Irak : L impact economique

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Voila ce sujet n est ni pour parler d etre pour ou contre la guerre en Irak, ni pour taper sur les americains.

J ai discute recemment avec certaines personnes et eu vent de certains cabinets de recrutement et de ces echos m est apparu que l economie etait actuellement en "stand by" par rapport a la guerre en Irak.
Donc a votre avis si guerre il y a, quel impact cela aura t il economiquement ( en sachant qu avec la crise actuelle c est deja pas la joie ) ? Et si eventuellement des gens pourraient developper les raisons de cet impact ( ou de ce non impact ).
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dann müßte ich nicht mehr schrei'n,
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Eisbären müssen nie weinen.
L'impact économique est déjà énorme. Les flux boursiers ont tous chutés de façon critique, et cette avant-guerre se fait déjà sentir de façon pratique (1500 licenciements au Crédit Suisse, 1000 dans une boite de chimie, et j'en passe).

Il n'y a pas besoin d'une guerre pour faire peur aux gens, ses prémices suffisent.
moi je crois que tout le monde se sert de la situation en iraq comme excuse au fait que l'économie va mal.

c'est toujours plus facile de se dire que les problemes qu'on a ne viennent pas de nous mais d'une cause extérieure parce que comme ça ça nous évite d'avoir à nous remettre en cause...

donc pour l'année 2003 l'excuse est toute trouée "c'est la faute à l'iraq"
Citation :
Provient du message de Tynril la Canapine
L'impact économique est déjà énorme. Les flux boursiers ont tous chutés de façon critique, (...)
N'exagérons rien, y'a juste une petite crainte, et l'affaissement déjà présent depuis un moment.

Y'a deux théories qui me viennent a l'esprit concernant l'impact économique concernant la guerre en Irak : Soit tout s'écroule ici et "on est reparti comme en 29", soit ca va améliorer le transit global des sousous et ca va rafraichir le milieu qui commencait a grisonner.

Je sais bien que cela peut deboucher sur beaucoup plus de branches que les deux sus-citées, mais c'est pour l'instant les deux choses que j'arrive à imaginer étant données les circonstances diplomatiques actuelles entre les instigateurs de cette guerre et les protecteurs du protocole entier des résolutions de l'ONU.
Citation :
Provient du message de Annabella Belli
moi je crois que tout le monde se sert de la situation en iraq comme excuse au fait que l'économie va mal.
+1

Cf les avionneurs et compagnies aériennes qui avaient déjà beaucoup de plans sociaux en attente et qui les ont justifié la bouche en coeur , la larme au coin de l'oeil " Bah oui le 11 septembre nous a fait beaucoup de tort vous comprenez "
Je ne suis pas boursicoteur, mais euh, il faut décidément constater qu'a chaque rebond, les scores baissent d'un bloc. Chose qui me parait humainement compréhensible. On a peur, on veut récupérer sa thune, on vend ses actions, le court baisse, les entreprises flippent, et virent des employés.

Je sais pas, je trouve ta réponse un peu HS, on parle pas de problème sociaux mais économiques, et il faut bien se dire que la bourse, c'est des mouvements de masse qui la fond bouger, pas une personne seule .

La situation économique n'était déjà pas brillante, et là, ça tombe encore plus bas suite à "l'affaire Iraq". Ce n'est pas vraiment une question de faute, non ? Je vois mal ce que vient faire le terme "faute" ici .

