[wiki] [Economie] Causes et conséquences de la crise économique et financière

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Publié par Doudou
D'ailleurs, vu comment certaines communes se sont retrouvées dans la merde à cause d'emprunts toxique et autres trucs du même style, on peut se dire que le fait d'être nationalisé ne protège pas du fait de gérer n'importe comment. On pourrait très bien avoir des banques publiques qui se mettent en situation de risques.
L'idée n'est pas qu'un établissement public est mieux géré, l'idée est qu'il est beaucoup plus compliqué pour un Etat de tomber que pour une entreprise privée. Du coup, si on a des trucs "too big to fail", l'une des solutions, c'est de rendre compliqué le fait qu'ils puissent fail.
Avec pour avantage que pour une fois, on nationaliserait un truc rentable au lieu de l'inverse.
Citation :
Publié par kergoff
L’électricité n'est pas cher en France et ça fait des années que les tarifs auraient du augmenté mais par idéologie et impopularité personne ne l'a fait.
J'avais vu un article la dessus récemment, je le retrouve plus, où ils disent en gros que ce qui les plombent, c'est le plafonnement du prix de revente aux autres opérateurs. Apparemment, cette année les autres fournisseurs ont consommé beaucoup plus d'énergie nucléaire, logiquement c'est la dessus qu'EDF devrait se refaire, mais comme le prix de revente est plafonné, ça fausse totalement tout le marché.

Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
L'idée n'est pas qu'un établissement public est mieux géré, l'idée est qu'il est beaucoup plus compliqué pour un Etat de tomber que pour une entreprise privée. Du coup, si on a des trucs "too big to fail", l'une des solutions, c'est de rendre compliqué le fait qu'ils puissent fail.
Avec pour avantage que pour une fois, on nationaliserait un truc rentable au lieu de l'inverse.
Ha bah c'est sûr que si les banques se faisaient nationaliser en cas de faillite plutôt que de recevoir des prêts pour les renflouer, ça les feraient ptet moins jouer aux cons.
Citation :
Publié par Nof Samedisþjófr
L'idée n'est pas qu'un établissement public est mieux géré, l'idée est qu'il est beaucoup plus compliqué pour un Etat de tomber que pour une entreprise privée. Du coup, si on a des trucs "too big to fail", l'une des solutions, c'est de rendre compliqué le fait qu'ils puissent fail.
Avec pour avantage que pour une fois, on nationaliserait un truc rentable au lieu de l'inverse.
Je ne comprends pas très bien. Si une banque nationalisée rencontre des difficultés, l'état injectera de l'argent pour rétablir la situation. C'est le même cas pour une banque privée si elle est trop importante pour que l'état la laisse partir en faillite.

L'intérêt d'une banque nationalisée tient dans sa gestion. On peut très bien imaginer une banque qui se concentre sur les activités de base et vise des rendements faibles (et donc prenne un minimum de risques).

Le problème des banques dites universelles tient dans l'assemblage dans la même entité de secteurs aussi différents que la gestion de fortune, la banque de détail, le crédit aux entreprises, la banque d'investissements et la banque d'affaires, sans parler des activités nationales et internationales. Seulement elles tiennent tellement à ce modèle pour des raisons commerciales qu'il serait très difficile de les contraindre à l'abandonner. Il y a aussi la question de la taille qui compte : on ne traite pas avec des banques comme BNP Paribas comme avec la mutuelle du coin.
Message supprimé par son auteur.
Citation :
Publié par Doudou
Ha bah c'est sûr que si les banques se faisaient nationaliser en cas de faillite plutôt que de recevoir des prêts pour les renflouer, ça les feraient ptet moins jouer aux cons.
Rappelons que les deux seuls établissements à avoir fait faillite en France ( dans les dernières décennies ) étaient des établissements publics ( Crédit Lyonnais et Dexia ).
Citation :
Publié par Aratorn
Rappelons que les deux seuls établissements à avoir fait faillite en France ( dans les dernières décennies ) étaient des établissements publics ( Crédit Lyonnais et Dexia ).
En réalité, mixte, avec un important actionnariat privé, et un statut de société anonyme.
Cela n'invalide pas le fait que l'Etat était aux manettes, qu'il était seul à décider de la marche de l'entreprise et de la composition de la direction.

