[aelita+eXistenZ] Pot-pourri essayisme sf

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Re: Darkmore frime sa race...
Dites, il est vachement pointu ce fil. Je sais plus quoi dire, c'est dur d'attraper les mots qui volent haut

Ah si, une confession : le principe de départ (ma règle) était de rendre malléable la forme même des contributions, lettre à lettre, pour arriver à une représentation purement graphique de notre pensée sur cette Sf (allez, je vais dire anticipation plutôt) audio-visuellée. Les codes bibliques cachées et tout ce bazar, c'était pas une blague. Mais quels enfantillages de ma part, lala.

Je vais faire un exemple à partir d'un extrait Darkmorien... un peu trituré par mes soins pardon, un mauvais exemple, il faudrait plus axer le texte dans une hypothèse totale de la sf, et surtout structurer les choses sans qu'un arbitraire de mise en page se supplante à de saines conclusions qui feraient de la mise en forme une conséquence de la réflexion. Mais c'est pas grave.



Citation :

Rahh les vandales...
Où est-elle la Science ?
Je ne vois que fiction, que dalle,
son post est un florilège,
un couple redox,
un paradoxe.
En conscience,
ExistenZ je l'avale.
Bon alors je m'en vais donner mon a---vis ... ça va être long et inutile mais hé !
Rolleback ouvre la voie le genre est aux abois ?
Il faut situer les choses, surtout le personnage.
Bien que certains essayent aujourd'hui de dire la Sf c'est un huit
les salauds inventifs Z (Scanners Rage
Leurs pédoncules sous le bras. Leurs films toujours viscéraux
(Faux semblant et ses gynecos barrés, La mouche et ses anus qui parlent).

Je ne pense pas que le stade anal freudien soit la bonne approche.
Les humains sont plus beau de l'intérieur.
C'est naturaliste et scientiste d'ailleurs;
Et moi je trouve ça moche.

En France Antoine avait déjà ouvert la voie,
son film "l'hirondelle et la mésange" était une vraie fiction,
et elle n'appelait que la science. Voyez Abyss, voyons,
il fit dix fois mieux 50 ans avant qu'on le voit !

viendront ensuite guignol, gnafron et al gore (et oui).
A trouver "la chose", machine forcement organique
... pour Bev
000000c'est se greffer à Brundle ect ect ...
?
J'espère n'avoir pas trop trahi tes mots Dark...

En tout cas il me semble que nous avons déjà là les prémices d'un motif évident : un temps spiralé, oscillant vers le piriforme - littéralement c'est le futur et l'anticipation qui hésitent, comme si un éternel passé était indépassable. Les seuls lignes libres sont dérisoires et ne semblent là que pour tourner la page, mais à quoi bon dans la mesure où la spirale repart ? On en a déjà parlé : Star wars est complétement symptomatique (comme les autres mais dans une hypothèse poussée au maximum) de cette tendance au recyclage. Quelle conclusion en tirer ? Je manque d'éléments, mais je me demande : et si la SF n'existait pas, et si véritablement elle ne pouvait pas exister au-delà des politiques éditoriales forcément factices ?




Citation :
Provient du message de Loupidoux
Euh, je revient à la charge avec la BD, vous connaissez Druillet ?
La réponse est oui, et même, si ma mémoire est bonne : c'est en faisant un fil sur Druillet dans cette même Taverne que j'ai attiré et capturé FautVoir, hein FV ?
Ah, je ne suis pas sûr de pouvoir abonder sur ce qui est dit de l'expressionnisme ici. En même temps comme ça ferait dévier et que ce n'est pas un fil-contradictoire, j'hésite.