//Edit: En réponse à Annabella Belli, vous postez vite!!
Citation :
Provient du message de Ylvin Aquariel
N'exagérons rien, y'a juste une petite crainte, et l'affaissement déjà présent depuis un moment.
Alors disons que "Si y'avait pas eut ça, ça aurait p'tet remonté"
Citation :
Provient du message de Slammy / Thurghool
Cf les avionneurs et compagnies aériennes qui avaient déjà beaucoup de plans sociaux en attente et qui les ont justifié la bouche en coeur , la larme au coin de l'oeil " Bah oui le 11 septembre nous a fait beaucoup de tort vous comprenez "
Ca me parait pas tout faux, mais je dois être très crédule. N'empèche que j'étais bien content, le 12 septembre, de pas avoir besoin de prendre l'avion. Va savoir pourquoi.
Citation :
Provient du message de Ylvin Aquariel
Quel joli lapsus.
L'impact sera différent suivant les grandes zones mondiales . Les US ont BESOIN de cette guerre pour relancer leur économie. Bush espère pouvoir placer la-bas de grandes entreprises américaines pour un peu plus longtemps que ce que l'a permis la guerre du golfe . Il faut ajouter à cela le facteur humain . Au US la plupart des gens sont fiers de leur pays et de leur grandeur . Une victoire éclatante sur un ennemie bien identifié qui leur faisait défaut depuis la fin de la guerre froide, fera en sorte que la récession passera bien mieux dans le pays .
En ce qui concerne notre coté de l'Atlantique, je suis encore un peu dans le flou. Je vois mal ce qui pourrait se dégager d'une guerre en Irak pour nous. En bien ou en mal d'ailleurs ..
Citation :
Provient du message de Tynril la Canapine
Ca me parait pas tout faux, mais je dois être très crédule. N'empèche que j'étais bien content, le 12 septembre, de pas avoir besoin de prendre l'avion. Va savoir pourquoi.
C'est flagrant aux US , la plupart des compagnies qui ont plié les gaules avaient des soucis AVANT 911 et se sont "cachées" derrière 911 pour justifier les licenciements. ( Cf les contrats avec les avionneurs type General Electrics qui étaient rediscutés depuis Aout 2001 )

Ce que je sous entend c'est que certains se cacheront derrière la guerre en Irak pour justifier chômage/récession/licenciement/échec au brevet/érections difficiles ( rayez les mentions inutiles )
Citation :
Provient du message de Slammy / Thurghool
C'est flagrant aux US , la plupart des compagnies qui ont plié les gaules avaient des soucis AVANT 911 et se sont "cachées" derrière 911 pour justifier les licenciements. ( Cf les contrats avec les avionneurs type General Electrics qui étaient rediscutés depuis Aout 2001 )
Moi je vois plutôt ça comme le type qui hésite à faire refaire son plafond branlant, et qui le jour ou ce dernier lui tombe sur la gueule, prend une décision rapide et sans appel. La goutte d'eau qui fait déborder le vase, en somme.. Mais je dois avoir trop de pitié pour ces chiens de capitalistes.
Citation :
Ce que je sous entend c'est que certains se cacheront derrière la guerre en Irak pour justifier chômage/récession/licenciement/échec au brevet/érections difficiles ( rayez les mentions inutiles )
Par exemple l'administration Bush ?

...

Nul. Désolé.
En fait les milieux d'affaires ont, paraît il, hâte que la guerre se déclenche.
En effet, c'est l'avant guerre et les tensions qu'elle suscite qui rendent l'économie morose. Plus vite l'irak est envahi, plus vite c'est la reprise (avec tous les contrats juteux de la reconstruction.....comme on dit par chez nous, l'OTAN détruit, l'Europe finance, et les US reconstruisent ).
L'économie stagne mais c'est loin d'être uniquement à cause de la guerre possible en Irak (bien que cette possibilité contribue à la stagnation d'une économie déjà défaillante).

Je pense qu'on ne peut pas faire un raccourci du style guerre => problèmes économiques.

Je ne pense pas non plus qu'on puisse dire que les milieux d'affaires attendent impatiemment une guerre en Irak pour relancer l'économie. D'ailleurs, l'impact économique n'est pas encore bien évalué par les spécialistes. La tendance actuellement, c'est qu'une guerre rapide permettrait peut-être de booster l'économie tandis qu'une guerre qui s'enlise freinerait une croissance déjà bien faible.


Enfin, je ne pense pas qu'on puisse donner un avis circonstancié sur l'impact de la guerre en une dizaine de lignes. L'économie dépend de nombreux facteurs et une guerre en Irak n'est qu'un des facteurs.


