Le thread des textes de Sombreloup

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Yop,

Encouragé par le travail de Un message, je vous livre à mon tour un petit truc que j'ai bidouillé. A vous de juger.

Monsieur Bogey

- Ils disent que vous n’existez pas… Monsieur Bogey. Ils disent que…que vous êtes dans ma tête et que…c’est moi qui vous ai inventé.
Le visage enfoui dans son oreiller, l’enfant pleurait à chaudes larmes.

Monsieur Bogey était son seul véritable ami, celui à qui elle confiait tous ses secrets, qui la consolait lorsqu’elle avait un chagrin, qui ne se moquait jamais d’elle et qui serait toujours là. Pourquoi papa et maman étaient-ils aussi méchants ?
Une chanson, La chanson, vint à nouveau flotter ses oreilles comme une brise légère.
Elle retint ses sanglots et écouta.
- Monsieur Bogey… ? C’est vous ?
Oui ! C’était lui, la chanson ne pouvait la tromper.

« …veux-tu, veux-tu donc jouer avec moi ? Les grands sont partis, surtout, pas un souffle, pas un bruit… »

- J’arrive, Monsieur Bogey, chuchota-t-elle.
Elle pencha la tête et regarda sous le lit. La porte, une toute petite porte en bois, était ouverte. Lentement, en faisant le moins de bruit possible, elle se laissa glisser jusqu’au sol et rampa, traversa le petit couloir juste assez large pour elle, avant d’arriver de l’autre côté et de descendre précautionneusement les marches, pénétrant dans la « maison de Monsieur Bogey », comme elle l’avait appelée. Même si ce n’était pas vraiment une maison.
Monsieur Bogey était un farceur et aimait beaucoup se déguiser. À chaque fois qu’elle lui rendait visite pour jouer, Monsieur Bogey portait un costume différent et, pour que ce soit encore plus vrai, il déguisait aussi sa demeure. Parfois une ferme, parfois une fête foraine, parfois l’Afrique, quand il portait un costume de lion… Ainsi se passaient les choses, dans le royaume de Monsieur Bogey.

Ce soir, c’était soir de bal !

Les rues étaient pleines d’enfants gris - les autres amis de Monsieur Bogey mais qu’il avait dû punir parce qu’ils avaient été méchant, il le lui avait dit en secret - ils portaient tous des déguisements de toutes les couleurs et dansaient joyeusement en jetant des confettis en l’air.
Son costume à elle était une jolie robe blanche à dentelles et un diadème avec des perles comme les vraies princesses.
Tous les autres enfants l’applaudirent lorsqu’elle arriva et qu’elle salua comme une vraie princesse avant de se laisser entraîner dans la danse.
Sa tristesse n’était déjà plus qu’un souvenir lorsque Monsieur Bogey la rejoignit, en habits de prince.
Il lui prit les mains et ils dansèrent et rirent beaucoup toute la nuit.

*

- Aujourd’hui à l’école, je me suis encore disputée avec cette chipie de Cathy. Elle m’a dit que j’étais folle parce que j’avais un ami imaginaire. Je l’ai pincée et elle a fait semblant de pleurer. La maîtresse n’a pas voulu me croire quand je lui ai dit que vous existiez, Monsieur Bogey. Alors, elle m’a punie. C’est la faute de Cathy, je voudrais qu’elle meure !
De rage, elle serra le poing et frappa son oreiller.
- Que dites-vous ? Jouer ? Maintenant ? Mais…il est tard.
Elle rit et plaqua ses mains sur sa bouche pour ne pas que papa et maman l’entendent. Monsieur Bogey racontait toujours de drôles d’histoires pour la faire rigoler et pour qu’elle acceptât de venir jouer.
- D’accord Monsieur Bogey, je viens.

