[Ys] [hib] Pour ma petite princesse....

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Sublime éclat des sens
Mêlés à jamais dans l’immensité des étoiles
Toi, qui su m’ôter toutes souffrances
Je t’offre à genoux mon amour au-delà de tout scandale

De mes bras tendus
Tels les branches du plus grand chêne
Je brigues à devenir ton amant défendu
Et cela même à l’apogée de ton règne

Légitimité désemparée
Ironie des ans passés
Me voilà sans délai
Plongé dans cet océan de jais

Oublié dans l’amour, j’ai tout ignoré
Grandir loin de lui, me voici purifié
Les yeux ouvert, je me remémores le refrain
De celui, qui un jour trouva son chemin

Je chante d’une voix muette
Je danse dans l’immobilité
Serais-je un jour ton esthète ?
Celui qui a ton bras, t’accompagnera pour l’éternité

Légitimité désemparée
Ironie des ans passés
Me voilà sans délai
Plongé dans cet océan de jais

Offrir son Amour
En recueillir la sève du bonheur
Sourire d’un jour
Conscience étrange, délicieuse torpeur

Ne plus rien renier
Goûter à cette gracieuse sensation
D’un songe pour toujours lié
A ce vaste univers entremêlé d’émotions

Légitimité désemparée
Ironie des ans passés
Me voilà sans délai
Plongé dans cet océan de jais

Sodade
Citation :
Provient du message de Dean

Dean apperçoit, son coeur, sa vie... fuir, tourmentée par il ne sait quoi, encore. Il la poursuit et malgré l longue distance les séparant, fini par la rattraper. Essouflé, il la regarde tendrement, mais perçoit dans son humide regard la détresse et la souffrance d'une femme bafouée.
- Mon amour, mon coeur, Hurri... que se passe-t-il ?
Elle lui explique en larme, le récit de ce parchemin et les vers qui l'ont assassinée...

Dean souriant, lui conte ceci :
- Mon amour, je n'ai fait que retranscrire le chant inconscient d'une inconnue. Il ne m'était pas adressé, encore moins à toi. Cette femme devait pleurer son homme oublié, ou disparu au combat... parfois ce que notre subconscient retranscrit est détourné et influencé par notre propre vie.

Il lui tendit un blanc papier sali d'encre, et lui souffla dans l'oreille : - "lit"

Voici ce que sa caligraphie avait dessinée :


Si vous poursuivez la rivière
Son lit vous guidera vers un paradis
Au fin fond d'un haut bois imaginaire
Là, où deux étranges oiseaux ont fait leur nid

Cérémonie, sous la protection du vent
Le regard de la dame de la forêt
Feuilles d'automne sur un air planant
Le chant sauvage qui ne s'éteindra jamais

Dans la souche creuse, d'un arbre vassal
Une colombe d'une pure blancheur
Et un aigle au plumage bleu royal
Tiennent en bec, fleurs de couleur

Se tenant devant eux, un écureuil roux
Prononce dans le langage de la nature
Les sacrements écrient dans le coeur d'un loup
Afin que le mariage bénit, dure....

Les yeux de la belle, se relève vers le champion...
Lui, pourtant, n'éprouvant jamais aucune gène, s'agenouille timidement... maladroit, sort de sa besace, une alliance de lières étranges, lui enfile tremblottant... tout juste bégayant, il prononce ces mots :

- Dame de mes jours, dame de mes nuits, donnez à celui dont le coeur pleure lorque vous n'êtes à ses cotés, l'honneur de vous montrer en publique en clamant : "Regardez ma femme, comme elle est belle...Oui, Ô nobles étrangers, regardez cette rose c'est pour moi que ses pétales resplendissent."

Il attend la fixant, le temps s'arrêtant... ne reprendra ou s'effacera qu'une fois la réponse avouée...



