[Soroia]

Mirai Nikki, à mon humble avis, tu peux foncer. La série -si on la compare au cliché shonen sans prise de tête- est tout de même au dessus du lot.

[-BlOodRaIn-]

Citation :

Publié par Chantelune

Pfff, et moi qui pensais que j'avais ptet finalement pas fait un four complet avec Saki...

Tu m'as redonné envie de regardez à nouveau Saki. Surtout depuis qu'on m'a appris les règles du Mahjong Mais y a tellement d'autres anime que j'ai pas vu que ça me ferrait perdre du temps de visionage sur un truc déjà vu ! (Dis je alors que ces derniers temps j'ai pas beaucoup regardé d'anime autres que les sorties.)

[Camelias]

Oué Kuragehime c'est sympa, bien que j'ai l'impression que ça ne soit pas si connu que ça. Faut juste être pas anti-kanahana

[Kastïelle & Shaïanaa]

J'aime bien j'ai le coffret collector avec la peluche Clara c'est trop choux!

Par contre ATTENTION il y a un bug sur l'un des DVD au niveau du sous-titrage mais Kaze le remplace gratuitement (même pas eu besoin d'un preuve d'achat!)

Il y a aussi le manga (la série reprend en gros les 5 premiers volumes), dispo en France chez Delcourt (5 tomes sortie pour le moment en France).

La série fait bien rire et ce n'est pas trop con-con pour du shojo, voila.

[Soroia]

Citation :

Publié par Camelias

Hotarubi no Mori e (2011) - Film

Vu et approuvé ! Vraiment un très bon petit film, une belle touche poétique. On en redemanderait des films comme ça.

[Camelias]

Sengoku basara

Petite explication :
Sengoku basara est une série de jeu de type Beat’em all.
Comme je ne suis pas connaisseuse des jeux, je parlerai juste de l’anime.
Il y a 2 saisons de 12 épisodes, 2 OAV et 1 film.

L’histoire :
Nous suivons tout un tas de protagonistes qui ont joué leur rôle dans l’histoire japonaise. Parmi eux, deux en particuliers se détachent :
Date Masamune, le dragon borgne, et Sanada Yukimura, le punching ball officiel de Takeda Shingen.
Nous suivons donc les principaux dirigeants des provinces du japon qui partent en guerre afin de conquérir le japon, mais...

Avis :
Côté scénario : Si vous voulez la vraie histoire de cette période, passez votre chemin, c’est pas vraiment l’intérêt de la chose, mais en fait quel est l’intérêt de la chose ?
Je ne suis pas non plus connaisseuse de la partie historique du japon à cette époque, ce que je sais juste c’est que les chevaux n’avaient pas de pots d’échappements à cette époque, même a aucune époque en fait, sisi ça j’en suis sûre.
Côté graphisme : C’est là où c’est fort, franchement, j’ai pas arrêté de me dire putain, ça pète grave quand même, merci I.G Production. Ici même nous avons des graphismes soignés et sérieux (pas trop quand même) bien sous tous rapports, c’est très agréable à regarder.
Côté bande son : OMG ces Openings, et l’ending de The Last Party (le film), juste génial quoi !!
Ça bouge bien !

Avis général :
Pourquoi je vous présente cet anime porté sur le bourrinisme et bourré d’anachronisme... car franchement on débranche les neurones inutiles, et on s’en prends pleins les mirettes, tellement c’est sympa et con à la fois.
Et dès qu’on a terminé un épisode on peut pas s’empêcher de lâcher des : Are you ready guys ?!, All right !, Come on !, You see ?, Have a party !, Here we go !!
Pourquoi regarder ? Car on peut pas s’empêcher de faire des parallèles avec des animes rigolos, je trouve certains délire assez coutumier de Gintama, et parce que, Date Masamune à grave la classe.

[Camelias]

Chihayafuru

Petite explication :
Chihayafuru c’est 26 épisodes et une 2ème saison en préparation.
Le Karuta est un jeu de rapidité utilisant comme support un jeu de carte.
Le début d’un poème est énoncé, et il faut trouver la suite, parmi les 50 cartes devant soit.
Si vous voulez en savoir plus sur les Cent poèmes, je vous conseille également de suivre Uta Koi, en diffusion cette saison.

