A celle qui..

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Un grand chagrin

Je voudrais dans un petit coin
Pouvoir cacher mon grand chagrin
Un endroit isolé
Où personne ne viendrait me déranger
Je pourrais pleurer si je veux
Sans qu'il y ait de curieux
Car on ne veut pas voir des gens
Quand on a mal en dedans
Souffrir en secret
C'est tout ce qu'on voudrait
Ce mauvais moment que nous passons
Un jour, nous l'oublierons
Notre souffrance sera terminée
Et notre vie va recommencer
Grâce à cela, nous aurons acquis
Une expérience de plus dans notre vie
Ce doit être ce qu'on appelle mûrir
De temps en temps un peu souffrir.


Du moins c'est ce que j'espère...
J'ai Mal..

Aujourd'hui je me meurt,
Le Paradis ou l'Enfer ? Après tout peu importe
Les aléas de la vie sont là, j'en pleurs,
Que la Grande Faucheuse m'emporte.

Mourrir ou Souffrir
Drole de choix me direz-vous,
Si jeune et déjà vouloir en finir
Les larmes perlent, du coin d'l'oeil jusqu'au cou.

J'ai tellement mal,
Mon coeur tout entier vient de se déchirer.
J'ai tout perdu, pourquoi donc résisté ?
L'Amour... Démon Destructeur mais si vitale...

J'ai mal..
Jolie ou pas, est-ce la question ?
Quand l'Amour vient à partir, serais-ce dérision ?

****************

Peine d'amour


J'ai un ami qui aujourd'hui
A perdu son amour qui est parti
Il est tout découragé
Et pense que pour lui la vie s'est arrêté
Il se pose toutes sortes de questions
Pour essayer de trouver la raison
Pour laquelle elle a arrêté de l'aimer

Pourtant il l'aimait a la folie
Et aujourd'hui il pleure seule dans son lit
Ils se chicanaient assez souvent
Et maintenant il le regrette sincèrement
Il se dit qu'il aurait dû tout lui pardonner
Et jamais rien lui demander
Comme ça elle aurait peut-être continuée à l'aimer



*********

Désolé de vous embeter, mais j'en ai besoin..
Citation :
Provient du message de Zdravo, le Petit
Désolé de vous embeter, mais j'en ai besoin..
.

.

* N'est pas embêté *

Parler est le meilleur moyen pour alléger ta peine, tu n'as aucune raison de penser que tu embêtes les personnes du forum. Celles qui te feraient penser le contraire ont égaré leur coeur quelque part, ce sont plus elles qui sont a plaindre que toi. Toi, tu le possèdes encore, même meurtri, il est encore là, battant dans ta poitrine.

Courage.
Courage....


Voilà pour toi

Les deux pays

Le pays des larmes est tellement mystérieux
Et l’on ne trouve plus dans les yeux qu’une mer
D’ou s’échappent les flots généreux et amers
Qu’autrefois retenait un visage soucieux.

Tellement merveilleux est le pays des larmes
Qui apaise les cœurs trop brûlants de tristesse
Faisant fondre les gouffres profonds de nos détresses
En brisant les angoisses qui enchaînent nos âmes

Mais tellement doux est le pays des rires
Que l’averse passée il ne reste qu’un regard
Tendre et chaleureux brillant de tant d’espoir
Et que renaît enfin notre piètre désir.

Gala
Tu ne nous embêtes pas, t'inquiète

Comme l'a si bien dit Kelem, parler permet de soulager un peu le poids de la tristesse... Courage en tout cas, et merci pour ces forts jolis mots que tu partages avec nous.

Quand l'amour nous fait souffrir


Mon coeur de chagrin est rempli
Car je me sens tellement seul dans la vie
J'ai pourtant des parents et ami(es)
Qui sont avec moi très gentils

Mais je suis comme quelqu'un, qui d'un membre serait amputé
Ou qui manquerait d'oxygène pour respirer
Car mon grand amour m'a laissé
Je me sens comme si j'étais tout brisé

Elle était le soleil de ma vie
Maintenant, je suis toujours dans la nuit
On me dit, le temps effacera ton chagrin
Et bien je pense le contraire, qu'il sera sans fin


Message roleplay
*S'approche sans bruit du Duc de Windhowl prostré sur le banc de marbre rose devant le Temple d'Ogrimar, s'assoie à ses cotés puis lui dit de sa voix tendre avec délicatesse*:

Messire Zdravo, le mal qui vous ronge est une épreuve que vous impose les Dieux et la providence. Ayez courage, le Monde est grand, et vous trouverez j'en suis certaine, votre soeur d'âme, pour peu que vous la cherchiez encore.

*Un léger parfum d'herbes humides planes dans un air rendu orangé par le couché de Syl dans son char d'or et d'érain finissant sa course derrière la vaste mer océane. La journée s'achève et le crépuscule donne à la scène une impression de douceur étrange. Une à une, dans les cieux, les étoiles paraissent, et peu à peu le vaste manteau Selenite de recouvrir Althéa.*
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