Débarquement en Gilneas

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Jargal courra vers le sous-bois et profita que personne vienne l'attaquer pour récupérer sa hache. Une fois dans les bois il se remit à marcher et aperçu par ci par là des soldats blessés. En continuant sa marche il aperçut derrière des fougères une goule entrain de dévorer le corps d'un elfe, elle n'avait pas entendu l'orc trop occupée à dévorer son festin. Jargal lui enfonça sa hache dans le dos.
Après ça il rejoins la petite troupe qui c'était formé.
Les soldats de toutes races s'afféraient dans les sous bois, les morts vivants ne faisaient pas de cadeau. On pouvait entendre les gémissement des blessés, les guérisseurs n'étaient que très peut nombreux, l'expédition était prévue pour reprendre Gilneas, non pour soigner les soldats ayant combattu pour cette cause.

Solicitée de toute part par les soldats blessés, Lia ne savait où donner de la tête.


Lia - Je ne suis pas une guérisseuse moi ! Il me reste bien quelques notions de mon anciennement en compagnie de mes soeurs, elfes.

Bandant une jambe salement amochée à l'aide de longues feuille, Lia regardait aux alentours, les soldats ne cessaient d'arriver, là, les gargouilles ne viendrait pas les chercher.
Le combat terminé avec ce gros tas de viande et de chair, maintenant destiné à nourrir les crabes, Nova suivit le mouvement de retraite. Il s'approcha de l'endroit où il avait empilé ses affaires. Vision d'horreur : sa harpe était brisée en mille morceaux. Une empreinte énorme se traçait sur elle. Sûrement un orc, pensa-t-il en fulminant. Il jura en elfique, se calma puis ramassa son sac à dos moitié pietiné, son arc et son carquois miraculeusement intacts.

Il laissa son armure, elle ne lui serait plus d'aucune utilité. Il suivit alors les autres dans leur refuge de fortune : la forêt.
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Quel est le pire des ennemis qui nous attende avec l'âge ?
Qu'est ce qui imprime la Rîde plus profondément au front ?
Voir chaque personne aimée effacée de la page de la vie,
Et être seul sur Terre comme je le suis maintenant.
Message roleplay
Talnyr avançait assez rapidement, toujours en fracassant les têtes de mort-vivant qui se présentais sur son chemin.

Son marteau sifflait dans l'air et la forêt se rapprochais. Il ne tarda pas à l'atteindre et les cris de rassemblement lui parvenait, de plus en plus proches.


"Retourne voir ta tombe, toi !" cracha-t-il à l'intention de la goule qui se tenait devant lui avant de lui écraser se qui lui servait de tête.

Plus il avancait, plus il croisait de cadavre, humains, elfes et autres. Peu de temps après, il apercu un groupe de personnes au loin. Il cria à leur attention :


"Hééé ! Vous là !"
"Hééé ! Vous là !"

Tusk se retourna, un nain venait d'interpeller leur groupe. Tusk n'aimait pas particulierement les nains, mais se disait que c'etait surement mieux que se battre aux côtés d'un orc.

-Par ici, indiqua Tusk au nain en faisant un signe de la main. Quelque temps apres le nain arriva.
Plus on sera nombreux et groupés, plus ca sera facile de se battre.
-Je m'appelle Talnyr et vous?
-Fadghas, je suis le capitaine d'un des vaisseaux de la flotte.
Les quelques autres humains dirent leurs noms, mais Tusk ne les retint pas.
-Tusk zahar enchanté... Il nous faut gagner le couvert des bois rapidement, nous pourrons mieux nous défendre face a leurs assaults.

Le groupe se mit a courrir, mais tout d'un coup trois gargouilles plongerent. Emportant un homme avec elles et en blessant deux autres.

-Vite a couvert! Dit le nain

Tusk n'aimait pas prendre d'ordre de personne, mais se dir que cet ordre était sage car sans arcs ils ne pouvaient se défendre correctement face aux gargouilles.

