[HS] Le salon de thé - Chez Xeen aux parfums de poulpes

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Provient du message de ¤ KaldiR ¤
Resumons: ON VOUS ECRASE LA LES MECS!

Meme pas vrai d'abord ! C moi le maitre de tt les forums JOL , je suis sadique,méchant,ignoble,immonde comme personne et personne ne peut me battre surtt pas Mademoiselle kaldir hin hin http://www.ifrance.com/loekit/images/smileys/evil5.gif
Comment j'y crois
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Provient du message de ¤ KaldiR ¤
Comment j'y crois

J'ai tjs été fort pour convaincre les gens de ma grandeur surtt les femmes , je m'entrainai y'a pas lgt sur le forum DAoC sa finissais généralement en duel du plus grand avec un autre utilisateur
Jamais tu ne me convaincra, seul une personne peut le faire en ce monde!
Touche pas a Kry, ou je te..........je te fouetterais plus!

Flooder? *Bave*

Flooder, c'est mal, vous savez ? C'est pourquoi je vous propose un interlude culturel.

Le Raton-Laveur
http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/raccoon.jpg

Le trait le plus distinctif du raton laveur, Procyon lotor, est certainement son masque qui lui donne un air espiègle. Le nom lotor lui a été donné en raison de l'habitude qu'il aurait de laver sa nourriture avec ses pattes de devant. En fait, ce comportement est probablement lié à la recherche et à la capture de proies aquatiques comme les écrevisses. Il est sans doute inné, puisqu'on l'a observé chez des spécimens en captivité, même quand ils ne disposaient pas d'eau.

Répartition

http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/photo2fr.gif
Six espèces de procyonidés vivent sur le continent américain et dans certaines îles des Antilles. Toutefois, Procyon lotor est la seule que l'on trouve dans le sud du Canada, dans certaines parties des États-unis et en Amérique centrale.

L'espèce habite toutes les provinces canadiennes, sauf Terre-Neuve, et étend graduellement son aire vers le nord à mesure que l'agriculture prend de l'expansion. Dans les années 1930, elle a été introduite en Allemagne et en Union soviétique. Elle est maintenant présente au Luxembourg, en Allemagne de l Ouest, aux Pays-bas et en France.

Les déplacements et le territoire du raton laveur varient beaucoup selon l'habitat, la densité de population et les sources d'alimentation. Le territoire est le domaine où l'animal trouve nourriture, eau et abri au cours de ses déplacements quotidiens. Dans les secteurs agricoles (est de l'Amérique du Nord), sa superficie varie entre 1 et 4 km² tandis qu'elle peut atteindre jusqu'à 50 km² dans les prairies. À l'opposé, on a établi qu'elle couvrait moins de 0,1 km² en milieu urbain. Habituellement, ces territoires se chevauchent et peu de comportements territoriaux ont été observés, particulièrement dans les villes.


La densité des effectifs varie elle aussi beaucoup selon le type d'habitat. Ainsi, on estime que les milieux agricoles abritent souvent de 5 à 10 ratons laveurs au kilomètre carré, tandis qu'on a déjà noté une densité exceptionnelle de 100 individus au kilomètre carré en milieu urbain. Toutefois, une densité d'à peine un animal au kilomètre carré s'observe parfois dans les prairies.

http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/mapfr.gif

Description

On reconnaît tout de suite le raton laveur à son masque noir et à sa queue où alternent entre 5 et 10 anneaux noirs et bruns. Son pelage est habituellement gris pâle, mais peut varier du noir (mélanisme) au brun et même au blanc (albinisme). La mue annuelle commence au printemps et dure environ trois mois.

La tête est large, le museau pointu et les oreilles courtes et arrondies (entre 4 et 6 cm). Les yeux sont noirs. Le corps et la queue mesurent au total 80 cm en moyenne chez les adultes, la taille des mâles étant habituellement supérieure de 21 % à celle des femelles. Les ratons laveurs des latitudes nordiques tendent à être plus lourds (entre 6 et 8 kg) que leurs congénères des régions méridionales (4 kg). Toutefois, on a observé des adultes pesant jusqu'à 28 kg à l'automne. La longévité de l'espèce varierait entre 3 et 5 ans en milieu naturel. La majorité de la population étant entièrement remplacée en 7 ans. Cependant, des records de longévité de 12 et de 16 ans respectivement ont été observés chez des individus en captivité et en milieu naturel.

