Alpha & Oméga
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13/09/2017, 14h37 |
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Alpha & Oméga
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13/09/2017, 14h37 |
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Alpha & Oméga
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13/09/2017, 15h19 |
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Pourquoi les femmes sont elles moins fortes en physique que les hommes (enfin, les filles que les garçons, parce que les adultes qui font de la physique sont rarissimes sur l'ensemble de la population...) ?
D'après des chercheurs de l'uvinerstié de Cabmrigde*, c'est parce qu'elles n'ont pas de bite. Ils en concluent qu'il faut diminuer la place des exercices de physiques partant d'histoire de lancer de projectiles. C'est idiot, ça revient à casser le thermomètre pour faire baisser la fièvre. La vraie solution est d'offrir aux filles des cônes en papier imperméable leur permettant à elles aussi de pisser partout autour des WC. * Je déconne, il s'agit en réalité de : " Anna Wilson of Abertay University along with Kate Wilson and David Low of the University of New South Wales Canberra". |
16/09/2017, 01h26 |
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Citation :
Et en bonus ça permet des économies d'eau |
16/09/2017, 02h11 |
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#177225
Invité
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Message supprimé par son auteur.
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16/09/2017, 03h45 |
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#177225 |
Alpha & Oméga
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18/09/2017, 23h07 |
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18/09/2017, 23h16 |
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22/09/2017, 18h16 |
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22/09/2017, 19h02 |
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Citation :
La dysménorrhée invalidante touche 80% des femmes selon Téva Santé, 80% des jeunes femmes selon la police les études médicales.
Les études concernant la dysménorrhée invalidante chez les femmes en âge de travailler ? Y'a pas, parce qu'on peut pas étudier vu que la dysménorrhée disparaît quand on pond des mômes, quand on prend une contraception hormonale par voie orale ou quand on arrête de bouffer chez MacDo trois fois par semaine. Du coup, on n'a pas de statistiques médicales concernant la dysménorrhée chez la femme adulte parce que y'a trop de biais dans les échantillons d'études disponibles. Par contre, on a des études qui prouvent le lien entre l'âge et la douleur des menstruations. Plus t'es jeune, plus t'as mal. Ça jette quelques suspicions sur l'extrapolation des chiffres sortis des études sur les adolescentes sur la population active des femmes adultes. On a aussi des études qui prouvent que la dysménorrhée secondaire est un symptôme d’endométriose, de fibrome, un DIU à changer, d'inflammation pelvienne, de MST, de stress ou d’anxiété, bref, que des trucs qui se traitent et se soignent mais pas dans un état où on légalise le fait de rester chez soi sans consulter un médecin parce qu'on a des douleurs pendant ses règles, comme si c'était normal. Dans le cas de la dysménorrhée primaire, c'est pas de bol, mais comme ça touche principalement des femmes qui ont été réglées très tôt, ça se traite bien même si c'est super relou et ça s'atténue fortement avec la stabilité sociale et l'hygiène de vie des adultes, et on estime à environ 10% le taux de femmes insensibles à tous les traitements. On y est bien là ? Allez, on fait un petit calcul rapide. En France, il y a 52% de femmes. On a un taux d'activité d'environ 55%. Admettons que 80% des femmes adultes ont des règles douloureuses. Donc 10% des 80% de femmes françaises qui travaillent, c'est 2,3% de la population. On va faire une loi discriminante pour 2,5% des femmes qui vivraient aussi bien si on autorisait la prise en cause de la dysménorrhée invalidante intraitable comme un handicap et la création d'un nouveau type d'aménagement du temps de travail qui ne soit pas organisé sur la semaine mais sur le mois. Au final, ce qu'on va obtenir, c'est l'inscription dans l'inconscient culturel que c'est normal d'avoir mal pendant ses