Trainant les blessés le petit groupe avanca et reussit dans bien que mal a gagner les bois.
un homme à la barbe noir de quelques jours, au vêtement bleu et blanc taché de sang, tenant une longue lame effilé, d'où coule encore une longue trainée de vitae, dans une main, sorti des rangs et s'adressa à Sinel

-L'amiral est mort sous les coups des morts vivants, Vice-Amiral Niteknor à votre service ... pouvons nous éloigner un peu pour parler de votre affaire ?

se dirige vers la profondeur de la forêt

(Poudre Mp pour dire comment tu t'éloigne et le début de la discussion)

(passage à mon perso)

s'assied par terre et regarde les survivants l'entourant, passant presque inaperçu dans ses vêtements sale et sombre, il s'arrêtat sur l'elfe magicienne qui avait tué l'abomination et commença à la regarder longuement sans prendre l'air de la fixer.
Peu de temps après, se lève et se met dans l'ombre d'un arbre, s'appuyant contre celui ci, et écoutant les bruits lointains provenant de la plage et les discussions des survivants qui commençaient à se demander comment ils allaient rentrer chez eux et entendait le début d'une insurection qui se diffusait dans les rangs des marins ...
La pleine lune.
La forêt était recouverte d'un manteau de ténèbres, seul la lumière des étoiles et de la lune éclairait le feuillage à la cime des plus hats arbres.
Quelque part au coeur de cette luxoriante flore d'AshenValley se trouvait une clairière, entourée de chênes centenaires, pour les Elfes de la Nuit cet endroit était considéré comme sacré. C'est là qu'aura lieu le Grand Conseil, dans cette partie encore vierge de la forêt, chose encore rare après les nombreux ravages causés par les Humains, les Orcs et les Morts-Vivants. Ces derniers seraient sans doute parvenus à détruire tout ce que le peuple des Forêts avait mis des millénaires à faire grandir, de la timide brindille d'herbe au majestueux chênes centenaires s'ils ne s'étaient pas unis avec les 'envahisseurs', ravalant de ce fait leur dédain et leur rancoeur vis à vis de ces êtres inférieurs pour former une ultime alliance visant à éradiquer la menace des Morts. C'était leur unique choix, leur seule chance pour sauver leur continent perdu de Kalimdar, car s'ils échouaient les conséquences auraient été ressenties à l'echelle du monde entier et ce irréversiblement à tout jamais...
Heureusement pour les races libres, la victoire fut remportée bien qu'hélas au prix de lourds tribus dans chacun des 3 camps alliés. Mais pour une fois dans l'histoire, Humains, Orcs et Elfes de la Nuit avaient combattu et succombé main dans la main.
Ce fragile équilibre allait de nouveau être mis à l'épreuve...
En effet, les Humains sous la tutelle de Jaina Proudmoore étaient entrain de mettre de sur pied une expédition dans le but de retourner délivrer leurs Terres d'Origine, bien au-delà de la Grande Mer. Animés par un sentiment de vengeance et de haine, ils souhaitent plus que tout mettre rapidement un terme à l'occupation de la Légion Ardente.

Le hérault Humain se tenait fièrement dans son armure étincellantes aux rayons lunaires au milieu du vaste cercle composé des personnalités les plus anciennes et respectées des Elfes de la Nuit.
Il vit Malfurion lui faire signe qu'il pouvait commencer sa plaidoierie. Il emplit une dernière ses poumons d'une bone bouffée d'air et prit la parole sur un ton que tous comprendraient.

"Bien estimés alliés Elfes,
Recemment, vous avez combattu à nos côtés dans le but commun d'éradiquer la vermine Mort-Vivante venue plonger ce monde dans le chaos.
Ensemble, nous avons accompli ce que seul nous n'aurions pu faire.
Ensemble, nous avons souffert. Ensemble, nous sommes tombés mais nous nous sommes toujours relevés sans perdre espoir, pour qu'enfin un beau jour, nous triomphâmes ensembles !
Nous avons gagné la première bataille pour Kalimdar mais la guerre en est loin d'être achevée pour autant !
Une expédition partira bientôt pour l'Ancien Continent afin d'en finir une bonne fois pour toute, car si nous ne faisons rien l'Ennemi reviendra, soyez en sûrs ! Ils préparent en ce moment même une nouvelle invasion !
C'est pourquoi nous devons frapper les premiers, si nous ne voulons pas que ce monde soit plongé dans de nouvelles ténèbres.
C'est pourquoi je sollicite votre aide pour accomplit ce que seul nous n'aurions pu faire.

