Alcool et cerveau

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Je cherche des ouvrages ou des sites parlant en détail des phénomènes qui se passent dans le cerveau lors de l'absorption d'alcool.

Si c'est un livre merci de mentionner l'éditeur ;-)
Alors voilà ce que je trouve en tapant les mots "alcool effet cerveau" sur google :

http://www.doctissimo.fr/html/sante/...ol_cerveau.htm

http://www.esj-lille.fr/atelier/maga...resse/wa1.html

http://www.soinsdenosenfants.cps.ca/...sse/Alcool.htm

http://www.medecine-et-sante.com/mal...organisme.html

http://perso.nnx.com/drose/neurophy/aainhib4.html

http://www.sfa-ispa.ch/Prevention/fr...ers/alcool.htm

Google m'annonce 16100 résultats.

Moi j'aimerais connaître l'effet de la fainéantise sur le forum de la taverne ....
Re: Alcool et cerveau
Citation :
Provient du message de Nathas
Je cherche des ouvrages ou des sites parlant en détail des phénomènes qui se passent dans le cerveau lors de l'absorption d'alcool.

Pas besoin d'expériences vécues?
Disons un léger syndrome TdS, une envie de se transcender (musique, ecriture) qui fait mal quand on redevient sobre... QUoi tu voulais des trucs scientifiques? Bah un bon demi ça vaut toutes les analyses...
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Saucer
"Dans le Jura, il se passe tellement peu de choses qu'on peut entendre le bruit des glaçons qui s'entrechoquent dans le Martini..." d'à peu près HF Thiéfaine
L'alcool se lie à de nombreux récepteurs biologiques comme les récepteurs à glutamate, GABA, sérotonine, nicotine. L'alcool est impliqué dans l'augmentation de la libération de dopamine dans le système mésocorticolimbique.


Connexion entre deux neurones

http://membres.lycos.fr/cellphoras/neurobio/neurone1.gif

A l'intérieur du cerveau, les informations circulent sous forme d'activité électrique, appelées influx nerveux ; elles cheminent des dendrites au corps cellulaire, où elles sont traitées, puis du corps cellulaire à l'axone.


Une substance psychoactive dont la structure moléculaire ressemble à celle d'une substance produite naturellement par l'organisme peut se fixer à la place de celle-ci sur les récepteurs spécifiques.


Synapse

http://membres.lycos.fr/cellphoras/neurobio/neurone_ecstasy.gif

Pour passer d'un neurone à un autre, l'influx nerveux se transforme en messages chimiques qui prennent la forme d'une substance sécrétée par le neurone, le neuromédiateur. Il existe différents neuromédiateurs (la dopamine, la sérotonine, l'acétylcholine...) qui se lient à des récepteurs spécifiques. Le neuromédiateur traverse l'espace situé entre deux neurones, la synapse. C'est sur ces processus qu'agissent les substances psychoactives.

l'alcool bloque les récepteurs nommés NMDA.



Effets et dangers de l'alcool

L'alcool n'est pas digéré : il passe directement du tube digestif aux vaisseaux sanguins. En quelques minutes, le sang le transporte dans toutes les parties de l'organisme. L'alcool détend et désinhibe. À court terme et lorsqu'il est consommé à des doses importantes, il provoque un état d'ivresse et peut entraîner des troubles digestifs, des nausées, des vomissements...

Les risques sociaux

diminution de la vigilance, souvent responsable d'accidents de la circulation, d'accidents du travail
pertes de contrôle de soi qui peuvent conduire à des comportements de violence, à des passages à l'acte, agressions sexuelles, suicide, homicide
exposition à des agressions en raison d'une attitude parfois provocatrice ou du fait que la personne en état d'ébriété n'est plus capable de se défendre.
Les risques sanitaires

À plus long terme, l'usager risque de développer de nombreuses pathologies : cancers (de la bouche, de la gorge, de l'œsophage, entre autres), maladies du foie (cirrhose) et du pancréas, troubles cardio-vasculaires, maladies du système nerveux et troubles psychiques (anxiété, dépression, troubles du comportement).
Les hommes sont plus touchés : plus de 7 % des décès chez les hommes contre près de 2 % chez les femmes.
En 1997, parmi les plus de 15 ans on comptait en France 2 615 décès directement liés à la maladie alcoolique chronique, dont :11 448 par cancers des voies aérodigestives supérieures, 8 865 par cirrhose du foie, 2 302 par psychose et dépendance alcoolique.

