Elradriel, le prodige.

 
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Coucou tout le monde, bon tout d'abord sachez que ce texte qui suis, je l'ai fais pendant les vacances, pendant les moments ou je m’en merdé un peu, surtout le soir, c'est la première fois que je fais ça donc, j'accepte les grosses critiques mais s'il vous plait qu'elle sois construite pour que j'améliore, sur ce merci de me lire, et pour savoir si je vous donne la suite.

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1) Le Prodige s’éveille.
Ma mère étais enceinte, l’accouchement était proche, mon père était très nerveux.
-« Femmes ! Venez m’aider, ma femme va accoucher !
-J’arrive ! s’écria une femme du village, … A quel state est-elle ?
-Le bébé va arriver, dépêchez-vous ma femme souffre ! »
Après plusieurs minutes pénibles, j’étais en vie, ma mère affaiblie, passa dans une cabane ou elle se reposa longuement, quant à mon père, il était fou de joie, il me prit dans ses bras et me parla.
-« Mon fils, tu t’appelleras Elradriel tu seras un brave guerrier comme ton père, tu fais partie de la famille des Hustan, fière famille de combattants rapprochés du roi. Tu ne trahiras point ta patrie et protégera ton roi jusqu’à la mort »
Je ne comprenais pas ce que mon père me disait, mais je ressentis une si forte confiance et assurance dans ses paroles, qu’elles ne pouvaient que me rendre plus fort. Ma mère reprit bientôt ses forces et rejoignit la hutte familiale joyeuse.
2) L’entrainement du jeune Hustan.
Plusieurs années étaient passées, j’atteignis l’âge de 8 ans, mon père décida de me faire commencer l’entrainement de guerrier …
Au petit matin :
-« Elradriel ! Debout !
-Mais … Papa, il est 6 heures …
-Justement, c’est parfais pour commencer ton entrainement.
-Quel entrainement ?
-Ton entrainement de guerrier mon fils, tu ne deviendras jamais aussi fort que ton père en trainant dans les bibliothèques du château et en dormant jusqu’à pas d’heure. Allez debout !
-D’accord père j’arrive.
-Je t’attends dans la cour, n’oublie pas ton épée et ton bouclier. »
Je pris une dizaine de minutes pour me lever, je me passai un peu d’eau sur la tête et accouru avec mon épée en bois et mon lourd bouclier de fer dans la cour intérieur.
-« Tu as été bien long !
-Oui mais j’ai …
-Pas de « mais » … prépare toi ! »
Mon père avec son épée en bois commença à m’attaquer avec de petit coup que je bloquais très maladroitement, mon père me le reprocha :
-« TA POSTURE ! Ne t’effondre pas en dessous de ton bouclier lorsque tu bloques, reste droit ! Fier ! Tu es un guerrier Hustan !
-Il est trop lourd !
-Ne me réponds pas ! Pense que je suis un albionnien qui n’hésitera pas à te trancher au premier point faible qu’il te trouvera ! Maintenant en garde ! Je vais te montrer comment on frappe ! »
Mon père se courba, et fonça sur moi, il m’envoya un coup d’épée qui me fit lâcher mon bouclier et me renversa. Ce coup si puissant avait brisé mon bouclier lourd comme une feuille de papier.
-« Ahahaha mon fils, mes coups te font tourner la tête. Lève-toi, tu vas maintenant m’attaquer.
-Heu … dois-je frapper fort ?
-Donne tout ce que tu as !
J’empoignai mon épée et lâcha mon bouclier, je courus vers mon père et l’asséna de coups.
Malgré tous ces efforts, mon père restait droit, le bouclier bloquait les coups mais ne bougeait pas. Je me fatiguai rapidement, bientôt je lâchai mon épée, épuisé.
-« Bien, bien, ta force de frappe est impressionnante pour ton âge ...
Cependant tu te fatigue vite, je compte sur toi pour travailler ces aspects tout seul.
-Oui père ».
Epuisé par cette journée, je m’en allai dans ma chambre et m’écroula sur le lit.
3) Un Hustan pas comme les autres.
Quelques années se suivirent, je commençais à bien manier la lance et le bouclier, les entrainements devenaient de plus en plus pénibles, je préfère étudier les livres mystérieux.
Voilà trois mois que je m’entraine, l’évolution ce fait sentir, seulement, je ne progresse pas à l’allure désirée par mon père, ceci déclenche énormément de conflits entre nous pendant les entrainements.
-« Elradriel ! Ce n’ai pas possible ! Ton bouclier ! Combien de fois devrai-je te dire de le garder pendant les assauts que tu me fais !
-Le bouclier m’encombre, cela ralenti ma course et ma vitesse de frappe !
-NE ME REPONDS PAS ! Ton bouclier est ta principale défense. Et puis comment ce fait ’il que tu es toujours aussi épuisé après un minime assaut !
-Je pense que tu le sauras assez rapidement père : Répliquai-je négligemment en partant dans mes appartements. »
Énervé de toute ces querelles, je m’isolât dans la bibliothèque et m'y instruisis toute la nuit.
Nan car J'ai encore continué ce texte et il m'en reste beaucoup et si le texte et pas mal je continuerais encore même en étant plus en vacance

Pour ce qui est de 6heures du matin tu as raison mais les hommes ce savais pas ce repéré au par rapport au soleil avant ?
je veux pas trop m'avancer mais il devait dans un premier temps se reperer a des choses visibles tel que les ombres le chant du coq etc... au lever disons qu'ils n'avaient pas forcement de cadran solaire de poche

Autrement j'aime bien c'est ecris simplement sans trop de fioritures c'est frais a lire
ce qui me choque dans ce texte : que diable

a cette époque , le seul fait de prononcer ces injures portait malheur et si une personne prévenait un homme d'eglise de ces faits , l'homme en question serai considéré comme hérétique et brûlé sur le bûché.
Citation :
Publié par Thoirine

Enervé, de toutes ces querelles, je m’isolai dans la bibliothèque et m’instruit toute la nuit.
petite faute de francais , je dirai plûtot :

énervé de ces querelles , je m'isolat dans la bibliothèque et m'y instruisis toute la nuit
Je te remercie pour m'avoir répondu et oui il est vrai que ce sont des fautes et ainsi que "que diable" je vais corriger ça tout de suite.

Voulais vous avoir la suite ?
 

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