Mais de toutes les façons, la question est surtout de savoir si le secteur public est en mesure de gérer directement ou indirectement une activité commerciale aussi technique, risquée et réactive que la banque. Cela n'a rien d'évident... quand bien même la logique politique pourrait inciter, à certains égards, à sortir l'activité bancaire du secteur privé.
Citation :
Publié par Silgar
Cela n'invalide pas le fait que l'Etat était aux manettes, qu'il était seul à décider de la marche de l'entreprise et de la composition de la direction.

Mais de toutes les façons, la question est surtout de savoir si le secteur public est en mesure de gérer directement ou indirectement une activité commerciale aussi technique, risquée et réactive que la banque. Cela n'a rien d'évident... quand bien même la logique politique pourrait inciter, à certains égards, à sortir l'activité bancaire du secteur privé.
BPI ne me semble pas forcément mal gérée ?
Le nom est vraiment trompeur, mais BPI n'est pas une banque. C'est un organisme qui a pour vocation principale de se porter garant d'un emprunteur afin qu'un établissement de crédit (donc une banque) lui consente un prêt (ou plusieurs) sans avoir à supporter (en totalité ou partiellement) le risque de défaut de l'emprunteur. Dans un certain sens, c'est une forme de déresponsabilisation des banques et un transfert de risque vers l'Etat.

Peut-on dire que BPI est bien ou mal gérée ?

C'est probablement trop tôt pour le dire. Cela dit, vu les sommes en jeu et l'exposition au risque de BPI (un tiers des ETI a bénéficié du concours de BPI en 2014), je ne suis pas sûr que l'on puisse considérer que cet organisme est bien géré. De mon point de vue, il y a là tous les ingrédients d'une débâcle si notre économie se resserrait dans un futur proche.

Dans son rapport de novembre 2016 sur BPI, la Cour des Comptes se gardait de toutes conclusions définitives en précisant bien que BPI était une structure récente née de la fusion de plusieurs structures (CDC Entreprises, Oseo, Coface, FSI, etc.) qui avaient toutes une gestion différente du risque, mais les magistrats ont quand même souligné que la maîtrise du risque était insuffisante :

Citation :
D - Une fonction de gestion des risques pas encore aux normes

Alors que son activité a crû fortement depuis sa création, Bpifrance ne s’est pas encore pleinement dotée du dispositif nécessaire à une gestion et un contrôle suffisant de ses risques par rapport aux obligations réglementaires. Par rapport à Oséo dont le contrôle des risques était peu développé, Bpifrance a fait face à trois chocs qui expliquent un retard significatif par rapport à l’état de l’art en matière de gestion des risques. Bpifrance a, en effet, connu une modification des règles relatives au contrôle interne, un changement de superviseur – la mise en place du mécanisme de supervision unique s’accompagnant d’un transfert des tâches de l’ACPR vers la BCE – et une croissance très forte de son activité. Malgré les efforts déjà entamés, il reste encore beaucoup à faire pour que Bpifrance satisfasse pleinement aux exigences règlementaires.

La fonction de gestion des risques est en cours de mise en conformité avec l’arrêté du 3 novembre 2014 relatif au contrôle interne. Faute de moyens et de réelle indépendance, la direction de la consolidation des risques créée lors de la création de Bpifrance n’a pas permis une réelle animation de la filière risques. La mise en place d’une nouvelle direction des risques en 2016 aux moyens renforcés devrait constituer une amélioration, à condition que son indépendance soit assurée.

