[Télé]Sacré Mitterrand, tout de même!

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aloisius fait gaffe il va sortir son troll

Sinon pour repondre au sujet, moi j'ai baigne dedans tout petit, mes parents on debouche le champagne avec leurs amis en 81 (tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents socialistes ). Il y a eu du bien et des deceptions, il certainement fait des choses pas tres jolies jolies, mais au moins il incarnait une certaine idee de la republique. Un gout du pouvoir certain, mais en meme temps un attachement a faire avancer les choses.
Pour moi c'est l'image du "President" et je pense qu'elle me restera longtemps.

Saka, je suis de droite ou de gauche ?
Citation :
Provient du message de Sakapuss Aello
En lisant vos réponses, on distingue de suite si vous etes de droite ou de gauche.

Tres objectives vos réponses.

Bravo.
Bah, les gens disent ce qu'ils veulent. Moi, je trouve le personnage fascinant par son ambivalence, son intelligence politicienne, sa persévérance, son ambition démesurée...un vrai personnage de roman!
Un grand homme d'etat ou un personnage historique, ne veut pas forcement dire un homme bon

Plus généralement c'est plutot des personnages troubles

En tout cas sans doute un des plus grand personnages politiques que la France est connu au 20 eme siecle, avec Blum, De Gaule et quelques autres, qu'on aime ou qu'on deteste, on ne peut retirer la grandeur et l'importance du personnage, ni sa carrure comme chef d'etat et homme politique.
Citation :
Provient du message de Trouveur
Parce que contrairement à chirac dont la seule action positive en dehors de piquer dans les caisse a été de s'opposer à une guerre injuste, Mitterrand est l'instigateur d'avancées sociales en France: la retraite à 60 ans, la cinquième semaine de congés payés, l'abolition de la peine de mort, la légalisation de l'homosexualité, les radios libres, le frein à la censure parmi les médias.
C'est pas plutôt "dépénalisation" pour l'homosexualité ?

On pourrait ajouter une foultitude de petits trucs, quasiment tous critiquables mais qui tous aussi ont eu le mérite d'exister et d'apporter un "mieux" global : le premier et le seul à avoir nommé une femme premier ministre, quand la droite des années plus tard ne saura que nous présenter ses jupettes qui n'ont pu se soustraire à leur statut de potiches que par la démission ; le RMI (dont je ne doute pas que quelques réac' viendront chanter les abus mais dont surtout je n'oublie pas qu'il m'a permis comme à beaucoup d'autres d'avoir un revenu minimum (vraiment minimum ) en fin d'études quand ça galèrait si sec pour trouver un boulot) ; la décentralisation ; le 1% au ministère de la culture.
(Je n'évoque pas la politique de grands travaux, n'étant pas sûr d'être bien enchanté de la chose )

Surtout on lui doit la construction européenne au même titre qu'à Kohl et Delors. Quand Chirac était un anti-construction-européenne (il ne retournera sa veste quà la fin des années 80), Mitterrand réalise la réconciliation franco-allemande (célèbre symbole de la poignée de main à Verdun en 84). C'est lui qui pousse l'élargissement vers le Sud, permettant l'intégration de l'Espagne et du Portugal. C'est lui (enfin + Kohl + Delors+son gouvernement) qui bâtit le traité de Maastricht, la monnaie unique, la Pesc, qui fait adopter une charte sociale en 89 pour que l'Europe ne soit pas seulement un bidule économique.


En laissant les magouilles des uns et des autres de côté, si j'essaye de comparer les grandes choses faites par Mitte et Chirac, c'est simple : pour le premier j'ai une liste, pour l'autre c'est la feuille blanche


"Si la jeunesse n'a pas toujours raison, la société qui la méconnaît et qui la frappe a toujours tort.
(...)
L'excès du langage est un procédé coutumier à celui qui veut faire diversion"
Citation :
Provient du message de Sakapuss Aello
En lisant vos réponses, on distingue de suite si vous etes de droite ou de gauche.