< laissant sa main dans la sienne, regardant au loin comme absente, elle ressent le souffle lui parler:

" A la tendre rosée du matin
Elle rêvera au beau lendemain
Lui tenant fort serrée la main

Du bleu profond de ses yeux
S'allumera un éclat précieux
Moment fugace, vaporeux

Elle dira Oui à son Empire
Souffle naissant d'un soupir
Riant apres le sourire

Acceptera le lien de lierre
Fin cercle entourant le vair
Se retournera sculpture altière

Les voeux enfin se touchent
Leur promettant vie douce
Eux qui ont retrouvé La Source"


Elle a comptemplé le jeune guerrier au devant d'elle agenouillé, un sourire a commencé à poindre, malgré les yeux encore embués>


Hurricane
Je ne vois pas de trolls ici, je m'en vais réparer cette injustice et vous livrer quand je le pourrais mes compositions et vous verrez que les trolls ne sont pas si sauvages et que les midgardiens ne sont pas si froid non plus

A Ailinne, au pied de la forteresse
Se disent les messages les plus doux
C'est là, où se donnent rendez-vous
Les êtres emplient de tendresses

Malgré toutes les batailes et guerres
Ils ont construit un nouvel Eden
En haut, s'envolent les peines
En bas, naissent les vers...

Jamais ils ne cesseront d'écrire
Resassant les mêmes thèmes
Divers façons de dire : "je t'aime"
Alors qu'Ailinne subit le pire

Dans les prairies d'Hibernia
Les passions sont murmurées
La victoire n'est pas au bout de l'épée
Mais se conte, non loin d'Emain Macha

Tout cet amour régnant me dégoûte,
Pourtant je suis la, curieuse, j'écoute..

Tant de niaiserie venant d'un homme,
Je ne peux me contenir, je m'en gausse..

Comment une femme peut tomber bien bas,
Un jour, oui ce jour, sonnera le glas..

Cette donzelle, de tout son coeur, pleurera,
Car le tendre amant un jour partira..

Il est temps de fuir, loin de lui, allez!

Vous êtes fou de croire à ce sentiment,
Qui parait-il mènerait au firmament..

Elle, aussi perfide que son doux aimé,
Par d'autres hommes, échange, de doux baisers..

Tous! tous! vous vous laissez enrôler,
Lorsque l'on vous dit, à jamais..je t'aimerai..

Stupidité tout ce faux semblant, c'est révoltant!
Cessez donc, oubliez! Etes-vous donc ignorants?

Posez donc plumes, papier jauni et encres..


Nalae LaFurie.

Qu'il est bien triste
Ce coeur si aigri
La main d'une artiste
Mais une plume moisie

Le souffle de l'enfer
Les mots salivés
Dans quelques vers
D'une désespérée

Si l'amour vous fuit
Si hommes partent
Peut être par ennui
Par dégout de la tarte

Changer d'attitude
Ouvrez vous aux rêves
Montez en altitude
Ou juste une trêve


----------------------------------------------------------

Oui, je suis niais
Je le serais à jamais
Oui, je suis sot
Quand ne sors mot

Demain peut être la fin
Demain peut être chagrin
Comme hier fut le début
Comme hier fut le vécu

Que d'autres l'embrassent
Si elle ne s'en lasse
Je les comprends aussi
Car J'en ai souvent envie

Vous parlez d'avenir
Que pouvez vous prédir ?
Est ce là tous vos écrits ?
Est ce là votre esprit ?



PS : rien de perso, je trouvais intéressant d'écrire de suite ce que m'inspirait ce poème.
Le plus drôle c'est que ce que vous dépeignez par niaiserie est simplement la croyance en l'amour même si à travers ces vers on y perçoit que la naiveté du thème.
Je ne suis pas le seul à trouver ça beau (sentiment), alors laissez nous encore un peu rêver, et n'oubliez pas d'arroser les oeillets des tombes de vos histoires (amoureuses...)
A l'amour, la guerre, je me suis essayée, mais..
Il n'y a que les mots qui me font rêver.


Quand j'entend le doux chant du rossignolet,
Comme une feuille, je me met à trembler..
Les caresses et les tendres baisers volés,
Ne sont que faiblesse mais une si douce melopée..

A l'amour, la guerre, je me suis essayée, mais..
Il n'y a que les mots qui me font rêver.


Quand mes armes affutées encore de sang, sont maculées,
Je ferme les yeux me mettant à imaginer..
Quelle sensation serait de voir mon corps transformé,
En une lame glaçiale et si joliement dessinée..

A l'amour, la guerre, je me suis essayée, mais..
Il n'y a que les mots qui me font rêver.