L’histoire :
Chihaya est une jeune fille passionnée depuis son enfance par le Karuta, elle est très belle, mais n’en a pas vraiment conscience, elle ne vit que par et pour le Karuta.
Nous suivons en premier Chihaya toute jeune, devenant l’ami de Arata, qui l’initiera alors au Karuta, sous le regard du jaloux petit Taichi.
Plus tard la compétition fera rage, mais seulement pour la victoire ? Où aussi pour le coeur de Chihaya ? *place une touche d’intrigue*.

Avis :
Côté scénario : C’est incroyable comme un jeu de carte peut nous scotcher comme ça.
On se place facilement dans la peau de Chihaya, et on sue à grosse goutte en attendant la première syllabe prononcée du poème. Le côté triangle amoureux rend un petit piquant en plus à l’histoire, mais ne la plombe pas.
Côté graphisme : C’est très beau, Chihaya a toujours des têtes très rigolotes et je trouve que les épisodes sont tous soignés, sans parler du graphisme des yeux qui est assez agréable et unique dans leur genre.
Côté bande son : Rien à redire de ce côté.

Avis général :
Chihayafuru est vraiment un anime passionnant, même si on ne peut pas jouer en même temps que Chihaya, on ne peut s’empêcher de sentir son coeur faire des bonds à toute vitesse quand elle a ou loupe une carte.
Tous les personnages ont quelque chose de vraiment attachant. Pas de jalousie ou autre ici, que de la passion, et encore de la passion... pour le Karuta.

[Camelias]

Wasurenagumo

Petite explication : 1 OAV de 25 mn.
Chaque année 4 projets sont choisis pour recevoir une bourse afin de former les jeunes animateurs.
Ici nous avons le projet gagnant de 2011 chez Production I.G.

L’histoire :
Mizuki a un travail à mi-temps dans une bibliothèque de livres anciens, alors qu’elle fait la poussière sur l’un des livres qu’elle vient de recevoir, le sceau protégeant le livre, tombe au sol.
Il semble que quelque chose se soit échappé du livre et ère dans la bibliothèque.
Ami ou ennemi ?

Avis :
Côté scénario : On tombe peut-être dans un scénario déjà-vu (qui parle de Sakura ?), mais je pense que cet anime à vraiment sa part d’intrigue et de suspens.
Côté graphisme : C’est soigné, j’avoue que j’aimerai suivre plus d’anime comme celui-ci, j’ai tout de même noté que certains axe d’animations m’ont fait mal à la tête.
Côté bande son : Rien à redire de ce côté.

Avis général :
Wasurenagumo ne prendra que 25 minutes de votre temps, nous avons beaucoup d’humour dans cet épisode et certains personnages très attachant !!! J’espère qu’il vous plaira et vous surprendra agréablement.
Ps : merci de ne pas spoiler la fin, les gens sont bien trop curieux sur ce forum.

[-BlOodRaIn-]

Trois anime d'un coup ? Force pas trop mami sinon tu vas faire une attaque :x

Mais j'approuve ces trois animes, ils sont vraiment sympas.

[Ekureuil]

Ouah, trois d'un coup
Chihayafuru allait bien sortir de ta part de toute façon, il y a carrément un panneau publicitaire placardé à ton front

PS: J'ai toujours Hotarubi no mori e et Byousoku 5 cm qui trainent sur mon DD, j'ai jamais le temps de rien regarder

*rajoute les titres à sa liste*

Oh et sinon j'ai regardé Wasurenagumo, c'est sympa.

[Shyjun]

Saraiya Goyou





Genre: Slice of Life

Cette histoire se déroule à l'époque d'Edo et nous fait suivre un rônin, Masa, travaillant comme garde du corps, mais malheureusement pour lui sa personnalité ne lui permet jamais de satisfaire les seigneurs qui l'emploient malgré sa très bonne maîtrise de l'épée. C'est en étant à la recherche d'un poste de garde du corps que cet homme va faire la connaissance de Goyou, une bande de kidnappeurs.


Loin des animes se déroulant à cette époque mêlant action ou reprises de personnages historiques, Saraiya Goyou s'adonne plutôt au genre du slice of life, qui est plutôt rare dans ce genre de contexte. Cet anime nous fait suivre l'évolution des relations entre Masa et les différents membres de Goyou, en dévoilant petit à petit le passé de chacun et les raisons pour lesquelles ils se trouvent ici. Le scénario n'a rien d'exceptionnel, mais ce qui est superbe est la façon dont le tout est délivré et les personnages qui composent cet anime.