Tres objectives vos réponses.

Bravo.

Je suis plutôt de gauche, ça ne m'empêche pas de trouver des défauts à Mitterrand.
Je crois que Trouveur et Baai ont tout dis...
Le President Mitterand a fait enormement de choses "bien" pour la France ( ya qu'a voir les deux post de Trouveur et Baai ) tout comme l'homme Mitterand etait un genie manipulateur et opportuniste. La ou il a fait fort, c'est qu'il a reussi a rester credible jusqu'apres sa mort, ce que Chirac ne risque pas de pouvoir se prevaloir.

Apres, on aime ou on aime pas l'homme pour ce qu'il a fait ou pas.
Pour ma part si j'avais été un peu plus vieux, j'aurais voté pour lui en 1988 ( mais voter a 6 ans et demi, c'est un peu juste ).

Mais en tout cas, personne ne peut lui retirer les avancées sociales que la France a connue sous son reigne mandat
__________________
Senzhonhion, méchant tauren chaman spé soin Profil
Le DK Faÿhné, un bon twoll mec ! Profil
Soroya, vilain modo spé cadenas. Profil
Copie/collé, si on me le demande je mettrais la source, mais le passé trouble de Mitterand est une réalité

Naissance de François Mitterrand François Mitterrand est né le 26 octobre 1916 à Jarnac (Charente), dans la famille d'un industriel vinaigrier. Éduqué dans la foi catholique par un précepteur privé puis envoyé en pension chez les frères maristes, à Paris, le jeune homme affiche sa sympathie pour un mouvement fascisant, la Cagoule, sans toutefois y adhérer. François Mitterrand se fait remarquer lors de manifestations estudiantines antisémites comme l'attestent des photos de presse qui ne seront révélées à l'opinion qu'à l'hiver de sa vie, dans les années 1990, par le journaliste et confident Pierre Péan. Séduisant et cultivé, excellent orateur, François Mitterrand se découvre très vite des dispositions pour diriger les hommes. Mais il n'atteint le pouvoir suprême, la présidence de la République, qu'au terme d'un long parcours erratique, parsemé de chausse-trapes. Tout au long de ce parcours, son éclectisme politique et sa fidélité en amitié lui valent des soutiens indéfectibles sur toute l'étendue de l'échiquier politique et social.Ses amis lui donnent le surnom de «Florentin» en référence à l'art de l'esquive pratiqué par des gens de la Renaissance comme Laurent le Magnifique ou Machiavel.Nonobstant sonœuvre politique, François Mitterrand demeure un personnage romanesque des plus passionnants. Les journalistes Catherine Nay, Jean Montaldo et Pierre Péan ont révélé par touches successives les différentes facettes de son itinéraire.De Vichy au PanthéonEn 1942, s'étant enfui d'un camp de prisonniers, François Mitterrand renonce à la sécurité au sein de sa famille installée sur la côte méditerranéenne et prend le train pour... Vichy. Comme beaucoup de jeunes ambitieux de sa génération, il entre au service du maréchal Pétain et le sert avec efficacité, ce qui lui vaut de recevoir la Francisque, le 16 août 1943. Il obtient le n°2202 de cette prestigieuse décoration remise à seulement 3.000 personnes au total. Mais dès le début 1943, prévoyant la faillite inéluctable du nazisme après la défaite de Stalingrad, François Mitterrand met un pied dans la Résistance. Il mène diverses opérations clandestines sous le nom de Morvan. Il bénéficie entre autres de la complicité d'un haut fonctionnaire de la Police, un certain Jean-Paul Martin. Après la guerre, ce comploteur-né le met en relation avec René Bousquet, secrétaire général de la Police sous l'Occupation et principal organisateur de la rafle du Vél d'Hiv, suite à laquelle de nombreux juifs ont été envoyés dans les chambres à gaz. Pour des raisons obscures, Bousquet est blanchi à la Libération par un tribunal d'exception. Reconverti dans les milieux d'affaires, il va dès lors rendre des services importants à son nouvel ami, François Mitterrand, notamment en finançant une partie de ses campagnes électorales (ainsi Pierre Bergé, ami personnel de l'ancien président et auteur d'une biographie, explique-t-il le lien entre les deux personnages). René Bousquet (à gauche) chez les Mitterrand, à Latché, dans les années 70 (photo parue dans la presse quotidienne nationale en 2001)
