Des éclats de rire m’interpeller, je m’arrêtais alors, stoppant ma marche devant l’entrée de Camelot, une foule s’était attroupée devant un homme en arme portant avec magnificence la Cape au blason Albionais
-Le lieutenant…
Oui, sa ne pouvait être que lui. Faisant sa ronde comme à l’accoutumé, Adenas de Hisgart s’était attarder sur les paroles des Albionais, leur accordant écoute et conseils à de ‘potentiel’ problèmes en Camelot.
Un mercenaire, plus niais que méchant porter des propos outrageux au sujet du Lieutenant, il aurait pu être punis de lèse-majesté, si la clémence du garde n’avait pas pris le dessus.
Alors que tous conversaient, une sicaire sortit de l’ombre, le visage marquant l’affolement, elle hurla au voleur :
-Le teinturier as été agressé, vite !
La surprise et l’étonnement passés, tous se ruèrent vers la baptise où le teinturier vendait sa marchandise…Oui, il y avait bien eu vol…
Quelques part en Camelot, si l’on tendait l’oreille, l’on pouvait entendre un rire nasillard :
-Cette rapine me satisfait, pour le moment, hahahaha les gardes sont aveugles !
Alors que la voleuse fuyait dans les ruelles de Camelot, le Lieutenant Adenas, a l’aide des Albionais partirent à la recherche du malfrat ayant dérobé l’or du teinturier.
Ils finirent par la retrouver, l’attrapant par le bras, ils réussirent à stopper sa folle course effrénée, une jeune paladine téméraire menaça même de sa hache la soit-disant voleuse, qui hurlait son innocence, clamant à qui veux l’entendre qu’elle n’avait rien fais qui pouvait aller à l’encontre des lois royales.
La femme semblait nerveuse, et tentait vainement de dissimuler en son dos la bourse volée peu de temps avant, quand le garde lui demanda alors de lui montrer ses mains, elle refusa !
Trouvant un subterfuge ridicule pour ne pas révéler son méfait !
Mais personnes ne se laissa berner par les regards implorant, ou les tentatives de corruption de la voleuse, celle ci se voyant pris au piège, fuyant à nouveau, mais le sort de rapidité d’un sorcier permis aux Albionais de la rattrapée encore une fois bien vite.
Prise au dépourvue, elle capitula, rendant l’or dérobé au garde, disant entre deux sanglots qu'elle ne voulait finir en geôles,voyant le maigre butin, le Lieutenant la sermonna simplement, lui rappelant codex de lois, elle promit de ne pas recommencé, et partit un sourire aux lèvres, en criant maintes louanges sur l’efficacité des Albionais a veiller sur Camelot…
Alors que la voleuse était loin…
Le Lieutenant d’un air surpris, balbutia :
-Mais…où…où est ma bourse ?!!
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Simple Observatrice.
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