L'homme et la lame sont tout deux néfastes et fourbes,
Mais qui ne céderait pas au devant de ces sensuelles courbes..
Lorsque la nuit dépose doucement son drap de satin noir,
Alors ni rixes ni débauches n'en font parties, mais l'espoir..

A l'amour, la guerre, je me suis essayée, mais..
Il n'y a que les mots qui me font rêver.


L'espoir un jour de t'entendre dire,
Ni guerre, ni amour, n'éffaceront ton délicieux et enfantin rire..

A l'amour, la guerre, je n'ai surement rien compris..
Et mes mots pour toi, par toi, resteront incompris..



Nalae LaFurie.


Ps: Ce n'était pas dans le but de vous offenser, loin de moi cette idée..juste une autre vision d'une lectrice qui apprécie les poèmes de ce thread..enfin..Je m'en retourne arroser les oeillets...
point d'offense je trouve au contraire que vous pigmentez de trés jolie manière ce topic, ma réponse était simplement, je l'espère, dans la méme verve que votre intervention...
A Nalae...



Vous voici parmi nous réunie
De vos mots avez touché ici
Je naime pas votre voix
Mais en apprécie l'éclat

Vous paraissez tant renier
Ce qui nous fait rêver
L'amour est si subtil
Bien que parfois puéril

Mais le voir, le caresser
Juste un peu le gouter
Est comme un fruit défendu
Un miel que l'on a répandu

J'aime cet état, douce transe
Qui réveille l'empire des sens
Sensualite recherchée
De ce qui nous fait danser

Laissez vous donc un peu aller
Ne gardez pas coeur ignoré
De ce qui peut toucher
Acceptez le don partagé

Si un jour il vous trouve
Vous cesserez d'être louve
Deviendrez comme l'agneau
Et trouverez cela beau ...

.....................................................................................................


L'amour est une passion, une déraison,
A chaque instant, il vous surprend

Il vous frôle, sans avertir
De ce que sera votre avenir

A son contact, les rires s'élèvent
A son impact, les larmes crèvent

L'amour est tourbillon, parfois une prison
Mais aussi un tel abandon, un don

Etre soi même, avec celui qu'on aime
Ne plus retenir ce qui nous fait frémir

Trouver cette liberté qui nous a apeuré
Faire éclater ce dont nous avons revé

Bon sang ! Amour tu es ma raison!
Sans toi je n'ai plus de nom!



....................................................................................................



Jamais je ne trouverai les mots ....
Pour expliquer ce qui est si beau!
Je n'ai pas la prétention d'être fine poétesse
Je ne suis qu'une humble servante,druidesse,

Mais quand je le vois arrivant dans mes bras,
Je sens venir quelque chose, tout au fond de moi

Je cherche les mots qui naitraient pour lui
Mais ne peux que lui offrir ma vie

J'attend son regard brûlant, ses mots charmants
Ceux qui me font voir autre chose que le noir

Lui qui m'enlève tendrement la fine épine,
Que les aléats ont planté en moi divine

Je n'ai de talents que pour soigner
Les coeurs, les âmes, et les plaies

Mais pour lui je serai, resterai à jamais
Une femme comme j'en ai souvent rêvé

Oubliant en ces instants passées à ses côtés
La destinée que l'on m'a donnée


Hurricane

Je voudrais respirer ton air
Je voudrais toucher tes doigts
Etre pour toi le ouveau cerbère
Celui que tu nommeras ton roi

Je voudrais voir avec tes yeux
Je voudrais avoir ton sourire
Etre le gardien de tes lieux
Celui qui te fera tout découvrir

Je voudrais marcher sur tes pas
Je voudrais effleurer tes lèvres
Etre le protecteur de tes joies
Celui qui te donnera la fièvre

Je voudrais reflèter ton image
Je voudrais avoir ta patience
Etre ton oiseau de passage
Celui qui te volera l'innocence.

Comment pouvez vous continuer à rêver,
Quand par l'amour, beaucoup sont déchirés..

Il est vrai pourtant, un instant, j'y ai pensé,
Mais en ouvrant les yeux, j'ai retrouvé, la dur réalité..