A la Libération, François Mitterrand, à peine âgé de 28 ans, devient ministre des Anciens combattants. Il est ministre de la Justice sous le gouvernement de Guy Mollet, lorsque les militaires reçoivent les pleins pouvoirs à Alger pour mettre fin au terrorisme, au besoin par la torture. Le brillant politicien ne cache pas son espoir d'accéder à la Présidence du Conseil, le poste le plus important sous la IVe République, avant l'âge de 40 ans! Mais le retour du général de Gaulle aux affaires, en 1958, l'oblige à rentrer dans l'anonymat. En 1959, il organise maladroitement un faux attentat contre sa voiture, avenue de l'Observatoire, à Paris, dans l'espoir saugrenu de regagner les faveurs de l'opinion publique. L'affaire est heureusement étouffée. Candidat contre le général de Gaulle aux élection présidentielles de 1965, François Mitterrand se présente comme le champion de l'alternance au gaullisme. C'est ainsi qu'il réunit les partis de gauche autour de son nom, sous l'étiquette de la FGDS (Fédération de la gauche démocrate et socialiste). L'échec le conduit à fonder un nouveau parti socialiste sur les ruines de l'ancienne SFIO (Section française de l'Internationale socialiste) de Guy Mollet, discréditée par son engagement dans les guerres coloniales. Après un nouvel échec en 1974, François Mitterrand gagne enfin les élections présidentielles en 1981, tirant parti de l'impopularité du président en titre, Valéry Giscard d'Estaing, et de son lâchage par Jacques Chirac, le chef du parti néogaulliste.Un règne à éclipses François Mitterrand entame en mai 1981 un «règne» de 14 ans, comparable par sa durée à celui de Henri IV, de Louis-Philippe ou encore de... Napoléon 1er. Mais les acquis de ces deux septennats s'avèrent des plus minces (abolition de la peine de mort et fête de la musique).La présidence de François Mitterrand s'ouvre sur une fête à la Bastille et une cérémonie au Panthéon, dans l'euphorie de la première victoire de la gauche après 23 ans d'opposition. Elle se termine dans un climat maussade tissé de désillusions.Le premier gouvernement, dirigé par Pierre Mauroy, maire de Lille, rompt résolument avec la politique de rigueur de Raymond Barre, Premier ministre de 1976-1981. Il renoue avec la politique de relance de Jacques Chirac (1974-1976): embauches dans la fonction publique, nationalisations, contrôle des changes... Le ministre de la Justice, Robert Badinter, abolit la peine de mort et met la France au diapason de l'Europe.A l'étranger, après un discours tiers-mondiste à Cancun, au Mexique, François Mitterrand s'engage résolument aux côtés des Occidentaux contre l'URSS, qui prétend pointer des missiles SS20 vers l'Europe occidentale.Il prend aussi parti pour Saddam Hussein, dans le conflit qui l'oppose à l'Iran, d'où une vague d'attentats organisés en sous-mains par les services secrets iraniens.Très vite, l'effondrement de l'économie oblige le président à pratiquer une pratique très libérale, sous la direction de Laurent Fabius, plus jeune Premier ministre (34 ans) depuis Decaze, sous le règne de Louis XVIII: privatisations d'entreprises publiques, abrogation de l'«échelle mobile» des salaires. Les salaires ne sont plus indexés sur l'inflation et de ce moment les inégalités de revenus recommencent à croître pour la première fois depuis... deux siècles (début de la révolution industrielle)!La remontée du chômage et des inégalités sociales entraînent un retournement de l'opinion. L'impopularité de la gauche atteint des sommets. A la veille des élections législatives de 1986, les affiches du parti socialiste avertissent: «Au secours, la droite revient!»Comme prévu, les nouvelles élections ramènent la droite au gouvernement et Jacques Chirac, chef de l'opposition, devient le Premier ministre de François Mitterrand. C'est la première cohabitation de la Ve République entre un président et un Premier ministre de bords opposés. Les maladresses de Jacques Chirac entraînent deux ans plus tard la réélection triomphale de François Mitterrand.Sous la pression de l'opinion, le président appelle son ennemi intime, Michel Rocard, à la tete du gouvernement. En 3 ans, celui-ci pacifie la Nouvelle-Calédonie. Il instaure la CSG, premier impôt équitable et universel, et le RMI, une allocation aux déshérités victimes de la crise rampante des années 80.C'est ensuite le bref gouvernement d'Édith Cresson puis celui du technicien Pierre Bérégovoy. En 1993, première année de récession depuis la fin de la guerre, c'est le retour de la droite avec cette fois Édouard Balladur à la tête du gouvernement.Ce deuxième septennat est marqué par la réorientation du projet européen vers des objectifs économiques: marché unique des marchandises et des capitaux, monnaie unique.Il est surtout affecté par les bouleversements européens (chute du mur de Berlin, guerres en Yougoslavie) et l'effondrement de l'Afrique post-coloniale (génocide au Rwanda).A gauche comme à droite, la fin de ce deuxième septennat est accueillie avec soulagement.[SIZE=4]
Si kkun arrive a lire le gros pavé de Gen qu'il en fasse un rapide resumé, ca serait sympa pour ceux qui tiennent a leurs yeux

