L'étrange départ...

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Malagant s'approche et s'agenouille à côté du garde immobilisé, puis il retire ses gants noirs et approche ses mains du visage du garde

"Maintenant, tu vas gentiment répondre aux questions du brave nain qui se sert de toi comme d'une paillasse que tu es. Sinon, je chercherai quelque chose à t'arracher jusqu'à ce que tu finisses par te montrer raisonnable."
Le garde avale sa salive puis commence à répondre lentement et sur une voix presque imperceptible comme si ses révélations allait lui coûter la vie...

-La personnes qui nous à engagé, s’appelait Culiore… je ne sais pas se qu’il fais avec ses prisonniers je n’ai jamais été plus loin que nos quartiers et celui où nous sommes… On me paye pour garder c’est tout…

Le garde lève son regard vers Malagant, puis chuchote quelque chose que se dernier n’entend pas…
"Y a-t-il quelque chose que tu peux nous dire qui nous serait utile ? Réfléchis bien, car si tu passes trop de détails tu risques de garder quelques traces de mon insatisfaction..."
Le garde toujours en regardent Malagant...

-Qu'es-ce-qui m'assure que vous le ferez pas après?

Puis il chuchote:

-Mais je peux vous dire... la suite de phrase se pert dans son soufle...
"Nous dire quoi ? Parle plus fort !"

Malagant attrape le visage du garde entre ses mains et pose les pouces sur ses yeux

"Si tu te décides à t'exprimer de façon audible, il ne t'arrivera rien de fâcheux. Dans le cas contraire, tu regretteras longtemps d'avoir joué les carpes..."
Malagant va s'asseoir contre un mur

"A quoi bon les interroger... celui-là est mort d'avoir trop parlé avant d'avoir pu nous dire quoi que ce soit d'utile. Si vous voulez mon avis, on va devoir trouver notre chemin tout seuls."
L'elfe après quelques minutes de fouille et avoir trouvé une dague et une petite bourse, commence avec une air inquiet à faire signe d'approché aux autre prisonnier... ceux qui s'approchent découvrent une griffe de chat planté sans la peau sous l'oreille du garde...
Riftocus prends sont doigts souffle dessus puis fais mine de frapper le cou et tombe à la renverse... reste là quelques secondes la langue pendante l'air mort, avant de sortire son écureuil de sa poche et de commencer à le flatter...
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