L'anime prend son temps sur chacune des scènes et n'essayent pas de précipiter le tout pour pouvoir adapter le manga dont il est tiré dans son intégralité. Cela résulte, grâce à des dialogues très bien écrits et travaillés, de donner vie aux personnages et de transcrire parfaitement les émotions qui les traversent. Pour un anime de 12 épisodes, les personnages sont extrêmement bien développés et peu d'animes peuvent se vanter d'avoir fait aussi bien avec si peu d'épisodes. Tous les personnages sont appréciables et loin des stéréotypes, même les sbires savent réfléchir et prendre des décisions par eux-mêmes plutôt qu'uniquement exécuter les ordres venant d'en haut.


En ce qui concerne l'animation, elle a sûrement due en dérouter plus d'un, mais j'ai trouvé que son originalité et son style se mêlaient parfaitement à cette histoire. Elle est l'un des facteurs permettant de donner vie aux personnages, par son excellent portrait de chacun et son détail.
La soundtrack est magnifique, un choix de musique correspondant parfaitement aux situations et très agréables à l'écoute, ne renforçant que les moments où elle intervient.


Au final cet anime ne vise pas un très grand public car il met l'accent sur ses dialogues et le développement de ses personnages, il n'y a aucune scène d'action à proprement parler. Si vous aimez le genre, c'est un anime de très bonne qualité et malgré le fait qu'il ne couvre pas l'intégralité du manga, l'adaptation a su être parfaitement gérée pour tenir en 12 épisodes et offrir un très bon ending.

[Camelias]

Bokura wa Minna Kawaisou

L’histoire :
Suite à la mutation de ses parents notre protagoniste, Usa-kun, se voit dans l’obligation de vivre dans une pension familiale. Quand il rencontre son voisin de chambre, son refus est immédiat, mais en apprenant que Ritsu, sa jolie senpai qui a toujours la tête dans les livres, vit elle aussi ici, il décide d’accepter cette situation.
Cependant il n’a pas encore rencontré tous les autres locataires et ceux-ci ne vont pas lui rendre la tâche facile pour se rapprocher de Ritsu.

Avis :
Côté scénario : On rentre dans le cliché habituel du gars dont les parents sont soudainement transférés et de bizarre comme par hasard, le voilà sous le même toit que la fille qu’il aime ! Et avouons-le, le scénario fait vraiment « Juliette, je t’aime ! » avec cette histoire de pension. Surtout quand on sait que l’un des persos est un gros pervers, l’autre une grosse pochtrone aux gros lolos… Mais voilà, ici les personnages secondaires sont super attachants (ahahaha), sans eux l’histoire serait vraiment banal, mais ils enchaînent blagues sur blagues (souvent un peu graveleuse), mais ça passe incroyablement bien. De plus Ritsu est intéressante, elle est simple et à la fois tellement passionnée par les livres que l’on ne peut que l’apprécier.
Côté graphisme : Le studio Brains Base à vraiment déchiré sur l’ambiance visuelle. On passe de personnages SD qui font des conneries, à des plans et personnages qui claquent visuellement. Il y a une ambiance dans cet anime et une très jolie ambiance. C’est beau.

Avis général :
Je me suis bien marrée sur cet anime, je ne l’attendais vraiment pas, le synopsis ne m’attirait pas plus que ça, mais Usa-kun est sympa on a envie qu’il réussisse dans son ‘entreprise’, mais à la fois c’est tellement génial de voir les autres locataires se moquer de lui et lui pourrir la vie. C’est également sympa d’avoir des personnages secondaires si bien développés, quoi qu’on aurait aimé les voir plus, non à vrai dire on aimerait avoir plus que 12 épisodes, c’est bien ça le point noir pour cet anime.
En gros, si vous avez envie de vous marrer un bon coup, foncez !

[Camelias]

Gin no saji

Petite explication :
Le graphisme ne vous est pas inconnu ? Normal, c’est Hiromu Arakawa la mangaka de Full Metal Alchemist, qui en est à l’origine. Il y a actuellement 2 saisons pour cet anime.

L’histoire :
Un peu perdu dans ses choix futurs, Hachiken est certain d’une chose, il souhaite mettre de la distance entre lui et ses parents. C’est donc tout naturellement qu’il a tourné son choix pour son futur lycée le plus éloigné possible et avec pensionnat. Le hic ? C’est un lycée agricole, et notre citadin plutôt doué pour les études, va avoir fort à faire pour s’intégrer dans ce milieu particulier.