Le contrôle interne reste néanmoins insuffisant au regard des exigences des superviseurs : les contrôles de premier niveau ne sont pas suffisamment formalisés et traçables ; il n’existe pas de département conformité à part entière ; il n’existe pas de charte du contrôle interne et la procédure de remontée des incidents n’est pas suffisamment robuste. Le comité des risques, émanation du conseil d’administration de Bpifrance SA, ne semble pas être une instance de contrôle réellement efficace du fait de l’absence de traitement de certaines thématiques pourtant centrales en matière de maîtrise des risques (répartition du risque de crédit, analyse de la rentabilité des opérations de crédit, mesure des risques de marché et de taux, analyse de la liquidité).

Enfin, les outils permettant une bonne gestion des risques sont insuffisamment développés. Ainsi, le dispositif permettant d’assurer la continuité de l’activité n’a pas fait l’objet de tests. Bpifrance n’a pas non plus mis en place une gestion appropriée des risques liés aux activités externalisées, qui constituent cependant une partie importante de l’activité opérationnelle du groupe. Il n’existe pas de cartographie des risques globale à l’échelle du groupe. Concernant la gestion du risque de crédit, la mise en place de limites de risques et de seuils d’alerte n’est que très récente et Bpifrance doit encore progresser en termes d’identification et de suivi des expositions non performantes ou sous surveillance.

En raison de l’activité de Bpifrance, il convient de veiller à mettre en place rapidement un dispositif de gestion des risques pleinement conforme aux exigences règlementaires.
https://www.ccomptes.fr/sites/defaul...-BPIFrance.pdf

D'un autre côté, il faut bien financer les entreprises... En ce sens, le temps que notre pays n'aura pas fait sa révolution fiscale pour que le capital investi dans les entreprises ne soit pas surtaxé au point de dissuader les épargnants d'investir dans les entreprises (et qu'ils en supportent le risque), il faut accepter des mécanismes alternatifs (type BPI) qui facilitent le financement des entreprises (et qui collectivisent le risque).
Citation :
Publié par Silgar
Mais de toutes les façons, la question est surtout de savoir si le secteur public est en mesure de gérer directement ou indirectement une activité commerciale aussi technique, risquée et réactive que la banque. Cela n'a rien d'évident....
Il n'y a aucune raison que les personnes ayant les compétences nécessaires les perdent simplement car on nationalise leur entreprise.
C'est moi ou les marchés sont en train de nous envoyer des corbeaux pour dire que l'hiver arrive bientôt ?
Ça parle de bulles, et tout le monde sait qu'en ce bas monde les bulles ont pas tendance à gonfler indéfiniment ... si ça se limite à des conneries type bitcoins , ça peut passer , si c'est plus massif , on risque de le sentir passer.
Y a des signes noirs ouai. Altice par exemple s'en est un, car juste là son endettement posait de problème à personne et puis hop réveil. On reparle aussi des subprimes version automobile au USA etc...

Maintenant en général c'est quand on s'y attend le moins que ça tangue vraiment. Mais le constat est toujours le même depuis 5 ans maintenant. Y aune bulle qui gonfle, la dette gonfle, les fondamentaux sont pas bon surtout avec ce qui se profil à l'horizon. Donc y a bien un moment où on aura la correction, la question c'est quand et qu'est ce qui va le déclencher ?
Citation :
Publié par Noriel
C'est moi ou les marchés sont en train de nous envoyer des corbeaux pour dire que l'hiver arrive bientôt ?
Ça parle de bulles, et tout le monde sait qu'en ce bas monde les bulles ont pas tendance à gonfler indéfiniment ... si ça se limite à des conneries type bitcoins , ça peut passer , si c'est plus massif , on risque de le sentir passer.
On va forcément le sentir passer. Rien que la dernière trumperie annonce un désastre gigantesque : c'est 1500 milliards de dollars qui vont être retirés de l'économie réelle pour être injectée dans les poches des fricopathes milliardaires. Ces derniers ne savant déjà pas quoi faire de leur pognon vont forcément placer ce cadeau de Noël sur des marchés spéculatifs finis à la pisse par les gangsters recyclés de la dernière crise, genre dérivées de bitcoin sur des blackpools panaméens. Et donc, ça va péter. Quand ? Aucune idée, c'est comme la désintégration d'un atome de plutonium : c'est de la merde avant, c'est de la merde après, au moment "m" ça fait super mal, mais ça peut arriver n'importe quand.
Sinon juste sur le cas des monnaie virtuel, ça aussi ça nous prépare de beau truc. Parce que quand un pays comme le Japon en vient à faire sa propre monnaie avec tout les soucis qu'on connait sur l'économie japonaise ou encore le vénézuela qui annonce aussi vouloir faire sa monnaie basé sur ces réserves de pétrole.

