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[Fusion] Pneumonie atypique
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Bon je m'enferme chez moi et reste à l'écoute.
Plus sérieusement, c'est inquietant certes, mais attendons de voir comment évolue la "chose"... |
17/03/2003, 15h41 |
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Citation :
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17/03/2003, 15h45 |
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Ca fait froid dans le dos ce genre de maladie
L'épidémie de pneumonie atypique reste mystérieuse
Mardi, le premier cas européen avéré a été décelé en Allemagne. Il s'agit d'un médecin singapourien qui a été hospitalisé à Francfort. Tous les services de santé dans le monde ont désormais été alertés sur la pneumonie atypique apparue en Asie du Sud-Est, dans l'attente d'une identification scientifique de l'origine de cette maladie. Ce syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) a fait au moins cinq morts, deux au Canada, deux autres à Hongkong et un au Vietnam, et, à ce jour, environ 200 cas ont été signalés. Cinq autres personnes ont trouvé la mort en Chine, sans que les experts aient pu clairement établir de liens entre ces décès et la maladie. Des cas suspects ont été enregistrés au Canada, en Chine, en Allemagne, à Hongkong, à Singapour, au Vietnam, en Thaïlande, en Suisse et en Israël. Le premier cas européen avéré a été décelé en Allemagne, mardi 18 mars. Un médecin singapourien, placé en quarantaine à Francfort, présente les symptômes du SRAS, a annoncé l'équipe médicale traitante. La vie du patient, âgé de 32 ans, n'est cependant pas en danger, a-t-on précisé de même source. Cet homme, qui se trouvait samedi sur un vol New York-Singapour via Francfort, avait été placé en quarantaine en raison de l'apparition de premiers symptômes. Il avait soigné des patients en Asie sans protection. Outre le médecin, sa femme enceinte et sa belle-mère sont également atteintes de la maladie, ont précisé les autorités en début de soirée. Selon les experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'épidémie pourrait avoir commencé dans la province chinoise méridionale du Guangdong (province de Canton) en novembre, où un peu plus de 300 cas - dont cinq mortels - ont été recensés. Ce sont maintenant une douzaine de pays qui sont touchés, dont Hongkong (111 cas), le Vietnam (54), Singapour (23) et l'Australie (une vingtaine). A Hongkong, un numéro de téléphone d'urgence a été mis en place par les autorités afin d'expliquer à la population les mesures de prévention à observer en cas d'infection respiratoire. Il est en particulier conseillé à ceux qui doivent prendre soin de personnes souffrant de difficultés respiratoires de porter un masque afin de réduire les risques d'être à leur tour contaminées. A Hanoï (Vietnam), deuxième foyer de ce syndrome mystérieux, l'angoisse gagnait du terrain face à une maladie qui, selon les chiffres publiés mardi, a atteint 54 personnes. "Trois nouveaux cas sont arrivés lundi soir à l'hôpital français de Hanoï", a indiqué le directeur général de l'établissement, Yves Nicolai. Le ministère tchèque des affaires étrangères a annoncé la fermeture de la section consulaire de l'ambassade de République tchèque à Hanoï à cause de l'épidémie. "Il s'agit d'une mesure préventive", des "dizaines de personnes demandant chaque jour un visa" pour Prague, selon le ministère. A Singapour, le ministre de la santé, Lim Hong Kian, a affirmé mardi que la propagation de la pneumonie atypique, qui a touché 23 personnes dans le pays, était désormais maîtrisée. Cependant, il a invité les habitants a éviter les déplacements non indispensables à Hongkong, Hanoï et dans la province chinoise de Canton, où les premiers cas suspects ont été détectés. NOUVELLE SOUCHE MICROBIENNE ? Face à l'épidémie, dont les symptômes - fièvre, fatigue, essoufflement et toux - font penser au début à la grippe, les seules mesures à prendre consistent à placer les malades d'abord en observation puis sous isolement strict. Premier touché, le personnel médical en est réduit à constater que ni les antiviraux, ni les antibiotiques ne semblent avoir d'effet. L'OMS a lancé une alerte mondiale, samedi 15 mars, et mis à contribution les plus importants centres de recherche mondiaux d'une dizaine de pays, pour tenter de résoudre l'énigme que représente cette mystérieuse épidémie, qui - voyages aériens aidant - menace la totalité de la planète. Les compagnies aériennes ont également été invitées à renforcer la surveillance de l'état de santé des voyageurs et de leur personnel et à prendre des mesures de précaution en particulier dans le traitement des filtres à air susceptibles de renfermer les germes pathogènes. Les chercheurs de plusieurs pays se sont attelés à l'identification des causes de cette maladie, sans succès pour l'instant, les responsables sanitaires ont en conséquence suggéré qu'elle pourrait être liée à un nouveau micro-organisme. "Au fur et à mesure que le temps passe, cette hypothèse apparaît de plus en plus vraisemblable, simplement parce qu'un grand nombre de gens ont réalisé de très nombreux tests" a déclaré Iain Simpson, un porte-parole de l'OMS. "Si c'était quelque chose que nous connaissions déjà, nous l'aurions presque certainement identifié" a-t-il précisé. L'OMS, qui coordonne les efforts de recherche internationaux en liaison avec le centre de prévention et de contrôle des maladies aux Etats-Unis, s'attend à ce que de nouveaux cas de la maladie se déclarent dans de nouveaux pays. "Mais cela ne signifie pas qu'il s'agisse d'une pandémie en expansion. C'est juste que les cas sont mieux répertoriés", a indiqué Dick Thompson, un autre porte-parole de l'OMS. "Ce que nous constatons, c'est que tous les cas identifiés ont d'une façon ou d'une autre un lien avec Hongkong et Hanoï, sauf pour ceux identifiés au Canada", a-t-il ajouté. Les experts de l'OMS travaillent en étroite collaboration avec les autorités chinoises afin d'établir si cette mystérieuse maladie est liée à l'épidémie similaire qui s'est déclarée en Chine en novembre. Les recherches chinoises pourraient apporter de précieuses indications sur les causes de ce nouveau syndrome et contribuer à la mise au point de traitements. L'inquiétude provoquée par l'épidémie devrait affecter le tourisme dans la zone asiatique, de nombreux voyageurs ayant annulé leur séjour. Les réservations pour les voyages organisés à Hongkong ont ainsi chuté de 80 % à 90 % au cours des derniers jours, selon un représentant du secteur. Plusieurs tour-opérateurs français ont décidé d'annuler leurs départs des prochains jours vers ces mêmes destinations. Avec AFP et Reuters SOURCE: le monde http://www.lemonde.fr/article/0,5987...13404-,00.html Parfois je me demande comment toutes ses nouvelles maladies apparaissent. Et puis, je me dis que je ferais mieux de rester chez moi que de voyager. Esperons qu'un remède soit rapidement trouvé. |
19/03/2003, 02h03 |
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Louis The Funest |
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Il y a eu un sujet sur la chose je crois mais ce n'est pas grave
Sinon il est vrai que cela fait peur...Très peur même Damon qui pense |
19/03/2003, 02h07 |
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C'est dans ces moments là que je me dit que de toute façon on va toute y passer un jour et si c'est de cette façon là qu'on est pour y passer bah c'est la vie.