Régime alimentaire

Omnivore, le raton laveur mange pratiquement de tout, cette nourriture pouvant être d'origine tant végétale qu'animale. Il préfère le maïs, les écrevisses, les fruits et les noix, mais son régime varie selon les aliments propres à chaque saison. Au printemps, ce sont les animaux, les invertébrés et les insectes, qui constitue-t-il la plus grande partie de son alimentation. Il recherche surtout les écrevisses, mais il mange aussi des rats musqués, des écureuils, des lapins. des oeufs d'oiseaux aquatiques et des palourdes d'eau douce. En été, les végétaux, y compris les fruits et les noix l'attirent davantage. Il se délecte alors de cerises sauvages, de groseilles, de baies de sureau, de raisins sauvages, de fraises ainsi que des pommes de terre et du maïs sucré des potagers. Il se nourrit aussi d'écrevisses, de grenouilles, de petits poissons, de tortues, de larves de hanneton, de sauterelles et de criquets, de vers de terre, de grillons et d'escargots au cours de la belle saison.

Le régime alimentaire d'automne est extrêmement important pour le raton laveur des régions septentrionales puisqu'il lui faut accumuler des réserves de graisse suffisantes en prévision de l'hiver. Dans la plupart des secteurs où il en pousse, le maïs constitue le principal élément de ce régime, mais les glands, les faînes, les noisettes et les raisins sont aussi recherchés. L'animal n'hésite pas à piller les nids de frelons, de bourdons, de termites et de fourmis pour y dévorer les larves, son épais pelage d'automne et d'hiver le protégeant contre les piqûres d'insectes. Le corps entier, y compris l'os de la queue, se recouvre d'une couche de graisse qui peut atteindre 2,5 cm d'épaisseur sur le dos. En fait, celle-ci peut constituer plus de la moitié du poids total de l animal à la fin de l'automne. Dans les régions septentrionales, le raton laveur vit de ses réserves adipeuses au cours de l'hiver, tandis que plus au sud, il continue à se nourrir de noix et de maïs là où ces aliments abondent. A la périphérie des villes, on le voit souvent fouiller dans les poubelles ou patrouiller les pelouses à la recherche de vers de terre, de hannetons et de larves. Enfin, il peut aussi nuire aux fermiers puisqu'il lui arrive de s'attaquer aux volailles ou de manger leurs oeufs.

Cycle biologique

http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/photo1fr.gif
Sous les latitudes nordiques (nord des États-Unis et sud du Canada), le cycle biologique annuel du raton laveur comprend une période de reproduction à la fin de l'hiver et au début du printemps, une période de croissance et d'engraissement pendant l'été et l'automne, et une période d'engourdissement hivernal. Plus au sud, cet état de torpeur n'est observé que par mauvais temps.

La reproduction commence habituellement fin janvier ou début février dans le nord de l'aire de répartition. Dans la plupart des secteurs, l'accouplement a surtout lieu en mars. Les jeunes naissent généralement en mai même si certaines naissances ont déjà été observées dès le mois de mars ou encore à la fin de septembre. Il semble enfin que le raton laveur des régions méridionales s'accouple tout au long de l'année.



lygame, le mâle fécondera plusieurs femelles successivement. La femelle, par contre, est monogame et, après s'être accouplée avec un mâle, elle repoussera tous les autres. Souvent, les jeunes femelles s'accouplent au cours de la première année. Quant aux jeunes mâles, même s'ils sont capables de se reproduire, ils n'en ont habituellement pas la possibilité avant leur deuxième année en raison de la rivalité de leurs aînés. Les portées tendent à être plus grosses dans les régions nordiques puisqu'il n'est pas rare qu'elles comptent entre trois et sept jeunes, tandis qu'elles sont normalement de deux ou trois plus au sud. La gestation dure en moyenne 63 jours.

À leur naissance, les petits pèsent environ 75 g. Les dents perceront 19 jours plus tard tandis que les yeux s'ouvriront à l'âge de deux semaines et demie. Environ dix jours après la naissance, les petits arborent déjà le masque et le pelage caractéristiques de l'espèce. Les petits restent dans le gîte maternel pendant environ huit semaines: ils accompagnent ensuite leur mère dans sa quête de nourriture, même s'ils ne sont pas totalement sevrés avant l'âge de deux mois. Le mâle ne participe pas à leur élevage.

