Aller à la page... |
Films super gore
Suivre Répondre |
|
Partager | Rechercher |
Prophète / Prophétesse
|
Est-ce que Salo, ou les 120 jours de Sodome rentre dans votre catégorie de film gore?
Parce que dans le genre dégueulasse.. il est fort. |
01/06/2008, 22h29 |
|
Voldar/Tarneis |
Voir le profil public |
Trouver plus de messages par Voldar/Tarneis |
|
|
02/06/2008, 10h32 |
|
|
J'avais lu pas mal de truc a propos de ce film, et ça avait effectivement l'air assez génial !
__________________
For Mother Russia |
05/06/2008, 15h13 |
|
|
Je me permet une petite nécro de ce thread parce que cannibal holocaust y fut évoqué.
Hier soir je zappais et je suis tombé (sur Ciné FX chaine spécialisée dans les séries Z horrifiques) sur Cannibal World de Bruno Mattei, un remake fait en 2003 de Cannibal Holocaust -et pas du "Monde Cannibale" de J.Franco, comme son titre trompeur pourrait le laisser supposer- (devant le revival des films de zombies ou de mutants et autres monuments du gore, les italiens n'ont pas dù vouloir rester en reste, à mon avis le revival cannibale n'en est qu'à son commencement). L'histoire donc d'un groupe de reporters partant filmer des cannibales en Amazonie et après moultes exactions Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
finissent eux mêmes bouffés. (NdA : je sais pas si ça méritait un "spoiler") Ben je dois dire ce fut une expérience hillarante, et je ne puis que recommander ce films à tous les fans de comique semi-volontaire basé sur un mélange de gore et de maladroite critique de la société du spectacle ; ... à ce niveau même le surestimé Diary of the Dead de Romero ne lui arrive pas à la cheville. Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
Dans Diary of the Dead, les cameramen n'arrivent pas à s'empécher de filmer même quand les zombis leur foncent dessus ou dévorent leurs potes ? Et c'est loin d'être le seul moment culte de ce film. Tout le scénario, l'évolution on ne peut plus improbable des personnages, la manière de le tourner même (avec une qualité et une absence de travail de l'image évoquant un film X, et faisant par conséquent apparaitre pour ce qu'ils sont les boyaux animaux utilisés lors des scènes d'antropophagie ; les interprètes d'ailleurs semblent également venir de cette branche du cinéma comme en attestent leurs pseudos -"Cindy Matic"- ou leur inénarrable jeu d'acteur), tout participe à ce monument absolu du genre. Le plus fort demeurant les scènes au siège de la chaine pour laquelle travaillent les héros. Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
Où on constate qu'alors qu'ils massacrent eux mêmes les indigènes pour bidouiller leur reportage sur une fausse guerre entre tribus indiennes ils envoient l'intégralité des images à leurs producteurs, dont celles les montrant incendiant eux mêmes le village. Un hommage vibrant à la série Z d'autrefois, où on ignore à tout moment ce qui est à voir comme du premier degré ou une volontaire auto-parodie (la scène finale, clairement troisième degré, Cliquez ce bouton ou survolez le contenu pour afficher le spoiler
où après le massacre de leur équipe par les cannibales les producteurs décident vu son audimat record de continuer l'émission en recréant leurs reporteurs à l'aide d'images virtuelles semble indiquer que le réalisateur avait conscience du ridicule de l'ensemble, mais on ignore si elle fut ajoutée au scénario pour lui offrir l'alibi du "mon intention était parodique". En tout cas, la critique ne s'y est pas trompé et le film a reçu une note de 3.5 sur nanarland, devançant même la plupart des films de Jean Rollin et autres monuments de la grande époque d'Eurociné. |
17/12/2009, 15h16 |
|
Suivre Répondre |
Fil d'ariane
Connectés sur ce fil1 connecté (0 membre et 1 invité)
Afficher la liste détaillée des connectés
|