Merci de m'avoir accordé votre temps."

Il salua l'assemblée.
Bien vite, Tyrande prit la parole.
-Merci Humain, nous vous ferons parvenir notre réponse après en avoir discutté.
-Bien...

Décu, car s'attendant à une foule d'acclamations, le hérault quitta la clairière, escorté par deux ravissantes archères à la chevelure abondante.
Derrière lui, les premières protestations commençaient à s'élever.
-Ce sont eux qui ont ammenés l'Ennemi chez nous, pourquoi devrions-nous encore les aider ? Ils étaient nos obligés après s'être refugés sur nos Terres attirant de ce fait le Mal ! Je dis qu'ils ont semé assez de morts parmi nous et je refuse en voir s'ajouter pour une cause qui nous ne concerne pas !

A cela s'ensuivit une multitude de répliques, recouvrant la réunion d'un bouquant total, jusqu'à ce que tous furent ramenés au calme.

Dans la pénombre, le dos contre à un arbre à l'aurée de la foret, une jeune Elfe aux longs cheveux bleus suivait d'une oreille attentive tout ce qu'il se disait.

La réunion toucha finalement à sa fin aux petites lueurs de l'aube. Rapidemment, la décision prise par le Grand Conseil fut communiquée au Hérault Humain qui reparti aussitôt vers le littoral où étaient situées les principales villes humaines afin d'annoncer la nouvelle à ses supérieurs.

100 Chevaucheurs d'Hyppogriphes avait été promis à l'Alliance, un compromis difficilement atteint avec l'opposition, résultant de longues heures de négociations.

Discrètement, Tyrande s'éloigna de l'assemblée toujours occupée à discuter pour rejoindre la jolie Elfe se tenant dans l'ombre des feuillages.
-Je présume que tu as entendu. commencea-t-elle
-Oui
-Tu sais donc ce que je vais te demander.
-La réponse est non ma soeur, trop de sang a déjà coulé en si peu de Lunes. Je refuse de me joindre à ce massacre futur.
-Je m'attendais à cette réponse, n'y-a-t-il pas moyen de te faire changer d'avis ?
-Je ne pense pas, désolée...
Sans prendre la peine de saluer son interlocutrice Aenelia lui tourna le dos et quitta les lieux.

-Combien de Lunes se sont écoulées depuis ce moment ? songea-t-elle
Elle ré-ouvrit les yeux, ne distinguant que l'infini de cette vaste étendue d'eau. C'était la première fois qu'elle voyait l'Océan.
Derrière elle, une centaine de chevaucheurs d'Hyppogriphes la suivait. Tous montés par des archères elfes en tenue de combat et arc au dos.
Aenelia avait finalement cédé et décidé de mener l'armée des Elfes de la Nuit.
Le rivage de Gilneas ne sera atteint qu'au milieu de la nuit, que cela ne tienne, elle n'était pas pressée de diriger ses meilleurs combattantes au massacre...
Les bois étaient encerclés, mais heureusement pour eux la nuit commençaient à tomber, faisant taire en même temps nombreuses des créatures du fléau qui s'activaient à arracher les arbres pour atteindre les réfugiés, qui n'était guère pour elles que de la nourriture en boîte ou sur patte.
La tension montait dans le camps des rescapés, beaucoup étaient partisans pour différentes idées de sorties toutes aussi suicidaires les une que les autres.
Personne à terre ne remarquaient, à travers les feuillages, que des formes volantes approchaient à grande vitesse. Mais la vingtaines de gargouilles patrouillant encore autour du grand bosquet, les avait remarqué et fonçait dessus en poussant de grand cris alarmant toutes les créatures vivantes et non vivantes des environs de cette présence.
Caché à l'abri dans un arbre, Nova entendit tout d'abord le cri sinistre des gargouilles puis les vit s'éloigner en direction d'une masse volante.