La consommation excessive d'alcool est en cause dans plus de 20 000 autres décès : accidents sur la voie publique, suicides, autres cancers (du foie, du pancréas, du côlon), maladies cardiaques. L'alcool est également à l'origine ou en cause dans une proportion importante des homicides, environ 1/3 des accidents mortels de la route et 1/5 des accidents domestiques.

(1) L'alcool pur est le volume d'alcool exprimé en alcool à 100 % ; 1 litre d'alcool pur équivaut à environ 8 litres de vin à 12°.

Alcool et dépendance

Certaines personnes risquent de passer d'une consommation récréative contrôlée, "l'usage", à une consommation excessive non contrôlée, "l'usage nocif" ou "usage à problème". Les troubles liés à la consommation excessive d'alcool surviennent à des moments très variables selon les individus. Certains vont vivre des ivresses répétées avec de longues interruptions sans devenir pour autant dépendants. Cet usage reste toutefois à problème. Un consommateur excessif peut évoluer en trois étapes vers la dépendance alcoolique.

Phase 1 : aucun dommage majeur n'apparaît. Les activités professionnelles, sociales et familiales sont globalement conservées. La santé mentale et physique n'est pas altérée de manière significative.
Phase 2 : des difficultés d'ordre relationnel, social, professionnel, judiciaire apparaissent. La santé physique et mentale amène parfois la personne à réduire ou à arrêter momentanément sa consommation (abstinence).
Phase 3 : la personne est devenue incapable de réduire ou d'arrêter sa consommation, malgré la persistance des dommages. De nombreux symptômes apparaissent : tremblements, crampes, anorexie, troubles du comportement. Le consommateur est alors alcoolo-dépendant.
Servis dans un café ou un restaurant, un verre de vin rouge, blanc ou rosé, un demi de bière à la pression, une coupe de champagne, un verre de porto, une dose de whisky, de pastis contiennent tous environ la même quantité d'alcool. À domicile, les doses sont variables : les verres ne sont pas tous de la même taille et peuvent être plus ou moins remplis. Il est donc intéressant de connaître le nombre de verres standard contenus dans chaque bouteille.

Inégaux face à l'alcool

Face à la consommation d'alcool, chacun réagit différemment selon sa corpulence, son état de santé physique et psychique, que l'on soit un homme ou une femme, et selon le moment de la consommation. Ce seuil de consommation dépend donc de la personne et du contexte. Quand la consommation s'effectue avec, avant ou après d'autres substances (médicaments, drogues), cette notion de seuil n'a plus cours.Boire une grande quantité d'alcool en peu de temps provoque une montée importante du taux d'alcoolémie. Seul le temps permet de le faire baisser. On compte qu'il faut environ une heure par verre absorbé.Retarder le moment de conduire une voiture ou une machine. Suivant l'état de fatigue et l'état psychologique (énervement, agitation...), se reposer, dormir, manger, se faire conduire. Si on boit sans manger, l'alcool passe d'un seul coup dans le sang et ses effets sont plus importants. Une seule dose, même faible, peut avoir des conséquences néfastes immédiates.