Et je crois que personne n'a remis en doute le passé trouble de Mitterand
Pour moi c'est un grand farceur ce Mitterrand.
Un homme politique hypocrite, retournant sa veste dans toutes les situations, et un bon menteur.
Mitterrand, grand manipulateur je pense, mais ça a déjà été dit. Après grand homme, trop tôt pour le dire certainement, on verra cela quand on sera des 'tits papys

Et pour Chirac :
Citation :
il est naïf, mais il a du coeur
Citation :
Provient du message de Serj Tankian
Faites comme ce smiley :

et arrêtez de débiter des insanités...
Merci c'est déjà fait, et ça m'a permis de me faire mon opinion
Citation :
Provient du message de baai
Et dieu sait que ça a bien dû prendre 5 minutes
Ok on est pas d'accord, pas la peine de flame, je vois pas ou tu veux en venir.
Je ne faisais que souligner le caractère argumenté, solidement étayé, truffé d'exemples, etc. de l'opinion.

Et parfois, j'avoue, j'en rêve : sur la Taverne, que des sujets hautement polémiques tournés en questions fermées, où il n'y aurait qu'une longue succession de "oui/non/oui/non/oui/non..." Que ce serait beau

Citation :
Provient du message de Kilvan Uchiha
pas la peine de flame
Pas vraiment compris le sens.
Bon, je vais étayer ma maigre argumentation.
Mitterrand a tjrs condamné le régime de la 5eme République, tjs été contre De Gaulle ( cf 'Le coup d'Etat permanent' ), sa manière de gouverner était lui selon abusive, qu'a il fait a son arrivé au pouvoir ?
Et bien il n'a rien changé, entre temps il est passé de l'extrême droite a la gauche, soit.
Tout ce qu'il condamnait : modification abusive de la constitution, plein pouvoir etc.. j'en passe et des meilleurs, il n'a jamais rien fait pour les changer. Je pense que toute ses bonnes convictions ont été invoqué pour accéder au pouvoir, mais apparement cela lui a bien plu, la preuve même malade il a refusé de partir.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Provient du message de baai
le seul à avoir nommé une femme premier ministre
Ca n'enlève rien à l'argument, mais c'était quand même une belle bêtise

