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L'enseignement en France et à l'étranger
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#177225
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28/11/2016, 14h07 |
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#177225 |
#177225
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28/11/2016, 14h21 |
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#177225 |
#177225
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28/11/2016, 14h43 |
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#177225 |
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Citation :
Et sauf à partir dans des filières très spécialisées type prépa lettres ou licence de littérature classique, je doute que le handicap soit de nature scolaire : dans les séries scientifiques, l'accent est beaucoup mis sur le raisonnement logique, qui est une compétence parfaitement transférable dans les sciences humaines, et d'ailleurs assez attendue. Les séries littéraires doivent acquérir cette habitude sur le tas, à ma connaissance aucun enseignement n'y est dévolu. Et pour en revenir à la question de l'utilité des matières au lycée, le raisonnement tient autant des mathématiques que de la philosophie. Citation :
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28/11/2016, 15h36 |
#177225
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28/11/2016, 16h44 |
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#177225 |
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Citation :
Un bon élève va se faire rabacher "non faut pas faire bac pro, c'est pour les abruti" donc n'ira pas, alors qu'il aurai pu et aurai pu par la suite réussir dans l'enseignement supérieur. De plus, dans l'absolu, quel intérêt pour un BAC Pro de continuer les études par la suite, il peut bosser direct dans pas mal de cas... Donc a quoi bon ? En gros, les formations "dénigrés" le sont car ce sont toujours les même qu'on envoi la bas... Et comme ceux qu'on envoi sont les plus nul, ils réussissent pas leur étude supérieur (qu'ils auraient jamais pu réussir quelque soit le chemin). Donc les "bons" ne vont pas dans ces filiaires de peur de finir comme eux... Alors qu'il y a fort a parier que ce ne serait pas le cas... Quand je parle de Bac Pro, c'est aussi valable pour toutes les filiaires "courtes" qui ont mauvaise "presse". Quand on voit ce que gagne un plombier "moyen", relativement a ses études et ce que va gagner un généraliste... On se demande vraiment pourquoi "tous le monde" veut faire de grandes études... |
28/11/2016, 17h57 |
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CharlesMauriceKaleos |
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28/11/2016, 18h40 |
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Encore une enquête assez désastreuse pour la France sur le niveau en maths
Contrairement à ce qui se disait plus haut, et en comparaison internationale la filière S n'apparaît pas comme une filière d'élite : plutôt des élèves en quantité, mais avec un niveau médiocre...- Alors peut-être que comparativement nos autres filières sont encore pires, hein-. Sans doute quelques biais liés à la richesse du programme, mais les fondamentaux restent les mêmes : baisse des résultats, ségrégation. Augmentation de la proportion d'élèves en difficulté, mais ici même le niveau des meilleurs "l'élite" est en baisse. L’enquête internationale Timss, rendue publique mardi 29 novembre, décrit une chute des performances en terminale S et de lourdes difficultés en CM1. Les 4 870 élèves de l’échantillon français ont obtenu un score moyen de 488 points en mathématiques et de 487 points en sciences. C’est en deçà de la moyenne internationale (500) et européenne (525). En mathématiques, le quintette gagnant des pays ou économies asiatiques (Singapour, Hongkong, Corée, Taipei et Japon) devance la France de plus de 100 points, tandis que des pays voisins, avec lesquels notre école peut davantage se comparer (Allemagne, Suède, Pologne, Portugal, etc.), affichent des scores de 30 à 70 points supérieurs. Au ministère de l’éducation nationale, on fait profil bas. « Les résultats sont mauvais ; les élèves français sont en grand nombre peu performants, reconnaît-on au cabinet de Najat Vallaud-Belkacem. Par rapport aux pays de l’Union européenne, la France est relativement en retard. » L’inquiétant niveau des élèves français en maths et sciences http://www.lemonde.fr/education/arti...8_1473685.html Et c'est pas fini, on attend la sortie de PISA en décembre |
29/11/2016, 23h48 |
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Histoire de prolonger la remarque d'Aloïsius (que je partage dans son résultat même si pour moi tu parles autant de compétence que de processus d'évaluation) : https://rfp.revues.org/143
Et un autre moins critique : https://rfp.revues.org/2169 Pour moi, le soucis de la compétence n'est pas tant dans ses fondements théoriques (qui me semblent pertinents, quoique ça relève presque de l'accident), mais dans son appropriation sans discernement et dans le projet politique qui s'appuie dessus. Je trouve qu'il y a des points communs avec le communisme. Sur le papier, c'est intéressant. En pratique c'est systématiquement de la merde hors contexte hyper-particulier et non-transférable (donc non-reproductible), mais on trouve toute une armée d'idiots utiles prêts à expliquer que c'est génial et que ça marche, même et surtout quand ils n'y comprennent rien et ne savent pas de quoi ils parlent. Tenter de comprendre pourquoi son application engendre systématiquement un désastre est une chose, s'entêter à essayer des fois que cette fois ça fonctionne, c'est stupide. |
30/11/2016, 00h46 |
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