L'enseignement en France et à l'étranger

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Je vois la mention des 35 heures et des vacances...
Certains devraient lire http://www.education.gouv.fr/cid7284...n-moyenne.html ou http://www.lemonde.fr/politique/arti...78_823448.html
Un enseignant fait en moyenne plus que 35 heures par semaine.
Il bosse aussi pendant les vacances scolaires.
Citation :
Publié par Mari'
Non, l'école (du moins jusqu'à atteindre l'enseignement supérieur et les voies professionnelles) ne devraient JAMAIS servir à professionnaliser.
Donne des exemples précis : tout dépend de ce que tu appelles professionnaliser : ma fille de 4ème va avoir un stage de 3 jours dans une organisation/entreprise, par exemple c'est pas professionnalisant ? Calculer le nombre de pots de peintures pour refaire la façade d'une maison : professionnalisant ou pas ? Construire un train en techno c'est pas professionnalisant ?
Citation :
Publié par Assurancetourix
Pour enseigner à une classe de N élèves, il faut que ceux-ci aient acquis un certain savoir-être, sinon tu ne peux rien faire. C'est un (mais pas le seul) des objectifs de l'école maternelle. Et tout n'est pas faisable à la maison (sauf peut être si tu organises à longueur de journée des activités impliquant calme, concentration et effort pour 30 gamins chez toi...)
Euh oui, exactement... Mon gamin à commencé en maternelle à 4 ans ( c'était un des plus jeunes) la moitié avait déjà 5 ans... 2 ans de maternelle donc pour apprendre ce que tu décris... je vois pas l'intérêt de commencer à 2 ans...

sinon pour les 35 H: Je sais pas si vous avez des gamins, moi j'en ai un, et c'est vraiment une crème... Gentil, obéissant... Et pourtant, si je m'imaginais devoir apprendre à 20 gamins comme le mien des trucs qu'ils n'ont pas forcément envie d'apprendre, le tout tous les jours plusieurs heures, je pense que je peterais un câble très vite ( avec l'avantage que si il deconne, je le remets à l'ordre très sèchement, d'une manière que ne pourrait pas se permettre un prof, du coup c'est même plus facile pour moi d'avoir du calme) Je suis pas sûr que les gens se rendent compte de la charge psychique de la chose, et de la fatigue que cela amène. Je ne suis pas prof, ce qui ne m'empêche pas de penser que moins les profs auront d'heures, et plus les heures de transmission du savoir seront de qualité. Idem pour la grandeur des classes, plus elles seront petites et plus le temps passé avec chaque élève sur ces propres difficultés seront nombreuses. Pour donner un ordre de grandeur mon gamin de huit ans à 28 périodes de 45 minutes par semaine. Vu que j'aurai peut-être l'occasion de m'installer pour quelques annees en Asie je me suis renseigné sur la scolarisation par correspondance. Grosso merdo cela représente 15 période par semaine si un adulte est avec l'enfant.Par chez nous, c'est tellement bandant de devenir prof qu'on en manque, c'est tellement le métier facile avec plein de vacances que les trois amis qui ont fait ce métier se sont reconvertis. Et pas la faute au salaire, enfants, ou aux conditions... Mais au parents, charge qu'aucun d'eux n'avait prise en compte...

Pour avoir été coloc pendant trois ans avec un prof, j'avoue que ceux qui arrivent à faire ce métier bien, en aimant les enfants qu'ils ont en face d'eux me laisse d'une rare admiration.
La différence entre la Suisse et la France... C'est peut être l'immigration ? Quand on a que des cadres +++ qui viennent immigrer, c'est pas pareil que lorsque c'est des gens sans qualification avec une culture différente. Perso, j'ai des fratries de 8 gosses, y en a pas un qui est élevé correctement, à 19h je les retrouve dans la rue.