"Seraient-ce des alliés ?", se demanda-t-il.

Il attendit quelque seconde et ordonna en elfique puis en commun :


"Les gargouilles se dirigent vers des créatures volantes au large. Prenons notre chance : sortons de ces bois et récupérons les blessés et de l'équipement. Les ennemis sont peu nombreux. En avant, mes frères !"

Quelques archers elfes le suivirent, tandis que les autres se mirent en joue à la lisière de la forêt afin de retenir un quelconque attaque mort-vivante afin de protéger leurs frères découverts sur la plage.

Nova courut alors vers les corps qu'il apercevait, tranchant dans le vif les goules en train de se repaître des restes des guerriers tombés au combat. Après avoir vérifié parmi quelques corps si la vie subsistait, il comprit que ce n'était plus la peine de continuer à chercher des survivants.

Il se dirigea alors vers les coffres, sac à dos et râteliers d'armes tombés au sol lors de l'échouage des navires. Il fit quelque aller-retours, apportant du matériel mais restant toujours sur ses gardes quant aux raids possibles de gargouilles.
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Quel est le pire des ennemis qui nous attende avec l'âge ?
Qu'est ce qui imprime la Rîde plus profondément au front ?
Voir chaque personne aimée effacée de la page de la vie,
Et être seul sur Terre comme je le suis maintenant.
-Gilneas enfin...
Soudain, elle aperçu des centaines de points noirs foncer vers ses positions. Son excellente vue elfique lui permet d'identifier rapidement ces ennemis qu'elle avait déjà comubattu auparavant; des gargouilles...Un de leurs opposants les plus redoutables dans les airs, pour ne pas dire le plus.
Tout comme elle, le reste de l'escadre avait reperé l'Ennemi approchant et chacun avait déjà son arc chargé à la main. Ils n'attendaient plus que les dernières consignes de leur chef, qui ne surent tarder.
- Visez leur yeux, c'est leur point faible ! N'ayez aucune pitié pour eux, car ils n'en auront pas pour vous !
A peine eut-elle prononcé ces dernières paroles que la première foulée de flèches partit en direction des Morts-Vivants.
Aenelia, grâce à ses talents d'enchanteresse fit enflammer ses flèches par un sort de magie mineure avant de les tirer.

La bataille fit rage et nombreuse furent les pertes dans les deux camps, heureusement les membres de l'expédition humaine vinrent prêter main forte à leurs alliés de fortune. Face au retournement de situation, les gargouilles furent désemparés et battirent en retraite.
La dizaine d'Elfe de la Nuit ayant survécu à la bataille se posa près d'un attroupement humain.
Aenelia sauta du dos de son hyppogriphe et sans se préoccuper de ses blessures, prit la parole d'une voix que tous pourrait entendre.
-Je suis Aenelia Etoile de Lune, qui commande ici ? dit-elle sur un ton qui masquait mal la colère et la tristesse qu'elle éprouvait.
le vice-amiral sortit des rangs et s'inclina devant la Kaldorei et se présenta.

- Vice-Amiral Niteknor à votre service mademoiselle Aenelia, je suis profondément désoler pour vos troupes mais nous avions nous même à découdre avec des morts vivants ici à terre ...

dit il avec une voix et un regard qui renforçaient encore plus ses dires.

... mais je crois qu'il n'est pas le temps de discuter, les non-morts peuvent revenir d'une minutes à l'autre sans crier gare donc je conseillerais que nous avancions à couvert si possible .

Quand le silence retomba pour quelques secondes, on pouvait entendre les bruits de quelques pas éparpillées et on pouvait aussi voir des paires d'yeux, ou des yeux seuls parfois, augmentant chaque seconde à la lisière de la lumière diffusé par les quelques torches des personnes servant de gardes à la troupe rassemblé

les regards des homme s'attardèrent quelques peu sur le physique des chevaucheuses mais s'arrêtèrent bien vite à cette activité au moment où trois goules téméraires rentrèrent dans l'halo de lumière et se firent abattre aussi rapidement par les archers. Les hommes commencèrent à prendre les affaires qu'il pouvaient porter sans trop être ralentit dans leur course et s'apprêtèrent à se mettre en marche.