Conseils pour un usage sans dommage

Lorsqu'on boit de l'alcool, plus on dépasse les limites indiquées (augmentation des quantités et fréquences de consommation), plus le risque est important.

consommations occasionnelles : exceptionnellement, pas plus de 4 verres standard en une seule occasion. Au-delà du deuxième verre, le taux d'alcoolémie autorisé est dépassé : on ne peut conduire ni voiture, ni machine. Associée à des médicaments ou à des drogues, une seule dose, même faible, peut avoir des conséquences néfastes immédiates
consommations régulières : pour les femmes, pas plus de 2 verres standard par jour ; pour les hommes, pas plus de 3 verres standard par jour (au moins un jour par semaine sans aucune boisson alcoolisée)
ne pas consommer :
pendant l'enfance et la pré-adolescence
pendant une grossesse
lorsqu'on conduit un véhicule, ou une machine dangereuse
quand on exerce des responsabilités qui nécessitent de la vigilance
quand on prend certains médicaments
Servis dans un café ou un restaurant, un verre de vin rouge, blanc ou rosé, un demi de bière à la pression, une coupe de champagne, un verre de porto, une dose de whisky, de pastis contiennent tous environ la même quantité d'alcool. À domicile, les doses sont variables : les verres ne sont pas tous de la même taille et peuvent être plus ou moins remplis.
Il est donc intéressant de connaître le nombre de verres standard contenus dans chaque bouteille.

http://membres.lycos.fr/cellphoras/neurobio/alcool.jpg

Les chiffres d'une réalité française

Adultes de 18 à 75 ans ayant une consommation quotidienne

environ 23 %
répartition par sexe : trois hommes pour une femme (1).
Consommation à risque à long terme

10 % des consommateurs dont 13 % sont des hommes et 4 % sont des femmes (1).

Jeunes scolarisés de 15 à 19 ans ayant une consommaton 6 fois et plus lors des 30 derniers jours

20 % : 26 % chez les garçons, 14 % chez les filles (1).

Soins

80 000 personnes en difficulté avec l'alcool sont venues consulter dans les structures spécialisées en alcoologie.

La mortalité annuelle imputable à l'alcool

50 000 décès, soit près de 10 % de la mortalité toutes causes confondues
un accident mortel sur trois en 1995 (présence d'une alcoolémie illégale en cause).
Contrôles d'alcoolémie

112 456 tests positifs.
Présence d'une alcoolémie illégale dans un accident mortel sur trois (1).

Condamnations prononcées par les tribunaux (1998)

103 000 condamnations pour conduite en état alcoolique
4548 condamnations pour atteintes corporelles provoquées par des conducteurs en état alcoolique, dont 469 pour homicides involontaires.

Achats de boissons alcoolisées

93 milliards de francs dépensés par les ménages en 1997 (ce montant ne comprend pas les dépenses effectuées dans les hôtels, cafés et restaurants, qui restent difficiles à évaluer).

(1) chiffres de 1999

Tendance statistique

Amorcée au début des années 1960, la tendance à la diminution des quantités d'alcool consommées en moyenne par habitant, liée à la forte diminution de la consommation quotidienne de vin, s'est poursuivie jusqu'au milieu des années 1990 (derniers chiffres connus). La consommation d'alcools forts reste stable.

http://membres.lycos.fr/cellphoras/neurobio/alcool2.jpg

L'alcool est un produit licite. Sa production, sa vente et son usage sont réglementés. La réglementation du commerce des boissons alcoolisées repose sur une classification des boissons. Elle régit tout débit de boisson où l'on consomme sur place.

Quiconque fait boire un mineur jusqu'à l'ivresse commet un délit. Il est interdit de vendre ou d'offrir à des mineurs de moins de 16 ans des boissons alcoolisées (dans les débits de boissons, les commerces et lieux publics).

La loi du 10 janvier 1991 (dite loi Évin) interdit :

la publicité dans la presse pour la jeunesse et la diffusion de messages publicitaires à la radio le mercredi, et les autres jours entre 17 heures et 24 heures
la distribution aux mineurs de documents ou objets nommant, représentant ou vantant les mérites d'une boisson alcoolisée
la vente, la distribution et l'introduction de boissons alcoolisées dans tous les établissements d'activités physiques et sportives (une autorisation d'ouverture de buvette lors d'une manifestation sportive peut toutefois être délivrée sur demande).
La sécurité routière

