Un loft Story Québécois

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On aura tout vu !



Citation :
Guy Cloutier et TQS : cupidons d'un Loft Story québécois

Isabelle Massé

La Presse


C'était il y a deux ans. Avant Star Académie. Avant MixMania. Guy Cloutier contactait Endemol France, géniteur de La Fureur et Star Académie, pour acquérir les droits d'adaptation de Loft Story... le logement le plus convoité de l'Hexagone. Là même où se sont amourachés, bécotés et disputés, pendant 11 semaines, les célibataires Loana, Jean-Édouard, Aziz, Delphine, Laure, Kenza et Steevy.

Des gars et filles au coeur libre d'ici vivront sous peu la même expérience. Guy Cloutier a convaincu TQS de diffuser un Loft Story à la sauce québécoise à l'automne 2003 ou au printemps 2004. Guy Cloutier Productions avait d'abord approché TVA, il y a deux ans. «Mais la direction doutait du succès d'un telle émission», explique son président, qui ne sous-estime pas l'attrait d'un tel produit sur les téléspectateurs d'ici. «Loft Story a fait ses preuves. C'est le reality-show qui a obtenu le plus de succès en Europe. Et les Québécois sont voyeurs.»

La quotidienne française a fracassé des records d'écoute sur la petite chaîne M6, en France, au printemps et à l'été 2001. Guy Cloutier l'a trouvée digne d'être importée au Québec. «Cette émission a révolutionné la télé en France, dit-il. Du jamais vu!»

«La part de marché globale de M6 a grimpé de 12 à 16 à l'époque», affirme François Ferland, directeur général de Guy Cloutier Communications. «Et le tarif publicitaire de la chaîne a presque triplé.»

Que nous offrira-t-on à voir? Onze candidats, soit six garçons et cinq filles célibataires et sans enfant, de 20 à 29 ans, enfermés pendant neuf semaines dans un loft. «À la différence de Star Académie, les candidats de Loft Story sont isolés du monde, explique Guy Cloutier. Ils n'ont pas accès au téléphone ni à la télévision ni la radio.»

Les éventuels amoureux pourront s'adresser aux téléspectateurs, en se terrant dans une pièce baptisée le confessionnal, cinq minutes par jour. Chaque semaine, l'un d'eux se verra montrer la porte du loft.

Vingt-cinq caméras capteront leurs moindres faits, gestes et tentatives de séduction, et ce, 24 heures sur 24. L'émission sera diffusée tous les jours. Du lundi au vendredi, on aura droit à un résumé de la journée. Le samedi, aux meilleurs moments de la semaine. Et le dimanche, à un talk-show de 90 minutes pour notamment permettre aux candidats éliminés de se vider le coeur. «C'est une télé qui ressemble beaucoup à celle de TQS», dit Luc Doyon, son vice-président.

Loft Story est le projet le plus ambitieux de la chaîne, depuis 1997. Luc Doyon admet avoir déboursé entre 5 et 6 millions pour diffuser l'émission qui a soulevé bien des débats en France. Rappelons que plusieurs l'ont qualifiée de «télé-poubelle» à l'époque. Un commentaire qui n'a pas irrité Luc Doyon.

«Tout réside dans la qualité de la production, du montage, dans le vocabulaire utilisé par les candidats... On n'a pas affaire au Monde de Charlotte! On ne parle pas ici de production léchée, mais son contenu doit rester de bon goût.»

TQS rêvait d'une telle émission depuis le succès de Big Brother aux États-Unis. «Celui de Star Académie aujourd'hui nous encourage et nous prouve que les reality-show marchent au Québec», mentionne Luc Doyon.

Bien des choses restent à finaliser avant la diffusion de Loft Story à TQS: l'emplacement du loft, le choix de l'animateur ou animatrice du talk-show du dimanche, la récompense pour la fille et le garçon qui s'uniront. Le couple français vainqueur s'est vu remettre les clés d'une maison de 700 000 $ sur la Côte d'Azur.

Mais avant tout, le choix des candidats. L'annonce des dates d'auditions aura lieu sous peu. Environ 38 000 personnes ont postulé en France pour Loft Story 1. Combien de gens en mal d'amour ici?
Source
On a été précurseurs avec les reality shows.
À Télé-Québec dans le début des années 90 passait Pignon Sur Rue, où l'on filmait des jeunes pris ça et là dans divers millieu culturels.

Donc Loft Story n'est pas vraiment une nouveauté du genre et on a déjà subi.

Peut-être qu'un jour les producteurs québécois comprendront le bon goût...

Après le programme du vrai monde, star académie, les gingras gonzales....

Et avec tout ça j'ai même pas vu les derniers épisodes d'Un gars une fille à cause des mes cours du soir et de mon homme qui me les a pas enregistrés (et qui l'aurait pas fait de toute façon)
Citation :
Provient du message de gorthaur
The REAL WORLD a innove la realTv il y a a peu pres 5 ans et continue encore.
...

T'a pas lu le message de la madame en haut de toi ? Au Quebec, au début des années 90, y'avait un émission qui s'appelait Pignon sur Rue, et les jeunes était filmé jour et nuit dans un logement, et c'était presenté chaque soir...

Alors bon...ton Real World

Mais bon je suis carrement contre ce loft story...qu'il compte pas sur moi pour l'écouter...et j'comprend pas encore pourquoi des gens écoute ca et Star Académie, ca me dépasse, mais bon, c'est leur choix.

PS: Je l'aurais enregistrer si le foutu video fonctionnerait comme il le faut.
Après MixMania, Star Académie, maintenant Loft Story au Qc, j'croie avoir trouvé une bonne raison pour arrêter d'être abonné au cables.


Citation :
Et avec tout ça j'ai même pas vu les derniers épisodes d'Un gars une fille à cause des mes cours du soir et de mon homme qui me les a pas enregistrés (et qui l'aurait pas fait de toute façon) [/i]
Ta rien manqué, j'ai trouvé l'émission plus que décevante pour une finale.
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