Ou est donc l'Hérault parlant au nom de l'Amour?
Je ne vois que médisants, ces sales vautours..

Donnez moi un baiser, pour l'éternité, je le garderais,
Offrez moi de belles pensées, pour agayer mes sombres journées..

Aimer, Haïr , pour le meilleur ou pour le pire,
Cela revient sûrement au même, laissez moi en rire..

Je ne dénigre pas les amoureux, les jolis coeurs,
Mais ce n'est que repousser sa déchéance, son heure..

Je ne peux vous promettre d'être plus receptive,
A cette chose, qui pour elle, vous semblez vivre..

Nalae LaFurie.
Espoir
Douce harmonie, tendre miroir
Doux transport lorsque de ta présence
Je saisis a nouveau l’espoir
Ardentes prières, ma ressemblance

Offrande a toutes ces voix silencieuses
Je t’offre la plus belle des confidences
Comme une étreinte amoureuse
Loin de toutes apparences

Des lignes de ma main
Le tracé à sa guise
Ébauche sur un parchemin
Une arabesque exquise

La musique des mots
S’évade et recommence
Et font frémir l’écho
Mêlé d’espérance

Les avis me sont odieux
A qui me conseille d’être sage
Car à travers tes vœux
J’exprime enfin mon adage

Une lettre tracée au bord de l’océan
Errance d’un jeune bohémien
Qui s’attarde à jamais suppliant
Fouetté et brûlé par l’embrun

Un homme change ainsi qu’au ciel font les nuages
Il me reste un morceau de vie à remplir de miracles
Ta main tendrement sur mon visage
Ton nom est le nom que je donne à l’oracle

Sodade

Il n a pas su profiter de ce moment
La mine d'or s'était pourtant ouverte
La jeune fille s'était pourtant offerte
Mais lui... Il a joué au "galant"

Il aurait dû cesser de la regarder
Quand elle attendait sa tendresse
Quand elle suppliait ses caresses
Lui... il ne l'a pas entendu l'apppeler

Il aurait pu jouer de ses mains
Quand elle a décroisé ses genoux
Quand elle a dégagé l'aire de son cou
Mais lui.. Il pensait déjà à demain

Il espèrait la retrouver sur même banc
Mais la mine d'or avait disparu
Ja jeune fille n'était jamais revenue
Si seulement lui... ll n'avait fait semblant.


Il a voulu te surprendre
Son épée aurait pu te fendre
Si tu ne t'étais pas défendue
Tu n'aurais jamais survécu

Si, aujourd'hui, tu meurs
Ce ne sera que de bonheur
Sa défenderesse n'est aiguisée
Que pour t'emporter...

Tu as esquivé ses premiers pas
A la double force de tes bras
Tu as du relâcher ton attention
Sans imaginer sa réaction

Il a déposé son arme à terre
Retiré son armure de fer
Le corps nu fini par tomber
Car au coeur tu avais touché

A toi j'offre mon aurore
Celle qui luit même dans la nuit
Devant laquelle s'incline l'or
Et qui nous eblouie sans bruit

A toi j'offre mes trésors
Ceux que je gardais bien cachés
A ceux qui auraient voulu les voler
Et me pourfendre le corps

A toi j'offre mon coeur
Que tu as su emprisonner
Par tes éspérances et tes peurs
J'aspire à les combler

A toi j'offre ma main
Pour tous les lendemains
Que tu feras chanter
Et qui me feront danser




Elle a quelque chose d'ailleurs
Un "je ne sais quoi" d'autre part
Quand pose sur moi son regard
Le départ repousse son heure

Quelque fois, la peur des autres
Pourrais m'éloigner d'elle
Comme bruler sur un autel
Saîntes prédictions d'un apôtre

Laissons faire la justice des corps
Car elle n'obéit qu'à celle ci
La gitane guérisseuse me maudit
Griffe, et jusqu'au sang me mord

Elle, elle m'a totalement intoxiqué
De l'extase venimeux du plaisir
Mystifiant mes réticences au plaisir
Soulageant la retenue condensée

Quand elle espère la fin de la nuit
Je peux maintenant lui promettre
Toute l'absurdité de mon être
Pour prolonger la durée de sa vie