Pour moi ce genre d'élément mis bout à bout, ça montre bien que ces monnaies représente une réelle menace de bulle et de gros krach à terme.
Citation :
Publié par Silgar
Peut-on dire que BPI est bien ou mal gérée ?
Ca a quand même un peu l'air d'être la fête du slip : https://www.lesechos.fr/20/10/2016/l...-bpifrance.htm
https://www.latribune.fr/economie/fr...ce-609643.html

Et le bilan fait y a 2 ans avait pas l'air ouf : http://www.ifrap.org/emploi-et-polit...-des-resultats
C'est pas folichon ! C'est typiquement ce que je qualifie de problème de gouvernance dans mon précédent message : la structure est en roue libre, la direction n'est pas contrôlée, elle n'a pas à rendre compte ni de sa gestion, ni de ses orientations...

Je suis surpris par le montant des frais pour les voitures de fonction dans la mesure où le personnel de BPI se déplace peu (il y a peut-être quelque chose qui m'échappe, mais pour ma part je ne les ai jamais vu sur le terrain).

Citation :
Sur 2 190 personnes, 604 avaient une voiture de fonction lors de l'enquête de la Cour.
http://www.leparisien.fr/economie/he...17-6593031.php

Cela dit, même si c'est dérangeant, ce n'est pas de nature à mettre BPI en péril.
Ca va pas la foutre en péril, mais ça fout clairement les boules, rien qu'avec le budget voiture de fonction, tu peux financer une dizaine de start up lors d'un premier tour de table.
La question, c'est pourquoi dans un truc pareil, y a pas une meilleure gouvernance, dans ma boite, ça fait des plombes que sauf exception, la plupart des directeurs n'ont plus de voiture de fonction, le public pourrait faire aussi bien que le privé si y avait pas tant de copinage et qu'il y avait une réelle barrière entre politiciens et les mecs qui taffent dans le publique.
Citation :
Publié par Silgar
Je suis surpris par le montant des frais pour les voitures de fonction dans la mesure où le personnel de BPI se déplace peu (il y a peut-être quelque chose qui m'échappe, mais pour ma part je ne les ai jamais vu sur le terrain).
C'est juste un nid de corruption. Avec les chiffres fournis on peut juste en déduire que les mecs se gavent comme des porcs.
Message supprimé par son auteur.
Mais peut-on faire de l'innovation sans bulle ?
Pour expliquer mon avis, il faut que je définisse ce que c'est qu'une bulle dans ma tête, il s'agit d'investissement dans un domaine prometteur, tels qu'une grande partie de ces investissement seront perdus à terme (donc par exemple, plein de startup donc les trois quart vont couler).

Il me semble que pour innover, actuellement, la seule solution qu'on connaît, c'est d'essayer un maximum de chose et de garder la solution la plus adaptée. La solution la plus adaptée étant celle qui arrive à rester rentable à la fin.
J'ai l'impression que les grand pics d'évolutions se font quand on dépense sans compter, avant c'était lors des guerres, maintenant c'est dans des bulles économiques, mais au final, une grande partie des dépenses est simplement perdue.

