@ Caepolla + (enfin +,je me comprends) Khronos : la génétique, la génétique tout seul, c'est comme n'importe quel autre sujet de cette taverne - le christiannisme, l'anti-truc, etc. - c'est pas grand-chose et rien de génant en soi sauf à supputer, supputer, supputer. Ce qui compte, c'est qui est derrière, qui s'en sert, s'en revendique, s'en fait son petit commerce.
Il y a des qui, et derrière des intentions diverses. La génétique, c'est gênant selon qui est derrière.
L'exemple des raëlien c'est bien l'arbre qui cache le nid de chenilles hérissonnes : on voit bien en ce moment ce qu'on voit pas toujours avec tant de clarté : même avec des élus, des soit-disant sages non élus, des administrations contre-balancées par des commissions parlementaires de contrôle, les pudeurs ne sont pas plus garanties à vie que n'importe quel article de chez dartii.
Mais bien sûr, on ne nous demanderons pas de tout prévoir - que nous prévoyons le pire par goût du frisson du moins y suffise / ça nourrira au minimum des scénarios ?
J'espère du moins dire ici de la manière la plus embrouillée possible - méthode de la fusée éblouissante dédicacée 14 juillet - la chose la plus simple et donc la plus inutile qui soit.
Et puis Gattaca ça m'a l'air désuet-fait-exprès. On se croirait dans une amérique design estampillé année 69 : des coupes de cheveux aux courbes des escaliers et automobiles, tout y est.
On sait pourtant tous que les cheveux n'existera plus à ce moment là, ou alors qu'il n'y aura plus que ça - enfin tout sauf ces gominages. Cropfff.
Ca me fait penser à Soderberg (oui je suis incapable d'écrire son nom de tête) qui nous refait Solaris. Et tous les JT de s'esbaudir qu'on fait faire de la SF sans zeffets spéciaux. Et 1 sur 3 qui a la décence d'informer le jolien que ce n'est qu'un remake de l'assez (j'y tiens) passionnant film de Tarkowski - avec cette si douce première séquence où il pleut dans le jardin, l'herbe - Ulysse avant son départ interstellaire vers Ithaque, Solaris qui lui rendra sa Pénélope dans un bain amiotique.
De dieu ce que j'aime raconter n'importe quoi ce soir.