Recueil de Poèmes

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Pourkoi as-tu fais cela
Es-ce ma faute?
Hier tu te tenais encore là
Et maintenant tout saute

Comment es-ce possible
Pourkoi nous as tu tous quitté
Mon épée ne t'avais pas en cible
Pourtant elle t'as transpercé

Pourquoi l'as tu obligé?
T'es problème n'étais pas si important
Et a deux nous les aurions reglé
Pourkoi faut-il que dans ma betise je sois si grand

Tu t'es égaré
Car je t abandonné
Tu ne revienderas plus
Et je suis perdu

Pardonne moi mon amour
Pardonne moi de n'avoir rien fait
Pardonne moi mon amour
Je ne serais plus en paix

Mon épée brisé
Mon ame dechiré
Ton coeur transpersé
Et ta vie dispersé

Voila ce qui est par ma faute
La plus grande perte de se monde
Voila ce qui est par ma faute
La plus grande chose qui perdra mon monde.
Kelle est cette chose?
C toi mon amour?
Ai-je loupé la pose?
Tu ne peux pas etre là pour....

Tu est morte
Je doit rever
Tu est morte
tu ne peux etre a mes cotées

Mais....
C moi qui suis a t cotées
Je t'es rejoind dans ta paix
Mon amour est resté

Ce n'étais qu'un reve mon dieu
Mais g ma reponce
tout la haut dans les cieux
Le pardon est sa reponce

Kel bonheur mon amour
Dans mon coeur tu est
Dans mon coeur toujours
Je t'aimais je t'aimerais

Tu les as tous quittées
Mais tu reste dans ma tete, dans mon corps
Tu nous as tous quittées
Mais je ne te quiterrais que par le corps

(d'autre l'on dit mais...)
Je t'aimais, je t'aime, je t'aimerais
Et le ciel m'en ai témoin
Jamais je ne t'oublirais
Pas avant la fin des temps du moin.





Finalement c celui la le meilleur que g ecrit jusqu'a present meme si c n'est pas le meilleur construi. Clinc d'oeil a tout les lecteurs car je me sens extrement bien. Je m'incline bien bas devant vous tous car c ici que je trouve le meilleur endroit où m'evader. C la seul paye dont a besoin un disons artiste [hrp]si on veux [hrp]
Jim vous continuez de m'étonner, ce poème est très profond. Bravo. En voici un qui n'égale pas le vôtre. [HRP] J ai reussi a le poster sans me faire tuer par mes parents ; ) [/HRP]

Un bruit dans le vent

Comme une légère brise,
Soufflant au printemps,
Lorsque les arbres sont verts,
Qui me souffla ton nom,

Tu voyage à ta guise,
Tu prends bien ton temps,
Vif et mordant, tel un vent d'hiver,
Qui me souffle ton nom,

Tu es l'unique, tu es celle,
Qui pour moi, est de loin, la plus belle,
A l'Est de la lune, a l'Ouest du soleil,
Lorsque je t'aperçois, rien n'est plus pareil,

Telle une douce musique se propageant dans l'air,
Tu es venue à moi, qui fut seul sur cette terre,
D'aucun diront que c'est le destin,
Qui a réuni nos deux mains,

Ceux la auront raison,
De dire que nous nous aimons,
Belle comme le jour, splendide comme la nuit,
Dans le vent qui souffle, tu n'es pourtant qu'un bruit.
Les deux dragons

Regardez les nuages passer,
Blanc, gris et boursouflés,
Mus par le souffle d'un dragon enragé,
Crachant dans le ciel une épaisse fumée,

Soudain, la pluie se met à tomber,
Le tonnerre commence à gronder,
La battaille va bientot commencer,
Le bon et le mauvais dragons vont s'affronter,

A la fin, qui va gagner?
La victoire, qui va la remporter?
Le ciel devra pleurer,
La terre va s'effondrer,

Il ne restera que mysère et désolation,
Du sang coulera en-dessous des ponts,
Entendez vous les deux dragons?
L'un noir et mauvais, l'autre blanc et bon.
J'ai hate messire Oxayotl de découvrir d'autre de vos écrits. A vous aussi Messir Raynor. L'auberge est malheureusement bien vide mais j'ai encore un poème pour les derniers clients et pour vous mes amis.


