son jour. Elle ne pouvait même pas se servir de sa ceinture puisque par coquetterie elle n'en mettait plus (les femmes j'vous jure...).

Un drôle de bruit soudain. Comme si une locomotive à pleine puissance venait d'entrer dans cette pièce (inconnue je vous le rappelle). Une sorte de ronflement... ronronnement...

...

Le chat !!

Ce sacré matou bedonnant, ronronnant qui faisait autant de bruit que toute une série de formules 1 sur le départ. Ahurissant ! Jamais Carole n'avait fait attention à ça.
Voilà en prime qu'elle se retrouvait dans la peau de Jerry... Avec son propre chat la fixant comme si elle était devenue un simple morceau de viande.

Tout en courant comme une folle vers un abri plus sur, elle se rendait compte que cette pièce était tout bêtement sa cuisine. Drôle de perspective. Et en plus, elle venait de laver le sol. Et c'était gliiissaaaaaaaaaaant...

<silence>

Le ronronnement qui revient !! Elle ouvre un oeil doucement, puis l'autre... Deux prunelles jaunes qui la fixent. Ah non !! Pas lui !!

Euh mais il est minuscule...

Carole se frotte les yeux, se rendant compte qu’elle est perchée sur sa chaise pour éviter de toucher le sol mouillé. Le chat par contre ne s'était pas géné.
Elle allait devoir le flanquer dehors. Mais avant, elle devait oublier ce livre bizarre dont de drôles de vapeurs semblaient s'échapper. Jamais plus elle n'irait chez ce marabou indien et ses drôles d'histoires au sujet de rêves réalistes...

D'un geste sur, elle referma le livre et tout était fini. »
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