Citation :
En laissant les magouilles des uns et des autres de côté, si j'essaye de comparer les grandes choses faites par Mitte et Chirac, c'est simple : pour le premier j'ai une liste, pour l'autre c'est la feuille blanche
C'est sûr.
Ceci dit, laisser les magouilles de côté n'est pas forcément une bonne chose, surtout quand les magouilles de l'un pourraient venir par trop ternir ce qu'il a fait de bien
Citation :
Provient du message de L'année du tigre
Pas la peine de s'enflammer, de s'énerver. *traducteur officieux*
Mon étonnement portait plus sur le "où diable flamè-je ?" Mais merci


Citation :
Provient du message de Kilvan Uchiha
Bon, je vais étayer ma maigre argumentation.
Mitterrand a tjrs condamné le régime de la 5eme République, tjs été contre De Gaulle ( cf 'Le coup d'Etat permanent' ), sa manière de gouverner était lui selon abusive, qu'a il fait a son arrivé au pouvoir ?
(...)
Tout ce qu'il condamnait : modification abusive de la constitution, plein pouvoir etc.. j'en passe et des meilleurs, il n'a jamais rien fait pour les changer. Je pense que toute ses bonnes convictions ont été invoqué pour accéder au pouvoir, mais apparement cela lui a bien plu, la preuve même malade il a refusé de partir.
Sautant allégrement les aspects trop partiaux :
1 - oui, il était un opposant à la constitution de la 5eme et pourtant a été président sous la 5eme, et même 2 fois. Et ? Ne sont-ce pas des questions un chouia politiciennes au regard des actions concrètes réalisées et citées précédemment ?
"Modification abusive de la constitution" Tu parles du référendum ? N'importe. Cer qui compte, n'est-ce pas d'abord le fait qu'il n'ait pas lui abusé des pouvoirs conférés au président par la constitution ?
2 - "tjs été contre De Gaulle" Et c'est une tare impardonnable ?
3 - "sa manière de gouverner était lui selon abusive, qu'a il fait a son arrivé au pouvoir ?" J'ai pas compris la question, sans flambage d'aucune sorte.
4 - "la preuve même malade il a refusé de partir". C'est une preuve ça ? A part des prétendants, qui voulait qu'il parte ? Rien n'oblige de toute manière un président malade à partir, ne serait-ce que parce que "malade" ça ne veut pas dire grand-chose, tant qu'on est capable d'assumer ses fonctions. Et même mieux : aucune loi, aucun règlement ne contraint un président à communiquer sur son état de santé. Il a choisit lui-même de le faire - à la belle époque de la transparence - et menti à cette occasion ( à sa place j'aurais fait pareil, ne rendant compte que de mes actes publics et certainement pas de ma vie privée). Un toubib sans honneur a vendu l'affaire, on s'est donc aperçu d'un coup qu'il n'était pas "vieillissant" mais malade. Et ? Je ne sais pas. Qu'on se préoccupe de l'état de santé du pape ou de la trop bonne humeur d'un Eltsine encore, je comprends, mais là ? Si tous les français "malades" devaient quitter leurs fonctions, bonjour le trou de la sécu
Precise et va sur ce lien
http://perso.wanadoo.fr/bernard.veni...ieres_pn65.htm

et ici
http://www.herodote.net/contact.htm
à index à la lettre M comme Mitterand

Citation :
Provient du message de Felomes
Un ramassis de bêtises
Ou, disons, une déformation mensongère de certains faits. Faute de tout connaître de Mitterand, je note quand même que l'affaire de l'Observatoire (Mitterand victime d'un complot) est ici décrite ainsi : << En 1959, il organise maladroitement un faux attentat contre sa voiture, avenue de l'Observatoire, à Paris, dans l'espoir saugrenu de regagner les faveurs de l'opinion publique. L'affaire est heureusement étouffée. >> ce qui a achevé, à mon sens, de jeter ce pavé dans la flaque de boue.
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