*

- Tout de suite après l’école, Maman m’a emmenée voir un monsieur très gentil. Un spécialiste je crois. Il m’a posé plein de questions sur moi et sur vous, Monsieur Bogey. Lui, il m’a dit qu’il me croyait, il ne m’a pas traitée de toquée comme les autres.
Non, ne vous en faites pas, je ne lui ai pas raconté nos secrets, je ne suis pas sotte.
À la fin, il m’a donné un bonbon et maman m’a dit qu’elle était contente. Maman est bizarre parfois.
Non, Cathy n’était pas à l’école aujourd’hui. J’espère qu’elle a attrapé un gros rhume.
Comment ? Vous avez une surprise pour moi Monsieur Bogey ?
Monsieur Bogey n’avait pas besoin d’en dire plus. Elle adorait les surprises et se laissa guider par sa curiosité qui la mena sous le lit et lui fit à nouveau passer la porte de Monsieur Bogey.
Ce soir, ce n’était pas un soir de jeu. La maison n’était pas déguisée.
Elle arriva directement dans le salon obscur, éclairé uniquement par le feu dans la cheminée. Monsieur Bogey était assis dans son grand fauteuil en toile.
Quand elle approcha, il se tourna et lui montra une petite fille parmi les enfants gris qui se trouvaient dans la pièce et attendaient sans bouger, comme des statues.
C’était Cathy. Cathy était devenue une enfant grise ! Monsieur Bogey l’avait punie ! Elle ne put s’empêcher de rire. Pour une surprise, c’était une surprise ! Merci Monsieur Bogey !
Monsieur Bogey lui sourit avec ses vieilles dents. Normal, c’était un vieux monsieur.


Ce soir-là, tante Emily et son mari invitèrent papa et maman au théâtre. L’enfant
et sa cousine, Mary-Elisabeth, furent gardés par la nurse, madame Winifred.
La petite fille aimait bien Mary-Elisabeth, suffisamment pour qu’elle décide de la mettre dans la confidence sur l’existence de Monsieur Bogey.
- Allons, tu te moques de moi !
Évidemment, ce n’était pas très facile à croire, comme histoire. Elle n’en voulut pas à sa cousine et décida de lui présenter directement Monsieur Bogey. Comme ça, elle se rendrait compte par elle-même qu’il existait bel et bien.
Mary-Elisabeth était d’un naturel curieux et se laissa rapidement convaincre. Après tout, un coup d’œil, ça ne coûtait rien.
Une fois sous le lit, l’enfant frappa doucement à la porte de la maison de Monsieur Bogey et attendit qu’elle s’ouvre d’elle-même, sous les yeux grands ouverts de Mary-Elisabeth.
- Viens donc, tu vas voir, Monsieur Bogey est très gentil, l’encouragea l’enfant, qui déjà s’était avancée.
Mary-Elisabeth approcha. Après tout, si elle était allée jusque-là, autant continuer.
Elles arrivèrent sous un grand chapiteau aux lignes rouges et blanches. Au centre de la piste, Monsieur Bogey, déguisé en clown au gros nez écarlate, exécutait son numéro devant les enfants gris, assis dans les gradins.
Pour ne pas le déranger, elles s’assirent en silence dans un coin. Monsieur Bogey les salua plusieurs fois avant de continuer le spectacle.
Elles rirent et s’amusèrent beaucoup ce soir là, tant et si bien qu’elles en oublièrent presque de rentrer. Presque, car Mary-Elisabeth était une enfant plus sérieuse que sa cousine. Et lorsqu’elle revint de la maison sous le lit, elle se trouva bien embêtée devant la question de madame Winifred, qui demandait : « mais où est passée ta cousine ? »
Elle dut alors avouer qu’elle se trouvait encore chez Monsieur Bogey, dans la maison sous le lit. Mais madame Winifred était une grande personne et les grandes personnes ne croient pas à ces histoires-là.
Madame Winifred appela tante Jane, son mari, papa et maman qui eux appelèrent la police. Personne ne voulait croire ce que racontait l’enfant, qui pourtant ne mentait jamais.
Lorsqu’il fut très tard, elle rentra à la maison avec papa et maman. Ils étaient bouleversés,mais l’enfant, elle, restait sereine, car elle savait où sa cousine se trouvait, avec les autres amis de Monsieur Bogey.
Dès que maman, après l’avoir couchée dans son lit, fut partie, une chanson se fit entendre. C’était Une douce chanson qui lui caressait les oreilles comme une brise légère.

« …veux-tu, veux-tu donc jouer avec moi ? Les grands sont partis, surtout, pas un souffle, pas un bruit… »

- Monsieur Bogey ? murmura-t-elle.
Oui, c’était lui, bien sûr.
- Venir jouer ? Je ne sais pas si c’est une bonne idée… Comment ? Mais…vous…vous en êtes sûr ?
Elle hésita un instant, puis se rappela comme elle s’était bien amusée au cirque, quel farceur Monsieur Bogey était. Ce serait probablement aussi drôle, voire davantage, cette fois. Et ça ne coûtait rien, pas vrai ?
Elle glissa jusqu’au sol et rampa sous le lit. La porte était ouverte.
Sympathique comme histoire j'aime bien et puis bien écrit...