Bon, l'osmose spéculative et l'expressionnisme qui réduiraient les littéraires à portion congrue au profit de la vraie vie : je ne vais pas dire que les littéraires qui auraient des liens avec le courant seraient de toute façon dans la vie, ce serait pour le moins bateau. Par contre je me demande, qui était dans la vraie vie à l'époque, dans l'Allemagne expressionniste ? Ou alors on réduit tout à ce signe distinctif d'un peuple qu'on appelle la "stimüng ? (peut-être 2 m)
Pour éviter la controverse, au mieux de l'hypothèse il me semble qu'on est dans un courant d'emblée déconnecté et qui le restera. C'est une féérie noir, on joue avec un impalpable pour se faire peur, et c'est à force de jouer qu'on le convoque. Et puis pour en revenir à la littérature, qui est la vraie référence des expressionnistes si ce n'est Goethe ? C'est bien avec le diable qu'on joue en triturant les proportions et en étendant les ombres. Et c'est un diable faussement connu comme toujours, un inconnu qui, encore une fois les ombres s'étendant, nous fait visualiser quelque chose qui pourrait bien être l'immensité spaciale.
J'en voudrais pour preuve qu'avec les proportions qui changent et les lignes qui partent en tous sens, ces films montrent des mondes en apesanteur.
La chose troublante, c'est l'espèce de schizophrénie des auteurs de cette époque par rapport à cet idée de démon : l'homme allemand est à la fois la victime et le bourreau : il est le démon et celui qui fuit le démon.
"Il faut qualifier tout simplement de démoniaque ce comportement énigmatique à l'égard de la réalité, de ce tout solide et fermé que représente le monde" - Leopold Ziegler.

En poussant un peu l'idée, j'ai envie de dire que la création du monde expressionniste ne sert ni plus ni moins qu'à repousser à l'infini les limites de ce monde clos, donc à dessiner l'espace qui préfigurera celui des films de science-fiction. (et c'est dans ces époques qu'il faut avec souffrance se rendre à cette évidence qu'il n'y a plus d'espaces vierges, plus de grandes zones en friche sur terre).

"Que m'importe mon ombre ! qu'elle me coure après ! Je me sauve et lui échappe... Mais lorsque j'ai regardé dans le miroir, j'ai poussé un cri et mon coeur s'est ébranlé : car ce n'est pas moi que j'ai vu, mais la face grimaçante d'un démon" - Nietzsche.
Dark vador a été fait à l'image de cet homme expressionniste, tiraillé dans ses ombres, au-dedans et à l'extérieur de lui même. Mais c'est presque une image d'Epinal, avec tant de paillettes et d'artifices inutiles : c'était inutile de faire mine qu'il fallait faire ce voyage, dans le temps et l'espace, pour mieux facer le démon - pour la circonstance ridiculement mis en conserve.
Ce qui renforce mes doutes sur la possibilité d'une SF - la composante science pourrait-elle être autre chose qu'un accessoire ?
Citation :
Provient du message de baai
Ce qui renforce mes doutes sur la possibilité d'une SF - la composante science pourrait-elle être autre chose qu'un accessoire ?
Pour relancer, un accessoire ?

Je serais plus enclin à dire que c'est un support et que c'est son emploi qui en fait un trait de fiction...

Je vais me servir de l'oeuvre d'Isaac Azimov sur les robots.

Il y a une grosse part d'anticipation, puis ensuite on parvient à la fiction par le biais de la science...

C'est par le biais d'un ressort qui mêle anticipation et science que l'on parvient à la science-fiction, déplacements sidéraux sidérants, colonisation de planètes, vaisseaux de l'espace... et plus si affinités...
Citation :
Ah si, une confession : le principe de départ (ma règle) était de rendre malléable la forme même des contributions, lettre à lettre, pour arriver à une représentation purement graphique de notre pensée sur cette Sf (allez, je vais dire anticipation plutôt) audio-visuellée. Les codes bibliques cachées et tout ce bazar, c'était pas une blague. Mais quels enfantillages de ma part, lala.
Cool ! Je viens enfin de comprendre le sujet ! Par contre, je sais plus trop quoi répondre, du coup...
Citation :
La réponse est oui, et même, si ma mémoire est bonne : c'est en faisant un fil sur Druillet dans cette même Taverne que j'ai attiré et capturé FautVoir, hein FV ?
C'est ce que j'ai dit 3 posts plus hauts... ouh les corneuuuus ! Baii, il lit pas les posts en entier sur ses propres threads... ouuuuuuuuuh !
Citation :
Provient du message de FautVoir
Par contre, je sais plus trop quoi répondre, du coup...
Mais tu as dû remarqué que j'ai moi-même beaucoup de mal, c'est peu dire.
Quant au pourquoi, tu l'as sans doute senti : créer un fil non contradictoire, non bagarreur. Le moyens est assez radical (qui peut se targuer de savoir de quoi on parle ?), mais c'est le seul que j'ai trouvé, et puis c'est une expérience nouvelle.



