Démission par rapport à la vie ? Un remède ?

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Bonjour,

Dans la lignée des 36 15 code My Mother Fucking Life, aujourd'hui je pose une colle assez perso mais qui à mon avis doit être partagée par beaucoup de jeunes, et mêmes de moins jeunes, ou même de moins moins ...

Vous est-il arrivé de toucher vraiment le fond, pas le fond d'une déprime, ou du ridicule, ou des cabinets, non le fond de la démotivation, du dégout de tout, du ras le bol absolu, l'envie de rien, le rejet de tout ?

Je crois être vraiment arrivé à ce stade en me rendant compte que 90% de ma liste MSN est bloquée, que mon GSM est en permanence coupé, que quand on me parle je fais tout pour que l'interlocuteur comprenne que j'ai pas envie de parler, ma vie se résume à dormir, jouer et manger, tout ça aux frais de la société, ce qui n'arrange pas l'image que l'on a de sois ...

Alors, partagez vous ce sentiment ? L'avez vous partagé ? L'avez vous combattu et même vaincu ? Si oui comment ?

Ce n'est pas un appel à l'aide, je ne déprime pas particulièrement plus que d'habitude, c'est juste une interrogation de mec curieux qui quand même aimerait changer un peu la situation actuelle ...

PS : Merci d'éviter les gros clichés réducteurs, simplistes ou moralisteurs, pour ça y a déjà la famille est les ... *amis* ...
Vu que je suis pas tres porté a étaler ma vie sur ce forum, je dirais simplement oui.
Quant à comment le combattre, bah, il a suffit qu'une personne trouve la faille et le moyen de me faire réagir.

[edit:]Mais c'est vrai qu'on y revient bien vite à cette douce torpeur.
Re: Démission par rapport à la vie ? Un remède ?
Citation :
Provient du message de Lancy :/
Vous est-il arrivé de toucher vraiment le fond, pas le fond d'une déprime, ou du ridicule, ou des cabinets, non le fond de la démotivation, du dégout de tout, du ras le bol absolu, l'envie de rien, le rejet de tout ?
Oui.
Citation :
Provient du message de Lancy :/
Alors, partagez vous ce sentiment ?
J'ai du mal à découper un sentiment pour le partager.
Citation :
Provient du message de Lancy :/
L'avez vous partagé ?
Voir au-dessus.
Citation :
Provient du message de Lancy :/
L'avez vous combattu et même vaincu ? Si oui comment ?
Pourquoi le combattre, on vit très bien comme ça.
Citation :
Vous est-il arrivé de toucher vraiment le fond, pas le fond d'une déprime, ou du ridicule, ou des cabinets, non le fond de la démotivation, du dégout de tout, du ras le bol absolu, l'envie de rien, le rejet de tout ?

Oui.


Citation :
L'avez vous combattu et même vaincu ? Si oui comment ?

Oui.

C'est profond comme question...Chaque cas est différent, pour ma part en faisant un examen de conscience, me dire ce que je voulais et ce que je voulais pas, et de parler avec une personne qui sait écouté et non critiquer et juger. C'est a partir de là que j'ai changer les choses.
Re: Démission par rapport à la vie ? Un remède ?
Citation :
Provient du message de Lancy :/
Je crois être vraiment arrivé à ce stade en me rendant compte que 90% de ma liste MSN est bloquée, que mon GSM est en permanence coupé, que quand on me parle je fais tout pour que l'interlocuteur comprenne que j'ai pas envie de parler, ma vie se résume à dormir, jouer et manger, tout ça aux frais de la société, ce qui n'arrange pas l'image que l'on a de sois ...
C'est pas que tu touche le fond, t'es juste de mauvais poil c'est tout.

T'inquiete pas , entre le fait de bloquer ses contacts MSN et de toucher le fond jusqu'au suicide, il y a un petit espace .
La schizophrénie est la solution à ce genre de problème : il faut laisser sombrer une (ou plusieurs) partie de soi dans la fange, afin que les autres puissent s'élever. C'est ce qu'on appelle lâcher du lest, en langage d'aéronaute.
Pour répondre simplement à ta question, oui.


