Provient du message de Dunhair
imagine un peu qu'un royaume reussise en jouant la masse a zigouiller une grosse partie des 50 d'un royaume et ben go reliquaire vu que preque plus personne pour defendre bref...
On assiste là à un phénomène intéressant. En effet, de manière générale les jeux sont faits de telle manière qu'ils sont une déformation du schéma réel dont ils sont inspirés, et ce pour la même raison à chaque fois : le gameplay. Dans le cas du RvR dans DAoC par exemple, les combats Royaume contre Royaume sont une déformation totale des combats réels (quels qu'ils soient), dans la mesure où quand une bataille est gagnée, ben les ennemis tués ne sont plus là, et l'adversaire prend donc un net advantage puisqu'il n'a plus ces adversaires à combattre. Il peut donc en profiter pour faire des conquêtes, piller, etc... (c'est d'ailleurs rendu dans les jeux de stratégie, en particulier ceux où on ne peut pas produire d'unité). Dans DAoC, les persos peuvent release et revenir se battre, donc cette règle n'est pas respectée. On assiste à un flux constant de combattants, qui reviennent après leur mort, ce qui ne correspond pas du tout à la guerre (avec des armées qui par définition sont de taille fixe...). Mais l'on est obligé d'accepter cet inconvénient parce que c'est le seul moyen connu de permettre aux joueurs de jouer autant qu'ils le veulent. On ne peut donc que l'accepter.
Maintenant là où je veux en venir, c'est que ce concept obtenu par dénaturation est parfois tellement ancré dans les esprits des joueurs qu'ils trouvent anormal, comme on peut le voir dans le post de Duhair, qu'une armée ayant réussi à en battre une autre puisse bénéficier ensuite de l'absence de cette dernière pour prendre une relique, par exemple. Mais pourtant, quoi de plus logique et normal ?
Ce qu'il est juste de critiquer dans le fait d'empêcher les joueurs de revenir après leur mort, c'est le fait que ca les empeche de s'amuser le temps qu'ils veulent, mais surement pas le fait que ca modifierait certains grands principes de la guerre inter-royaumes de la facon que j'ai décrite, car cette dernière modification serait un avantage et non un inconvénient.
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"Notre jeunesse aime le luxe, elle est mal élevée, elle se moque de l'autorité et n'a aucune espèce de respect pour les anciens. Nos enfants d'aujourd'hui sont des tyrans. Ils ne se lèvent pas quand un vieillard entre dans une pièce et ils sont tout simplement mauvais" (Socrate, 470 avant JC)
"Notre monde a atteint un stade critique. Les enfants n'écoutent plus leurs parents. La fin du monde ne peut pas être très loin !"
(prêtre égyptien, 2000 avant JC)
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