Franchement ya du boulot comme je disais ailleurs, pour les modos, pour remettre à jour la bibliothèque...
Citation :
Publié par Madee
Franchement ya du boulot comme je disais ailleurs, pour les modos, pour remettre à jour la bibliothèque...
C'est AENUR qui s'est engagé à le faire.

Je répète : AENUR la grosse feignasse DOIT LE FAIRE !!!§§§!!§
Citation :
Publié par Sombreloup
Ca vous tente ?
Ewé ! Mais bon faudra qu'on évite de lacher nos comz (t'as vu) à chaque fois :/ Dur !

Quoi qu'il en soit ce texte est vraiment sympa, j'aime assez ton style, assez simple et sans recherche de phrases trop longues qui au final ne veulent rien dire et que personne ne lit jusqu'au bout sans risquer de mourrir étouffé.
Citation :
Publié par Glandulf
C'est AENUR qui s'est engagé à le faire.

Je répète : AENUR la grosse feignasse DOIT LE FAIRE !!!§§§!!§
MDR

Sinon, j'ai adoré le texte, j'attends les prochains (voire la suite) avec impatience.
Citation :
Publié par Sombreloup
J'admire ton sens de la recrute mais ton sujet ne m'inspire guère je le crains
Enfin, je vais voir.
Hmm un amour impossible avec un sujet d'Ex Libar ?
Merci beaucoup pour vos commentaires

Citation :
Publié par Soir
Hmm un amour impossible avec un sujet d'Ex Libar ?
T'es un dur à cuire toi ok je vais voir ce que je peux faire

Ayé, modifié le titre.
Citation :
Publié par Aenur
C'est bon on va essayer de s'en occuper avec Soupir.
N'essayez pas, faites.






J'adore la placer, celle-la, souvent utile et tout aussi souvent bidon .
Citation :
Publié par Aenur
Je sais pas, j'vais demander à un pote il l'a p'tet vu :/

C'est bon on va essayer de s'en occuper avec Soupir.
Je ne t'avais pas vu poster depuis quelques jours s'tout. Dumoins, j'avais zappé tes posts.
Ben si on va essayer, parce que Soupir et pas là, moi j'ai du boulot en retard irl, j'ai plus trop le temps, bref, si quelqu'un veut prendre ma place d'anim après la bar academy ..

edit pour au dessus: si j'ai posté ces jours ci voyons.
Nouveau petit texte. Je m'excuse par avance si vous ne comprenez pas toutes les références.

Le Veilleur


Il jette un coup d’œil à la mallette. Cet argent, il en a besoin, pour ses recherches. Il a pris par les égouts. L’eau, visqueuse et nauséabonde, clapote tout autour de lui. Il court dans la semi obscurité. Il craint et, en même temps, il espère qu’il viendra. Il veut en finir une bonne fois pour toutes. Mais il en est certain, il viendra. Il vient toujours.
Il est dehors, sa fuite se prolonge. Pas longtemps, son ombre à LUI apparaît sur le sol. Il fait volte-face, saisit l’une de ses fioles, la lui lance, il l’esquive. Le duel s’entame…Chacun a ses armes, chacun s’en sert.
Rapidement, il prend l’avantage. Le voleur devient incertain, il a peur. Quelle ironie…lui qui est passé maître dans l’art de l’inspirer, il l’éprouve, il l’éprouve comme à chaque fois qu’il le retrouve sur son chemin…

Lundi

Celle-ci, une Amilcar de 1926, je l’ai achetée à un amateur il y a trois ans. Là, une Austin-Healey 3000, acquise lors d’une foire automobile. Et ici, une Bentley, 1958, toujours en très bon état. Ce n’est pas sans une pointe de fierté que je déambule parmi ma collection. Oh, il y a bien quelques modèles de moindre valeur ou hors d’usage, mais tous ont un prix à mes yeux.
Je crois, d’ailleurs, que je vais me laisser tenter par une petite balade.