Dans tes yeux

Je vais chercher dans tes yeux,
Chercher quelque chose de mieux,
Je me plonge dans un monde meilleur,
Dans tes yeux je trouve le bonheur,

Lorsque tes doigts me touchent,
Tes doigts si délicats,
Lorsque tes lèvres rencontrent ma bouche,
L'Amour que tu me porte, personne ne le connaitra,

Je contemple les nuages dans le ciel,
Je regarde le temps passé,
Un mois et plus, on dirait des années,
Plus je te connais, plus tu me semble belle.

Mais sache mon amour, que pour moi,
Peu importe le nombre de jours, d'années ou de mois,
Qui me séparera pour toujours de toi,
Jamais ton corps, de ma mémoire ne s'effacera.

Chaque fois que de nuit,
La lune se présentera a moi,
Chaque soir, dans mon ennui,
Je penserai à toi,

Pour qu'un peu plus soit marquée,
La signature éternelle que tu m'as laissée,
Et que l'arc tire le trait qui viendra percé,
Mon coeur, d'Amour, éclaté.
Maintenant et toujours
Je me souviendrais de toi
Comme au premier jour
Toi qui te tenais sur ce toit

Si haute, si belle
Toi la majestueuse
Toi la grande des estelles
Toi la beauté tueuse

Tu ma, sur ton toit aperçu
Et tu as reconnu là mon amour éperdue
Tu t penché vers moi
Et tu as sauté du toit

Si douce et si belle
Ton coeur tel emeraude
Rayonnante et si chaude
Gracieuse tu es une estelle

Tu n'est pas pres de moi
Mais c ici et la-bas que tu m'attendra
Tu n'est proche de moi
Mais ici mon coeur ne t'oublira

Je voudrais que tu me donne ton pardon
Pas pour ce que je n'ai fait
Car tu la deja fait
Mais car je n'ai pas ce don
De rester solitaire
Et que je suis comme l'aire

Mon coeur s'atachera a nouveau
Mais tu n'es disparaitra pas
Notre amour été le plus bo
Mon coeur se vide et je ne le suporterais pas

Tu n'es plus la
Mais je ne te dit pas adieu
Tu n'es plus la
Et on ce retrouvera aux cieux.
C un combat sans pareil
Il detruira mille merveilles
Ils sont si fort et si grand
Mais pourtant si bete et mechant

Voila au loin le sage
Voila au loin le fourbe
Deux etres si puissant
Crée en detruisant

Kel ironi que cela
L'un est bon, puissant et sage
L'autre mauvais, puissant et fourbe
Pourtant ils ne se battent pas pour le bien, le mal
Ils se battent car l'un d'eux doit pèrire

Voilà amis
Comment le combat centnaire
Opose ces etres uni
L'amour, la haine sont partenaire
Pourtant elles se font la guerre

Mais ici
Pas si loin
J'ai plus ou moin acompli
De banir la haine au loin

Pour toi mon amour
Rien ne saurais prendre ta place dans mon coeur
L'amour, la haine, la violance et la guerre
Ne font que détruire les hommes et leur peur
Mais je suis ici, là et dans la tour
Pour presèrver nos coeur et nos ames qui sont notre terre
Le vent soufle sur la pleine
Et sous la montagne d'éden
Tout mes compagnons s'amassent
Avec aux poings, épées, haches et masses

Nos armes sortient
Nous attendons l'énemies
Ma louve à ma droite
Mon aigle au-dessus de moi
J'ai les mains moitent
Et sur le coeur un poid

Le vent soufle sur la pleine
Et le brouillard ce lève
Les tintements de metaux que l'on traine
Ce fond entendre en ce dernier moment de trève

Mais les voilà!
La-bas, qui sortent de la foret
Il nous ressemblent et ne sont pas si laid
Mais pourtant nous allons les tuer

