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Je vois la mention des 35 heures et des vacances...
Certains devraient lire http://www.education.gouv.fr/cid7284...n-moyenne.html ou http://www.lemonde.fr/politique/arti...78_823448.html Un enseignant fait en moyenne plus que 35 heures par semaine. Il bosse aussi pendant les vacances scolaires. |
05/10/2017, 20h58 |
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L'enseignement en France et à l'étranger
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06/10/2017, 08h56 |
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Citation :
Genre inspecteur des finances publiques échelon 3, c'est 389 d'indice majoré contre 440 pour un professeur certifié de classe normale ou 418 pour un attaché d'administration centrale. J'ai pas pris agrégé, car vu le concours, ça se compare pas directement à un cadre A classique. Par contre niveau prime, c'est bien plus pour l'inspecteur des finances publiques que pour le détenteur du CAPES, ce qui fait que le salaire total du certifié est en dessous d'un cadre A des finances publiques par exemple. Et c'est d'ailleurs un des problèmes de la Fonction publique. On a mis en place un système de rémunération fondée sur l'indice, identique pour tous et transparent, qu'on a ensuite largement affaibli en mettant des primes qui varient complètement d'un corps à l'autre sans que l'on sache trop pourquoi un inspecteur des finances publiques est mieux payé qu'un prof. Sans compter qu'on ne comprend pas grand chose aux primes : prime de rendement (qui ne varie jamais), ACF technicité, Indemnités forfaitaires pour travaux supplémentaires (c'est à dire ?)... S'il y a quelque chose à faire, c'est bien de revoir complètement le système de rémunération pour le rendre transparent et équitable. Dernière modification par Aedean ; 06/10/2017 à 10h30. |
06/10/2017, 10h15 |
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Encagoulé, il simule une attaque à la mitraillette dans une école secondaire
Nous les Belges, nous savons mettre les élèves en situation d'apprentissage à moindre coût, vous devriez suivre cet exemple |
07/10/2017, 16h45 |
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Vers une énième réforme du brevet en*2018 http://www.lemonde.fr/education/arti...4_1473685.html
Alors que la gauche avait tenté d’introduire plus d’interdisciplinarité, le ministre Jean-Michel Blanquer propose de revenir à un examen aux épreuves cloisonnées. Le « brevet 2017 » n’aura pas fait long feu. A peine réformé par la gauche, voilà l’examen déjà remanié en vue de la session de juin prochain (..) Le texte n’a rien de révolutionnaire. Il ne bouleverse pas l’architecture de l’examen, qui continuera à reposer pour partie sur des épreuves finales, pour partie sur du contrôle continu. Mais symboliquement, le changement compte. D’abord, parce que le ministère propose de revenir à des épreuves cloisonnées, discipline par discipline, quand la gauche avait tenté d’introduire plus d’interdisciplinarité au collège et donc dans l’examen qui en marque l’aboutissement. Retour à une architecture plus classique Selon le projet d’arrêté, le brevet 2018 comporterait quatre épreuves écrites : français, mathématiques, histoire-géographie et enseignement moral et civique, sciences (physique-chimie, SVT, technologie). S’y ajouterait un oral portant soit sur un projet mené dans le cadre des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), soit sur l’histoire des arts. La tentative de regrouper les épreuves par blocs interdisciplinaires – un bloc littéraire d’un côté, un bloc scientifique de l’autre – n’aura donc pas fait long feu. Il est vrai qu’à écouter la communauté éducative, elle n’avait pas fonctionné, contribuant même à complexifier l’examen (..) La seconde inflexion est dans le rééquilibrage du barème. L’ancien gouvernement avait fait le choix de donner plus de poids à l’évaluation, en cours d’année, de la maîtrise du « socle commun » – ce bagage que tout élève doit avoir acquis à 16 ans. Il pesait pour 400 des 700 points totaux (contre 300 pour les épreuves finales). Quasiment tous ces points étaient assurés avant même le début des écrits à un élève au niveau « satisfaisant ». Le « brevet Blanquer » entend donner autant de points aux épreuves finales qu’à l’acquisition du socle : 400 pour l’un, 400 pour l’autre, sur un total de 800 points. (..) Le brevet n’en est pas à sa première réforme ; 2011, 2013, 2017… : la durée de vie de chaque nouvelle formule n’a pas dépassé les quatre ans. Il fallait s’attendre à ce que le détricotage partiel de la réforme du collège 2016 – engagé par le ministre en juin –, ait des répercussions sur le diplôme. Reste que Jean-Michel Blanquer se garde bien de trancher entre les deux logiques qui continuent à cohabiter dans le brevet : d’un côté, celle d’un examen final sur le modèle d’un « petit baccalauréat ». De l’autre, l’évaluation du socle commun censé être acquis par tous à l’issue du collège. Le résultat, c’est que le brevet reste un examen complexe et peu lisible dans ses finalités |
11/10/2017, 09h54 |
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11/10/2017, 15h08 |
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Budget 2018 : la jeunesse sacrifiée par Piketty
Rien de nouveau par rapport à ce que moi et d'autres pouvons dénoncer à longueur de forum ici sur l'état catastrophique de l'enseignement supérieur en France et plus particulièrement des universités. Les Macron-fanboys&girls doivent bien être contents de leur entreprise de destruction néolibérale de la France. En à peine 6 mois, Macron est en train de réussir le challenge Thatcher qui plongera le pays dans la récession pour des années. Il détruit systématiquement tous les réseaux de soutien aux plus faibles : collectivités locales, associations (via la diminution des emplois aidés et via la baisse de rémunération du livret A). Il paupérise les classes déjà fragiles et rend le marché du travail "plus flexible". Il insulte rhétoriquement "ceux qui ne sont rien" en permanence. Aucune réponse adaptée à la lutte contre le terrorisme. Mais s'il n'y avait que cela. Non, Macron, dans la droite ligne de Hollande et Sarkozy, fait en sorte de tirer un trait clair sur l'avenir de la France en sous-finançant de manière consciente son enseignement supérieur. Mais bon, ce n'est pas grave, ce qui compte, c'est que les impôts des riches baissent, hein. Gavons-nous tant qu'il est temps, on laissera le pays exsangue et puis on ira prendre pour proie un autre pays ensuite. Que ce soit au niveau justice, police, enseignement, armée, santé, bref fonctions régaliennes et/ou d'égalité entre citoyens, je le redis parce que je le pense de plus en plus fort chaque jour : nous sommes en train de devenir un pays du Tiers-Monde. A grande vitesse. Et encore plus vite depuis que Macron vient d'arriver au pouvoir. Ce quinquennat va être, après les coups de butoir de Sarkozy et Hollande, la ruine de la France. J'ai la haine. |
13/10/2017, 09h19 |
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13/10/2017, 17h13 |
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13/10/2017, 19h31 |
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13/10/2017, 19h49 |
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13/10/2017, 21h17 |
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#117140
Invité
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Il était plutôt bon dans le rôle. Largement meilleur que tous ses successeurs en tout cas.
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13/10/2017, 23h19 |
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#117140 |
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