Mardi

Je lui accorde un dernier regard. Celui qu’il me rend est un mélange de haine et de peur. Un mariage que j’ai souvent croisé dans leurs yeux. J’entends les sirènes, la police sera bientôt là. Je n’ai plus rien à faire ici, je m’en vais.
Quelle heure est-il ? Tard, mais j’ai l’habitude. Un dernier détour et je rentre.
Mes pas ne sont pas innocents, ils me mènent à cette rue, je la connais bien. Autour, tout est calme, il n’y a pas un souffle de vent, pas un bruit. Un lampadaire éclaire vaguement le théâtre de mes souvenirs mais la nuit règne en maîtresse partout ailleurs. Je ne la crains plus, je suis la nuit.
Je profite du calme apparent pour me rappeler à nouveau, je me recueille. Il y a longtemps et pourtant, ma blessure reste vive, ouverte, et ne cicatrisera jamais vraiment. Elle sera toujours là, souvenir ineffable, inébranlable, implacable. Morsure, marque au fer rouge dans ma chair, dans mon cœur. Douleur lancinante qui me pousse à ne jamais oublier, à ne jamais renoncer. Jamais.

Mercredi

- Regarde ce que j’ai retrouvé dans le grenier ! Un vieux Stratego. On fait une partie ?
- Si tu veux.
Je devrais m’occuper de lui davantage, je sais. Mais il connaît et accepte mes obligations, il a aussi les siennes. Il a vite grandi. Ils ont tous vite grandi.
Je ne lui laisse aucune chance, je sais que c’est ce qu’il attend de moi, tout comme c’est ce que j’attends de lui. Je le laisse déplacer ses pièces, je feins une stratégie en déplaçant les miennes. Sur le terrain, je suis du genre « attaque préventive ». Ici, c’est la même chose. Le conseil que me donnait souvent mon ami d’enfance, Tommy, lorsque nous jouions à ce même jeu, ne quitte pas mon esprit. « Si tu veux battre ton adversaire, tu dois penser comme lui. » Je gagne cette partie et les deux suivantes.

Jeudi

J’entre en silence. Je fais quelques pas, on essaye de m’arrêter. Ce genre de sentinelle n’a pas besoin d’yeux pour me voir. J’avais prévu qu’il y en aurait, je connais son style. Je les neutralise avec un concentré chimique contenant du désherbant.
Je l’entends courir, elle n’est pas loin.
- Pourquoi faut-il toujours que tu te mêles de mes affaires ?
Je ne réponds pas, je sais qu’elle essaye de faire diversion. Je passe en vision nocturne, la repère. Plus q’une minute trente, le temps presse.

Vendredi

Personne à l’étage. Je traverse le couloir toujours en l’appelant, sans résultat. Me voici à nouveau au rez-de-chaussée, le hall est vide, tout autant que la cuisine et la salle à manger. Je pousse une fois encore la porte du salon et je constate que quelque chose a changé. Il y fait sombre, les rideaux sont tirés. J’utilise l’interrupteur.
- Surprise !
J’écarquille les yeux un instant, je les regarde. Je les connais, tous, depuis longtemps. Mon anniversaire ? Aujourd’hui ? Je l’avais presque oublié. Passé un instant, ils viennent à moi, m’embrassent, me félicitent.
Ils sont tous enjoués, c’est moi qu’ils célèbrent. Je ne peux pas leur faire défaut. Aussi, quand ils lèvent leur coupe et portent un toast à ma santé, je fais de même en les remerciant. Ils me poussent à leur offrir un discours. Rapidement, je me creuse les méninges et prononce quelques mots. Ils me regardent en souriant puis applaudissent. Ils connaissent ma nature, alors cela leur convient. Pour eux, j’ai rempli mon office.

Samedi

La nuit est tombée. Une nouvelle nuit que je passe à sillonner la ville, ma ville. Aussi grande et peuplée soit-elle, il y reste néanmoins des zones d’ombre. D’ici, tout semble calme et pourtant, je sais qu’ils sont là, quelque part. Certains se cachent, ils me craignent. D’autres attendent simplement le bon moment pour frapper. Mais je les ai à l’œil.
Il m’arrive parfois d’hésiter, de me demander si tout ceci est bien utile, si tout ceci a réellement un sens. Je regarde alors autour de moi et je retrouve confiance. Je sais que c’est un mal nécessaire. Je me dois de continuer, de ne jamais lâcher prise, jusqu’à ce que l’on n’ait plus besoin de moi. J’écarte donc mes doutes et reprend ma croisade.