Citation :
C'est ce que j'ai dit 3 posts plus hauts... ouh les corneuuuus ! Baii, il lit pas les posts en entier sur ses propres threads... ouuuuuuuuuh !
Là je dois m'élever en faux et dire : même pas vrai, ce serait pas possible autrement. La vérité pure, c'est que cette réponse à laquelle tu fais allusion, je l'ai faite hier soir, mais jol ramait... je l'ai collé dans worpad puis tout à l'heure, collé dans le fil, la tête dans le guidon. Voilà. Si c'est hyper crédible, c'est parce que ça l'est
Citation :
Provient du message de Loupidoux
Pour relancer, un accessoire ?

Je serais plus enclin à dire que c'est un support et que c'est son emploi qui en fait un trait de fiction...

Je vais me servir de l'oeuvre d'Isaac Azimov sur les robots.
Pour moi ce n'est pas si flagrant. Asimov met en scène des robots qu'il finit souvent par anthropomorphiser. Les expressionnistes mettent en scène des hommes machines.
Alors je ne dis pas que la SF était inutile, au contraire, on ne va pas es plaindre d'avoir du choix. Par contre la composante science me semble dans tous les cas un prétexte, ayant plus ou moins part dans le vrai sujet.
Citation :
Provient du message de baai
Dark vador a été fait à l'image de cet homme expressionniste, tiraillé dans ses ombres, au-dedans et à l'extérieur de lui même.
Ouaé dis donc pour quelqu'un qui trouve Star Wars au mieux vide, au pire répétition de clichés je trouve que tu surestimes pas mal Lucas.

Citation :
Provient du message de baai
J'espère n'avoir pas trop trahi tes mots Dark...
Ah si y'a ça :
Citation :
C'est naturaliste et scientiste d'ailleurs;
Et moi je trouve ça moche.
Pas bien ça
Ben si y a que ça. Je m'attendais plus à 3 quotes par demi-phrase


Citation :
Provient du message de Darkmore
Ouaé dis donc pour quelqu'un qui trouve Star Wars au mieux vide, au pire répétition de clichés je trouve que tu surestimes pas mal Lucas.
Je me souviens pas d'avoir porté publiquement un tel jugement (ouf hu), mais si je l'ai fait ça devait être largement par provocation. Cela dit, le phrase que tu cites on pourrait la paraphraser en disant que le vilain a copié.

@ Loupidoux : attend, je réfléchis

C'est d'un intérêt mes contributions...
Citation :
Provient du message de baai
Ben si y a que ça. Je m'attendais plus à 3 quotes par demi-phrase
Le reste est tout aussi faux et complètement in-imputable à mon petit cerveau mais ça a le mérite d'être marrant...


PS : j'étais sur de t'avoir entendu avancer la "vacuité" de Starwars ... moi aussi je trahie alors désolé
Non non, pas de quoi Darkmore. J'ai pas dit que j'avais pas dit, mais que si j'avais dit c'était par provoc'.

De toute façon vacuité c'est joli, ça m'évoque plus l'espace interstellaire (mais vraiment inter, sans les étoiles) que l'aspirateur.
Citation :
la composante science pourrait-elle être autre chose qu'un accessoire ?
Tiens, un truc sur lequel je peux peut-être rebondir, à défaut de mieux. La science, ou plutôt la (pseudo) rationalité de la conjecture établit la relation entre le livre et son lecteur, comme le "il était une fois" situe le lecteur dans le merveilleux ou le sticker "histoire vécue" dans la réalité.