Avis :
Côté scénario : La mangaka, Hiromu Arakawa, a le don pour nous créer une foule de personnages secondaires très sympathiques créant des situations particulièrement drôles.
Le problème c’est qu’on s’attache vite aux personnages. Hachiken ne déroge pas à la règle, c’est un cerveau en ébullition avec le cœur sur la main et ses commentaires face à ses péripéties sont assez amusantes. On apprend également pas mal de choses côté élevage/production ici, et le cadre à suivre à quelque chose d’inhabituel (sauf pour les habitués de Moyashimon) qui donne envie d’en voir et savoir plus.
Côté graphisme : Yabon ! Je dois développer ? On retrouve le style particulier de la mangaka, et le tout est très bien animé, y a rien à redire, donc du coup j’ai pas grand-chose à dire, c’est beau et bien.

Avis général :
On espère rapidement une prochaine saison pour cet anime, c’est un peu l’anime tranquille et à la fois prenant dont on aimerait avoir plus d’épisodes. Comme je l’ai déjà dis, tous les persos font mouches, et ils ont tous un côté déluré avec lesquels Hachiken ‘jongle’ à merveille. De plus la petite romance présente est bien amenée. Bref, je le dis souvent, mais foncez, c’est bon, mangez-en !
/!\ Avertissement /!\ : Cet anime possède de nombreuses scènes de gastronomie hautement explicite, je déconseille de regarder certains épisodes le frigo vide.

[Von]

Ah le retour du wiki découverte, bon choix

[Mormuth]

Citation :

Publié par Camelias

Gin no saji

A noter (parce que j'ai acheté le manga biographie de la mangaka donc je le sais) qu'elle a grandi dans un milieu rural justement elle même donc je pense qu'elle a pas mal puisé de ce qu'elle a connu

[Limpe]

Oh j'avais pas vu le retour ! Ma source d'inspiration animesque (ma liste des "à voir quoi) ne va cesser de grandir à nouveau

Citation :

Publié par Camelias

Bokura wa Minna Kawaisou

Je t'aime.

[Camelias]

Citation :

Publié par Mormuth

A noter (parce que j'ai acheté le manga biographie de la mangaka donc je le sais) qu'elle a grandi dans un milieu rural justement elle même donc je pense qu'elle a pas mal puisé de ce qu'elle a connu

Ça a l'air sympa, d'ailleurs je viens de tilter que j'avais oublié de mettre un message d'avertissement dans ma description, chose rétablie

Citation :

Publié par Limpe

Je t'aime.

Doucement, doucement, je suis pas habituée aux effusions de ce genre

[Shyjun]

Je vais essayer de t'aider à garder le thread en vie au moins quelques semaines si j'ai le temps d'écrire quelques fiches, depuis le temps je dois pouvoir conseiller plusieurs gemmes pas trop populaires qui sont pas sur le wiki.

[Shyjun]

Mahou Shoujo Tai

Le genre Mahou Shoujo s'est vu adapté sous de nombreux thèmes dans l'animation, que ce soit des classiques du genre rendu populaire par Sailor Moon ou une déconstruction du genre comme le récent Mahou Shoujo Madoka Magica. Ces anime sont pour la plupart basés sur le même principe: une écolière qui rencontre un animal magique lui donnant des pouvoirs magiques et devenant ainsi une Mahou Shoujo qui combattra les méchants avec ses amies.
Loin de là, Mahou Shou Tai Arusu n'a pour point commun avec ces anime que le nom "Mahou Shoujo". Cet anime fut l'unique série TV produite par le Studio 4°C (à l'exception d'un anime flash de deux minutes), plus connu pour les différents films et ova réalisés tels que Detroit Metal City, Mind Game ou récemment la trilogie de films adaptant Berserk. Au niveau du staff, pas de grands noms, avec pour directeur Ashino Yoshiaru qui n'avait pas d'expérience à ce poste avant cet anime et en charge du script Obara Shinji qui n'a... travaillé sur aucun autre anime jusqu'à aujourd'hui. L'anime est constitué de 40 épisodes de 9 minutes chacun diffusés de 2004 à 2005, l'avantage de ce format étant que les choses ne traînent pas dans chaque épisode et que les scènes s'enchaînent assez rapidement. 5 OVA ont également été produits en 2007 et sont des side stories intéressantes à voir pour la plupart si vous avez aimé l'anime.