Dernière modification par Vanité ; 06/10/2017 à 01h01.
Histoire de rire, vous imaginez un comédien qui ferait 18h de représentation par semaine, mais avec plusieurs pièces différentes tous les jours qu'il devrait écrire lui-même, tout en répondant personnellement aux critiques et compte-rendu écrits de tous ses spectateurs ainsi qu'aux demandes d'information des parents de ces derniers ? En sachant que le public est un public forcé qui n'a pas spécialement envie d'être présent et que le principe des pièces est de les faire participer au spectacle dans la bonne humeur ?

Je me plains pas, on apprend tous les jours. Mais la première chose que je fais chaque jour en rentrant chez moi, c'est la sieste.
Citation :
Publié par Aloïsius
Mais la première chose que je fais chaque jour en rentrant chez moi, c'est la sieste.
Non mais ça c'est à cause de la modification génétique qu'on vous fait quand vous devenez fonctionnaire. On vous inocule la paresse du coup forcément, c'est l'un des effets.

Sinon oui, je trouve ça toujours un peu problématique d'avoir à lire deux grilles différentes : le fonctionnaire a comme base le prof incompétent/qui en a rien à foutre qui n'adapte jamais ses cours à sa classe et finalement fait juste ses heures + corrige ses copies pendant les phases d'exo/d'interros alors que l'employé du privé est toujours le type ultra sérieux qui fait des heures sup sans se plaindre.
Spoiler, dans le privé y a aussi des cadres qui font 10h->12h => 14h->17h30 et qui se font tellement chier parce que leur taff est mal défini qu'ils impriment des moves d'échecs pour s'y entrainer.
Citation :
Publié par Aloïsius

En revanche, lorsqu'on compare les grilles indiciaires des profs et celles des autres fonctionnaires recrutés au même niveau, on observe effectivement un salaire plus faible. On peut supposer que lors de l'établissement de ces grilles il a été tenu compte de la durée des vacances. Mais ce n'est inscrit nulle part.
C'est surtout sur les primes que vous gagnez beaucoup moins. Sur le traitement indiciaire, j'ai l'impression que vous êtes dans la norme haute des fonctionnaires d'Etat.

Genre inspecteur des finances publiques échelon 3, c'est 389 d'indice majoré contre 440 pour un professeur certifié de classe normale ou 418 pour un attaché d'administration centrale. J'ai pas pris agrégé, car vu le concours, ça se compare pas directement à un cadre A classique.

Par contre niveau prime, c'est bien plus pour l'inspecteur des finances publiques que pour le détenteur du CAPES, ce qui fait que le salaire total du certifié est en dessous d'un cadre A des finances publiques par exemple.

Et c'est d'ailleurs un des problèmes de la Fonction publique. On a mis en place un système de rémunération fondée sur l'indice, identique pour tous et transparent, qu'on a ensuite largement affaibli en mettant des primes qui varient complètement d'un corps à l'autre sans que l'on sache trop pourquoi un inspecteur des finances publiques est mieux payé qu'un prof. Sans compter qu'on ne comprend pas grand chose aux primes : prime de rendement (qui ne varie jamais), ACF technicité, Indemnités forfaitaires pour travaux supplémentaires (c'est à dire ?)...

S'il y a quelque chose à faire, c'est bien de revoir complètement le système de rémunération pour le rendre transparent et équitable.

Dernière modification par Aedean ; 06/10/2017 à 10h30.
Citation :
Publié par Vanité
La différence entre la Suisse et la France... C'est peut être l'immigration ? Quand on a que des cadres +++ qui viennent immigrer, c'est pas pareil que lorsque c'est des gens sans qualification avec une culture différente. Perso, j'ai des fratries de 8 gosses, y en a pas un qui est élevé correctement, à 19h je les retrouve dans la rue.
Oui en effet... Annee 60-70-80 grosses immigrations italienne, espagnole, portugaise... Que des cadres venus faire un peu de pratique pour construire routes et infrastructures. Annee 90-00-10 principale immigration, Kosovo et ex république de yougoslavie, Erythree, Sri Lanka et Afrique de l'Ouest. la aussi que des cadres...