La mère et les jeunes forment une cellule familiale. Les ratons laveurs qui la composent sont passablement sociables, cherchant leur nourriture ensemble la nuit et partageant la même tanière le jour. La mère montre à ses jeunes comment grimper, chasser et nager au cours du premier été. La famille ne se dissout habituellement pas avant l'arrivée de la portée suivante, normalement le printemps d'après. Les jeunes mâles quittent souvent le territoire des mères tandis que les jeunes femelles peuvent rester dans les parages.

Dans les régions nordiques et par mauvais temps, le raton laveur se terre pour l'hiver. Il économise ainsi son énergie (réserves de graisse) en période de disette. Il s'agit plus d'une période d'inactivité que d'une véritable hibernation. La température du corps ne baisse pas et l'activité de l'animal semble régie par la température ambiante. Parmi les endroits préférés pour se mettre à l'abri, citons les arbres creux, les souches, les rondins, les cavernes. Les terriers de marmottes ou de renards inoccupés, et les granges ou autres bâtiments du genre. En milieu urbain, il peut opter pour la cheminée d'une maison, un égout, un garage, un grenier, un arbre ou un ponceau. Les mâles adultes sont souvent seuls dans leur gîte, mais il n'est pas rare de voir une famille passer son premier hiver ensemble. On a déjà observé des terriers communautaires regroupant jusqu'à 23 individus, mais ils en comptent le plus souvent 4 ou 5. Même s'il n'utilise qu'un seul gîte pendant l'hiver, le raton laveur dispose de plusieurs refuges pour les autres saisons.

Ouvrages à consulter
  • Banfield, A.W.F. 1977. Les mammifères du Canada. 2e éd. Musées nationaux du Canada. Ottawa.
  • Beaudin, L.; Quintin, M. 1983. Guide des mammifères terrestres du Québec, de l Ontario et des Maritimes. Ed. du Nomade. Waterloo (Qc).
Citation :
Provient du message de Tynril la Canapine
Flooder? *Bave*

Flooder, c'est mal, vous savez ? C'est pourquoi je vous propose un interlude culturel.

Le Raton-Laveur
http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/raccoon.jpg

Le trait le plus distinctif du raton laveur, Procyon lotor, est certainement son masque qui lui donne un air espiègle. Le nom lotor lui a été donné en raison de l'habitude qu'il aurait de laver sa nourriture avec ses pattes de devant. En fait, ce comportement est probablement lié à la recherche et à la capture de proies aquatiques comme les écrevisses. Il est sans doute inné, puisqu'on l'a observé chez des spécimens en captivité, même quand ils ne disposaient pas d'eau.

Répartition

http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/photo2fr.gif
Six espèces de procyonidés vivent sur le continent américain et dans certaines îles des Antilles. Toutefois, Procyon lotor est la seule que l'on trouve dans le sud du Canada, dans certaines parties des États-unis et en Amérique centrale.

L'espèce habite toutes les provinces canadiennes, sauf Terre-Neuve, et étend graduellement son aire vers le nord à mesure que l'agriculture prend de l'expansion. Dans les années 1930, elle a été introduite en Allemagne et en Union soviétique. Elle est maintenant présente au Luxembourg, en Allemagne de l Ouest, aux Pays-bas et en France.

Les déplacements et le territoire du raton laveur varient beaucoup selon l'habitat, la densité de population et les sources d'alimentation. Le territoire est le domaine où l'animal trouve nourriture, eau et abri au cours de ses déplacements quotidiens. Dans les secteurs agricoles (est de l'Amérique du Nord), sa superficie varie entre 1 et 4 km² tandis qu'elle peut atteindre jusqu'à 50 km² dans les prairies. À l'opposé, on a établi qu'elle couvrait moins de 0,1 km² en milieu urbain. Habituellement, ces territoires se chevauchent et peu de comportements territoriaux ont été observés, particulièrement dans les villes.


La densité des effectifs varie elle aussi beaucoup selon le type d'habitat. Ainsi, on estime que les milieux agricoles abritent souvent de 5 à 10 ratons laveurs au kilomètre carré, tandis qu'on a déjà noté une densité exceptionnelle de 100 individus au kilomètre carré en milieu urbain. Toutefois, une densité d'à peine un animal au kilomètre carré s'observe parfois dans les prairies.

http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/mapfr.gif

Description

On reconnaît tout de suite le raton laveur à son masque noir et à sa queue où alternent entre 5 et 10 anneaux noirs et bruns. Son pelage est habituellement gris pâle, mais peut varier du noir (mélanisme) au brun et même au blanc (albinisme). La mue annuelle commence au printemps et dure environ trois mois.