Synopsis:

Alice découvre un jour un livre de magie et se retrouve transportée dans un autre monde. Elle va découvrir que ce monde est un royaume magique régi par des sorcières. Elle fera la connaissance de Sheila et Eva, deux apprentis sorcières, dont nous suivront les aventures et leur découverte du monde tout au long de l'histoire.


Un monde d'aventures!

Ce que j'ai réellement apprécié en visionnant cet anime c'est le monde qui est crée. Bien que d'un ton un peu enfantin, ce fût une très belle expérience de découvrir ce monde et toutes les règles qui le régissent en même temps qu'Alice. Toujours se rapportant à l'enfance, c'est un peu le genre de monde plein de créatures magiques dans lequel un enfant pourrait s'imaginer. Mais au contraire des anime destinés purement à un public très jeune, celui-ci vise une audience plus grande avec une très grande attention aux détails et un monde très riche, nous donnant le plaisir de retomber en enfance. A la manière des films classiques du Studio Ghibli, je pense que c'est le genre d'anime qui peut être apprécié aussi bien par des enfants que par des personnes plus âgés.

La première moitié de l'anime est principalement là pour nous permettre de nous familiariser avec son univers, les coutumes et les différentes factions présentes au travers de décors splendides avec un style graphique bien typique des production du Studio 4°C, toujours assez unique par rapport au reste, et une bande son entraînante.
On retrouvera également l'ambiance de cette première moitié dans les OVA.


Des personnages qui sortent grandis de cette aventure.



C'est dans la deuxième moitié que le scénario se lâche à toute vitesse, les évènements s'enchaînant assez rapidement. Et c'est là que l'on va voir le soin qui est apporté à la croissance des personnages et leur changement. En effet cet anime fait un bon boulot dans le département du "Coming of Age", avec nos personnages principaux qui sortent changés et grandis de ce qu'ils ont vécu. Le scénario est également très intéressant dans cette deuxième moitié avec de nombreux twists bien exploités. C'est à partir de là que j'ai vraiment enchaîné les épisodes et que j'ai réalisé à quel point l'attachement aux personnages lors de la première moitié était bien réalisé pour rendre cette deuxième partie fantastique.


Est-ce un anime fait pour vous?

En résumé, je pense que cet anime peut vous intéresser si vous avez envie de regarder quelque chose pour retomber en enfance, tout en ayant un scénario solide et des personnages attachants et très bien développés. Vous pourriez aussi être intéressé si vous voulez voir un Mahou Shoujo qui change complètement de ce que le genre offre habituellement. Enfin si je devais donner 3 mots qui me viennent à l'esprit à l'évocation de cet anime ce serait: imagination, créativité et aventures.

En espérant que vous passiez un bon moment si vous décider de le regarder, pour moi ce fût un vrai plaisir, particulièrement la deuxième moitié que j'ai trouvé très addictive.

Je vous laisse avec l'opening de l'anime qui illustre plutôt bien la richesse des décors et la créativité de l'anime.

[Camelias]

Toshokan Sensou (Library Wars) (2008)

Informations supplémentaires : 12 épisodes de 23 minutes + 1 épisode spécial et 1 film, qui lui, est sortit en 2012.

L’histoire :
La loi de régulations des médias contrôle les publications qui violent l’intégrité de l’ordre public et ses traditions. La Commission de Régulation des Médias se charge de la censure en ayant souvent usage de la force. C’est lors d’une descente de la Commision de Régulation des Médias dans une librairie que Kasahara Iku se trouve pour la première fois confrontée à la loi et aux brigades de la Commission.
Ceux-ci s’apprêtaient à confisquer un livre pour enfant qu’elle aller acheter quand une personne de la force bibliothécaire du Kanto, la force armée des bibliothèques, vole à sa rescousse et fait naître en elle, admiration et passion pour la défense des livres.
Nous suivons donc, quelques années plus tard Kasahara au sein des forces spéciales de la Bibliothèque.