Plus un sons, plus un bruit
Ma louve ne bouge plus elle est attentive
Nos énemis sonnetn les corps et arrivent
Voila mon esprit claire comme l'eau du puit

J'ordonne aux archers
Et la premiere ligne tombe
J'ordonne aus catapultes
Et les projectiles tuent tel des bombes

La bataille est gagné d'avance
Ils n'ont aucune chance
Pourkoi les hommes
En font tjs des tonnes

Ce n'ait qu'une querelle
Entre deux rois en selle
Ce n'est qu'un massacre
Et tout ca pour un sacre

C decidé je par
Je ne turais pas
Ou plutot je ne massacrerais pas
Et j'espere que ce n'ai pas trop tard...
Citation :
Je m'excuse pour le dernier poème il est ce que je califirais de raté
Ne soyez pas trop dur envers vous même Sir Raynor, ce poème est très beau.
Nos textes sont pour vous divertire. Ce qui inclu tout les sentiment, la peine, la joie, l'amusement, la desolation ([hrp]le cafard[hrp]) mais surtout ce ne sont pas les poème que vous lisez qui doivent vous faire rire pleuré et autres... Mais c vous qui devez vous conformer a ce qui est ecrit. Je suis néanmoin dsl d'avoir posté telement de poème aussi noir. Mais merci encore merci toujour pour votre ospitalité et votre reconfort.

Bonsoir cheres amis
En voici un autre pour vous. Pas de rimes cette fois-ci.

Ange sombre

Tes cheveux d'un noir de jais,
Tombent éparses sur tes épaules,
Tels l'eau d'une cascade sauvage,
Se fracassant sur la roche saillante,

Tes yeux bleus pales, presque gris,
En ont déjà trop vu de la vie,
Tes lèvres pleines, ton petit nez,
Ta langue de miel, ta peau satinée,

D'une blanche pureté,
Cette peau de sang encrassée,
Le sang des innocents,
Ceux que tu as vu tomber,

Toi la walkyrie, toi qui vient chercher,
Les soldats courageux, les valeureux guerriers,
Pour une cause perdue, ils sont tous tombés,
La souffrance, la misère, tu en as trop vu,

Et maintenant, ce sont des larmes rouges,
Qui longent cette peau blanche et pâle,
Annonciatrice de mort ou délice de bonheur?
C'est de cette ange sombre que je suis amoureux,

Le linceul qui recouvre tes seins blancs,
Brodé d'or, tissé de fils d'argent,
Ce linceul pourtant, est taché de sang,
Car dans ce massacre, ton promis,

Celui pour qui tu aurais tout donné,
Tes ailes sombre, ton éternité,
Pour lui, tu aurais même donné ta vie,
Et a quelle bêtise a-t-il donné la sienne?

Le pouvoir d'un fou seigneur?
La paix factice de son pays?
La liberté, douce utopie?
Rien ne vaut que l'on donne sa vie,

Rien ne vaut d'embrasser la mort,
Et pourtant, ce soir tu y vas,
Tu vas te jeter dans ses bras,
Ses bras exsangue et froids,

En te jetant de cette falaise,
Tu vas rejoindre ton promis,
Ton amour perdu, toute ta vie,
Toi l'ange sombre, toi la walkyrie.
Je t'es rencontré
Et amoureux de toi je suis tombé
Jamais encore je ne t'es vu
Mais mon amour pour toi est éperdu

Tu la su dés le premier jour
Mais mon coeur était encore sombre
Je t'aime tu sais mon amour
Et dans mon coeur il n'y a plus d'ombre

Je sais, je suis sure
Que notre amour est le plus pure
J'ai de toi, seul ton coeur
Et avec cela je n'ai plus peur

Je ne l'aurais cru a nouveau possible
Mais mon âme la fait possible
Toi mon amour
Toi la seul pour toujours

Il est pour toi ce poème
Qui reflète mon coeur de bohème
Ma chérie
Pour toi mon esprit
Mon coeur
Mes rires et mes pleurs
Je salut bien bas Dame Tiana pour sont dernier chef-d'oeuvre. C l'un de ceux qui m'ont le plus plu vraiment. Salutation ma chere.
[hrp]je constate qu'entre Tiana et moi nous sont entrain de monopoliser ce poste [hrp] Si je le pouvais Madame je vous ferais un bisous sur le front. *s'incine bien bas et enleve son chapeau*
Merci à vous Sir Raynor *fais une longue révérence* Le votre est superbe également, et je suis heureuse de voir que vous exprimez a nouveau la joie de vivre dans vos écrits. Longue vie à vous.
Le vide de la salle ne décourage pas Tiana qui reprit son luth, la douce musique de son instrument fut bientôt couverte par sa voix.