Se fondant dans le masse par ses vêtements bien communs, Petyr regardait les elfes de la nuit, intrigué par cette race lui étant inconnue, se posant des tonnes de questions dans sa tête sur qui étaient ses personnes, d'où venaient elles et quelles étaient leurs histoires et il s'étonna encore plus en remarquant qu'il n'y avait que des femmes dans leurs rangs .

Alleria avait regardé la bataille.
Elle avait rapidement jugé la valeur du renfort.
Amusée, elle avait calculé combien tomberaient dans chaque camp, et au bout de combien de temps.
Elle avait prévu une victoire des gargouilles sans difficultés, grâce aux nécromanciens à terre, mais aucun n'étaient intervenus.
Et l'absence des nécromanciens était plus inquiétante que leur présence même.

Les elfes de la nuit se posèrent, discutèrent un moment avec le vice amiral, puis la troupe commença à rassembler ses affaires pour se remettre en marche.

Mais où allaient ils d'ailleurs?
Libérer Gilneas?
Ou allaient ils se diriger vers Lordearon?

Il fallait qu'elle retourne dans les forêts de North Shire, mais aucun bâteau ne pourrait l'y conduire.
Voyager avec la troupe lui procurerait une défense, mais la retarderait considérablement.
L'étincelle de compassion qui brillait encore dans son coeur lui fit prendre le choix de continuer avec l'armée, pour les protéger, car il était en fait plus évident que la protection irait dans ce sens, vu l'état des hommes et leur nombre.
Et on ne reprenait pas une citadelle sans magicien, avec des éclopés.

Sa décision était prise.
Elle voyagerait avec la troupe jusqu'à Dalaran. Là bas, elle trouverait probablement une ou deux relics des anciens mages, puis se dirigerai vers Norht Shire.

Elle se dirigea vers un groupe de blessés grave, qui ne pourraient pas suivre la troupe, et apposa les mains sur l'un d'eux.
Elle se mit à chanter, et en même temps que les paroles défilaient, les blessures se refermaient.
Elle répéta ces manières sur les suivants.
Au moins, ceux ci ne grossiraient pas les rangs ennemis.
C'était d'ailleurs plus dans cette idée qu'elle les avait aidés, plutôt que par altruisme.

L'absence des nécromanciens l'inquiétait de plus en plus.

Pour palier sa crainte, elle alla voir le vice amiral:

-Cette forêt ne me dis rien de bon. Je vais partir en reconnaissance.

Sans attendre sa réponse, elle partit vers la forêt en incantant, et agitant les mains.
L'incantation prit fin, et des voiles roses l'entourèrent. Quand ceux si se dissipèrent, elle avait disparue.

Elle avançait dans la forêt, invisible.
Elle voulait s'assurer qu'aucun nécromancien ne prépare une embuscade, ou aille prévenir Gilneas de leur arrivé.
Elle incanta, et un troisième oeil apparue sur son front au terme de la de la récitation. Celui ci se referma et disparue. Elle voyait maintenant plus loin, plus clair, et les illusions ou les êtres invisibles ne la tromperaient pas, au moins suffisamment longtemps.

Mais les ombres n'étaient que des cadavres pourrissants.
Il courut vers la sortie en hurlant.
Et pourtant quelque chose l'arrêta net, il ne dit plus un mot pendant de longues minutes.
Nostenfer avait toujours aimé l'or, et la vue de ses navires abandonnes sans doute rempli d'argent l'attira comme toujours.
Il marchait lentement sans faire attention au cadavres des soldats tombes qu'il écrasait.
A présent une chose l'intéressait:
Prendre les trésors et fuir le continent.
Nostenfer grimpa sur le pont du premier navire, et fouilla toutes les cabines prenant les objets l'intéressant.
Apres que son sac fut remplis, il descendit dans la cale se reposer...
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