Avis :
Côté scénario : Kasahara Iku est une tête brûlée, elle agit plus vite qu’elle ne réfléchit ce qui lui vaut pas mal de soucis, et son instructeur aura bien des soucis à lui faire entendre raison. Nous suivons ici, toute une équipe affiliée à la bibliothèque, ainsi que son entraînement.
Mine de rien, il y a beaucoup d’action et d’humour dans cet anime. Le ton est très sérieux concernant les enquêtes mais l’équipe en elle-même a énormément de différends à gérer (et dans l’humour), du coup l’anime se regarde vite sans sentiment de lourdeur.
Côté graphisme : 2008 et pas une ride !
Et oui, l’anime pourrait être sortit cette saison que l’on y verrait que du feu. C’est toujours aussi bien visuellement, non en fait je vois pas pourquoi je commente, c’est parfait visuellement. Au top.

Avis général :
C’est un anime qui n’inspire pas vis-à-vis de son scénario, et pourtant rien qu’à relancer l’épisode 01 pour faire le résumé, que je me suis surprise à me marrer devant l’anime et à vouloir m’enchaîner la suite. J’ai aussi poussé un : « OH ! »de surprise, car j’avais oublié certains détails !
C’est vraiment un bon anime, solide côté scénario mais à la fois, une équipe qui fait bien le show et qui intéresse.
Je dirais qu’on a peu d’animes de ce genre et qui ne tournent pas dans le fanservice de nos jours.
Bref une perle bien cachée, mais une perle quand même.

[Togepri]

J'avais pas remarqué la remontée de ce topic, en période de vacances, c'est parfait.

[Camelias]

Uchuu Kyoudai (Space Brothers) (2012)

Complément d’informations : 99 épisodes (et oui ! Mais ça vaut le coup), 1 OAV et 1 film en 2012 et un film pour août 2014.

L’histoire :
Nanba Mutta et son frère Hibito avaient des rêves étant jeunes.
Aller dans l’espace était celui qui faisait vibrer leur cœur, et en grandissant les deux frères ont prit des chemins différents.
Alors que Hibito suit son rêve et un entraînement poussé à la NASA, Mutta lui est licencié de son emploi dans le milieu automobile, pour avoir agressé son patron (plutôt génialement d’ailleurs… Zidane !!!).
Alors qu’il écume les petits boulots pour s’en sortir (ou sortir de chez lui, c’est selon ), l’envie de réaliser son rêve avec son frère est de plus en plus pressante.
Il décide alors de passer les examens pour rejoindre la JAXA (l’Agence Aérospatiale Japonaise).

Avis :
Côté scénario : Mutta est un loser, mais un loser vachement doué. Il a un cerveau et le fait fonctionner, le souci c’est qu’il les attire justement… les soucis.
On suit surtout ce personnage au début, et surtout la façon dont il gère les difficultés, les examens, les conflits. Sa façon de penser n’a rien d’extraordinaire en soit, mais il a quelques dons qui le font passer pour un excentrique et un génie (les deux vont souvent ensemble d’ailleurs).
Je pourrais parler longuement du personnage de Mutta, mais je vais continuer sur le reste.
Ici on parle aussi surtout de l’espace, de la lune, des astronautes et on apprend pas mal de choses. On est surtout curieux de voir comment se passe les examens, comment sont recrutés les candidats, les qualités recherchés, et Mutta devra se faire sa propre identité. Car il est difficile de percer dans un milieu ou son frère est déjà tellement réputé.

Côté graphisme : C’est un anime avec son propre style graphique.
Il n’y a pas vraiment d’action à proprement parlé ou les plans doivent s’enchaîner rapidement, on est plus dans le discours et les plans scrollé. Donc une animation de folie n’est pas nécessaire.
C’est joli et ça passe à l’as. C’est plus l’histoire qui attire.

Côté bande son : Pas mal d’opening, d’ending et les BGM sont sympa, bon après 99 épisodes c’est sûr que les BGM ont commence à les retenir !

Avis général :
C’est génial !
Alors oui, il y a 99 épisodes dont certains traînent en longueur car le manga est toujours en parution, donc il y a pas mal de flashback et de façons de gagner du temps. Mais une fois qu’on a mis les yeux sur cet anime on a qu’une envie, c’est d’en voir plus.
On se pose beaucoup de questions sur la façon dont Mutta va se sortir des situations, et certaines fois, pour ceux qui suivaient hebdomadairement la série, l’attente était un supplice.
Vous avez de la chance, vous, vous pourrez les enchaîner !
Pour moi c’est vraiment à voir, pas de violence, de fanservice, un mec ‘normal’ qui essaie de faire de son mieux et sa façon de voir les choses est amusantes, et rends les situations très drôles !