Bref tu dis passablement de caca pour le coup, le principal de l'immigration en Suisse se retrouvent dans des métiers que les Suisses ne veulent pas faire... Il n'y a quasiment aucun Suisse qui travaille dans le bâtiment ( j'y ai bosse pendant 3 ans, j'ai toujours été le seul Suisse sur le terrain), ni dans le nettoyage. On retrouve aussi une très grosses proportion dans les métiers de la santé ( infirmier, aide infirmier, aide soignant).

Non définitivement, la plupart de l'immigration en Suisse sont des sans diplôme. Une des grosses différence se situe au niveau de l'intégration, nous n'avons pas parqué les migrants dans des cages à poules par origine, les métiers manuels sont largement mieux vu ici, l'apprentissage est très valorisé ( quelqu'un qui veut faire horloger complet, mécanicien, ou bûcheron sera largement plus encouragé en Suisse qu'en France par ex.), il y a une très grosses mixité sociale à l'école, quasi personne ne met ( j'en connais aucun) son enfant dans une école privée.
Du coup, les arguments que je développe ici sont un peu plus valable que : " De toute vous n'avez que des cadres qui migrent, facile" et repose la question de la place de l'école dans la société. L'école ne doit pas être le palliatif des manques d'intégrations. Elle fait partie de l'intégration évidement, mais n'en n'est qu'une toute petite partie.

Mais comme je le dis, nous avons sans doute une vision différente de la place de l'école. Nous on parle d'instruction publique, pas d'éducation nationale. L'éducation c'est à la maison que cela se passe, et si cela se passe mal, alors d'autres organismes, comme les services sociaux, le bureau de la protection de l'enfance entrent dans la danse, et il n'est vraiment pas rare de voir des enfants placé en famille d'accueil ou dans d'autres structures parce que les parents sont complètement à la strass... Et force est de constater que dans ces parents, on retrouvent autant de Suisse que d'étrangers.

Sinon, ouais à 19h dans la rue, serieux je vois pas le problème. La plupart des gamins et amis de mon gamin sont dans la rue à cette heure, c'est à peu près l'heure où ils se feront rappeler par leurs parents pour manger. En cela c'était la même pour moi dans les annees 70 , à 19 h c'était l'heure où on rentrait pour manger. Et les jours de congés on pouvait rester jusqu'à 20-21heure... De ce point de vue, je vois nettement moins de gamins maintenant qu'à l'époque sortir tard ( par gamin j'entends des 6-12 ans)

Dernière modification par debione ; 06/10/2017 à 15h57.
Citation :
Publié par znog
Donne des exemples précis : tout dépend de ce que tu appelles professionnaliser : ma fille de 4ème va avoir un stage de 3 jours dans une organisation/entreprise, par exemple c'est pas professionnalisant ? Calculer le nombre de pots de peintures pour refaire la façade d'une maison : professionnalisant ou pas ? Construire un train en techno c'est pas professionnalisant ?
Tout dépend du contexte. Je reprend ton exemple des pots de peinture.
C'est professionnalisant si on se contente de balancer la formule sans expliquer comment elle a été établie, sur quels principes etc...
Ca n'est pas professionnalisant si lu but est d'illustrer une notion plus abstraite (peut être la proportionnalité en maths par exemple)

Le stage de 4ème est non professionnalisant au sens où il permet de découvrir un métier, mais v-ce n'est pas dans le but de l'appliquer dans le court terme. La personne qui va prendre en charge ta fille n'est pas en train de former une future professionnelle.
Citation :
Bon, je suis con, seul mon point n°1 serait gratuit
Oui mais ça pose la question du statut de fonctionnaire, et personne n'est prêt à remettre cela en cause politiquement car c'est 5 millions de personnes dans la rue instant
Vers une énième réforme du brevet en*2018 http://www.lemonde.fr/education/arti...4_1473685.html

Alors que la gauche avait tenté d’introduire plus d’interdisciplinarité, le ministre Jean-Michel Blanquer propose de revenir à un examen aux épreuves cloisonnées.

Le « brevet 2017 » n’aura pas fait long feu. A peine réformé par la gauche, voilà l’examen déjà remanié en vue de la session de juin prochain

(..)