Dimanche

Le masque que je porte m’empêche de subir les effets du gaz que contiennent ses fioles. La faux, il essaye de me couper en deux. J’esquive, le désarme, me jette sur lui. Il n’a pas une très bonne constitution et compte davantage sur quelques hommes de main ou le fruit de ses expériences pour venir à bout de ses adversaires. Je l’immobilise, lui arrache son propre masque et le ligote. Il est neutralisé.

*

Si je suis heureux ? La question est ambiguë. Oui, parfois je le suis. Il est vrai que je n’ai pas à me plaindre, en tant que milliardaire, je suis à l’abri du besoin. Mes journées sont partagées entre le travail, des rendez-vous d’affaire ou de simple courtoisie, et quelques hobbys. J’aime le sport en général, la lecture, les objets anciens, les échecs, l’opéra.
Ma famille ? Mes parents sont décédés lorsque j’étais encore un jeune garçon. Légalement, je n’ai plus que mon oncle, Philip. Même si, au cours de ma vie, j’ai rencontré et fréquenté des gens bien que je considère comme ma famille.
Des amis ? En ces sphères dans lesquelles j’évolue, on a toujours beaucoup d’« amis ». J’organise ou me rends, de temps en temps, à des réceptions, des soirées, dans lesquelles se retrouve le gratin de la société. Tout ceci m’ennuie un peu mais cela fait partie du personnage de playboy que je me suis composé. En réalité, mes véritables amis sont peu nombreux.
L’amour…Bien que mon cœur soit solitaire par choix, j’ai aimé quelques femmes, oui. Chacune unique à sa manière. Cependant, diverses contraintes, professionnelles, principalement, ont fait que ces histoires ne purent durer. Toutefois, il y a une exception. Alambiquée et nébuleuse, est cette histoire qui ne cesse d’apparaître et de disparaître de ma vie. Tout autant qu’est complexe et mystérieuse, la femme avec qui je la partage. Je suppose que dans la plupart des histoires où les sentiments jouent un rôle, la situation est bien souvent aussi difficile à aborder.
En fait, je suis un homme comme les autres. Ou du moins, j’essaye de l’être.
Mais... Ce signal, dans le ciel. Il me faut y aller.

« …C’est exact, nous sommes en direct du centre ville où le Joker et ses hommes se sont emparés d’une entreprise de cosmétiques. On m’apprend qu’il est sur le point de la faire exploser ! Il y a actuellement un échange de coups de feu avec la police et... Attendez, oui, c’est lui, il vient d’arriver, c’est Batman…»
Citation :
Publié par Madee
Franchement ya du boulot comme je disais ailleurs, pour les modos, pour remettre à jour la bibliothèque...
C'est vrai qu'envoyer un MP pour signaler "Tiens, je verrais bien ce truc-là dans la bibli, ça serait sympa", c'est beaucoup trop dur, vaut mieux faire une remarque désobligeante sur le sujet.

Comme l'a dit Aenur plus haut, on est pas constamment dispo, du coup y a des fois je lis pas tout car j'ai pas le temps ou pas l'envie, donc si vous pensez qu'il y a quelque chose à consigner dans le Jack ou la bibliothèque qui n'y est pas actuellement, envoyez un MP (pour les anims), un report (pour les modos, perso je les lis pas car ils ne me concernent pas), choppez-nous sur msn, enfin voilà quoi, que ça aille dans les deux sens.

Sur ce, fin du HS, désolé, mais d'un autre côté ça fait un up donc c'est toujours ça de pris.
Big-up !!

Nan je dec.

Moi aussi je fais des textes §!%§!

Voyez-plutôt :

Citation :
Publié par Bzzzzt
"J'ai du bon râpé, dans mon fri-gi-dai-reuh, j'ai du bon râpé, tu n'en auras poé.
J'ai du bon râpé, dans mon fri-gi-dai-reuh, j'ai du bon râpé, tu n'en auras poé.
J'ai d'l'Entre-Monts, et de l'épicé, mais, ce n'est pas, pour ton vil gosier... (1...2...3...) HEY !
J'ai du bon râpé, dans mon fri-gi-dai-reuh, j'ai du bon râpé, tu n'en auras poé.
J'ai du bon râpé, dans mon fri-gi-dai-reuh, j'ai du bon râpéééé... tu n'en auras poé !!"

Merci.
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