[Camelias]

Chouyaku Hyakuninisshu : Uta Koi (2012)

Petite explication :
Le titre complet est Chouyaku Hyakuninisshu : Uta Koi, mais pour des raisons pratiques on dit plutôt Uta Koi.
Le Hyakunin isshu est un recueil de poèmes (waka) compilé par Fujiwara no Teika pendant l’époque Heian (794–1185/1192), l'âge d'or de la poésie japonaise de cour.
Le titre de ce recueil se lit, Cent poèmes, cent poètes.
C'est en effet une compilation de poèmes fait par cent poètes différents et qui comporte donc cent poèmes.
C’est également ces poèmes qui sont utilisés pour le Karuta, si vous ne connaissez pas le Karuta, précipitez-vous sur Chihayafuru (déjà présenté ici).

L’histoire :
Le premier épisode introduira Ariwara no Narihira lors de sa rencontre avec la belle Fujiwara no Takaiko. Lui est un beau parleur et un irrécupérable séducteur, elle est la future femme de l’empereur. Leurs destins vont se croiser et s’effleurer, mais la réalité sera bien cruelle.
Ariwara no Narihira restera l’un des fils conducteur des 6 premiers épisodes. Sei Shonagon (Les notes de chevet), Murasaki Shikibu (Le Dit du Genji), prendront la suite.

Avis :
Côté scénario : Ici nous suivons les auteurs de ces poèmes et surtout, l'histoire qui entoure la création de ces poèmes, comme la plupart des poèmes (43 !) parlent d'amour, c'est surtout ce sujet qui sera évoqué dans les épisodes. Mais même s'il y a de la romance, il y aussi beaucoup d'humour.
Côté graphisme : Les graphismes plaisent ou déplaisent, moi j’étais aux anges en voyant ça, j’ai trouvé ça magnifique, hélas, certaines de mes connaissances n’ont pas regardé à cause de ces graphismes spéciaux.
Beaucoup de motifs figés et de gros traits pour les contours, moi j'ai aimé !
Il y a un côté très traditionnel qui se dégage de cet anime, les paysages ont le touché d’une aquarelle et l’on retrouve pas mal de motifs liés au japon ; nuage, vague, érables, etc… dans beaucoup de plan ainsi que sur les vêtements.

Avis général :
C’est beau, je suis même sûre d’avoir dû verser ma petite larme sur certains épisodes, hélas je dirai que c’est souvent trop court pour s’attacher aux personnages, mais les voir à différentes époques de leurs vies m’a fait comme un pincement au cœur.
Mais c’était très beau de voir qu’après avoir marqué leur époque chacun était honoré à sa façon par les générations suivantes.
C’est joli et joliment écrit.
De la douceur en rouleau compresseur, faites-vous un thé, sortez les madeleines et installez-vous.
Ps : l'épisode 06 est du grand n'importe quoi, d'ailleurs chaque épisode commence par un petit délire

[Lilva]

Mahou Shoujo Tai me tente bien. J'ai l'impression qu'il est loin des poncifs du genre. D'ailleurs j'ai entendu récemment parler d'un Anime de Magical où les fillettes ne sont pas du tout proprettes et gentilles. Vous en avez entendu parler ?

[Rafa]

Citation :

Publié par Lilva

Mahou Shoujo Tai me tente bien. J'ai l'impression qu'il est loin des poncifs du genre. D'ailleurs j'ai entendu récemment parler d'un Anime de Magical où les fillettes ne sont pas du tout proprettes et gentilles. Vous en avez entendu parler ?

Et beh, personne d'autre n'a l'air inspiré ^^

Quand on parle de séries de magical girls qui vont à l'encontre du genre, on cite souvent Madoka Magica. Mais bon, en l'occurrence les fillettes sont plutôt du genre gentil dans le fond, c'est ce qui leur arrive qui est vache.
Sinon je penserais bien aux aînées dans Fate/kaleid, Rin et Luvia, qui ont vraiment un sale caractère. Tellement que du coup, leurs pouvoirs ont été refilés aux héroïnes de la série qui sont bien plus raisonnables. Mais ça m'étonnerait *très* fortement que ce soit ce que tu recherches.

Si tu as plus d'infos sur ton titre (date approximative, thèmes abordés, anecdotes...), je pense que ça aiderait pas mal à retrouver cet anime =)