La tête est large, le museau pointu et les oreilles courtes et arrondies (entre 4 et 6 cm). Les yeux sont noirs. Le corps et la queue mesurent au total 80 cm en moyenne chez les adultes, la taille des mâles étant habituellement supérieure de 21 % à celle des femelles. Les ratons laveurs des latitudes nordiques tendent à être plus lourds (entre 6 et 8 kg) que leurs congénères des régions méridionales (4 kg). Toutefois, on a observé des adultes pesant jusqu'à 28 kg à l'automne. La longévité de l'espèce varierait entre 3 et 5 ans en milieu naturel. La majorité de la population étant entièrement remplacée en 7 ans. Cependant, des records de longévité de 12 et de 16 ans respectivement ont été observés chez des individus en captivité et en milieu naturel.

Régime alimentaire

Omnivore, le raton laveur mange pratiquement de tout, cette nourriture pouvant être d'origine tant végétale qu'animale. Il préfère le maïs, les écrevisses, les fruits et les noix, mais son régime varie selon les aliments propres à chaque saison. Au printemps, ce sont les animaux, les invertébrés et les insectes, qui constitue-t-il la plus grande partie de son alimentation. Il recherche surtout les écrevisses, mais il mange aussi des rats musqués, des écureuils, des lapins. des oeufs d'oiseaux aquatiques et des palourdes d'eau douce. En été, les végétaux, y compris les fruits et les noix l'attirent davantage. Il se délecte alors de cerises sauvages, de groseilles, de baies de sureau, de raisins sauvages, de fraises ainsi que des pommes de terre et du maïs sucré des potagers. Il se nourrit aussi d'écrevisses, de grenouilles, de petits poissons, de tortues, de larves de hanneton, de sauterelles et de criquets, de vers de terre, de grillons et d'escargots au cours de la belle saison.

Le régime alimentaire d'automne est extrêmement important pour le raton laveur des régions septentrionales puisqu'il lui faut accumuler des réserves de graisse suffisantes en prévision de l'hiver. Dans la plupart des secteurs où il en pousse, le maïs constitue le principal élément de ce régime, mais les glands, les faînes, les noisettes et les raisins sont aussi recherchés. L'animal n'hésite pas à piller les nids de frelons, de bourdons, de termites et de fourmis pour y dévorer les larves, son épais pelage d'automne et d'hiver le protégeant contre les piqûres d'insectes. Le corps entier, y compris l'os de la queue, se recouvre d'une couche de graisse qui peut atteindre 2,5 cm d'épaisseur sur le dos. En fait, celle-ci peut constituer plus de la moitié du poids total de l animal à la fin de l'automne. Dans les régions septentrionales, le raton laveur vit de ses réserves adipeuses au cours de l'hiver, tandis que plus au sud, il continue à se nourrir de noix et de maïs là où ces aliments abondent. A la périphérie des villes, on le voit souvent fouiller dans les poubelles ou patrouiller les pelouses à la recherche de vers de terre, de hannetons et de larves. Enfin, il peut aussi nuire aux fermiers puisqu'il lui arrive de s'attaquer aux volailles ou de manger leurs oeufs.

Cycle biologique

http://www.cws-scf.ec.gc.ca/hww-fap/raccoon/icons/photo1fr.gif
Sous les latitudes nordiques (nord des États-Unis et sud du Canada), le cycle biologique annuel du raton laveur comprend une période de reproduction à la fin de l'hiver et au début du printemps, une période de croissance et d'engraissement pendant l'été et l'automne, et une période d'engourdissement hivernal. Plus au sud, cet état de torpeur n'est observé que par mauvais temps.