règles alors que ça se traite, que ça peut être le symptôme d'une maladie autrement plus grave et qu'à partir du moment où tu es suivie par un médecin, les systèmes existants de gestion des handicaps, sous réserve d'une légère adaptation des aménagement de temps de travail, et de gestion des maladies sont largement suffisants. En vrai, pour que ça marche, il faudrait surtout sensibiliser les médecins généralistes, former la médecine du travail, monter des services dédiés comme il en existe pour la migraine ou les douleurs chronique mais surtout pas dire aux femmes de souffrir en silence en restant chez elles parce que Madame Schiappa la bipare les a comprises. Bref, c'est une belle connerie qui vise à défendre l'égalité par la différence. Il n'y a aucune raison de traiter la dysménorrhée invalidante autrement que n'importe quelle autre douleur chronique (coucou les migraineux) et une mesure pour améliorer les possibilité d'aménagement thérapeutique du temps de travail serait bénéfique à tous et pas seulement aux femmes. Et surtout, si on veut aider les femmes, on ne leur enfonce pas dans le crâne que c'est normal qu'elles souffrent et qu'elles n'ont qu'à rester à la maison en attendant que ça passe, et tout ça une fois par mois jusqu'à leur ménopause, quitte à laisser passer les premiers signes d'un fibrome pour finir stérile à 30 balais, parce que du coup, Maman travaille, ça va moins bien marcher si t'es pas maman parce qu'un fibrome t'as explosé l'utérus pendant que tu buvais de la verveine en te massant le nombril avant d'y déposer une bouillotte en congés menstruation chez toi. |
22/09/2017, 19h23 |
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22/09/2017, 21h49 |
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Ordonnances: le congé maternité pourrait être régi par un accord d'entreprise.
Parce que Maman travaille. Ça devrait largement compenser les effets négatifs à l'embauche du congé menstruation. Tout ça est très cohérent. |
23/09/2017, 21h20 |
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Citation :
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23/09/2017, 21h22 |
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Eric Fassin, qui avait déjà justifié les viols de Cologne en expliquant que s'en prendre spécifiquement à des blanches "donnaient un sens à leur violence", vient de signer une nouvelle tribune/pétition "contre la pénalisation du harcèlement de rue".
En compagnie d'autres illustres (Elizabeth Brown Université Panthéon-Sorbonne, Paris-I Natacha Chetcuti-Osorovitz Centrale Supélec et Idhes-ENS, Alice Debauche Université de Strasbourg, Pauline Delage Université Lumière, Lyon-II, Eric Fassin Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Claire Hancock Université Paris-Est Créteil, Maryse Jaspard Université Paris-I Panthéon-Sorbonne, Solenne Jouanneau Université de Strasbourg, Hanane Karimi Université de Strasbourg, Amandine Lebugle Ined, Véronique Le Goaziou Lames-CNRS, Marylène Lieber Université de Genève, Marta Roca i Escoda Université de Lausanne, Sylvie Tissot Université de Vincennes-Saint-Denis, Paris-VIII, Mathieu Trachman Ined.) ils expliquent deux choses : 1) les insultes et le harcèlement sont déjà interdits par la loi et surviennent ailleurs que dans la rue. 2) pénaliser le harcèlement de rue, c'est ciblé les "populations racisées" et "renforcer la répression et le contrôle des hommes des catégories défavorisées". Ils exigent donc que le projet soit retiré. On comprend donc bien, une fois de plus avec cette clique de fascistes déguisés en anti-racistes, que le droit des femmes à circuler librement ne saurait empiéter sur celui des hommes à en disposer librement dès l'instant que ces hommes sont "issus des populations racisées". Souvenez-vous "imposer le respect des femmes est un projet scandaleux". |
27/09/2017, 15h58 |
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La tribune en question sur le mode, si tout n'est pas complet/parfait, on refuse l'Agenda Caché.
Citation :
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Reste à voir si, en distinguant le harcèlement de rue d'un harcèlement d'entreprise ou dans un lieu privé, la loi ne se complexifie pas inutilement. J'en doute un peu car le cadre ne me parait pas être le même. |
27/09/2017, 16h49 |
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