Le texte n’a rien de révolutionnaire. Il ne bouleverse pas l’architecture de l’examen, qui continuera à reposer pour partie sur des épreuves finales, pour partie sur du contrôle continu. Mais symboliquement, le changement compte. D’abord, parce que le ministère propose de revenir à des épreuves cloisonnées, discipline par discipline, quand la gauche avait tenté d’introduire plus d’interdisciplinarité au collège et donc dans l’examen qui en marque l’aboutissement.

Retour à une architecture plus classique

Selon le projet d’arrêté, le brevet 2018 comporterait quatre épreuves écrites : français, mathématiques, histoire-géographie et enseignement moral et civique, sciences (physique-chimie, SVT, technologie). S’y ajouterait un oral portant soit sur un projet mené dans le cadre des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), soit sur l’histoire des arts.

La tentative de regrouper les épreuves par blocs interdisciplinaires – un bloc littéraire d’un côté, un bloc scientifique de l’autre – n’aura donc pas fait long feu. Il est vrai qu’à écouter la communauté éducative, elle n’avait pas fonctionné, contribuant même à complexifier l’examen

(..)

La seconde inflexion est dans le rééquilibrage du barème. L’ancien gouvernement avait fait le choix de donner plus de poids à l’évaluation, en cours d’année, de la maîtrise du « socle commun » – ce bagage que tout élève doit avoir acquis à 16 ans. Il pesait pour 400 des 700 points totaux (contre 300 pour les épreuves finales).

Quasiment tous ces points étaient assurés avant même le début des écrits à un élève au niveau « satisfaisant ». Le « brevet Blanquer » entend donner autant de points aux épreuves finales qu’à l’acquisition du socle : 400 pour l’un, 400 pour l’autre, sur un total de 800 points.

(..)

Le brevet n’en est pas à sa première réforme ; 2011, 2013, 2017… : la durée de vie de chaque nouvelle formule n’a pas dépassé les quatre ans. Il fallait s’attendre à ce que le détricotage partiel de la réforme du collège 2016 – engagé par le ministre en juin –, ait des répercussions sur le diplôme.

Reste que Jean-Michel Blanquer se garde bien de trancher entre les deux logiques qui continuent à cohabiter dans le brevet : d’un côté, celle d’un examen final sur le modèle d’un « petit baccalauréat ». De l’autre, l’évaluation du socle commun censé être acquis par tous à l’issue du collège. Le résultat, c’est que le brevet reste un examen complexe et peu lisible dans ses finalités

Citation :
Publié par znog
Le résultat, c’est que le brevet reste un examen complexe et peu lisible dans ses finalités
La morale est sauve, les traditions sont respectées, tout est bien qui finit bien.
Super. Trop punk Blanquer.

Heureusement que pendant qu'on encule les mouches à Grenelle, il y a des profs qui continuent d'essayer de faire passer deux ou trois trucs à leurs élèves.
Citation :
Publié par znog
Selon le projet d’arrêté, le brevet 2018 comporterait quatre épreuves écrites : français, mathématiques, histoire-géographie et enseignement moral et civique, sciences (physique-chimie, SVT, technologie). S’y ajouterait un oral portant soit sur un projet mené dans le cadre des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), soit sur l’histoire des arts.
C'est assez rigolo qu'ils parlent de réduire les épreuves du BAC pour se focaliser sur les matières "essentiels" et qu'on est "autant" de matière pour le brevet....

Perso, si je devais réformer le brevet, je ferai Math et Français à l’écrit et basta... Ca fait le taffe coté "entrainement au BAC" et ca check l'essentiel (compter, lire, écrire) et c'est pas trop "violent" pour les élèves...