La reproduction commence habituellement fin janvier ou début février dans le nord de l'aire de répartition. Dans la plupart des secteurs, l'accouplement a surtout lieu en mars. Les jeunes naissent généralement en mai même si certaines naissances ont déjà été observées dès le mois de mars ou encore à la fin de septembre. Il semble enfin que le raton laveur des régions méridionales s'accouple tout au long de l'année.



lygame, le mâle fécondera plusieurs femelles successivement. La femelle, par contre, est monogame et, après s'être accouplée avec un mâle, elle repoussera tous les autres. Souvent, les jeunes femelles s'accouplent au cours de la première année. Quant aux jeunes mâles, même s'ils sont capables de se reproduire, ils n'en ont habituellement pas la possibilité avant leur deuxième année en raison de la rivalité de leurs aînés. Les portées tendent à être plus grosses dans les régions nordiques puisqu'il n'est pas rare qu'elles comptent entre trois et sept jeunes, tandis qu'elles sont normalement de deux ou trois plus au sud. La gestation dure en moyenne 63 jours.

À leur naissance, les petits pèsent environ 75 g. Les dents perceront 19 jours plus tard tandis que les yeux s'ouvriront à l'âge de deux semaines et demie. Environ dix jours après la naissance, les petits arborent déjà le masque et le pelage caractéristiques de l'espèce. Les petits restent dans le gîte maternel pendant environ huit semaines: ils accompagnent ensuite leur mère dans sa quête de nourriture, même s'ils ne sont pas totalement sevrés avant l'âge de deux mois. Le mâle ne participe pas à leur élevage.

La mère et les jeunes forment une cellule familiale. Les ratons laveurs qui la composent sont passablement sociables, cherchant leur nourriture ensemble la nuit et partageant la même tanière le jour. La mère montre à ses jeunes comment grimper, chasser et nager au cours du premier été. La famille ne se dissout habituellement pas avant l'arrivée de la portée suivante, normalement le printemps d'après. Les jeunes mâles quittent souvent le territoire des mères tandis que les jeunes femelles peuvent rester dans les parages.

Dans les régions nordiques et par mauvais temps, le raton laveur se terre pour l'hiver. Il économise ainsi son énergie (réserves de graisse) en période de disette. Il s'agit plus d'une période d'inactivité que d'une véritable hibernation. La température du corps ne baisse pas et l'activité de l'animal semble régie par la température ambiante. Parmi les endroits préférés pour se mettre à l'abri, citons les arbres creux, les souches, les rondins, les cavernes. Les terriers de marmottes ou de renards inoccupés, et les granges ou autres bâtiments du genre. En milieu urbain, il peut opter pour la cheminée d'une maison, un égout, un garage, un grenier, un arbre ou un ponceau. Les mâles adultes sont souvent seuls dans leur gîte, mais il n'est pas rare de voir une famille passer son premier hiver ensemble. On a déjà observé des terriers communautaires regroupant jusqu'à 23 individus, mais ils en comptent le plus souvent 4 ou 5. Même s'il n'utilise qu'un seul gîte pendant l'hiver, le raton laveur dispose de plusieurs refuges pour les autres saisons.

Ouvrages à consulter
  • Banfield, A.W.F. 1977. Les mammifères du Canada. 2e éd. Musées nationaux du Canada. Ottawa.
  • Beaudin, L.; Quintin, M. 1983. Guide des mammifères terrestres du Québec, de l Ontario et des Maritimes. Ed. du Nomade. Waterloo (Qc).

Oooooh ! Raton c'est toi ça ?
Yep, quotespam powâ.
Bien poum poum *s'échauffe la voix*
Une devinette..
Je lance une rondelle et elle reviens
Je lance une autre rondelle et elle reviens
Je lance une autre rondelle et elle reviens
Je lance une autre rondelle et elle reviens
Je lance une autre rondelle et elle reviens
Je lance une autre rondelle et elle reviens

J'obtiens quoi ??



















Le printemps parce que les six rondelles reviennent (hirondelles)

Sauf que Six rondelles ne font pas le printemps
__________________
Ich möchte ein Eisbär sein
im kalten Polar,
dann müßte ich nicht mehr schrei'n,
alles wär so klar.

Eisbären müssen nie weinen.
Six Rondelles, ca fait beaucoup pour un homme quand meme
__________________
Ich möchte ein Eisbär sein
im kalten Polar,
dann müßte ich nicht mehr schrei'n,
alles wär so klar.

Eisbären müssen nie weinen.
Citation :
Provient du message de Camelias
Moi une si douce frêle créature comment aurais je pû un seul instant y penser
Tout simplement en pensant a la meme chose que nous .......perverse
__________________
Ich möchte ein Eisbär sein
im kalten Polar,
dann müßte ich nicht mehr schrei'n,
alles wär so klar.

Eisbären müssen nie weinen.
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