Tu ne veux pas de clichés… mais si on ne veut pas, nous, raconter notre vie, il est difficile de ne pas répondre par des généralités. Aussi je te dirais simplement que tout change, dans la vie.

Et qu’il y a quelque chose de bizarre. Quand on est en haut, on peut voir en bas, on peut même voir un trou dans lequel on pourrait tomber. Parfois on reste en haut, parfois on tombe, c’est la vie.

Par contre, quand on est au fond du trou, on ne voit rien, l’horizon est bouché par les parois du trou. Et parfois, ayant l’impression qu’il n’y a rien d’autre, on y reste longtemps. Un jour on en sort, et on voit le reste. Dans les deux cas, le reste est là, mais du trou il est plus difficile à voir.
Citation :
Provient du message de Agilolfing
La schizophrénie est la solution à ce genre de problème : il faut laisser sombrer une (ou plusieurs) partie de soi dans la fange, afin que les autres puissent s'élever. C'est ce qu'on appelle lâcher du lest, en langage d'aéronaute.
La Scizophrénie est une psychose, or, la psychose ne concerne pas notre ami Lancy. Il serait bien de ne pas utiliser ce terme de "scizophrénie" à tout va, pour caractériser un dédoublemet de personnalité. Ce n'est pas tout à fait la même chose : L'un est une maladie, l'autre un état d'esprit.
On ne devient pas scizophréne sur commande (Comme si on pouvait "vouloir" le devenir...), on... Bref. C'est compliqué, je ne souhaite pas partir en HS.

Citation :
Provient du message de Kuldar
Pourquoi le combattre, on vit très bien comme ça.
J'suis pas d'accord, je m'insurge
On se complaît très facilement à ce genre d'états, certes, mais de là à dire "on vit très bien comme ça", euh... Non. On ne vit pas bien comme ça, déjà par définition ; je citerais ici les termes de Lancy : "dégout de tout, du ras le bol absolu".


Lancy, je suis dispo sur msn, si l'envie ou le besoin de discutter te prend.
Citation :
Provient du message de Soir le Sicaire
Pour répondre simplement à ta question, oui.


Tu ne veux pas de clichés… mais si on ne veut pas, nous, raconter notre vie, il est difficile de ne pas répondre par des généralités. Aussi je te dirais simplement que tout change, dans la vie.

Et qu’il y a quelque chose de bizarre. Quand on est en haut, on peut voir en bas, on peut même voir un trou dans lequel on pourrait tomber. Parfois on reste en haut, parfois on tombe, c’est la vie.