Nuit

Par une nuit noire je cours,
Ne sachant point où aller,
Par une nuit noire je cours,
Je ne sais que trop bien où je vais,

Portée par le vol du corbeau,
Déposée dans cette forêt obscure,
Des larmes de chagrin coulant sur ma peau,
Ô Dieu! Pourquoi la vie est-elle si dure?

Par une nuit comme celle-ci,
Mon Amour me fut enlevé,
Par une nuit comme celle-ci,
On me l'a retiré,

Fini de geindre,
Je retourne aux cendres,
Je m'en vais peindre,
Une corde où me pendre.
Noir, seul dans la nuit
Ton unique pensé m'apporte le réconfort
Je quitte mon ennui
Et en rêvant de toi je quitte le port

Une lumière, un espoir, une envie
Me font oublier tout mes soucis
Ta lueur dans ma nuit
Me réveille et je quitte mon lit

Tes cheveux d'or crémeux
Tes yeux d'un vert ébahi
Me ramènent plus prés des cieux
Et plus proche de la vie

Ta voix raisonnant
Réveille en moi des sentiments enfouît
Tu as toujours été riante
Mais cette fois, il n'y a que pluies

Kel fatalité
Que de te voir ainsi
Je ne puis le supporter
Mais je ne peux bouger d'ici

Je ne peux que t'aimer par courrier
Mais cela m'as bc aidé
Te voir malheureuse en ce jour
Fend mon coeur plein d'amour

Je ne pense qu'a toi
Quand tu te sur ce toit
Et mon seul souci
Est aujourd'hui ta vie

Cette belle et gracieuse journée
Est cachée par ton coeur assombrit
Cette journée est de soleil baigné
Mais mon esprit s'épaissit
Eh bien merci à toi ça faisait bien longtemps que personne n'était passé et mon ami Raynor et moi même nous sentions bien seuls.

En voici un autre [hrp]écrit en cours mais chuuut [/hrp]


Crépuscule

Prélude à la nuit,
Ombre sur ma vie,
Triste et sans fin,
Tel un jour sans lendemain,

Seul, en attendant l'aurore,
Pleurant sans cesse sur mon sort,
Tête à tête avec la mort,
Mon âme quittant mon corps,

Prenant la plume pour vous conter,
Le désespoir de ma folle épopée,
Cette vie qui fut autrefois la mienne,
Que poussière je redevienne,

Prélude à la nuit,
Ombre sur ma vie,
Enfin arrive l'aurore,
L'heure approche de ma mort,

Pourquoi la folie des hommes,
Pourquoi m'ont-il condamné?
Pourquoi eux les hommes,
Pourquoi m'ont-ils abandonné?

Adieu misère,
Adieu le doute,
Adieu ma terre,
Je quitte la route,

Triste et sans fin,
Tel un jour sans lendemain,
Je rentre dans la nuit,
Je quitte cette vie.
De Naphylis Amandier de JolyVal : menestrel d'Alvencys
Que vos poèmes sont beaux, frères et soeurs,
Oserais-je me nommer ainsi,
Si je ne chantais aussi.
Je conte histoires et ballades,
Et chante la vie à mes heures.

[...]
Amour est-ce un mot ou un choix,
Amour pour moi n'est contrôlable,
Amour n'est pas un mot, c'est l'esprit
Amour c'est ce qui m'arrive
Amour c'est quand je te voie
Amour c'est quand je pense à toi
Amour, parce que tu existe
Amour n'existe que pour toi.
[...]
De Naphylis à sa Bien-Aimée...
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