Quant aux cours de la Bourse, je pense pour ma part que la chute vient plutôt des faillites de sociétés considérées comme des blue-chip (multinationales de qualité optimale) : ex., Enron qui a fraudé avec sa comptabilité et plus récemment une entreprise néerlandaise (importante mais je ne me souviens pas du nom). Les gens ont donc peur et se dirigent vers d'autres formes de placements, ils ne peuvent même plus faire confiance aux sociétés réputées "sûres". Le problème est plutôt de savoir si cet effet est conjoncturel ou structurel ; mais ça il est un peu tôt pour le dire, je doute quant à moi qu'il soit structurel et je pense que la Bourse remontera tôt ou tard.

Quant aux résultats des banques qui chutent (je pense à Fortis ici) , il faut bien se dire que les banquiers font pas mal de placements en bourse. Il est évident que quand la bourse chute, la règle de comptabilité veut qu'on enregistre une perte (approche prudente). Mais cette perte n'est pas réelle, puisque la banque ne vend pas ses participations. Il suffit que la Bourse remonte un peu et, au moment de vendre, on verra dans les comptes de résultat des banques de jolies petites plus-value / profit exceptionnel. Et si les cours de Bourse ne remontent pas, bah vu que la banque a déjà provisionné la perte, elle devrait faire un retour au bénéfice l'année suivante.

En ce qui concerne le Credit Suisse dont parle Tynril, il est évident que l'incertitude irakienne ne les aide pas. Mais d'un autre côté, son principal concurrent UBS fait un bénéfice insolent de CHF 3,5 milliards en 2002.

Le Credit Suisse , perte de CHF 3,3 milliards en 2002, est tributaire de
- sa filiale Credit Suisse First Boston pour laquelle ils ont dû enregistrer une perte de USD 450 millions (provision pour litige suite à des malversations possibles dans le cadre d'analyses biaisées pour les introductions en... Bourse) mais surtout de
- sa filiale Winterthur dans les assurances ; secteur qui prend bien dans la tronche avec les attentats du 11 septembre ou la crise de l'amiante
=> pas trop l'Irak là
Je voulais egalement souligner un autre facteur pouvant influer sur l economie: la peur de represailles terroristes.
Pour tout ce qui est lie au tourisme, je sais deja que cette guerre les preoccupent pour l impact que cela pourrait avoir sur les eventuels clients.
Reste a voir si une psychose provenant de la guerre du golfe pourrait affecter globalement la consommation.
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Alors a ce propos, je citerai l'excellent article de "The Economist", qui est pourtant un fervant supporter de l'action militaire en Iraq. Cela ne les empeche pas de dresser dans le meme numero un article (dont le titre fait la couverture : "Pourquoi la guerre en Iraq serait justifiée") pour virer sadam par la force s'il le faut, et cet article intitulé : "The Economic risks", un article qui devrait finir de convaincre qu'une guerre est la pire des choses qui puisse arriver.

Je vais quoter les principaux points de l'article (il est trop long en lui meme) donc forcement en anglais, desolé. Je vais voir si j'en traduis ou resume un bout, mais j'ai pas les courage et le temps la

Citation :
trying to assess the economic consequences of such an attack is tricky because of the vast number of unknowns and contingencies.
Ca c'est juste pour dire que tout ce qui suit n'est que supposition, estimation etc... en s'en serait douté, mais c'est bon a rappeler.

Citation :
He argues that the risks to the global economy, taken together, are now greater than at any time since the 1973-74 oil crisis. Even if the war goes well, he argues, it will probably not be the panacea that investors are hoping for. The aftermath of war will be uncertain; the risk of terrorist acts will remain; and there are plenty of other worries too, not least over North Korea.
Citation :
The cost of fighting
The economic costs of a war can be broken into three types. First, there are the direct military costs.
Assuming a similarly short war [la guerre du golf], America's Congressional Budget Office and the House Budget Committee have both estimated a total military cost of around $50 billion, or 0.5% of America's GDP. Others reckon that a more protracted war could cost America as much as $150 billion.
Second, there are the potentially far larger indirect costs of peacekeeping, humanitarian assistance and reconstruction. William Nordhaus, an economist at Yale University, thinks that these could cost America between $100 billion and $600 billion over the next decade.
Last but not least, there are the macroeconomic costs of lost output.Mr Nordhaus estimates that the total cost of a war to America could range between $100 billion and $1.9 trillion, spread over a ten-year period. That could be as much as 2% of American GDP for every year of the decade.