Evidemment, ce n'est qu'une grille de lecture, un artifice, mais c'est tout l'avantage de se situer dans un genre. On pourrait expliquer à la mamie qui se refuse à lire autre chose que des histoires vécues (oui, ce sont surtout des mamies qui en lisent, j'ai des preuves ) que son récit favori, ensemble de signes sur des pages, n'est ni plus ni moins "vrai" que Madame Bovary (il a en fait de grandes chances de l'être moins, mais passons). De même, la science des romans de SF est presque toujours farfelue, voire délirante, rarement prophétique (ou quand c'est le cas, à très court terme), et n'est donc dans la forme guère différente du fantastique, et en tout cas justifie peu le statut de visionnaires qu'ont certains auteurs de SF.

Donc oui, elle est accessoire, mais sans elle le plat est différent, la sauce tourne, et le vrai sujet du bouquin est altéré, diminué.

Et comme il est tard, je renvoie pour de plus amples réflexions sur la relation entre le livre et son lecteur au très beau et très pataphysique "Si par une nuit d'hiver un voyageur" d'Italo Calvino, qui fait plus qu'esquisser tout ça, et de grande manière.
Bon je vais répondre en vrac, donc çà ne sera pas forcément structuré, ce qui est rarement le cas de toute manière !

Citation :
Petite réponse de Baai
Dis donc, tu ferais pas ta petite maline toi Si je pousse le raisonnement autour de ton "forcément" j'en arrive très vite à remettre pieds sur terre pour cloîtrer les écrits de Sf en 2 genres : la voyance, la littérature de gare.
Peut être ! Enfin plus sérieusement, dans un livre, film, dessin animé je ne recherche pas (je cherche à m'exprimer le plus correctement possible), je m'intéresse d'abord à l'histoire, ensuite les personnages et pour le visuel l'esthétique, etc, etc. Pour dire que finalement les thèmes sous-jacent ne m’apparaissent pas au premier coup d’œil. Surtout le thème anal de Cronemberg. Je dirais que pour moi les films sont surtout un divertissement avant tout qu’il soit de l’ordre de la voyance ou ferroviaire !

Je ne vais donc pas voir/lire de la science fiction, fantastique etc (je ne chipoterais plus sur les thèmes puisque cela ne fera pas avancer le machin chose) pour trouver une réponse sur l'Avenir de l'humanité possible. Je sais c'est un peu réducteur comme point de vue, je suis simpliste minimaliste etc d'ailleurs vous me donnez mal à la tête tellement je dois lire et relire pour avoir une petite once de compréhension sur les idées développées, et encore je doute de l'assurance de cette compréhension.

Ensuite ou j'en étais déjà ...

Citation :
Toujours de Baai
Si on raisonne de masse à masse, le "plus riche" est vraiment irréfutable. Quantitativement. Tu me diras que ça ne change rien au fond, n'empêche qu'un des facteurs essentiels de la chose doit bien tenir à ce que depuis l'apparition du (des) genre, la production en livres doit bien être de 1000 pour 1 en cinéma. Et vu que ce sont des genres qui n'excluent pas vraiment moins que d'autres un pourcentage dingo de déchets, en littérature comme en cinéma, ça nous laisse vraiment un maigre corpus de films.
Maintenant si on raisonne de film au singulier à livre au singulier, on ne peut pas donner crédit au "plus riche". Les sons et les images permettent la création de forme d'anticipation propres qui n'auraient pas pu exister en lignes - et je n'aimerais pas limiter ce verdict aux films de Sf les moins narratifs.
Au vu du message du grand duc FautVoir, et d'autres il semble néanmoins que le plus grands nombres d'idées, ou matière à discuter se réfère à la lecture de science fiction et toc ! :-pp

Je sais c'est un coup bas, même si ce sont les autres qui ont déviés sur la littérature, et qu'ils parlent de bien des auteurs que je ne connais pas du tout !

Bon je vais maintenant tenter de revenir au fil du sujet.