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19/03/2003, 02h57 |
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Mélancolie
Invité
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19/03/2003, 03h48 |
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Mélancolie |
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Sujets fusionnés.
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19/03/2003, 08h42 |
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Re: Re: Ca fait froid dans le dos ce genre de maladie
Citation :
J'ai arrêté les antibiotiques (je demande à chaque fois au médecin de ne pas m'en prescrire) depuis que je suis en âge d'aller sans mes parents chez le médecin et je me porte très bien.
__________________
"I've seen things you people wouldn't believe. Attack ships on fire off the shoulder of Orion. I watched sea beams glitter in the darkness at Tan Hauser Gate. All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die." |
19/03/2003, 10h31 |
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Triste. Tel que c'est parti là, ce ne sera pas une météorite, un guerre nucléaire ou un terrible cataclysme qui détruira le monda mais une maladie...
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19/03/2003, 12h00 |
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Louis The Funest |
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Source: la dernière heure. (http://www.dhnet.be/)
Suite sur le virus mortel du moment. Pneumonie atypique: l'Europe est touchée (19/03/2003) Plusieurs cas en Roumanie ainsi qu'en France sont signalés LE MANS Deux Français de retour d’Asie du Sud-Est ont été hospitalisés ce lundi au Mans après avoir éprouvé les symptômes d’une épidémie de pneumopathie qui frappe plusieurs pays d’Asie et du monde, a annoncé la préfecture de la Sarthe dans un communiqué. Les deux voyageurs, un homme de 33 ans et une femme de 50 ans originaires de la région du Mans, sont maintenus en isolement et reçoivent un traitement curatif. Des analyses sont en cours pour déterminer s’il s’agit de la pneumonie atypique signalée lundi dernier par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Les proches des malades ont reçus un traitement préventif. Aucun cas avéré de l’épidémie de pneumopathie n’a jusqu’à maintenant été répertorié en France. L'Europe centrale touchée aussi Un cas de pneumonie atypique, affectant une Roumaine rentrée il y a une semaine d’un séjour en Chine, a été décélé dans la capitale roumaine. La femme est actuellement soignée à l’hôpital de maladies contagieuses Matei Bals de Bucarest, qui a confirmé qu’elle souffrait du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le ministère de la Santé a demandé mardi aux autorités aéroportuaires de prendre des mesures de prévention, afin d’empêcher une diffusion de la maladie en Roumanie. Par ailleurs, trois premiers cas suspects ont été signalés au Japon. Neuf personnes sont déjà mortes après avoir été affectées par ce syndrome la semaine passée: cinq à Hong Kong, deux au Vietnam et deux au Canada. Sept autres décès en Chine continentale font l’objet d’une enquête pour déterminer s’ils sont liés à cette épidémie. Le virus existait déjà Le virus soupçonné être à l'origine de la pneumonie atypique qui a causé la mort de 11 malades dans le monde serait de la même famille qu'un autre virus apparu voici 7 ans en Australie ayant fait à l'époque un mort au moins, a affirmé ce mercredi un expert australien. Selon les chercheurs de Hong Kong, le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est dû à un virus de la famille des paramyxoviridae. En Allemagne où trois cas au moins ont été détectés, les scientifiques indiquent que le SRAS pourrait être provoqué par un virus voisin de celui de la grippe, de type paramyxovirus. Selon un scientifique australien Dominic Dwyer, le paramyxovirus qui peut se transmettre depuis l'animal aux humains est lié au morbillivirus équin qui aurait été responsable de la mort d'un entraîneur de chevaux en 1994. Le médecin estime que l'identification du virus constituerait une percée dans la lutte contre l'épidémie alors qu'on ne possède encore ni traitement spécifique ni vaccin. |
19/03/2003, 12h57 |
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Louis The Funest |
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Esperons qu'ils trouvent rapidement un remède efficace puisqu'ils connaissent le virus...
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19/03/2003, 15h24 |
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Louis The Funest |
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pourvu que ca ne decime que la pire des partie ....
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19/03/2003, 18h33 |
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Zdravo, le Petit |
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