Provient du message de Haze/Orcanie
Que dire de tout ceci ....
Deja Anika tu cernes mal et comprend mal le problème. Relis et analyse orcanie depuis le début, tu comprendras peut être Aigle.
Ensuite pour ce qui est du post à proprement parlé, je suis daccord avec ce qui est dit, sauf peut être pour mid qui fait les choses comme il peut avec les moyens qu'il a.
Aigle utilise un language diplomatique, refletant une bonne majorité de la pensée albionnaise dirons nous ^^
Une autre facon aurait été de dire qu'hibernia joue sans fair play, sans élégance et sans grands résultats, a part peut être le fait de dégouter les autres joueurs
La chose la plus vrai qu'a dit Aigle, c'est que vous voyez plus DAOC comme un sport que comme un jeu. Un genre de compétition débile à qui aura la plus grosse.
Je ne crois pas à la thése d'alliance via IRC, les mids ont quand même une certaine droiture que les hib n'ont plus.
Dès l'instant où il y a affrontement de joueurs, il y a compétition. Qui dit compétition dit victoire d'un camp sur l'autre. Et qui dit victoire d'un camp sur l'autre, dit défaite de l'autre camp.
Autrement dit, la base du RvR, c'est que cela se fait toujours au détriment d'autres joueurs ; ceux qui perdent. Et cela s'accentue lorsqu'il y a récompense pour les vainqueurs ; les rps lorsqu'on "tue" d'autres joueurs, l'ouverture des Abysses pour les prises de forts et enfin, au sommet (quoique), les reliques.
Je pense que si le roXXage s'est accentué à l'apparition des habilités de royaume et, dans une certaine mesure, celle des Abysses. On ne joue plus alors pour la beauté du geste, mais pour la récompense. La fin justifie les moyens, etc.
Tout l'univers de DAoC est conquis. Tout ? Non ! Une petite communauté de joueurs résiste encore et toujours à l'envahisseur. Simplement parce qu'ils ont une conception différente du jeu.
Il ne tient qu'à eux de ne pas baisser les bras et de montrer aux autres qu'il n'y a pas qu'UNE façon de jouer.
Quoiqu'il en soit, nous jouons tous ensemble au même jeu et nous sommes bien forcés de nous y cotoyer. Que l'on se résigne ou qu'on résiste, la décision n'appartient qu'à nous.
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