des contrôles d'alcoolémie sont possibles, même en l'absence d'infraction ou d'accident, à l'initiative du procureur de la République ou d'un officier de police judiciaire (article L. 3 du code de la route et loi du 31 octobre 1990).
le taux légal d'alcoolémie maximale est fixé à 0,5 gramme d'alcool par litre de sang (contrôle par analyse de sang) et à 0,25 milligramme par litre d'air expiré (contrôle par éthylomètre - article L.1er et R. 233-5 du code de la route).
entre 0,5 et 0,8 gramme d'alcool par litre de sang - ou entre 0,25 et 0,4 milligramme par litre d'air expiré -, c'est une contravention passible d'une amende forfaitaire de 900 F et d'un retrait de trois points du permis de conduire.
au-delà de 0,8 gramme d'alcool par litre de sang, il s'agit d'un délit entraînant un retrait de six points du permis de conduire, passible de deux ans de prison et d'une amende de 30 000 F. La condamnation peut être assortie d'une suspension ou d'une annulation du permis de conduire (obligatoire en cas de récidive), de mesures de soins ou d'un travail d'intérêt général.
dans les stations-service, la vente de boissons alcoolisées à emporter est interdite entre 22 heures et 6 heures du matin.
La publicité

Les affichages publicitaires doivent se limiter à certaines indications et être accompagnés d'un message préventif à l'égard de l'abus d'alcool. Toute publicité à la télévision et au cinéma est interdite (loi du 10 janvier 1991).
Citation :
0.65% Death
Oula ca vien d'ou ca, bon nombre de personne se sont faire attraper a plus que ca, le pir qui a ete c'etait une femme dans je ne sait plus quel pay (russie je crois) qui a ete pris a 0,8g dans le sang, elle etait encore "consciente", dans sa voiture..
Enfin 0.65% je sait pas si c'est en pourcent ou grammes, si c'est vraiment en pourcent heu... Ca voudrais dire qu'il faudrais boire 5 litre d'alcool PUR ...
Et si vous voulez une explication du "pourquoi ça tangue" (perte de l'équilibre) quand on boit trop d'alcool, je peux vous la fournir
Ou encore des infos sur les effets sur la peau lorsqu'on est bourré...
*a eu un prof de biologie cellulaire qui avait des sujets de cours intéressants*
Citation :
Provient du message de Tormleo
Oula ca vien d'ou ca, bon nombre de personne se sont faire attraper a plus que ca, le pir qui a ete c'etait une femme dans je ne sait plus quel pay (russie je crois) qui a ete pris a 0,8g dans le sang, elle etait encore "consciente", dans sa voiture..
Enfin 0.65% je sait pas si c'est en pourcent ou grammes, si c'est vraiment en pourcent heu... Ca voudrais dire qu'il faudrais boire 5 litre d'alcool PUR ...
D'habitude on parle en Grammes par Litre de sang, si tu regarde bien, ici c'est pour 100 mL de sang, donc ca donne en fait 6,5 g par litre. Et 6,5 g par litre ... c'est énorme. le pire que j'ai vu c'est quelqu'un qui avait 4 grammes au sortir d'un coma éthylique. Bon faut dire que j'ai pas eu souvent l'occasion de voir des taux d'alcoolémie.
Citation :
Provient du message de Angel/Khal Mac Roeg
Vu que personne ne l'a signalé,manger réduit également l'alcoolémie (la circulation de l'alcool dans le sang et donc les effets sur le cerveau)
Manger ne réduit pas l'alcoolémie. C'est une idée reçue, et fausse qui plus est.
Le fait est que si ton estomac est plein ( de nourriture ), et que tu bois peu après, l'alcool va être absorbé dans le sang beaucoup plus lentement. Mais ça ne signifie en aucun cas que ton taux d'alcoolémie sera moins fort, c'est juste qu'au lieu de mettre, par exemple, 2 heures à monter à 1.5 grammes, tu mettras 3 ou 4 heures.
Je sais que le sujet n'est pas aux drogues, mais il me semblait que ceci suivait ce fil de façon logique, et peut être susceptible de vous interesser :

Substance par substance, les effets sur le cerveau

L'alcool se lie à de nombreux récepteurs biologiques comme les récepteurs à glutamate, GABA, sérotonine, nicotine. L'alcool est impliqué dans l'augmentation de la libération de dopamine dans le système mésocorticolimbique.

