La ballade de la peur

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La ballade de la peur


Une histoire qui n’existe pas,
Qui est pourtant dans tous nos cœurs,
Gardant nos futiles rancœurs,
Et qui nous suit, pas après pas.
C’est l’histoire de la vérité,
De la Vie et puis de l’Amour,
Du fleuve régulier des jours,
Qui s’écoule de l’hiver à l’été.

Un sentiment qui me frappa,
Me rappelant à mes valeurs,
Pensée qu’on n’oublie pas : la peur,
Même dans les bras de son papa,
Ou dans ceux de l’êtr’ inventé.
Quand on est seul au carrefour,
Que la vie nous joue un sal’ tour,
Qui s’écoule de l’hiver à l’été.

La peur, comme unique repas,
Com’ uniq’ chemin du malheur
Et seul chemin du vrai bonheur.
Une peur qui ne s’en ira pas,
Peur du vrai amour, mais raté,
Peur qu’à mes mots tu devienn’ sourd,
Peur de la Mort et de l’Amour,
Qui s’écoule de l’hiver à l’été.

L’histoire de la ballade hantée,
De cette peur qui en moi court,
Depuis longtemps et pour toujours,
Qui s’écoule de l’hiver à l’été.

Hélène
........

Le temps qui,sans repos,va d'un pas si léger,
Emporte avec lui toutes les belles choses:
C'est pour nous avertir de bien le ménager
Et faire des bouquets en la saison des roses.
(C)


Le temps est un grand maître dit-on.Le malheur est qu'il tue ses élèves.(H.Berlioz)



J'aime bien ce que tu ecris Loune
Re: ........
Citation :
Provient du message de Indis Aredhel
Et faire des bouquets en la saison des roses...
... mais pourquoi faire des bouquets de ces roses,
autant les laisser en terre, que Mère Nature les arrosent,
de ses bienfaits, afin que dans l'avenir grandissent,
de ces pousses écarlates des filles et des fils...


Toujours ravis de voir que les Enfants de Titania reçoivent son inspiration par delà les méandres du Temps .
__________________
La mort est plus légère qu'une plume, le devoir plus lourd qu'une montagne.
Citation :
Provient du message de Thorak
J'aime bien.




Citation :
Provient du message de Thorak
C'est de qui?

Hélène

Citation :
Provient du message de Thorak
c'est qui Hélène?

C'est moi

J'adore
Bravo ma belle Loune , c'est très bien . j'adore




Lady-Van...




A …

A un ange qui dans ces bras me pris,
A un ours qui un jour m’a souri,
A un sourir’ qui en moi c’est perdu,
A un mot que jamais je n’aurais su,
A un ami qui compris mes larmes,

A celle pour qui j’ai gardé mes charmes,
A ces choses insignifiantes, oubliées,
A ce silence tant de fois aimé,
A cette phrase qui m’a que trop marquée,
A cet instant de peur que j’ai gravé,

Au cri que j’ai tant de fois entendu,
Au cauchemar que tu n’as jamais vu,
Aux ongles rongés que je t’ai cachés,
Aux fleurs dans leurs tendres intimités,
Au doux cahier que un jour tu liras,

A toi que je ne connais même pas,
Que je tutoie, mais sans savoir pourquoi,
A toi, a qui je raconte ma vie,
A toi, et à ce que tu sais de moi,

Je dis un mot .. qu’il soit loin de l’oubli ..


.. Toi


Hélène
Citation :
Provient du message de Coin-coin le Canapin
un truc : les apostrophes pour pas prononcer la dernière syllabe ça sert à rien (Com’ uniq’ chemin du malheur, etc...) puisque dans le langage parlé elles sont muettes (sauf pour les gens avec l'accent du sud, bien sûr. hein, ours? ).
voilà.
Mais j't'emmerde mon ptit bonhomme
Si t'es pas content s'pareil
T'as qu'a bouché tes oreilles
Et vlan prend ca pour ta pomme
Les apostrophes y'a pas mieux
Alors laisse nous faire s'qu'on veut
Non mais pour qui tu t'prend la
Avec tes lecons d'morales
Je m'en vais t'foutre sur le pal
La au moins t'm'entendra pas
Et si la tu t'plaint encore
Je te f'rai jeter aux porcs.

Sian.


Sinon, pour le poême, c'est un joli bordle au niveau de la metrie tout ca ... 7,8,9 voir 10 syllabes, fallait y penser
Citation :
Provient du message de Damon
Très intéressant le poème de Byron

Damon qui est intéressé
N'est-ce pas?
Surtout le dernier ver, plein de sens... Je cherche encore moi même
A toi ..

A toi ...

A toi qui pourtant ne m’écoute pas,
Que j’aime, et qui ne l’ignore vraiment pas,
A toi, qui devient tellement fragile,
Que je ne suis qu’un fardeau inutile,
A toi qui m’écoute d’un sourire trop las,
A toi, qui sait chacun de mes « voilà »,
Je te donne ces quelques mots futiles.
A toi qui suit mes pas volatiles,
A toi qui sait si bien me fair’ sourir’,
Qui me donne l’envie de vivre de tes rir’
A toi dont la larm’ me dessèche le front,
Qui m’empêche de faire dans l’eau des tits ronds,
A toi, ces simples mots qui valent de l’or,
A jamais et pour toujours, je t’adore..

Loune,
Une Fleur qui passe,
Pour quelqu'un à qui elle pense..
*Sort son clavier Watherproooof *


Très beau ma Louloune



Lady-Van...
Citation :
Provient du message de Byron 7
Ouais, bas ca me fera vraiment toujours marrer cette manie d'utiliser des tournures vieillies pour pouvoir finir sa rime ou avoir le bon nombre de pied
Refais un poème trop style stoplé

Damon qui demande
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