Si on décide de faire de l'innovation "efficace", c'est à dire de n'innover que dans les trucs qui marchent, alors on se ferme la porte à la diversification. Je doute qu'une seule des grandes entreprises actuelle n'ai eu l'idée depuis le début jusqu'à sa réalisation finale. Ils ont en général récupéré des idées de gens qui s'était planté avant eux, en ajoutant leur touche, en développant certaines faiblesses. Si ceux qui se plantent n'avaient pas pu voir le jour parce que "pas rentable", les suivants n'auraient pas pu récupérer leurs idées.

J'y vois un parallèle avec le sujet sur les IA tiens. Le deep learning actuellement, ça consiste à essayer des millions de configuration et à garder les plus adaptée. C'est exactement comme investir dans les millions de startup afin de trouver LA startup qui déchire.
Alors bon, on a pas les moyens d'investir dans des millions de startup, on a besoin de garantie quand au fait que les gars sont un minimum sérieux. Mais actuellement, ça ne reste pas si "facile" de trouver des investisseurs en temps que startup, il faut quand même avoir un projet qui tient un peu la route.

Tout ça pour dire que je ne pense pas que la bulle en elle même soit un problème. Je pense même que c'est nécessaire.
En revanche, si l'éclatement de la bulle est néfaste pour l'économie, ça c'est pas bon.
Donc ce qu'il faut, c'est plutôt protéger l'économie de l'éclatement de la bulle en question, en contrôlant l'exposition (ou simplement en considérant ces investissement comme des pertes).
Le truc, c'est que lors de bulles, y a pleins de projets farfelues et voués à l'échec qui profite du truc pour se financer, y a une différence entre l'approche capital risk "je mets des thunes dans plusieurs projets prometteurs même si je sais que beaucoup vont sans doute se planter" et la spéculation style "youhou, c'est hype, je fous mon fric dedans ça va monter".
Message supprimé par son auteur.
Bah je suis pas expert du domaine non plus, je donne juste l'impression que j'ai, et je pense qu'il peut être intéressant d'avoir une vision des startups sous le prisme de la théorie de l'évolution, c'est à dire via des phases de diversification suivies de phase de sélections.

Si je reprend l'exemple des IA avec les réseaux de neurone, ça fait 50 ans que ça existe. A l'époque les gens se disait que ça ne servait à rien parce qu'on avait pas la puissance de calcul nécessaire pour que ça fonctionne. Il se trouve que depuis 6/7 ans, on a ressorti l'idée des tiroirs parce que quelqu'un à réussir à améliorer le truc pour le rendre efficace, et maintenant ça casse la baraque.

On pourrait ressortir des analogies avec l'évolution biologique. Il y a des théories comme quoi les ailes des oiseaux avaient probablement une autre fonction que le vol initialement (apparat, arme, protection ...). C'était en gros un truc bien inutile, mais qui un jour à permis à l'un d'eux de planer vaguement ce qui lui a permis de perfectionner la chose par la suite.

Dans l'univers des startups, c'est un peu similaire, on ne peut pas vraiment prévoir ce qui va fonctionner. Si je pouvais remonter dans le temps et acheter des actions Facebook, je continuerai à penser que c'est une idée de merde. Je le ferrais parce que je connais le futur, mais prévoir que Facebook allait devenir aussi rentable, il faut vraiment y croire quand même.

Alors évidement, il faut rester prudent. Comme dans tout système, il peut y avoir des parasites, des gens qui ont bien compris comme profiter un maximum du système en y contribuant le moins possible. Mais même un parasite peut avoir des idées révolutionnaires.
Comme nos ressources sont limitées, il faut être vigilant à limiter les parasites, et probablement accepter de faire une croix sur les innovations qu'ils auraient pu nous apporter.
Mais ne juger les startups que comme des entreprises qui ne servent à rien, je pense que c'est avoir une vision biaisées de la chose, et je pense qu'il faut garder cette vision d'innovation en tête. Quand on regarde les idées de Léonard de Vinci, il y a un paquets d'idées de merde, mais c'est pas grave, parce qu'à coté il en a eu des géniales. Si on l'avait forcé (ou financièrement incité) à n'avoir que des idées géniales, il en aurait probablement eu beaucoup moins.
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