Par contre, quand on est au fond du trou, on ne voit rien, l’horizon est bouché par les parois du trou. Et parfois, ayant l’impression qu’il n’y a rien d’autre, on y reste longtemps. Un jour on en sort, et on voit le reste. Dans les deux cas, le reste est là, mais du trou il est plus difficile à voir.
C'est clair, quand les gens dépriment ils s'isolent, coupe tout contact avec l'entourage et parfois on même du mal a se toléré eux même. L'isolement en lui même pour certains fait partie du mode *J'veux rien entendre* car souvent l'entourage te pousse dans le Q, t'incite a bouger, a te motivé, mais les efforts a fournir pour le faire sont tellement grands, démesurés même parfois ...que tu t'épuises juste a réfléchir, alors vient l'agressivité pour certains, les pleurs pour d'autres. Beaucoup veulent changer les choses, mais comme je disais, ils ne savent pas par OU commencer, tout est trop confu et complexe. Souvent c'est un laissé aller de quelques années, tu accumules échecs, frustrations, déceptions et le bagage devient trop lourd a porter pour les épaules. Le goût de bouger c'est une chose et de bouger en est une autre car entre le vouloir et le pouvoir y a parfois un grand fossé. Chacun a ses propres limites de ce qu'il peut toléré, quand le vase est plein, beaucoup sortent de l'ombre et cherchent une épaule sur qui s'appuyer, une oreille pour écouté et bien souvent ce que l'ont voyait énorme est a la fois tout p'tit.
J'comprends ton dégout, ton "ras le bol" du pc, moi j'ai vécu ça en quelques sortes, mais en moins accentué je pense : j'étais un accro de daoc j'y jouais tout le temps, même pendant les week-end, je ne sortais jamais sauf pour aller en cour etc. Tout ceci remonte à bientôt 1 an... Un jour j'ai compris que j'étais en quelques sortes aveuglé par daoc, que je n'allais pas m'épanouir en restant devant mon ordinateur en faisant évoluer un personnage virtuel dont l'intérêt principal était de me divertir; mais à ce stade je ne parlais plus de divertissement mais de dépendance, d'obsecion... Je n'ai pas arréter du jour au lendemain mais petit à petit je jouais moins puis j'ai vendu mon compte mais je pouvais encore jouer un peu dessus jusqu'au jour ou je n'avais plus aucune envie d'y jouer... Au début c'est dur tu te fais chier mais je me suis trouver une autres passion en dehors du monde virtuel, je sortais le plus possible etc...
Maintenant tout ça c'est du passé je ne regrette pas mais j'ai le sentiment d'avoir gacher quelques mois de ma vie, des mois important... Je n'ai pas tout arréter pour autant j'ai gardé msn et jol (quand tu dis avoir bloquer 90% de tes contacts msn, sa montre pas que t'es solitaire, inociable ou j'sais pas quoi mais plutôt que sa te soule de répondre constamment à des "slt sa va" qui ne servent à rien sauf a se divertir quelques minutes en parlant à des inconnus dont la vie ne t'interesse guère...).

Bon j'ai pri mon exemple, celui de daoc mais je pense qu'il est représentatif de ton pb... Le monde virtuel d'aujourd'hui est plus réaliste, plus concret et les extensions qu'il a recu grâce au net lui confère un intérêt de plus en plus grand. Ce monde virtuel engendre une dépendance de plus en plus fréquente de la part de nombreuses personnes et je pense que certains politiciens pourraient remédier à ce problème, déstructeur de vie sociale pour ceux qui en sont "atteinds"...

J'pense aussi qu'avoir une petite amie qu'on aime peut aider à ce sortir de cet dépendance (c'est valable pour la dépendance à l'alcool ou aux drogues j'imagine...Mais tout est relatif)

J'espère avoir contribuer positivement au fil du sujet et ne pas m'être trop égaré
Re: Démission par rapport à la vie ? Un remède ?
Citation :
Provient du message de Lancy :/
c'est juste une interrogation de mec curieux qui quand même aimerait changer un peu la situation actuelle ...
Bon, je vais éviter de répondre aux autres questions ça n'apportera rien de toute façon. Disons que je continue à creuser, c'est dommage la sortie est juste à côté et la porte est ouverte.

Une bonne question à se poser serait de savoir qu'est-ce qui a provoqué cet état et le cheminement pour y parvenir. Peut-être as-tu déjà la réponse, peu importe, ça n'arrangera pas les choses de toute façon mais ça permet de comprendre un peu comment on devient "vide" et à terme si la volonté refait surface (je crois que c'est ça le plus dur) d'essayer de changer les choses. Essayer seulement, c'est loin d'être si simple. Le premier pas est difficile et le regard continue à se tourner vers l'arrière.

En attendant, on continue à arborer un masque dans la vie quotidienne faisant semblant d'être occupé à des choses de grandes conséquences, avec le sourire en plus (parfois). Le fond, lui est nettement moins joli à voir. Tout le monde est rassuré, tant mieux, on peut continuer à crier. A force on s'y habitue, on annihile toute compréhension et la souffrance devient une banalité quotidienne, bien présente cependant.
Re: Démission par rapport à la vie ? Un remède ?
Citation :
Provient du message de Lancy :/
Vous est-il arrivé de toucher vraiment le fond, pas le fond d'une déprime, ou du ridicule, ou des cabinets, non le fond de la démotivation, du dégout de tout, du ras le bol absolu, l'envie de rien, le rejet de tout ?

quand on me parle je fais tout pour que l'interlocuteur comprenne que j'ai pas envie de parler, ma vie se résume à dormir, jouer et manger,
Alors, partagez vous ce sentiment ? L'avez vous partagé ? L'avez vous combattu et même vaincu ? Si oui comment ?
Touché le fond, y être jusqu'au cou c'est de mon côté l'image du noyé qui coule à pic jusqu'à atteindre le fond de l'eau.