Les amphétamines et leurs dérivés, comme l'ecstasy, provoquent des augmentations immédiates et importantes de sérotonine dans la synapse, mais aussi de dopamine, suivies d'un épuisement des stocks de ces neuromédiateurs.

Un très grand nombre d'antidépresseurs agissent directement ou indirectement sur la libération de la dopamine.

Le cannabis entraîne une faible libération de dopamine selon un mécanisme encore étudié et discuté. Les récepteurs cannabinoïdes sont présents en forte densité dans le système limbique (dans le noyau accumbens, dans le cervelet, l'hippocampe et le cortex).

La cocaïne agit en empêchant la recapture de la dopamine au niveau des synapses. Ce faisant, elle augmente la présence et donc l'effet de la dopamine dans les synapses au niveau du cerveau des émotions (système limbique).

L'ecstasy augmente la présence de sérotonine dans les synapses en bloquant sa recapture. Dans une moindre mesure, elle augmente également celle de la dopamine.

L'héroïne est transformée dans le cerveau en morphine. Celle-ci se lie aux récepteurs opioïdes naturels (récepteurs des endorphines). Elle stimule également le système de la dopamine, mais par un mécanisme indirect, en diminuant le contrôle des neurones GABA sur les neurones à dopamine.

La nicotine du tabac, comme toutes les autres substances psychoactives induisant une dépendance, accroît la libération de dopamine par certains neurones. La nicotine imite l'action d'un neuromédiateur naturel, l'acétylcholine. Elle se lie aux récepteurs nicotiniques dans le cerveau. La nicotine facilite également la libération des endomorphines, ce qui expliquerait en partie son effet antalgique (contre la douleur).

Les substances psychoactives à risque de dépendance agissent sur un circuit du cerveau dont la fonction est de favoriser les fonctions vitales (système de récompense). Il est impliqué dans la récompense (plaisir cérébral) des comportements liés à la nutrition et à la reproduction de l'espèce. Il participe ainsi à la satisfaction de vivre. Les substances psychoactives sollicitent anormalement ce circuit naturel et engendrent à terme la possibilité de son déséquilibre permanent.

La toxicité potentielle des substances psychoactives, comme celle de tout médicament, est liée à la quantité consommée et cette toxicité est variable d'un produit à l'autre. Donc, plus on consomme un produit à des doses toxiques, plus on en subit les conséquences. À l'inverse, moins on consomme un produit, ou si on le consomme à des doses non toxiques, moins on en subit les conséquences.
j'ai peur...... brianos j'ai bu cbien cul sec de champagne au reveillon silteplait me rappelle plus sinon heureusement que je boit po, j'ai peur la
Citation :
Provient du message de Ulgrim
Manger ne réduit pas l'alcoolémie. C'est une idée reçue, et fausse qui plus est.
Le fait est que si ton estomac est plein ( de nourriture ), et que tu bois peu après, l'alcool va être absorbé dans le sang beaucoup plus lentement. Mais ça ne signifie en aucun cas que ton taux d'alcoolémie sera moins fort, c'est juste qu'au lieu de mettre, par exemple, 2 heures à monter à 1.5 grammes, tu mettras 3 ou 4 heures.
Merci, j'avais complètement oublier ça ...
Citation :
Provient du message de Ulgrim
Alors voilà ce que je trouve en tapant les mots "alcool effet cerveau" sur google :

http://www.doctissimo.fr/html/sante/...ol_cerveau.htm
j'émet des doutes quand même quant à la fiabilité scientifique de ce site, remise en cause par de nombreux professionnels de la santé puisque de nombreux articles ne sont pas signés ni datés

en espérant que ça ait changé depuis
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