CharlesMauriceKaleos |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par CharlesMauriceKaleos |
Aller à la page... |
La politique en Europe
Suivre Répondre |
|
Partager | Rechercher |
|
Citation :
Quelques extraits d'un article du Point : Citation :
Citation :
|
17/08/2017, 08h40 |
|
Ghainor/Rodrek |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Ghainor/Rodrek |
|
|
17/08/2017, 08h55 |
|
|
Des révélations sur la façon dont Israel cherche à s'appuyer sur les Eurosceptiques, Hongrie, Pologne, Tchéquie pour foutre la merde en Europe et faire cesser les demandes politiques de l'UE concernant les Palestiniens.
https://www.i24news.tv/fr/actu/inter...srael-de-folle Devant la réaction placide de la Hongrie, Netanyahu est carrément passé aux menaces... "L'Europe doit décider si elle veut vivre et s'épanouir, ou pourrir et disparaître. " |
17/08/2017, 11h26 |
|
|
Ah ben avec son allié historique qui caresse des néo nazis dans le sens du poil, il doit commencer un peu à pétocher lui aussi
|
17/08/2017, 11h34 |
|
CharlesMauriceKaleos |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par CharlesMauriceKaleos |
|
|
17/08/2017, 12h23 |
|
|
Ce fut dit avant que la GB invoque l'article 50, mais aussi après que Macron ait déclaré que le Brexit n'était pas inévitable (oui, oui, j’aurai du mettre une source).
Disons que ce ne serait pas la première fois que les Britanniques fassent pression pour obtenir quelque chose et que cela leur permette de sortie la tête haute au dépends des autres pays de la CEE. Cela rend d’ailleurs le Brexit (quasi) inévitable. |
17/08/2017, 22h21 |
|
|
Citation :
Bref "Brexit is Brexit", on a une idée toujours imprécise de la forme que cela va prendre, mais c'est inévitable. Et le bon coté c'est que de toutes manières, l'EU sera débarrassée du droit de veto britannique. |
18/08/2017, 15h27 |
|
|
Les premiers signes du fait qu'on n'aura pas de "progrès suffisants" en octobre et que le passage à la phase 2 des négociations sera retardé
Brexit: UK hopes of autumn trade talks 'will be dashed', says Slovenian PM The British government’s hopes of opening discussions on a future trade relationship this autumn will definitely be dashed by the European Union due to the slow progress of Brexit negotiations, one of 27 prime ministers who will make the decision has said. Miro Cerar, the prime minister of Slovenia, revealed in an interview with the Guardian that it had proved too difficult to close the differences between the two sides in the opening rounds of talks, with the UK producing some unrealistic proposals. https://www.theguardian.com/politics...s-slovenian-pm Autre chose, la stratégie de négociation : J'ai aussi appris que l'UE avait proposé de commencer les négociations discrètes plus tôt, mais que suite au blocage d'un ajustement du budget pour faire face à la crise d'immigration par le Royaume-Uni, l'offre avait été retirée. C'est une stratégie de négociation "tit for tat", la manière optimale de s'y prendre en théorie des jeux. À la base, tu fais des ouvertures constructives, mais lorsque la partie en face attaque, tu répond systématiquement. |
21/08/2017, 10h58 |
|
|
Londres refuse la compétence de la CJUE
Nouvelle illustration de la préférence du Gouvernement britannique pour un brexit dur, Londres a indiqué refuser la compétence directe de la Cour de Justice de l'Union européenne pour trancher les conflits qui pourraient apparaître une fois le Royaume-Uni sorti de l'UE.