La je me rends compte que j'ai oublié de preciser quand j'ai coupé des passages, ca me parrait important.. je el fais maintenant.

Citation :
Broadly speaking, a war in Iraq could affect economies through four main channels: oil prices; stockmarkets; the dollar; and business and consumer confidence. (...)
The conventional wisdom is that prices will fall sharply once a war is over, just as they did in 1991. Then they fell from over $40 to below pre-war levels after the ground war had begun. Optimists today argue that a victory will liberate Iraqi oil as well as its people. (This assumes that the Iraqis do not sabotage their own oilfields or those of their neighbours.)
(...)[But] Economists at Goldman Sachs argue that the recent rise in oil prices has had more to do with the disruptions in Venezuela than with worries about Iraq. Goldman Sachs reckons that the combined impact of Venezuelan and Iraqi disruption has the potential to be the biggest shock in oil-market history, even after allowing for some offsetting increases in supply from other producers. (...)
In any case, Iraq will not be able to turn its oil taps on fully the moment that war ends. Goldman Sachs estimates, therefore, that oil prices may average no lower than $27 over the next 12 months.
(...)According to the IMF's ready reckoner,a $10 increase in oil prices, if sustained for a year, reduces global GDP by 0.6% after one year. (...) They ignore the potentially much bigger impact on confidence and stockmarkets, and they ignore the effects that follow from changes in monetary and fiscal policy.
Ensuite un passage long sur le fait que depuis toujours on sousestime les consequences d'un choc sur les prix du petrole, et que la solution sera cette fois une baisse des taux d'interet, mais que la Fed avec des taux a 1,25% va avoir du mal et que l'UE qui pourrait avec ses 2,75% s'y refuse ou sera tres longue a agir.

Citation :
Economists are using war fears as a convenient explanation for slower than expected growth—just as they (wrongly) blamed America's recession in 2001 on the September 11th attacks. Bill Dudley, an economist at Goldman Sachs, argues that war fears are not the biggest reason why the economy is soft. Instead, the problems lie deeper: in the excesses built up during the bubble years[pour ceux qui ne comprenent pas, reference a la "bulle speculative" des nouvelles technologies], such as huge private-sector debts, excess capacity, low saving, and a massive current-account deficit. America's over-indebted households, Japan's deflation and its crippled banks, Europe's structural rigidities and its overly tight fiscal and monetary policies: all these mean that the world economy is horribly vulnerable to shocks of any kind.
Citation :
Trading blows
(...)Another big difference from 1991 is that analysts have already assumed a quick and painless war. Before the Gulf war they were much less confident. So the downside risk today is much greater. A prolonged war could drive property and share prices sharply lower.
(...)How might exchange rates react? The sharp fall in the dollar in recent months may in part be related to war worries. So a quick victory, it is argued, would help the dollar to rally. The dollar bounced by 10% in trade-weighted terms within two months of the end of the Gulf war.
However, there is a big difference this time. (...) This time, America will have to foot most of the bill itself. In 1991, it had a small current-account surplus. Today, with its deficit running at more than 5% of GDP, any dollar recovery is likely to be short-lived.

Beyond the macroeconomic fall-out from war, there is one other big concern: that diplomatic tensions between America and Europe over Iraq could spread beyond war to trade.
(...)
German firms are particularly worried about a loss of business in America.(...)A few American congressmen have already called for restrictions to be imposed on the import of European wine, cheese and military equipment.

There is also talk that American firms might shift their future investments from “old Europe”—France and Germany—into “new European” countries—such as Britain.(...)
On peut aussi trouver un autre article avec pour sous titre : "Governments tend to underestimate the bill" qui nous apprend que toutes les guerres ont couté beaucoup plus que prevues, comme la guerre du vietnam, qui couta plus de 10 fois le montant estimé. Pour William Nordhaus, economiste a la "Yale University", suggere que les guerres sont "disproportionately undertaken by governments that overestimate their chances of victory or underestimate the size of the job."