La garder, la protéger contre moi
Racourcir son envie de partir
Lorsque le soleil veut rajeunir
Sa silhouaite encore dans mes bras

Qui saura me dire les mots de la fin
Les Murmures des blessures cachées
Quand elle franchit la porte fermée
Lorsque mon âme dormait, au matin...
Jyahena
Mon regard par dessus les vallons
Un doigt pointé au firmament
J’aperçois le seigneur de cette région
Et d’un geste l’invite lentement

Cabres toi mon fier destrier
Gardes ta posture
Et quand enfin il sera a tes pieds
Imposes lui ta démesure

Seigneur, face à moi tu te présentes
Fléaux de l’humanité, tu m’appartiens
Oh Jyahena, ma lame, mon amante
Goûtes le sang de ce chien

Mérites tu la miséricorde ?
Toi qui incita à la ruine et au meurtre
Des larmes de souffrance je t’accordes
Expies tes péchés tel un pleutre

Jyahena au scintillement mortel
Je t’invites à lécher l’impie
Et de ta force libères l’escarcelle
Pour en vider le pue de l’ignominie

Corps flasque, obésité grotesque
Je te vois enfin
Tel que tu reste
Jyahena a tracé son arabesque

Sodade
Jyahena II
La première chose qu’il vit
Fut un lourd anneau de fer
Le métal en était poli
Et reflétait la lumière

Gouttes de sang ruisselantes
Son corps marqué de stigmates
Il redressa sa tête pendante
Ses mains étaient écarlates

Les plaies suggéraient mille souffrances
Rictus de fauve, ses yeux brûlaient intensément
Ce sourire effroyable en apparence
Prémices d’une vengeance dans son accomplissement

Titubant, il tenta de se redresser
Il fixa avec une étrange fascination
Les chaînes qui le maintenaient prisonnier
Un cri de rage en écho à cette frustration

Vagues tangibles d’amertume
Abysses de terreur inconnue
Voilés par les brumes
L’espoir à jamais disparut …

Sodade
Jyahena III
Enchantement et nécromancie
Le sang celte qui coulait dans ses veines
Répondait au coté sombre de ses ennemis
Comme l’aspect lugubre de cette scène

L’éclat de ce dôme pourpre et or
Avait quelque chose d’effrayant
Age incroyablement ancien de ce décor
Cité aux mystères démoniaques et menaçants

Ces ruines se dressaient fièrement
Luisant d’une vie coupable et maléfique
Tel le fleuve des âmes, dérivant
Lumière froide, blanche et cynique

Les instincts primitifs
Les sens aiguisés
Il comprit le péril imminent, instinctif
D’une vie hasardeuse et constamment menacée

Agenouillé, scrutant l’obscurité
Quelle chose stupéfiante
Viendrai à se produire malgré
Cette quiétude terrifiante ? …

Sodade

Il ramasse des fleurs...
Pour lui offrir son coeur
Pour lui faire un jardin
Pour l'épouser au matin

Il ne peut se passer d'elle
Quand la rivière ruisselle
Quand la forêt viellie
Quand le ciel devient gris

Elle connait la musique
Les chansons féériques
Les poèmes qu'il conte
Les histoires qu'il raconte

Elle a appris à l'aimer
Sans jamais regretter
Sans même avoir eu peur
Sans repousser une fleur...


Te rappelles-tu nos bras de fer
Pour une soute, pour un verre
Nous étions comme deux frères
Embarquer sur une même galère

Nous avons croisé le baton et l'épée
Pour combattre ensemble l'éternité
Nous ne parlions jamais de fraternité
Mais, uniquement de combativité

Te rappelles-tu de cette princesse
Qui soigna ton coeur en détresse
Qui partit sans laisser d'adresse
Par ce qu'elle devint ma maîtresse

Pardonne moi tout ce que je t'ai pris
Je l'ai fait, honte à moi, par jalousie
Ne condamne pas celui qui t'as trahi
Il ne voulait être que ton ami...

à mon demi-frère le petit elfe : Gambyman...
Message hors-roleplay
Oui, ces textes sont postés sur deux topics de ce site, mais ont aussi des petits supléments dû à leurs univers respectifs
Heureux de te voir de passage mon ami
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