Première chose tu ne peux pas tomber plus bas, quand on est à terre on ne peut que se relever.

Que tu ne souhaite pas parler avec autrui, que tu résume ta vie à dormir, manger et jouer c'est que d'une certaine façon tu as besoin de cette phase de repli sur toi.

Faut pas combattre sa lassitude, mais plutôt la comprendre, en découvrir les causes.

Quelles sont les déceptions qui sont à l'origine de cet état?

On a le droit de "faire pouce " à un moment donné dans la vie, à dire stop, à faire une pause.

La performence a tout prix, le rejet de ses limites sont des concepts inhumains.

L'épuisement n'est pas que physique, il peut être aussi émotionel, intellectuel, cela signifie un besoin de se ressourcer.

Tout dépend ensuite si tu veux sortir de cet état seul ou bien si tu sens que tu a besoin d'être aidé, à toi de voir.

Essai de mieux te connaître, c'est à dire qu'est ce que tu aime le plus et inversement.

Quels sont les éléments de la vie qui sont motivants pour toi, qui t'importent le plus ?

Fasse à l'angoisse, à la sensation du vide, seule l'action qu'elle quel soit est réparatrice.

Donne toi un objectif même tout petit et applique toi à l'atteindre pour déjà reconquérir une partie de ton amour propre.

Et petit à petit tu pourra remonter les marches.

L'essentiel c'est pas d'atteindre le sommet mais d'être debout, d'être pleinement en accord avec soi.

D'être souverain de sa personne, de devenir un sujet.

Prends soin de toi, personne ne le fera à ta place.
Citation :
Provient du message de Bbali
On se complaît très facilement à ce genre d'états, certes, mais de là à dire "on vit très bien comme ça", euh... Non. On ne vit pas bien comme ça, déjà par définition ; je citerais ici les termes de Lancy : "dégout de tout, du ras le bol absolu".
Si. On respire, on mange: on vit bien.
Après est-ce qu'on le vit bien c'est totalement différent.
Pourquoi un ras le bol absolu, un dégout de tout est négatif?
Personnellement pour moi ça n'a rien de négafit, c'est l'un des meilleur moyen de se retrouver; car si on se sent mieux après avoir vaincu ce "problème" c'est parce qu'on a eu ce problème. C'est une étape et c'est tout, ni bonne ni mauvaise.
Re: Re: Démission par rapport à la vie ? Un remède ?
Citation :
Provient du message de Peline
Prends soin de toi, personne ne le fera à ta place.
Ca c'est bien vrai.
Citation :
Provient du message de Kuldar
Si. On respire, on mange: on vit bien.
Après est-ce qu'on le vit bien c'est totalement différent.
Pourquoi un ras le bol absolu, un dégout de tout est négatif?
Personnellement pour moi ça n'a rien de négafit, c'est l'un des meilleur moyen de se retrouver; car si on se sent mieux après avoir vaincu ce "problème" c'est parce qu'on a eu ce problème. C'est une étape et c'est tout, ni bonne ni mauvaise.


Entre vivre bien et existé y a un fossé quand même. L'homme qui n'a pas de rêves, pas d'ambitions, de goûts, de désirs ne fait qu'exister, il est comme un neuro-végétatif quoi. Il erre sans but, sans espoir, sans idéaux, je n'appelle pas ça vivre, tout au plus survivre.