http://www.lemonde.fr/referendum-sur...3_4872498.html En clair, le Royaume-Uni souhaite n'être soumis qu'à ses propres juges. C'est une considération qui se tient eut égard au fait que c'est un Etat souverain, mais elle empêche de fait tout accord de type Suisse ou Norvège. Dernière modification par Silgar ; 23/08/2017 à 17h06. |
23/08/2017, 11h38 |
|
|
Citation :
Britain could remain under the direct control of the European court of justice for years after Brexit, it has emerged, and still be forced to implement the court’s rulings on vexed issues such as immigration. The expanding scale of the prime minister’s climbdown over her promise to “take back control of British law” was revealed as the government published its latest position paper on dispute resolution before the next round of Brexit talks. While stressing that the range of options it contains are hypothetical, the government outlines only scenarios in which “direct” ECJ authority is eventually replaced by a new court or committee over which Europe maintains “indirect” control. https://www.theguardian.com/politics...r-years-brexit par ailleurs pour les années à venir, durant la transition, c'est encore plus clair Citation :
Les britanniques insistent pour commencer très vite les négo commerciales, mais l'UE s'y refusera dans qu'il n'y aura pas de "progrès suffisant" sur ces 3 prérequis. Le sentiment que j'ai c'est qu'on va voir le premier qui cligne des yeux entre deux véhicules qui se foncent dessus :
d'autre part, il est évident que l'on ne peut créer les fameuses "frontières invisibles" demandées dans leur mémoradum sur l’Irlande que si les règles légales et fiscales sont les mêmes des deux côtés. Donc en plus du droit de la famille, cette question de primauté du droit européen sera également bloquante pour le droit des affaires. Et avec les normes, on a également la question des barrières non-tarifaires. . Dernière modification par znog ; 23/08/2017 à 16h14. |
23/08/2017, 16h01 |
|
|
Citation :
Si l'on crée des cours suprêmes, c'est justement pour limiter les divergences jurisprudentielles entre des juridictions d'égales valeurs. La proposition britannique m'a tout l'air d'être foireuse. Quoiqu'il en soit cette proposition britannique est surtout un moyen d'accéder au marché unique sans avoir à en respecter les règles... règles qui sont interprétées uniformément sur le territoire de l'Union uniquement grâce à l'existence de la CJUE. |
23/08/2017, 17h20 |
|
|
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/20...judiciaire.php
Les ripoux ne renoncent jamais. J'espère que les Roumains parviendront encore une fois à les faire reculer. Je crois que la seule solution pour évacuer ce genre de vermine du pouvoir, c'est la prison. |
23/08/2017, 18h08 |
|
|
Citation :
(..) Mais Londres rappelle qu’aucun accord entre l’UE et le reste du monde n’est directement sous la juridiction de la CJUE. Les accords de libre-échange avec le Canada ou le Vietnam ont donné lieu à des modèles d’arbitrage, par exemple. Il souhaite une approche similaire pour les discussions sur le Brexit. Brexit*: Londres assouplit sa position sur la Cour de justice de l’UE http://www.lemonde.fr/international/...5642_3210.html |
24/08/2017, 10h17 |
|
|
Citation :
|
25/08/2017, 10h09 |
|
|
Depuis janvier 2016, la livre a perdu 25% par rapport à l'euro. Pour les touristes anglais, c'est souvent du £1 = 1€.
Le problème c'est qu'au lieu d'être une dévaluation compétitive, la GB continue d'importer massivement des biens de plus en plus coûteux. Du coup, au final tout ce qui en résulte c'est de l'inflation, donc une perte de valeur sans contrepartie. La chute de la monnaie britannique est directement liée au Brexit. La dévaluation initiale, juste après le référendum, a mécaniquement augmenté le prix des importations. Cela a provoqué une poussée d’inflation, qui atteint désormais 2,6 %. Dans le même temps, les salaires ne suivent pas et depuis six mois, les Britanniques voient leur pouvoir d’achat s’effriter. (..) Le nombre de visiteurs outre-Manche a atteint un record de janvier à juin, à 19,1 millions, une hausse de 9 % par rapport à l’année précédente. Les entreprises tournées vers l’étranger ont également de quoi célébrer. Les exportations ont progressé de 1,5 % au deuxième trimestre. Le problème est que ces avantages sont pour l’instant nettement inférieurs aux inconvénients. Les importations progressent encore plus vite, et la balance commerciale britannique s’est creusée depuis le vote en faveur du Brexit. Brexit*: la livre sterling en route vers la parité avec l’euro http://www.lemonde.fr/economie/artic...6863_3234.html Et bien sûr, l'investissement est au point mort : Le Brexit pèse aussi sur la confiance des entrepreneurs. Les investissements des entreprises ont stagné au deuxième trimestre, selon les dernières statistiques publiées jeudi. Impossible à l’heure actuelle de savoir à quoi ressemblera la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne fin mars 2019, quand le Brexit deviendra effectif. Y aura-t-il un nouvel accord de libre-échange ? Une période de transition ? A quelles conditions ? Difficile dans ce contexte de s’engager dans l’ouverture d’une nouvelle usine ou l’achat de machines-outils importantes. De ce côté-ci, une période de transition de plusieurs années permettra les longues négociations de séparation ne fera que prolonger cette incertitude et paralyser l'investissement.. L'alternative à l'incertitude et à la paralysie ? .. Délocaliser tout de suite : c'est déjà le cas des industries qui courent un risque ingérable et sont "facilement déplacables" chaînes de télévision à Dublin et Amsterdam, companie aérienne à Vienne, trading sur obligations européennes). Bref, les britanniques sont pressés de commencer les négociations commerciales, mais Barnier répond qu'il faut d'abord se mettre d'accord sur les droits des 3M de citoyens européens en GB, la facture du divorce (30-100 MM€) et le sac de nœuds explosif de l'Irlande du nord. Et que tant qu'il n'y a pas de progrès substantiels là-dessus, les discussions commerciales ne s'ouvriront pas. . Dernière modification par znog ; 26/08/2017 à 11h33. |
26/08/2017, 10h35 |
|
#543148
Invité
|
Message supprimé par son auteur.
|
26/08/2017, 11h48 |
|
#543148 |
Suivre Répondre |
Fil d'ariane
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|