Citation :
Message de FautVoir
L'utopie, dans son vrai sens, est forcément négative. Monde parfait, fatalement figé (puisque parfait), donc mort. Si nous le lisons comme tel, c'est précisément parce que nous venons après les utopies en marche qu'ont été le stalinisme et le nazisme, et que nous savons aujourd'hui que la route vers le monde parfait passe par l'élimination des réfractaires à la perfection.
J'ai tiqué du coup je suis aller cherché la définition du mot utopie dans le dico (Référence le Petit Robert n. f. 1532 latin, moderne, utopia forgé sur le groupe ou « non » et topos « lieu » : « en aucun lieu » 1 L’utopie : pays imaginaire où un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux. 2 (1710) Didactique. Plan d’un gouvernement imaginaire, à l’exemple de la république de Platon. L’utopie de Fenelon dans le Télémaque. 3 (19ème) courant. Idéal, vue politique ou sociale qui ne tient pas compte de la réalité. (je zappe le reste des exemples n’étant pas une définition).
L'utopie est une rêverie en somme non ? Un projet irréalisable est donc négatif ? Je veux bien admettre que la réalisation d’une utopie ne se fait pas sans mal, mais tendre vers un monde meilleur c’est tout de même mieux que de ne rien faire.

J’admets par contre qu’un monde utopique c’est la conformité de tous en un cercle de bien pensants, et politiquement correct, mais ne serait-ce pas déjà le cas ?
Notre mode de pensée est tout de même grandement basé sur la science avec la définition du mal et du bien pour l’avenir de l’humain, L’utilisation d’une langue commune pour tous annihile bien les spécificités. Et j’en passe bien d’autres exemples. Bon je pousse un peu loin mais pas tant que cela, la plupart des sujets traitant de science fiction, fantastique et anticipation montre pour la plupart un mode de vie meilleur que celui dans lequel nous vivons, ou sinon on nous brandit à la figure un démon étant la cause d’effets que nous n’avons pas soupesé en temps utile (je prendrais arbitrairement New York 1997 ou encore Mad Max pour exemple).

En fait chaque auteur démontre par l’utopie, la science fiction les limites d’un monde parfait ou son anarchie simplement parce que l’histoire a du piquant, ou encore c’est une autre manière de passer la censure. Donc utopie négatif non, irréalisable certainement !

Citation :
Message de Baai
Quelle conclusion en tirer ? Je manque d'éléments, mais je me demande : et si la SF n'existait pas, et si véritablement elle ne pouvait pas exister au-delà des politiques éditoriales forcément factices ?
Citation :
Message de FautVoir
Donc oui, elle est accessoire, mais sans elle le plat est différent, la sauce tourne, et le vrai sujet du bouquin est altéré, diminué
Une autre façon de voir les choses ? Une ouverture d’esprit ? Ou la plus grande manipulation de l’esprit humain, en l’encensant d’être si particuliers pour en fait démontrer nos limites.

Bon j'espère ne pas avoir trop été hors-sujet et contribuer un peu à quelque chose !
Tu t'en sortiras pas comme ça ^Shåde^, tu n'as pas le droit de poster sans exposer une théorie personnelles vaseuses - à mon image hein, je ne me permettrais pas pour les confrères
Bon, puisque personne ne répond pour Fondation, je vais me répondre à moi-même...

Et si ça se trouve, à la fin, je suis foutu de pas être d'accord...

Pour commencer et tirer des bords vers Rollback, dans fondation il y a bien sûr fondement. C'est simple, on en revient toujours au même, et il n'est pas utile de disserter pour discerner...

Pour Baai, la science est un accessoire dans la science-fiction.

Pour moi, c'est un support, disons un moyen et peut-être en fait effectivement un accessoire, prenons donc Fondation dans l'ordre...

Au début, une science... La psychohistoire qui permet de prévoir un ensemble de comportements !

Le ressort suivant pour les fondateurs c'est la religion de l'atome, on revient au fondement.

Ensuite la miniaturisation des outils nucléaires dépasse la religion pour engendrer le mercantilisme, engendrer, j'ai dis engendrer qui a baiser qui ?

Et on voit intervenir un chien dans le jeu de quille en la personne du Mulet, encore une référence à un animal de réputation bien virile, et pourtant il est stéril ce Mulet, alors ?

Alors, après lui le chaos... Car son intervention à semer le bran, on revient au fondement...

Heureusement d'autres ont fait des petits, c'est la seconde fondation, qui est dépassé par une planète pensante, aller je cesse, je vais pas vous raconter la fin...

Sauf qu'ils veulent tous retrouver leur maman la terre...

Ahhh !!! Les enfants....

Ahhhhhh !!!!!!!!!! Les jeunes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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