[Orcanie] Elle

 
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Elle que j’ai trouvé triste,
Elle qui était malheureuse,
Elle était comme moi,
Cœur tendre aimant

Je l’ai rencontrée,
Elle m’a tout de suite plus
Mais était-ce physique ?
Où plus profond encore.

Une amie m’a aidée
Un amie m’a guidée
Grâce à elle j’ai ouvert mon cœur
Alors j’ai compris.

Je suis allée voir cette jeune fille
Décidée à lui avouer ce que je ressentais
Au bord du Lac de Campacorentin nous avons parlé
Mais c’est elle qui fit le premier pas

Aujourd’hui je le sais, je l’aime
Aujourd’hui je le sais, elle m’aime
Cela je le sens au plus profond de moi
Je remercie mon amie de m’avoir appris à ouvrir mon cœur

Aujourd’hui, je suis triste quand je ne vois pas mon aimée,
Le temps me semble une éternité,
Mais ce n’est pas grave, car je sais qu’elle est là pour moi
Et je suis là pour elle, pour toujours.

[HRP] Je ne sais faire de belles rimes, je me contente de prose
Heuuu il y a méprise.
Je me doutais bien que vous parliez "peut-être" de Frau car les nouvelles se répandent vite. Je n'ai jamais pensé à Mejai je vous assure.
Je vous souhaite le bonheur.
Message roleplay
Ma soeur... je ne sais que dire
Lettre adressée à ma soeur Paladine, Hatice de Karaes

Ma chère et petite soeur,

Je ne sais que dire...
Les rumeurs de Camelot, vous le savez, je ne les écoute point.
Et jamais, je n'ai voulue croire ce que les mauvaises gens disaient de toi.
Mais, en ce moment même, à la lecture de votre lettre, j'ai la confirmation de votre passion amoureuse envers...
J'ai éprouvée de la colère au début. Vous qui fut élevée comme moi dans les plus nobles dispositions de moralité de la Lumière.
Je reviens comme vous le savez de petite Bretagne, où j'ai rassuré notre père et notre mère de notre destin de paladine en le royaume d'Albion. Père s'inquiétait surtout de vous car il connait mieux que quiconque votre naturel fougueux et passionné.
Je n'ai bien évidemment pas parlé de ces rumeurs, et n'en parlerai pas davantage maintenant que je sais que ces ragots étaient fondés.
Ma soeur, ma très chère soeur, souvenez vous que nous sommes des Karaes et que notre liberté et notre noblesse ne nous ait donnés que pour servir notre blason. Ne le trempez point dans l'opprobre et la honte.
Mais, au fond de mon coeur, je sais que vos sentiments, malgré leur orientation peu commune, sont purs. Car vos sentiments ont toujours été des plus purs malgré vos élans passionnels.
Je garderai et assumerai selon mon rang d'aine cette nouvelle.
Soeurette, malgré mon incompréhension, je vous pardonne...
Et vous souhaite un bonheur dans votre amour que j'espère partagé...
Je vous laisse à votre devoir

Votre soeur qui vous aime
 

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