Car bon là, au final, le brevet va finir par avoir plus d’épreuves que le BAC général..... C'est surréaliste...
Il y a plus de diversités de matières au collège qu'au lycée, où les élèves sont dans différentes séries et peuvent avoir grossièrement 10 h de lettres ou 10 h de maths-physique (ok je triche un peu en mélangeant les deux).
Donc, ce n'est pas illogique imo.
Budget 2018 : la jeunesse sacrifiée par Piketty

Rien de nouveau par rapport à ce que moi et d'autres pouvons dénoncer à longueur de forum ici sur l'état catastrophique de l'enseignement supérieur en France et plus particulièrement des universités. Les Macron-fanboys&girls doivent bien être contents de leur entreprise de destruction néolibérale de la France. En à peine 6 mois, Macron est en train de réussir le challenge Thatcher qui plongera le pays dans la récession pour des années. Il détruit systématiquement tous les réseaux de soutien aux plus faibles : collectivités locales, associations (via la diminution des emplois aidés et via la baisse de rémunération du livret A). Il paupérise les classes déjà fragiles et rend le marché du travail "plus flexible". Il insulte rhétoriquement "ceux qui ne sont rien" en permanence. Aucune réponse adaptée à la lutte contre le terrorisme. Mais s'il n'y avait que cela. Non, Macron, dans la droite ligne de Hollande et Sarkozy, fait en sorte de tirer un trait clair sur l'avenir de la France en sous-finançant de manière consciente son enseignement supérieur. Mais bon, ce n'est pas grave, ce qui compte, c'est que les impôts des riches baissent, hein. Gavons-nous tant qu'il est temps, on laissera le pays exsangue et puis on ira prendre pour proie un autre pays ensuite.

Que ce soit au niveau justice, police, enseignement, armée, santé, bref fonctions régaliennes et/ou d'égalité entre citoyens, je le redis parce que je le pense de plus en plus fort chaque jour : nous sommes en train de devenir un pays du Tiers-Monde. A grande vitesse. Et encore plus vite depuis que Macron vient d'arriver au pouvoir. Ce quinquennat va être, après les coups de butoir de Sarkozy et Hollande, la ruine de la France. J'ai la haine.
Citation :
Publié par Visionmaster
Que ce soit au niveau justice, police, enseignement, armée, santé, bref fonctions régaliennes et/ou d'égalité entre citoyens, je le redis parce que je le pense de plus en plus fort chaque jour : nous sommes en train de devenir un pays du Tiers-Monde. A grande vitesse. Et encore plus vite depuis que Macron vient d'arriver au pouvoir. Ce quinquennat va être, après les coups de butoir de Sarkozy et Hollande, la ruine de la France. J'ai la haine.
Bref, "Mélénchon sauve-nous de l'apocalypse", on a compris
Citation :
Publié par znog
Bref, "Mélénchon sauve-nous de l'apocalypse", on a compris
Tu ne dois pas beaucoup me lire sur l'Agora, toi... Tu verrais que je ne tiens guère Mélenchon en estime.
Citation :
Publié par Visionmaster
Tu ne dois pas beaucoup me lire sur l'Agora, toi... Tu verrais que je ne tiens guère Mélenchon en estime.
bon alors quel est ton candidat pour nous sauver de l’Armageddon UMPSLR alors ? C'est pas le Pen au moins ?
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Publié par znog
bon alors quel est ton candidat pour nous sauver de l’Armageddon UMPSLR alors ? C'est pas le Pen au moins ?
L'espoir
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Publié par znog
bon alors quel est ton candidat pour nous sauver de l’Armageddon UMPSLR alors ? C'est pas le Pen au moins ?
Certainement pas... Hamon sans le communautarisme, Mélenchon sans les excès et l'illogisme de certaines de ses positions seraient déjà de bons débuts... Bref n'importe quel type qui est capable de proposer un autre modèle que le néolibéralisme et ce, de façon cohérente.

Ou un retour de Lionel Jospin avec 20 ans de moins .
Citation :
Publié par Visionmaster
Bref n'importe quel type qui est capable de proposer un autre modèle que le néolibéralisme et ce, de façon cohérente.

Ou un retour de Lionel Jospin avec 20 ans de moins .
Le ministre de l'économie de Jospin, c'était DSK.
Il était plutôt bon dans le rôle. Largement meilleur que tous ses successeurs en tout cas.
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