Conclusion de ce court article :
Citation :
Saddam Hussein is clearly not accounting for his warmongering. On one estimate, the Iran-Iraq war, the Gulf war and the subsequent economic sanctions have cost Iraq something of the order of two decades-worth of GDP. (This is based on a wide definition of cost, which includes the loss of output and the destruction of capital stock, as well as the military burden on the budget.) That may well be the biggest such economic devastation in modern history.
Et pour le moment j'ai la flemme de traduire quoi que ce soit, j'editerai peut etre ce soir si j'en ai le courage...
Citation :
Provient du message de Tynril la Canapine
1500 licenciements au Crédit Suisse
Ca faisait un moment que ça couvait, ça

Bon, j'ai mis un smiley, mais je devrais plutôt mettre celui-ci, en fait :
Lu hier dans le Times (pas de lien désolé je crois qu'il faut payer pour le lire) : l'indice de confiance des américains au niveau de la consommation a chuté de plus de 15 % au cours du mois dernier...

Evidemment, la raison principale invoquée est la préparation de la guerre en Iraq.



Sinon, les conséquences d'une guerre pour les Etats-Unis seraient énormes (j'ai lu un papier là-dessus dans le Financial Times de dimanche je crois... ). En gros, les Etats-Unis ont déjà la plus grosse dette du monde, et Bush a du mal à gérer les tirelires... donc s'il décide d'aller à la guerre tout seul, et donc d'en payer le prix (ce qui inclut l'aide à la reconstruction, l'argent promis à la Turquie etc...), il ne restera strictement rien pour financer les plans retraite, Medicare, etc... prévus pour la prochaine décennie.



(je sais, je suis vague, mais pas expert en économie Mais je sais que nombreux sont ceux qui pourront me venir en aide afin de vous expliquer ça en long, en large, en travers et même dans la quatrième dimension )
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Foerdom c 15 points pas % .
57% des economistes estiment que si il ya la guerre (estimation d'il y a 2 semaines ) cela risque de faire baisser la bourse -> economie, surtout du au faites : hausse du pétrole = baisse de la consommation , baisse de la production .. etc
moi je serais plutot d'avis des 43% restant ,des que la guerre est declaree la bourse va reprendre ( si guerre courte ; et que les puits de pétrole de l'irak sautent pas surtout !! ) , un peu comme ce qui c'est passe pour la guerre du golfe (augmentation de la bourse durant la guerre ).
Je pense que malheureusement la guerre aidera beaucoup a sortir (court terme ) de ce marasme economique de ces quelques derniers mois .


Citation :
En ce qui concerne notre coté de l'Atlantique, je suis encore un peu dans le flou. Je vois mal ce qui pourrait se dégager d'une guerre en Irak pour nous. En bien ou en mal d'ailleurs ..
mon point de vue pour rgi :d'un point de vue boursier le cac 40 (indice parisien ) evolue dans le meme sens que le dow jones (indice des USA )


PS: generalisez pas trop !
->vi se sont les americains qui ont elu bush president des etats unis
->Le Gouvernement des etats unis veut entrer en guerre contre l'irak
->45%( je men souvient pas exactement si c 45 ou 55% )des americains sont contre cette guerre .
Citation :
l'indice de confiance des américains au niveau de la consommation a chuté de plus de 15 % au cours du mois dernier...
Ce qui permet une transition habile en évoquant le secteur des études, qui lui, en tout cas, va profiter de la guerre. Ce qui n'a pas empêché le scénario habituel type super-alibi dans ma boîte :

La direction : Ca va mal, et s'il y a guerre, ça ira encore plus mal. Donc pas d'augmentations et restrictions budgétaires.

Le personnel : Mais... euuuh... lors de la guerre du Golfe, on s'était fait des tas de sous, vu que tout le monde nous commandait tout plein d'études.

La direction : Oui mais là c'est différent.

Le personnel : Ah bon ? En quoi ?

La direction : il est 11h, la réunion est finie, merci d'être venus.
La minute provoc' facile.
Après la première guerre du golfe, 10 ans de croissance continue aux Etats-Unis et 3 année de forte croissance en Europe (1997-2000).
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