Je pense que beaucoup se résignent trop vite, sous estime leur force et s'installent dans leur *caca * finissent par s'y trouver bien, pas d'efforts a fournir.
Re: Démission par rapport à la vie ? Un remède ?
Citation :
Provient du message de Lancy :/
Vous est-il arrivé de toucher vraiment le fond, pas le fond d'une déprime, ou du ridicule, ou des cabinets, non le fond de la démotivation, du dégout de tout, du ras le bol absolu, l'envie de rien, le rejet de tout ?
oui

Citation :
Provient du message de Lancy :/

Alors, partagez vous ce sentiment ? L'avez vous partagé ? L'avez vous combattu et même vaincu ? Si oui comment ?

Je n'en ai pas parlé pendant 1 an et je n'ai fait que m'enfoncé encore plus.

J'ai réussi a m'en sortir le jour ou un de mes amis m'a forcé a parler et que je me suis entendu raconter mon mal etre. Le fait de me l'entendre dire m'a collé une grosse claque. (c'est pour ca qu'un psy peut etre pas mal, ne serait ce que pour t'entendre dire ton mal etre).

Sinon le temps m'a bien aidé aussi, il fallait que je digère la cause de mon mal etre.

ps : je sais que tu t'en tapes royalement (enfin je pense) mais si tu veux causer a une personne qui s'en fout un peu donc qui restera objective, mp
Citation :
Provient du message de Lady-VanXzadar
Je pense que beaucoup se résignent trop vite, sous estime leur force et s'installent dans leur *caca * finissent par s'y trouver bien, pas d'efforts a fournir.
Oui mais souvent on les y aide bien.
On est plus ou moins conditionné a adopter cette attitude.
Citation :
Provient du message de Lady-VanXzadar
Entre vivre bien et existé y a un fossé quand même. L'homme qui n'a pas de rêves, pas d'ambitions, de goûts, de désirs ne fait qu'exister, il est comme un neuro-végétatif quoi. Il erre sans but, sans espoir, sans idéaux, je n'appelle pas ça vivre, tout au plus survivre..
Disons que quelqu'un vivant dans une société occidentale qui a le net, je trouve que c'est pas quelqu'un qui survit, mais vit bien.
Quand je parle de bien vivre je ne prend pas en considération l'aspect psychologique.

L'aspect psychologique rentre en compte dans le "est-ce que je le vit bien?".

Je ne fais pas du relativisme à outrance, juste une notion différente de ce qui est négatif.
Citation :
Provient du message de Foxy
Oui mais souvent on les y aide bien.
On est plus ou moins conditionné a adopter cette attitude.
Oui peut-être p'tit Chat mais ce n'est pas mon cas tu vois, c'est ce qu'on m'reproche souvent d'ailleurs, car j'ai tendance a leur dire ce que j'ai a dire, pas de les plaindre et de dire ce qu'ils ont envie d'entendre , ouaip, ça énerve parfois mais d'écouté sans rien dire ne les aidera pas et encore moins les encouragés a s'y trouver bien
Oh mais je dis pas le contraire Lady, je dis simplement que la société actuelle ne laisse de place qu'à ceux qui "en veulent", les autres sont automatiquement rabaissés et catalogués, c'est en ca que je disais "qu'on les y aide bien". Aucun effort n'est fait pour leur donner envie d'avancer.
Citation :
Provient du message de Kuldar
[i]Quand je parle de bien vivre je ne prend pas en considération l'aspect psychologique.
C'est justement ce qui nous oppose. Je pense qu'on ne peut pas "bien vivre" s'il n'y a pas une bonne coordination entre le physique et la psyché. Si l'un va mal, ça déteint sur l'autre.
Le fait de "le" vivre bien ou non, c'est question de personnalité. Ça n'influe qu'en partie sur l'état moral.
Personnellement, je me considere dans le meme cas que toi.
Apres pour ce qui est d'une solution, je suppose que ca depend de chacun, car si j'avais la solution je l'utiliserai sur moi-meme...
Enfin je crois... Tout ca est tellement enivrant, enfin bon...

Citation :
Provient du message de Lady-VanXzadar
il est comme un neuro-végétatif quoi. Il erre sans but, sans espoir, sans idéaux, je n'appelle pas ça vivre, tout au plus survivre.
Tout a fait ca, ca correspond exactement, perso je me compare a un zombie, mais une plante verte fait aussi l'affaire...
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